Bordeaux 2017

Place de la Victoire, Place Gambetta, Musée des Arts Décoratifs, Centre Jean Moulin et la tour Pey berland.

Bordeaux. Place de la Victoire. <br> L'une des places les plus vivantes de Bordeaux avec la colonne et les tortues d'Ivan Theimer, la faculté de medecine et la porte d'Aquitaine.
Bordeaux. Place de la Victoire.
L'une des places les plus vivantes de Bordeaux avec la colonne et les tortues d'Ivan Theimer, la faculté de medecine et la porte d'Aquitaine.
1
Bordeaux. Place de la Victoire. <br> Depuis juin 2005 un obélisque et deux tortues géantes ont élu domicile sur la place de la Victoire.
Bordeaux. Place de la Victoire.
Depuis juin 2005 un obélisque et deux tortues géantes ont élu domicile sur la place de la Victoire.
2
Bordeaux. Place de la Victoire. <br> Une colonne étrangement torsadée en marbre rouge du Languedoc et en bronze rendant hommage à la capitale de la vigne et du vin. Les références sur ce sujet y sont nombreuses, grappes de raisin, masque de Bacchus, navire de Dionysos... C'est une oeuvre du  sculpteur Tchèque Ivan Theimer.
Bordeaux. Place de la Victoire.
Une colonne étrangement torsadée en marbre rouge du Languedoc et en bronze rendant hommage à la capitale de la vigne et du vin. Les références sur ce sujet y sont nombreuses, grappes de raisin, masque de Bacchus, navire de Dionysos... C'est une oeuvre du sculpteur Tchèque Ivan Theimer.
3
Bordeaux. Place de la Victoire. <br>
Bordeaux. Place de la Victoire.
4
Bordeaux. Place de la Victoire. <br> Il semble qu'à l'origine du projet seul l'obélisque était prévu. Pourtant en 2005 la colonne est arrivée place de la Victoire accompagnée de deux tortues en bronze, elles aussi parées de grappes de raisins et à la carapace ornée de multiples références aux grand crus bordelais.
Bordeaux. Place de la Victoire.
Il semble qu'à l'origine du projet seul l'obélisque était prévu. Pourtant en 2005 la colonne est arrivée place de la Victoire accompagnée de deux tortues en bronze, elles aussi parées de grappes de raisins et à la carapace ornée de multiples références aux grand crus bordelais.
5
Bordeaux. Place de la Victoire. <br> En 1753, André Portier y construisit la porte d'Aquitaine, nom donné en mémoire du duc d'Aquitaine. En raison de sa dureté, c'est la pierre de Saint Macaire qui a été retenue pour cet édifice large de 32,50 m. L'entablement de la porte d'Aquitaine est surmonté par un fronton de forme triangulaire orné de sculptures représentant des dieux marins et les armes royales coté place, des fruits et des fleurs coté rue Sainte Catherine. Avant de s'appeler place de la Victoire, nom donné après la guerre de 1914-1918 (le 3 décembre 1918), la place s'appelait place Saint Julien.
Bordeaux. Place de la Victoire.
En 1753, André Portier y construisit la porte d'Aquitaine, nom donné en mémoire du duc d'Aquitaine. En raison de sa dureté, c'est la pierre de Saint Macaire qui a été retenue pour cet édifice large de 32,50 m. L'entablement de la porte d'Aquitaine est surmonté par un fronton de forme triangulaire orné de sculptures représentant des dieux marins et les armes royales coté place, des fruits et des fleurs coté rue Sainte Catherine. Avant de s'appeler place de la Victoire, nom donné après la guerre de 1914-1918 (le 3 décembre 1918), la place s'appelait place Saint Julien.
6
Bordeaux. Place Gambetta.<br> Comme bon nombre de places et de rues, la place Gambetta ne s'est pas toujours appelée ainsi. Auparavant, comme on peut encore le voir gravé dans la pierre, la place s'est successivement appelée place Dauphine, puis place Nationale et à nouveau place Dauphine. S'il n'en subsiste plus de trace visible aujourd'hui, de 1811 à 1814, elle s'est également appelée
Bordeaux. Place Gambetta.
Comme bon nombre de places et de rues, la place Gambetta ne s'est pas toujours appelée ainsi. Auparavant, comme on peut encore le voir gravé dans la pierre, la place s'est successivement appelée place Dauphine, puis place Nationale et à nouveau place Dauphine. S'il n'en subsiste plus de trace visible aujourd'hui, de 1811 à 1814, elle s'est également appelée "place du Roi de Rome". Ce n'est qu'en 1883 que la place prendra le nom qu'on lui connait aujourd'hui de "place Gambetta" en hommage au député puis ministre Léon Gambetta (1838-1882). La place Gambetta est également un endroit verdoyant de la ville. Dans sa partie centrale, on trouve plus d'une trentaine d'arbres, des massifs fleuris, des bassins et même un petit pont qui font de ce lieu un véritable mini jardin public.
7
Bordeaux. Place Gambetta.<br> Nous sommes à Bordeaux et comme c'est le cas sur la plupart des places, les façades des immeubles sont ornées de mascarons.
Bordeaux. Place Gambetta.
Nous sommes à Bordeaux et comme c'est le cas sur la plupart des places, les façades des immeubles sont ornées de mascarons.
8
Bordeaux. Place Gambetta.<br>
Bordeaux. Place Gambetta.
9
Bordeaux. <br>
Bordeaux.
10
Bordeaux. <br> Entre la porte Dijeaux et la rue du Docteur Nancel Pénard se trouvaient les vitrines du magasin Le Printemps. Immeuble vendu pour laisser la place à une enseigne de disques et de multimédia qui a eu son heure de gloire mais qui a fini par disparaitre. De l'autre côté de la place, un des lieux emblématiques, la terrasse et la brasserie du Régent. Situé à l'angle du cours Georges Clémenceau, le Régent existait de façon presque ininterrompue depuis 1893. Si à l'origine les Bordelais venaient y déguster le chocolat chaud servi à la tasse, il était par la suite devenu, pour une certaine élite, le lieu où il fallait être vu en terrasse . Le Régent a été vendu pour laisser place à une pizzéria.
Bordeaux.
Entre la porte Dijeaux et la rue du Docteur Nancel Pénard se trouvaient les vitrines du magasin Le Printemps. Immeuble vendu pour laisser la place à une enseigne de disques et de multimédia qui a eu son heure de gloire mais qui a fini par disparaitre. De l'autre côté de la place, un des lieux emblématiques, la terrasse et la brasserie du Régent. Situé à l'angle du cours Georges Clémenceau, le Régent existait de façon presque ininterrompue depuis 1893. Si à l'origine les Bordelais venaient y déguster le chocolat chaud servi à la tasse, il était par la suite devenu, pour une certaine élite, le lieu où il fallait être vu en terrasse . Le Régent a été vendu pour laisser place à une pizzéria.
11
Bordeaux. Porte Dijeaux.<br> La porte Dijeaux présente un grand nombre de similitudes avec la porte d'aquitaine, notamment dans son architecture surmontée d'un fronton triangulaire également sculpté.
Bordeaux. Porte Dijeaux.
La porte Dijeaux présente un grand nombre de similitudes avec la porte d'aquitaine, notamment dans son architecture surmontée d'un fronton triangulaire également sculpté.
12
Bordeaux. Porte Dijeaux.<br> De ce coté, le triangle est occupé par les symboles royaux, couronne et fleurs de lys, mais aussi deux ailes, un casque et un poisson. Sous le triangle une tête animale surplombe le chiffre 1748 qui correspond à la date de sa construction.
Bordeaux. Porte Dijeaux.
De ce coté, le triangle est occupé par les symboles royaux, couronne et fleurs de lys, mais aussi deux ailes, un casque et un poisson. Sous le triangle une tête animale surplombe le chiffre 1748 qui correspond à la date de sa construction.
13
Bordeaux. Porte Dijeaux.<br>Sur la façade de la rue porte Dijeaux, comme pour la porte d'aquitaine on retrouve les armoiries de Bordeaux avec les tours de la Grosse cloche surmontées du léopard. Corne d'abondance, grappe de raisin et symboles marin complètent cette face triangulaire sous laquelle on retrouve également sculpté un mascaron recouvert par deux têtes animales (chèvres ?).
Bordeaux. Porte Dijeaux.
Sur la façade de la rue porte Dijeaux, comme pour la porte d'aquitaine on retrouve les armoiries de Bordeaux avec les tours de la Grosse cloche surmontées du léopard. Corne d'abondance, grappe de raisin et symboles marin complètent cette face triangulaire sous laquelle on retrouve également sculpté un mascaron recouvert par deux têtes animales (chèvres ?).
14
Bordeaux. <br> 
 En haut, les armoiries de Bordeaux avec les tours de la Grosse cloche surmontées du léopard. Corne d'abondance, grappe de raisin et symboles marin complètent cette face triangulaire sous laquelle on retrouve également sculpté un mascaron recouvert par deux têtes animales (chèvres ?).
Bordeaux.
En haut, les armoiries de Bordeaux avec les tours de la Grosse cloche surmontées du léopard. Corne d'abondance, grappe de raisin et symboles marin complètent cette face triangulaire sous laquelle on retrouve également sculpté un mascaron recouvert par deux têtes animales (chèvres ?).
15
Bordeaux. Porte Dijeaux.<br>
Bordeaux. Porte Dijeaux.
16
Bordeaux. <br>
Bordeaux.
17
Bordeaux. <br> Un beau trompe-cocu.
Bordeaux.
Un beau trompe-cocu.
18
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> L'entrée dans la cour pavée se fait par une porte cochère à deux vantaux, garnie d'un lourd heurtoir en boucle sur platine découpée et d'un riche ensemble de serrurerie encore en place
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
L'entrée dans la cour pavée se fait par une porte cochère à deux vantaux, garnie d'un lourd heurtoir en boucle sur platine découpée et d'un riche ensemble de serrurerie encore en place
19
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> Heurtoir de la porte-cochère de l'hôtel de Lalande. Seconde moitié du 18e siècle.
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
Heurtoir de la porte-cochère de l'hôtel de Lalande. Seconde moitié du 18e siècle.
20
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> Cette cour est inscrite dans une demi-lune pour faciliter la manœuvre des carrosses.<br>
Le musée des Arts décoratifs et du Design de Bordeaux est installé dans un hôtel particulier, l'hôtel de Lalande, construit en 1779
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
Cette cour est inscrite dans une demi-lune pour faciliter la manœuvre des carrosses.
Le musée des Arts décoratifs et du Design de Bordeaux est installé dans un hôtel particulier, l'hôtel de Lalande, construit en 1779 "entre cour et jardin", par l'architecte bordelais Etienne Laclotte, pour la famille du parlementaire Pierre de Raymond de Lalande. L'hôtel a été remeublé dans le goût de la fin du 18e siècle, proposant ainsi un aperçu vivant de l'art de vivre d'une classe sociale privilégiée, au moment de la Révolution Française.
21
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> Cette cour est inscrite dans une demi-lune pour faciliter la manœuvre des carrosses.
A gauche, un haut mur aveugle coiffé d'une balustrade abrite des regards curieux le monde caché de la vie privée.
A droite, la grande arcade cintrée donnait accès aux écuries et aux remises à carrosses et, au-dessus, au grenier à foin, aujourd'hui 25 salles d'exposition (temporaire) sur deux niveaux
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
Cette cour est inscrite dans une demi-lune pour faciliter la manœuvre des carrosses. A gauche, un haut mur aveugle coiffé d'une balustrade abrite des regards curieux le monde caché de la vie privée. A droite, la grande arcade cintrée donnait accès aux écuries et aux remises à carrosses et, au-dessus, au grenier à foin, aujourd'hui 25 salles d'exposition (temporaire) sur deux niveaux
22
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> Le haut mur aveugle coiffé d'une balustrade.
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
Le haut mur aveugle coiffé d'une balustrade.
23
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br>  La grande arcade cintrée donnait accès aux écuries et aux remises à carrosses.
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
La grande arcade cintrée donnait accès aux écuries et aux remises à carrosses.
24
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> Sur la cour, l'hôtel en pierre blanche présente une façade à trois niveaux : un rez-de-chaussée légèrement surélevé, un premier étage, un étage de combles établi sous un haut toit « à la française » à deux versants et croupes d'ardoises.
Le rythme est donné par les deux extrémités latérales en avant-corps formant pavillons où sont logés les deux escaliers qui encadrent symétriquement les cinq travées centrales. 
La décoration, très sobre au centre, est plus élégante et abondante sur les deux pavillons : chaînes d'angle à refends, frontons triangulaires à denticules et guirlandes de feuilles de chêne retenues par des nœuds de ruban plissé encadrées par deux consoles à imbrications terminées par un effet de passementerie.
Les deux portes d'entrée, placées sur les façades internes des pavillons, sont désaxées par rapport à la porte cochère et donc invisibles de la rue. On y accède par un perron de deux marches qui se présente, dans un effet théâtral propre au 18e siècle, comme une scène. L'entrée principale, constituée du vestibule et de l'escalier d'honneur, n'est pas dans l'axe de la porte cochère mais rejetée dans le pavillon latéral droit (le gauche abritant une entrée secondaire et l'escalier de service). Le corps de logis principal peut ainsi être réservé, sur la cour, à une vaste salle à manger et, sur le jardin, à une série de salons en enfilade.
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
Sur la cour, l'hôtel en pierre blanche présente une façade à trois niveaux : un rez-de-chaussée légèrement surélevé, un premier étage, un étage de combles établi sous un haut toit « à la française » à deux versants et croupes d'ardoises. Le rythme est donné par les deux extrémités latérales en avant-corps formant pavillons où sont logés les deux escaliers qui encadrent symétriquement les cinq travées centrales. La décoration, très sobre au centre, est plus élégante et abondante sur les deux pavillons : chaînes d'angle à refends, frontons triangulaires à denticules et guirlandes de feuilles de chêne retenues par des nœuds de ruban plissé encadrées par deux consoles à imbrications terminées par un effet de passementerie. Les deux portes d'entrée, placées sur les façades internes des pavillons, sont désaxées par rapport à la porte cochère et donc invisibles de la rue. On y accède par un perron de deux marches qui se présente, dans un effet théâtral propre au 18e siècle, comme une scène. L'entrée principale, constituée du vestibule et de l'escalier d'honneur, n'est pas dans l'axe de la porte cochère mais rejetée dans le pavillon latéral droit (le gauche abritant une entrée secondaire et l'escalier de service). Le corps de logis principal peut ainsi être réservé, sur la cour, à une vaste salle à manger et, sur le jardin, à une série de salons en enfilade.
25
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br> La décoration, très sobre au centre, est plus élégante et abondante sur les deux pavillons : chaînes d'angle à refends, frontons triangulaires à denticules et guirlandes de feuilles de chêne retenues par des nœuds de ruban plissé encadrées par deux consoles à imbrications terminées par un effet de passementerie.
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
La décoration, très sobre au centre, est plus élégante et abondante sur les deux pavillons : chaînes d'angle à refends, frontons triangulaires à denticules et guirlandes de feuilles de chêne retenues par des nœuds de ruban plissé encadrées par deux consoles à imbrications terminées par un effet de passementerie.
26
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.<br>
Bordeaux. Musée des Arts Décoratifs.
27
Musée des Arts Décoratifs. Le vestibule.<br> Face à la porte d'entrée, un cabinet monté, meuble d’ébénisterie française de la première moitié du XVIIe siècle. Réalisé en placage d’ébène sculpté et gravé il représente deux scènes de la vie de saint Jean-Baptiste : la naissance du prophète et le baptême du Christ. La façade austère contraste avec la niche intérieure spectaculaire en marqueterie d’ivoire et de bois polychrome. Sur le dessus, deux plats hispano-mauresques en faïence lustrée, du XVIe siècle.
Le piètement du cabinet d'ébène, équipé en vitrine au XIXe siècle, présente des faïences stannifères italiennes dites « majoliques » :
Un plat à décor historié. Castelli, fin XVIIe siècle (Don Evrard de Fayolle, 1911).
Un plat à décor d'architecture. Anganaro, fin XVI Ie siècle (Legs Chalus, 1960).
Trois chevrettes. Venise, fin XVIe siècle (Legs Périé, 1945 ; Legs Bonie, 1895).
Une albarelle. Sicile, début du XVIIe siècle (Legs Périé, 1945)
Ces quatre dernières pièces sont des vases d’apothicairerie.
Une assiette aux armes des Medicis. Caffagiolo, XVIe siècle (Legs Périé, 1945).
Une aiguière couverte. Castelli, XVIIe siècle (Legs Périé, 1945).
Musée des Arts Décoratifs. Le vestibule.
Face à la porte d'entrée, un cabinet monté, meuble d’ébénisterie française de la première moitié du XVIIe siècle. Réalisé en placage d’ébène sculpté et gravé il représente deux scènes de la vie de saint Jean-Baptiste : la naissance du prophète et le baptême du Christ. La façade austère contraste avec la niche intérieure spectaculaire en marqueterie d’ivoire et de bois polychrome. Sur le dessus, deux plats hispano-mauresques en faïence lustrée, du XVIe siècle. Le piètement du cabinet d'ébène, équipé en vitrine au XIXe siècle, présente des faïences stannifères italiennes dites « majoliques » : Un plat à décor historié. Castelli, fin XVIIe siècle (Don Evrard de Fayolle, 1911). Un plat à décor d'architecture. Anganaro, fin XVI Ie siècle (Legs Chalus, 1960). Trois chevrettes. Venise, fin XVIe siècle (Legs Périé, 1945 ; Legs Bonie, 1895). Une albarelle. Sicile, début du XVIIe siècle (Legs Périé, 1945) Ces quatre dernières pièces sont des vases d’apothicairerie. Une assiette aux armes des Medicis. Caffagiolo, XVIe siècle (Legs Périé, 1945). Une aiguière couverte. Castelli, XVIIe siècle (Legs Périé, 1945).
28