Citadelle de Blaye<br>. Stand de tir.
Citadelle de Blaye
. Stand de tir.
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Citadelle de Blaye<br>.
Citadelle de Blaye
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Citadelle de Blaye<br>.
Citadelle de Blaye
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Citadelle de Blaye<br>. Ruines du château des Rudel dans la citadelle. La construction du château dit « des Rudel » se fait essentiellement entre le XIIe et le XIVe siècle. À cette époque le promontoire qu’offre Blaye sur la Gironde est déjà un poste militaire important qu’il faut placer sous bonne garde. Cette résidence des seigneurs de la Blaye tient son nom des premiers châtelains du site, et notamment de Jaufré Rudel, dit « prince de Blaye ». Ce dernier est l’un des premiers troubadours ainsi qu’un des fondateurs de la langue d’Oc et de la notion d’amour courtois.
Citadelle de Blaye
. Ruines du château des Rudel dans la citadelle. La construction du château dit « des Rudel » se fait essentiellement entre le XIIe et le XIVe siècle. À cette époque le promontoire qu’offre Blaye sur la Gironde est déjà un poste militaire important qu’il faut placer sous bonne garde. Cette résidence des seigneurs de la Blaye tient son nom des premiers châtelains du site, et notamment de Jaufré Rudel, dit « prince de Blaye ». Ce dernier est l’un des premiers troubadours ainsi qu’un des fondateurs de la langue d’Oc et de la notion d’amour courtois.
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Citadelle de Blaye<br>. Ruines du château des Rudel dans la citadelle. Aujourd’hui à l’état des vestiges, le château médiéval est cependant préservé et maintenu en état lors des transformations opérées par Vauban à la fin du XVIIe siècle. Il sert un effet de résidence au gouverneur de la citadelle. Après le siège de 1814 par les Anglais, les autorités militaires décident d’araser les sommets de ces tours qui peuvent gêner les tirs d’artillerie.
De plan triangulaire, le château a cependant fière allure avec ses tours et son chemin de ronde. Il en subsiste notamment une porte entre deux tours, une barbacane absorbé dans le bastion de Vauban, des tours arasées, des courtines et des contreforts rajoutés par Ferry.
Citadelle de Blaye
. Ruines du château des Rudel dans la citadelle. Aujourd’hui à l’état des vestiges, le château médiéval est cependant préservé et maintenu en état lors des transformations opérées par Vauban à la fin du XVIIe siècle. Il sert un effet de résidence au gouverneur de la citadelle. Après le siège de 1814 par les Anglais, les autorités militaires décident d’araser les sommets de ces tours qui peuvent gêner les tirs d’artillerie. De plan triangulaire, le château a cependant fière allure avec ses tours et son chemin de ronde. Il en subsiste notamment une porte entre deux tours, une barbacane absorbé dans le bastion de Vauban, des tours arasées, des courtines et des contreforts rajoutés par Ferry.
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Citadelle de Blaye<br>. Ruines du château des Rudel dans la citadelle. L'ancien château-fort des seigneurs de Blaye construit par Wulgrin Rudel(XIIe siècle) est intégré à la citadelle par Vauban. Il possédait 6 tours (Donjon, tour de la Cloche, tour de la Décharge, tour du Trésor, tour de Diane et tour de la Porte). Transformé en logis pour les gouverneurs militaires de la place, il est partiellement remanié au XVIIe siècle. Abandonné à partir de 1820, le château est en cours de restauration.
Citadelle de Blaye
. Ruines du château des Rudel dans la citadelle. L'ancien château-fort des seigneurs de Blaye construit par Wulgrin Rudel(XIIe siècle) est intégré à la citadelle par Vauban. Il possédait 6 tours (Donjon, tour de la Cloche, tour de la Décharge, tour du Trésor, tour de Diane et tour de la Porte). Transformé en logis pour les gouverneurs militaires de la place, il est partiellement remanié au XVIIe siècle. Abandonné à partir de 1820, le château est en cours de restauration.
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Citadelle de Blaye<br>. Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises. Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban. Il doit son nom (non officiel) à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières. Suite à la guerre de l870 et grâce aux formidables .progrès de l'artillerie des années 1880, l’estuaire est protégé dès son embouchure (11 km de large) par différentes batteries (entre le Verdon et Royan). Une deuxième ligne de batteries est implantée au niveau du Verrou de l’estuaire, sur les mêmes emplacements que ceux choisis par Vauban. 
Les ouvrages présents sont les «vestiges de .ces batteries d’artillerie. Sur la butte en terre sont placés des canons de gros calibre, dont subsiste encore au sol les rails permettant d’ajuster les tirs. Entre ceux-ci, on y trouve des magasins à obus, fermés par des portes métalliques.
Les nouveaux explosifs particulièrement efficaces, il devient indispensable de stocker les poudres nécessaires au tir, ainsi que certaines munitions, à l’abri sous terre. Ainsi, les galeries existantes sont réutilisées pour construire des magasins à poudre, et un monte-charge est installé, afin d’approvisionner rapidement en munitions les batteries de surface.
Citadelle de Blaye
. Le système Séré de Rivières est un ensemble de fortifications bâti à partir de 1874 le long des frontières et des côtes françaises. Ce système défensif remplace les fortifications bastionnées mises en place notamment par Vauban. Il doit son nom (non officiel) à son concepteur et promoteur, le général Raymond Adolphe Séré de Rivières. Suite à la guerre de l870 et grâce aux formidables .progrès de l'artillerie des années 1880, l’estuaire est protégé dès son embouchure (11 km de large) par différentes batteries (entre le Verdon et Royan). Une deuxième ligne de batteries est implantée au niveau du Verrou de l’estuaire, sur les mêmes emplacements que ceux choisis par Vauban. Les ouvrages présents sont les «vestiges de .ces batteries d’artillerie. Sur la butte en terre sont placés des canons de gros calibre, dont subsiste encore au sol les rails permettant d’ajuster les tirs. Entre ceux-ci, on y trouve des magasins à obus, fermés par des portes métalliques. Les nouveaux explosifs particulièrement efficaces, il devient indispensable de stocker les poudres nécessaires au tir, ainsi que certaines munitions, à l’abri sous terre. Ainsi, les galeries existantes sont réutilisées pour construire des magasins à poudre, et un monte-charge est installé, afin d’approvisionner rapidement en munitions les batteries de surface.
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Citadelle de Blaye<br>.La poudrière. L’endroit le plus dangereux d’une citadelle vouée à l’artillerie est celui où l’on conserve les munitions, en l’occurrence de la poudre servant à tirer au canon. Ce bâtiment, appelé « poudrière » ou « magasin à poudre », peut contenir environ 25 tonnes de poudre réparties en plus de 500 tonnelets cerclés de bois de 100 livres chacun renfermant de la poudre noire, mélange de soufre, de salpêtre et de charbon de bois. Comme l’affirme Vauban : « Si par malheur le feu y prenait, cette catastrophe serait capable de tuer la moitié des habitants. »
Citadelle de Blaye
.La poudrière. L’endroit le plus dangereux d’une citadelle vouée à l’artillerie est celui où l’on conserve les munitions, en l’occurrence de la poudre servant à tirer au canon. Ce bâtiment, appelé « poudrière » ou « magasin à poudre », peut contenir environ 25 tonnes de poudre réparties en plus de 500 tonnelets cerclés de bois de 100 livres chacun renfermant de la poudre noire, mélange de soufre, de salpêtre et de charbon de bois. Comme l’affirme Vauban : « Si par malheur le feu y prenait, cette catastrophe serait capable de tuer la moitié des habitants. »
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Citadelle de Blaye<br>.La poudrière. Aussi, la construction d’une poudrière implique-t-elle une série de précautions. Il faut éviter les accidents, prévenir les intentions criminelles, la protéger des tirs ennemis. C’est pourquoi Vauban établit un plan-type, que l’on retrouve dans plusieurs de ses places fortes. C’est donc le même dispositif architectural que l'on peut voir ici à la citadelle de Blaye ou au Fort-Médoc, sur l’autre rive de la Gironde. Sur le toit, deux paratonnerres.
Citadelle de Blaye
.La poudrière. Aussi, la construction d’une poudrière implique-t-elle une série de précautions. Il faut éviter les accidents, prévenir les intentions criminelles, la protéger des tirs ennemis. C’est pourquoi Vauban établit un plan-type, que l’on retrouve dans plusieurs de ses places fortes. C’est donc le même dispositif architectural que l'on peut voir ici à la citadelle de Blaye ou au Fort-Médoc, sur l’autre rive de la Gironde. Sur le toit, deux paratonnerres.
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Citadelle de Blaye<br>.La poudrière. Le bâtiment est de plan rectangulaire. A l'intérieur, une salle unique à l'épreuve des projectiles est voûtée en berceau, le sol étant en plancher de bois pour lutter contre l'humidité
Citadelle de Blaye
.La poudrière. Le bâtiment est de plan rectangulaire. A l'intérieur, une salle unique à l'épreuve des projectiles est voûtée en berceau, le sol étant en plancher de bois pour lutter contre l'humidité
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Citadelle de Blaye<br>.La poudrière. Les murs peuvent atteindre 2 m d’épaisseur et sont renforcés à l'extérieur par des contreforts qui les consolident en cas d’explosion. Les évents d’aération sont percés en chicane. Enfin, on y pénètre chaussé de sabots de bois afin d’éviter toute étincelle.
Citadelle de Blaye
.La poudrière. Les murs peuvent atteindre 2 m d’épaisseur et sont renforcés à l'extérieur par des contreforts qui les consolident en cas d’explosion. Les évents d’aération sont percés en chicane. Enfin, on y pénètre chaussé de sabots de bois afin d’éviter toute étincelle.
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Citadelle de Blaye<br>.La poudrière.
Citadelle de Blaye
.La poudrière.
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Citadelle de Blaye<br>. Vue de la ville avec le vignoble de l'échauguette.
Citadelle de Blaye
. Vue de la ville avec le vignoble de l'échauguette.
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le bec d'Ambès.
le bec d'Ambès.
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le bec d'Ambès.
le bec d'Ambès.
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Bourg sur Gironde. <br> Porte de Blaye.
Bourg sur Gironde.
Porte de Blaye.
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Bourg sur Gironde. <br> Porte de Blaye.
Bourg sur Gironde.
Porte de Blaye.
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Bourg sur Gironde. <br>1638-1988. 350ème anniversaire de la naissance du roi Louis XIV. Cette plaque a été apposée le 17 septembre 1988 en présence de Monseigneur le duc d'Anjou, ainé des descendants du Grand Roi et de Monsieur le docteur Groulier, maire de Bourg-sur-Gironde, afin de rappeler le séjour que firent le jeune roi et sa mère en 1650, attendant la reddition de Bordeaux et la fin de la fronde en cette ville fidèle.
Bourg sur Gironde.
1638-1988. 350ème anniversaire de la naissance du roi Louis XIV. Cette plaque a été apposée le 17 septembre 1988 en présence de Monseigneur le duc d'Anjou, ainé des descendants du Grand Roi et de Monsieur le docteur Groulier, maire de Bourg-sur-Gironde, afin de rappeler le séjour que firent le jeune roi et sa mère en 1650, attendant la reddition de Bordeaux et la fin de la fronde en cette ville fidèle.
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Bourg sur Gironde. <br>
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Bourg sur Gironde. <br> L’emplacement a connu successivement la villa gallo-romaine des Pontii, un château médiéval, une citadelle aménagée à la fin du XVIème siècle et une chartreuse, appelée « Château de la Citadelle ». La citadelle a tant marqué la population et l’histoire qu’aujourd’hui encore, et même après sa destruction en 1664, les Bourquais appellent « Château de la Citadelle », la chartreuse qui lui a succédée en 1723. Le « Château » connaît donc une vie sans histoire passant entre les mains de nobles familles et même d’un archevêque et ce  jusqu’en 1940, mais à  l’Occupation les Allemands le réquisitionnent. Ils incendieront le bâtiment lors de la Débâcle, en août 1944. La ville reconstruira la chartreuse en 1963 en ne conservant que les murs extérieurs. Ses jardins à la française et sa terrasse surplombant la Dordogne, lui confèrent un caractère qui fait la fierté des Bourquais.
Bourg sur Gironde.
L’emplacement a connu successivement la villa gallo-romaine des Pontii, un château médiéval, une citadelle aménagée à la fin du XVIème siècle et une chartreuse, appelée « Château de la Citadelle ». La citadelle a tant marqué la population et l’histoire qu’aujourd’hui encore, et même après sa destruction en 1664, les Bourquais appellent « Château de la Citadelle », la chartreuse qui lui a succédée en 1723. Le « Château » connaît donc une vie sans histoire passant entre les mains de nobles familles et même d’un archevêque et ce jusqu’en 1940, mais à l’Occupation les Allemands le réquisitionnent. Ils incendieront le bâtiment lors de la Débâcle, en août 1944. La ville reconstruira la chartreuse en 1963 en ne conservant que les murs extérieurs. Ses jardins à la française et sa terrasse surplombant la Dordogne, lui confèrent un caractère qui fait la fierté des Bourquais.
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Bourg sur Gironde. <br> La première pierre de taille qu’on posa sur cet emplacement fut pour la résidence gallo-romaine des Pontii, noble famille de la nouvelle cité de «Burgus Leonti» qui s’établit dans ce paysage déjà enchanteur.
C’est au Moyen-Âge que le site devient une place forte avec la construction d’un château bâti sur la hauteur, “montagne dont le sommet était entouré de hautes murailles et de tours dont le faîte servait à la fois à l’ornement et à la défense'’'' (S. Apollinaire, Ve siècle).
Bourg sur Gironde.
La première pierre de taille qu’on posa sur cet emplacement fut pour la résidence gallo-romaine des Pontii, noble famille de la nouvelle cité de «Burgus Leonti» qui s’établit dans ce paysage déjà enchanteur. C’est au Moyen-Âge que le site devient une place forte avec la construction d’un château bâti sur la hauteur, “montagne dont le sommet était entouré de hautes murailles et de tours dont le faîte servait à la fois à l’ornement et à la défense'’'' (S. Apollinaire, Ve siècle).
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Bourg sur Gironde. <br> A la fin des guerres de religion, le Duc d’Epernon transforme ce fortin en une véritable citadelle qu’il destine au roi Henri IV en 1596. Mais celle-ci est détruite en 1663.
On érige un nouveau château - tel qu’il nous apparaît aujourd’hui - en 1723 en lui conservant la dénomination de citadelle.
Depuis, à côté de cette chartreuse néo-classique, les aménagements architecturaux et paysagers offrent de multiples curiosités et un point de vue incomparable.
Lieu d’agrément et de découvertes, la citadelle devient un lieu de promenade bucolique et historique. D'anciennes carrières de pierre situées dans la falaise, sous le château de la citadelle, sont transformées en cuves à pétrole en 1939. Sept cuves de 44 à 65 mètres de long sont creusées, sur une hauteur de 11 mètres sous plafond et 8,50 mètres de large. En juin 1940, l'armée allemande en prend possession. Elle y stockera des produits pétroliers livrés par des cargos italiens jusqu'en 1944. Un pétrolier italien, le Clizia, sera sabordé par la Kriegsmarine en août 1944. Son épave gît encore dans la Dordogne.
Bourg sur Gironde.
A la fin des guerres de religion, le Duc d’Epernon transforme ce fortin en une véritable citadelle qu’il destine au roi Henri IV en 1596. Mais celle-ci est détruite en 1663. On érige un nouveau château - tel qu’il nous apparaît aujourd’hui - en 1723 en lui conservant la dénomination de citadelle. Depuis, à côté de cette chartreuse néo-classique, les aménagements architecturaux et paysagers offrent de multiples curiosités et un point de vue incomparable. Lieu d’agrément et de découvertes, la citadelle devient un lieu de promenade bucolique et historique. D'anciennes carrières de pierre situées dans la falaise, sous le château de la citadelle, sont transformées en cuves à pétrole en 1939. Sept cuves de 44 à 65 mètres de long sont creusées, sur une hauteur de 11 mètres sous plafond et 8,50 mètres de large. En juin 1940, l'armée allemande en prend possession. Elle y stockera des produits pétroliers livrés par des cargos italiens jusqu'en 1944. Un pétrolier italien, le Clizia, sera sabordé par la Kriegsmarine en août 1944. Son épave gît encore dans la Dordogne.
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Bourg sur Gironde. <br>
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Bourg sur Gironde. <br>
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Bourg sur Gironde. <br> Place du District. Cette place est baptisée ainsi en souvenir du statut de chef-lieu de District octroyé à Bourg en 1790. A cet endroit, se trouvaient jusqu'alors, les jardins du couvent des Pères Récollets.
C'est en 1820 que l'on réaménage la place et que l'on plante en bordure de falaise, un alignement d'ormes, dont un seul subsiste aujourd'hui.
Bourg sur Gironde.
Place du District. Cette place est baptisée ainsi en souvenir du statut de chef-lieu de District octroyé à Bourg en 1790. A cet endroit, se trouvaient jusqu'alors, les jardins du couvent des Pères Récollets. C'est en 1820 que l'on réaménage la place et que l'on plante en bordure de falaise, un alignement d'ormes, dont un seul subsiste aujourd'hui.
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Bourg sur Gironde. <br> Place du District. En 1898, François Daleau, préhistorien de renom, qui découvre en 1881, la grotte de Pair-non-Pair et dont une partie des collections est conservée au Musée d'Aquitaine et au Muséum d'histoire naturelle à Bordeaux, fait installer sur la place, deux canons datés de 1784 afin de rappeler qu'autrefois Bourg était une cité fortifiée et redoutée.
Bourg sur Gironde.
Place du District. En 1898, François Daleau, préhistorien de renom, qui découvre en 1881, la grotte de Pair-non-Pair et dont une partie des collections est conservée au Musée d'Aquitaine et au Muséum d'histoire naturelle à Bordeaux, fait installer sur la place, deux canons datés de 1784 afin de rappeler qu'autrefois Bourg était une cité fortifiée et redoutée.
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Bourg sur Gironde. <br> Place du District. En 1933, une stèle commémorative est érigée ici en son hommage par Gabrielle Dumontet, sculpteur-statuaire, originaire de Bourg.
Bourg sur Gironde.
Place du District. En 1933, une stèle commémorative est érigée ici en son hommage par Gabrielle Dumontet, sculpteur-statuaire, originaire de Bourg.
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