Guéri en 1744 d’une grave maladie, louis XV décide la construction d’une église dédiée à Sainte Geneviève. Soufflot en est l’architecte. Le chantier, commencé en 1764,fut très long, et l’édifice faillit s’écrouler sous la Révolution. En 1791, on transforme l’église en Panthéon destiné à recevoir la dépouille des grands hommes : Voltaire et Rousseau y sont transférés en grande pompe. Rendu au culte sous le premier Empire, le Panthéon retrouve définitivement sa vocation de nécropole à la mort de Victor Hugo, en 1885. Depuis 1907, y repose également une femme : il s’agit de l’épouse de Marcelin Berthelot. Morts le même jour, ils ont choisi de rester unis dans la tombe. En 1995, Pierre et marie Curie. En 2015, Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz.
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La faculté de droit.
Construite à partir de 1770, l’école de droit s’inscrit dans le projet d'urbanisme des abords de l’église Sainte-Geneviève confiée à Soufflot. Ouverte à la même époque pour offrir une perspective sur le Luxembourg, la rue du Panthéon-Français, baptisée Soufflot en 1807, est prolongée après 1846 de la rue Saint-Jacques au boulevard Saint-Michel. La faculté; devenue mairie sous la Révolution, reprit son affectation en 1805. Ses bâtiments furent considérablement augmentés sur la rue Saint-Jacques aux XIXe et XXe siècles. Sa façade, d’une pureté toute classique, a inspiré Hittorff pour la construction symétrique, de l'autre côté de la rue Soufflot, de la nouvelle mairie du Ve arrondissement (1844-1850).
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Place du Panthéon.
La mairie du Ve arrondissement (1844-1850).
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La mairie du Ve arrondissement (1844-1850).
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Bibliothèque Sainte-Geneviève.
Construite par Labrouste de 1844 à 1850, elle occupe l’emplacement d'un des plus célèbres collèges de la montagne Sainte-Geneviève, connu surtout pour la sévérité de sa règle ; au collège de Montaigu, fondé au XIVe siècle, Erasme, Calvin et Ignace de Loyola firent une partie de leurs humanités. Derrière sa façade très austère se cache une vaste salle dej lecture à deux vaisseaux supportés par une arcature métallique, préfiguration de la salle ders Imprimés à la Bibliothèque nationale.
La bibliothèque conserve des fonds précieux, hérités de l'ancienne abbaye des génovéfains, sa à voisine, actuellement lycée Henri IV : manuscrits et partitions musicales uniques du Moyen au XVIIIe siècle.
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Place du Panthéon.
Statue de Corneille.
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Le Panthéon.
Le Panthéon est un monument de style néo-classique situé Place du Panthéon sur la montagne Sainte-Geneviève. Construit à l'origine au XVIIIe siècle comme une église pour abriter la châsse de sainte Geneviève, ce monument a maintenant vocation à honorer des personnages et rappeler des événements ayant marqué l'Histoire de France. En 1744, se trouvant à Metz et souffrant d’une grave maladie, Louis XV fait le vœu, s’il survit, de créer une église dédiée à sainte Geneviève[1]. Rétabli et de retour à Paris, il charge le marquis de Marigny, directeur général des bâtiments, d'édifier le monument en lieu et place de l’ancienne abbaye Sainte-Geneviève, alors en ruines. En 1755, le marquis de Marigny confie la responsabilité des plans à l’architecte Jacques-Germain Soufflot, qui avait envoyé de Rome un projet adopté par acclamation
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Le Panthéon.
C'est à la mort de Mirabeau, le 2 avril 1791, qu'on se mit à songer à imiter l'Angleterre qui réunissait les tombes des grands hommes dans Westminster, comme d'ailleurs on le faisait aussi en France à Saint-Étienne-du-Mont. Certains proposaient la Rotonde de la Villette tandis que d'autres suggéraient le Champ de Mars ; c'est finalement la proposition d’Emmanuel Pastoret, à l’Assemblée nationale qui est retenue. Elle décide, par un décret du 4 avril 1791, d’utiliser l’édifice qui vient d'être achevé et n'est pas encore consacré comme église, afin qu'il serve de nécropole aux personnalités exceptionnelles qui contribueront à la grandeur de la France. La façade ne comporte qu'un seul ordre comme les temples grecs, et non des ordres superposés comme Saint-Louis des Invalides.
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Le Panthéon.
Des critiques s’élèvent dès 1770, au sujet du dôme dont on prédit, notamment l’architecte Pierre Patte, que les bases ne suffiront pas à le porter et que, faute de remplacer les colonnes de soutènement par des piliers pleins et massifs, l’édifice est voué à s’effondrer. Bientôt, l’idée sera fermement ancrée chez beaucoup de Parisiens qui s’imaginent l’ouvrage destiné à s’écrouler à plus ou moins bref délai.
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Le Panthéon.
Sur le fronton de l'édifice l'inscription suivante est portée : "Aux grands hommes, la patrie reconnaissante". Le sculpteur Quatremère de Quincy est chargé jusqu’à 1794 de modifier le monument dans sa nouvelle fonction celle de temple laïc de la nation. Sa volonté est de donner de la gravite à l’édifice et de l’épurer de certains ornements à caractère religieux et monarchique. Le fronton religieux précèdent de Coustou est remplacé par l’œuvre de Moitte illustrant la Patrie, celui actuel est la production plus tardive de David D’Angers qui réinterprètera le même thème en réalisant une alliance assez réussie entre les figures allégoriques au centre de la composition et le réalisme des personnages habillés à la mode du temps.
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Fronton du Panthéon (1831-1837).
David d'Angers (1788-1856). Ce bas-relief symbolise, au centre, la République (la Patrie)qui, à sa droite, protège la Liberté, qui lui tend des couronnes qu'elle redistribue, et les Sciences représentées par de grands savants (Bichat, Berthollet, Monge, Laplace...), des philosophes (Voltaire, Rousseau...), des écrivains (Fénelon, Corneille...) et des artistes (Jacques Louis David...), tandis qu'à sa gauche, elle protège l'Histoire qui note leur nom - représentée par les grands personnages de l'État (Napoléon Bonaparte...) et les étudiants de l'École Polytechnique.Aà travers les allégories,il évoque les valeurs subjacentes de la période entre la Restauration et le Second Empire : le Patrie, la Gloire, l’Héroïsme. A gauche, l’ordre civil est représenté par Malesherbes, Mirabeau, Monge, Fénelon. Un peu plus loin sont assis côte à côte Voltaire et Rousseau. À droit, l’ordre militaire. Habillé de l’uniforme Républicain, le général Bonaparte vient chercher sa couronne. Un hommage aux personnalités militaires où figurent mêmes des élèves de l’école militaire, tout à droite.
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Le Panthéon.
Les colonnes du péristyle d'entrée ont un entrecolonnement régulier comme les temples antiques, alors que l'usage classique était d'écarter plus les colonnes centrales, le même ordre corinthien sert à l'intérieur et à l'extérieur, etc.
D'un point de vue structurel, les quatre nefs servent à contrebuter les poussées latérales du dôme. Cependant, le recours à l'armature de la pierre est nécessaire, compte tenu des poussées à contenir. Le portail contient une structure métallique invisible. Il s'agit véritablement de pierre armée et non pas simplement chaînée comme il était souvent pratiqué à l'époque, la disposition des armatures étant déjà celle d'une poutre en béton armé. Cependant cette technique de construction nécessite un entretien régulier, pour éviter que l'humidité n'entre dans la maçonnerie et ne fasse rouiller le fer des armatures qui risquent à leur tour de faire éclater la pierre.
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Plafond du péristyle.
Dès 1764, ce projet audacieux est l'objet de protestations de la part du clergé catholique qui s'élève contre la construction d'une église dont le plan au sol ne serait pas celui d'une croix latine. Soufflot doit donc revoir son plan. Il allonge d'une travée le bras du chœur (branche est), ce qui permet de créer une abside flanquée de deux tours abritant des chapelles au rez-de-chaussée et des clochers en élévation. À l'opposé, il allonge également le bras de la branche ouest en la dotant, à la manière des temples grecs de l'Antiquité, d'une sorte de pronaos, c'est-à-dire d'un portique qui précède le sanctuaire
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Une porte latérale.
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Bas-relief.
Au-dessus des portes latérales deux bas-reliefs de l’époque révolutionnaire toujours en place représentent : à gauche, l’« instruction publique », accueillant des enfants amenés par leurs mères, sculpté par J-Ph Lesueur en 1793.
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Bas-relief.
- à droite, le « dévouement patriotique », sculpté par A.-D. Chaudet en 1793, sculpteur et peintre français de style néoclassique (1763-1810. Guerrier mourant pour la Patrie sur le champ de bataille. Le guerrier à l’agonie est accompagné des allégories de la patrie, la force et la gloire.
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Bas-relief.
En 1837, on commande au sculpteur Nanteuil (1792-1865) trois bas-reliefs situés sous le péristyle, pour remplacer ceux de l’époque révolutionnaire. Au-dessus de la porte centrale se trouve « L’Apothéose du héros mort pour la patrie ». L’Histoire est représentée avec une canne se terminant avec un coq qui par un jeu de mots renforce le sens de la nation : gallus en latin, la Gaule. La Patrie console, en lui offrant une palme, un citoyen mourant dont la Renommée proclame les hauts faits.
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Bas-relief.
Les Sciences et les Arts (1837), Charles-François Lebœuf dit Nanteuil (1792-1865)
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Bas-relief.
La Magistrature (1837). Charles-François Lebœuf dit Nanteuil (1792-1865). Un magistrat bravant le poignard d'un assassin.
Au-dessus du fronton et au centre de l’édifice, commencent les assises du dôme, composé d’une galerie circulaire, accompagnée extérieurement de trente-deux colonnes corinthiennes, au-dessus desquelles se dresse la coupole du dôme terminée par une lanterne, à 82 mètres du sol.
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La tour Eiffel et les Invalides.
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La colonnade.
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Le quartier des Olympiades, complètement à gauche, un des bâtiment de la BNF.
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Lycée Henri IV, à droite, le quartier des Olympiades. Au fond, au centre la BNF.
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Notre-Dame-de-Paris, saint Etienne du Mont
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La tour Clovis du lycée Henri IV, Saint Etienne du Mont, derrière le Génie de la Bastille.
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Le Génie de la Bastille.
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A gauche, le Louvre et l'opéra Garnier. Montmartre, st Eustache, le palais de Justice, le théâtre du Châtelet.
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Le Louvre, avec derrière le palais Garnier.
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Saint Eustache en rénovation, Montmartre.
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La tour Saint Jacques, Notre-Dame-de-Paris, Beaubourg
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La tour saint Jacques.
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Notre-Dame-de-Paris.
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Saint Sulpice, le Grand Palais. Le Panthéon. la tour de l'observatoire de la Sorbonne. Le Louvre, l'église saint Augustin, l'opéra Garnier, Montmartre. La faculté de droit et la bibliothèque Sainte Geneviève.
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Le clocher de saint Germain, la chapelle de la Sorbonne, l'église saint Augustin, la tour de l'observatoire de la Sorbonne.
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Tour de l'observatoire de la Sorbonne.
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La tour Eiffel et les Invalides. Saint Sulpice, le Grand Palais, la chapelle de la Sorbonne.
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Chapelle de la Sorbonne.
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La tour Eiffel et les Invalides, le Trocadéro. Saint Sulpice. Au fond, à gauche, le Mont Valérien. A droite, la Défense.
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L'église de Saint Sulpice et les tours de la Défense.
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L'église de Saint Sulpice et les tours de la Défense.
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La tour Eiffel et les Invalides. Le Trocadéro.
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La tour de l'Institut Océanographique de Paris et l'institut d'Art et d'Archéologie (bâtiment marron). La tour Montparnasse et la mairie du Ve. Mont Valérien et palais du Luxembourg.
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Le clocher de l'église de Gentilly et donc la Cité Internetionale Universitaire, l'église du Val-de-Grâce et Le dôme de l'observatoire de Paris. La tour de l'Institut Océanographique de Paris et l'institut d'Art et d'Archéologie (bâtiment marron).
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La tour de l'Institut Océanographique de Paris et l'institut d'Art et d'Archéologie (bâtiment marron).
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La tour de l'Institut Océanographique de Paris et l'institut d'Art et d'Archéologie (bâtiment marron).
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Le clocher de l'église de Gentilly et donc la Cité Internetionale Universitaire, l'église du Val-de-Grâce et Le dôme de l'observatoire de Paris.
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L'observatoire de Paris.
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Les gobelin avec derrière les immeubles des Olympiades. L'école normale supérieure (en vert). L'église du Val-de-Grâce et Le dôme de l'observatoire de Paris.
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Le clocher de l'église de Gentilly et donc la Cité Internetionale Universitaire, l'église du Val-de-Grâce.
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Le clocher de l'église de Gentilly et donc la Cité Internetionale Universitaire.
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L'église du Val-de-Grâce.
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L'école normale supérieure (en vert).
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Avenue des Gobelin avec derrière les immeubles de la place d'Italie.
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Les immeubles du quartier des Olympiades.
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A droite, chapelle de la Salpêtrière et derrière la BNF, le rocher du parc Zoologique.
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Le dôme.
La croix chrétienne qui surmonte actuellement le Panthéon, monument dédié aux grands hommes dans une république laïque, a une longue histoire. En 1790, lors de l'achèvement du dôme par Jean-Baptiste Rondelet, architecte chargé de finir le monument après la disparition de Jacques-Germain Soufflot, une croix provisoire est placée au sommet du dôme en attendant la statue de Geneviève qui doit surmonter l'édifice. En 1791, l'Assemblée constituante décide de transformer l'église Sainte-Geneviève en mausolée pour accueillir les cendres de Mirabeau. L’architecte Quatremère de Quincy fait donc remplacer la croix par La Renommée, une statue de Claude Dejoux, de neuf mètres de hauteur, représentant une femme embouchant une trompette. Le 3 janvier 1822, l'église est finalement inaugurée. On place au sommet une croix en bronze doré. Le 26 août 1830, Louis-Philippe Ier retransforme le bâtiment en panthéon. On enlève la croix et on la remplace par un drapeau. Le 6 décembre 1851, par un décret du prince président Louis-Napoléon Bonaparte, le Panthéon est rendu au culte catholique et on replace une croix dorée sur le dôme. Le 2 avril 1871, à la demande de Jean Allemane, les Communards scient les petites branches de la croix et placent au sommet un drapeau rouge. En juillet 1873, une croix en pierre est remise, haute de 4 mètres et pesant 1 500 kg avec son socle et sa boule.
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Le Panthéon.
Le projet architectural de Jacques-Germain Soufflot est une église à dôme, en forme de croix grecque, c'est-à-dire avec quatre branches courtes, égales en longueur et en largeur. Pour le réaliser, il emprunte à différents styles architecturaux.
Soufflot a composé son église en puisant dans différents registres : gothique : par la structure, constituée d'une nef voûtée, contrebutée par des arcs-boutants au-dessus des bas-côtés. Soufflot connaissait l'architecture gothique pour avoir écrit un mémoire sur le sujet en 1747, byzantin : avec l'usage des coupoles en couvrement, classique : la coupole à tambour, avec son péristyle extérieur, est une référence au tempietto de Bramante, mais surtout grec antique : péristyle à six colonnes à entrecolonnement régulier et à fronton triangulaire (unique à l'époque), colonnes corinthiennes portant un entablement — alors que l'usage à l'époque était les piliers carrés portant des arcades.
En raison de ce mélange des références, l'église Sainte-Geneviève sera considérée par Pierre Lavedan et Louis Hautecœur comme le premier édifice éclectique. Il est cependant généralement classé comme néo-classique, d'abord pour sa période de construction, et par le vocabulaire de l'architecture classique (colonnes, entablement, fronton, etc.) utilisé dans une volonté de retour à la simplicité antique en réaction au style baroque de la période précédente. .
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Le Panthéon.
Léon Bonnat, Le martyre de saint Denis : la théâtralité de cette scène est rendue par une grande qualité de relief et d’amplitude des personnages, et de l’action de la lumière dans un espace délimité. La dramaturgie de la décapitation de saint Denis livre une peinture de la scène quasi surnaturelle.
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Le Panthéon.
Pierre Galland, La prédication de saint Denis : la composition de la scène montre un ordonnancement de la foule en face et derrière saint Denis, l’artiste exprime dans cette toile la confusion de la foule et la dignité de la parole sainte.
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Le Panthéon.
A gauche. Attila et son armée en marche sur Paris.
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Le Panthéon.
Les Parisiens.
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Le Panthéon.
De gauche à droite : Stes Radegonde, Bathilded, Blandine, Théodosie, Reine, Florine, Paschasie
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Le Panthéon.
Jules-Elie Delaunay (1828-1891). Peintures sur toiles marouflées.. Ste Geneviève rend la confiance et le calme aux parisiens. La foule est divisée : certains lui lancent des pierres, d'autres la menacent du pôing.
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Le Panthéon.
Sts Hilaire, Mathurin de Larchaut, Latuin, Médard, Julien du Mans, Justin, Papoul, Quentin.
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Le Panthéon.
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Le Panthéon.
Sts Rogatien et Donatien.
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Le Panthéon.
A droite. Pierre PUVIS DE CHAVANNES
1824-1898
Peintures sur toiles marouflées
Commande publique 1874
L'ENFANCE DE SAINTE GENEVIEVE ET LA RENCONTRE DE SAINTE GENEVIEVE ET DE SAINT GERMAIN
"Dès son jeune âge, sainte Geneviève donna les marques d'une piété ardente. Sans cesse en prière, elle frappait d'admiration tous ceux qui la voyaient. En l'an 429 Saint Germain distingue une enfant. Il l'interroge et prédit à ses parents les hautes destinées auxquelles elle est appelée. Cet enfant fut sainte Geneviève, patronne de Paris."
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Le Panthéon.
Puvis de Chavannes, L’enfance de sainte Geneviève et La Rencontre de sainte Geneviève et de saint Germain : la composition présente le thème central de cette scène : sainte Geneviève montrant des marques de piété dès son plus jeune âge. L'an 159 Saint Germain d'Auxerre et Saint Loup de trois, se randant en Angleterre pour combattre l'hérésie de pelage, arrivent aux environs de Nanterre. Dans la foule accourue à leur rencontre, Saint Germain distingue une enfant marquée pour lui du sceau divin. Il l'interroge et prédit à ses parents les hautes destinées auxquelles elle est appelée. Cet enfant fut Sainte-Geneviève, patronne de Paris.
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Le Panthéon.
Sts Maximin d'Aix, Martial de Limoges, Lazare de Marseille, Stes Solange en Berry, Marthe, Colombe à Sens. Madeleine, Sts Crépin et Crépinien de Soissons.
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Le Panthéon.
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Le Panthéon.
Sts Lucain en Beauce, Julien en Brioude, Gatien évêque de Tours, Ferréol à Vienne, Trophime évêque d'Arles, Paul évêque de Narbonne.
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Le Panthéon.
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Le Panthéon.
Sts Paterne évêque de Vannes, Clément évêque de Metz, Firmin évêque d'Amiens, Lucien évêque de Beauvais.
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Le Panthéon.
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Le Panthéon.
Fresque de H. d'Espouy. 1906.
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Le Panthéon.
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Le Panthéon.
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Le Panthéon.
Valmy (1929)
Jules Desbois (1851-1935)
Monument célébrant la victoire de Valmy sur les Prussiens, le 20 septembre 1792. Le groupe sculpté est surmonté du moulin qui dominait le champ de bataille. La figure de la gloire décerne des couronnes à six combattants qui symbolisent les différentes armes. Sur le socle se lit Valmy - 1792, bataille légendaire remportés sur les Prussiens le 20 septembre 1792.