Paris 2016

Institut de France, Ile de la Jatte, Fondation Louis Vuitton.

<center>Le Louvre</center>Pavillon des Arts. Situé dans l'aile sud de la cour carrée, il permet d'y accéder. Fronton : Les armées de l’empire, accompagnées des muses de l’histoire et des sciences. Auguste Félix Fortin, 1809. Dans les écoinçons, deux Génies par Auguste Félix Fortin. Au-dessous, deux Renommées couronnent le buste de Napoléon ( buste remplacé sous la Restauration par un casque de Minerve), Antoine Léonard Dupasquier, 1809
Le Louvre
Pavillon des Arts. Situé dans l'aile sud de la cour carrée, il permet d'y accéder. Fronton : Les armées de l’empire, accompagnées des muses de l’histoire et des sciences. Auguste Félix Fortin, 1809. Dans les écoinçons, deux Génies par Auguste Félix Fortin. Au-dessous, deux Renommées couronnent le buste de Napoléon ( buste remplacé sous la Restauration par un casque de Minerve), Antoine Léonard Dupasquier, 1809
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<center>La passerelle des Arts.</center>L'Institut de France.
La passerelle des Arts.
L'Institut de France.
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<center>La passerelle des Arts.</center>L'île de la Cité et le Pont Neuf.
La passerelle des Arts.
L'île de la Cité et le Pont Neuf.
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<center>La passerelle des Arts.</center>
La passerelle des Arts.
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<center>La passerelle des Arts.</center>Les restes des cadenas.
La passerelle des Arts.
Les restes des cadenas.
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<center>L'Institut de France.</center>Trois jours avant sa mort, en mars 1661, Mazarin fondait un collège nouveau, destiné à assurer l’éducation gratuite de soixante jeunes gens originaires de quatre provinces qu’avaient réunies à la France les traités de Wesphalie en 1648 et le traité des Pyrénées en 1659. C’étaient l’Artois, l’Alsace, une petite partie de la Savoie, le Roussillon et la Cerdagne. On appela cette nouvelle institution le Collège des Quatre-Nations. L’homme de confiance de Mazarin, Colbert, désigna l’architecte : Louis Le Vau, déjà architecte des agrandissements du Louvre. Il sera le principal architecte de Versailles. Le site choisi était prestigieux : sur l’emplacement de la porte de Nesles, face au Louvre. Le bâtiment sera une véritable scénographie urbaine : deux pavillons carrés encadrant la chapelle et sa coupole, le tout réuni en une vaste courbe.
L'Institut de France.
Trois jours avant sa mort, en mars 1661, Mazarin fondait un collège nouveau, destiné à assurer l’éducation gratuite de soixante jeunes gens originaires de quatre provinces qu’avaient réunies à la France les traités de Wesphalie en 1648 et le traité des Pyrénées en 1659. C’étaient l’Artois, l’Alsace, une petite partie de la Savoie, le Roussillon et la Cerdagne. On appela cette nouvelle institution le Collège des Quatre-Nations. L’homme de confiance de Mazarin, Colbert, désigna l’architecte : Louis Le Vau, déjà architecte des agrandissements du Louvre. Il sera le principal architecte de Versailles. Le site choisi était prestigieux : sur l’emplacement de la porte de Nesles, face au Louvre. Le bâtiment sera une véritable scénographie urbaine : deux pavillons carrés encadrant la chapelle et sa coupole, le tout réuni en une vaste courbe.
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<center>L'Institut de France.</center>Un des pavillons carrés.
L'Institut de France.
Un des pavillons carrés.
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<center>L'Institut de France.</center>La Coupole sous laquelle se tiennent les cérémonies solennelles des cinq académies. À la mort de Le Vau en 1670, François d’Orbay lui succède. C’est lui qui conçoit cette coupole haute de 44 mètres, une coupole circulaire à l’extérieur et en ellipse à l’intérieur.
L'Institut de France.
La Coupole sous laquelle se tiennent les cérémonies solennelles des cinq académies. À la mort de Le Vau en 1670, François d’Orbay lui succède. C’est lui qui conçoit cette coupole haute de 44 mètres, une coupole circulaire à l’extérieur et en ellipse à l’intérieur.
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<center>L'Institut de France.</center>À l’entrée du Palais, deux symboles surmontent l’inscription « Institut de France »  : un faisceau des lumières, choisi pour représenter l’unité de l’Institut, et l’effigie de Minerve, déesse romaine de la Sagesse et de l’Intelligence.
L'Institut de France.
À l’entrée du Palais, deux symboles surmontent l’inscription « Institut de France »  : un faisceau des lumières, choisi pour représenter l’unité de l’Institut, et l’effigie de Minerve, déesse romaine de la Sagesse et de l’Intelligence.
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<center>L'Institut de France.</center>A droite, le batiment de l'Institut. Créé par la loi du 3 brumaire an IV (25 octobre 1795) sur l’organisation de l’instruction publique, l’Institut de France est placé depuis le 1er janvier 2006 sous la responsabilité du chancelier Gabriel de Broglie. Il est le regroupement de cinq académies :<br> l’Académie française (fondée en 1635)<br> l’Académie des inscriptions et belles-lettres (fondée en 1663)<br> l’Académie des sciences (fondée en 1666)<br> l’Académie des beaux-arts (créée en 1816 par la réunion de l’Académie de peinture et de sculpture, fondée en 1648, de l’Académie de musique, fondée en 1669 et de l’Académie d’architecture, fondée en 1671)<br> l’Académie des sciences morales et politiques (fondée en 1795, supprimée en 1803 et rétablie en 1832).<br> Au-dessus des entrées, des faisceaux de licteur, avec l'étoile de Mazarin.
L'Institut de France.
A droite, le batiment de l'Institut. Créé par la loi du 3 brumaire an IV (25 octobre 1795) sur l’organisation de l’instruction publique, l’Institut de France est placé depuis le 1er janvier 2006 sous la responsabilité du chancelier Gabriel de Broglie. Il est le regroupement de cinq académies :
l’Académie française (fondée en 1635)
l’Académie des inscriptions et belles-lettres (fondée en 1663)
l’Académie des sciences (fondée en 1666)
l’Académie des beaux-arts (créée en 1816 par la réunion de l’Académie de peinture et de sculpture, fondée en 1648, de l’Académie de musique, fondée en 1669 et de l’Académie d’architecture, fondée en 1671)
l’Académie des sciences morales et politiques (fondée en 1795, supprimée en 1803 et rétablie en 1832).
Au-dessus des entrées, des faisceaux de licteur, avec l'étoile de Mazarin.
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<center>L'Institut de France.</center>La bibliothèque Mazarine. Les origines de la Bibliothèque Mazarine sont liées aux collections personnelles du cardinal Mazarin (1602-1661), successeur de Richelieu et principal ministre de la minorité de Louis XIV entre 1643 à 1661. Ouverte aux savants dès 1643 dans l’hôtel particulier de Mazarin (qui deviendra par la suite le site historique de la Bibliothèque nationale de France), c’est la plus ancienne bibliothèque publique de France. Amputée en 1668 de ses manuscrits à la faveur d'un échange avec la bibliothèque du Roi, la collection fut transportée dans le palais conçu par Louis Le Vau pour le Collège des Quatre-Nations. Rouverte en 1689, la Bibliothèque Mazarine fut maintenue en activité sous la Révolution en raison de son caractère public, tandis que le collège était supprimé. Au-dessus des entrées, des faisceaux de licteur, avec l'étoile de Mazarin.
L'Institut de France.
La bibliothèque Mazarine. Les origines de la Bibliothèque Mazarine sont liées aux collections personnelles du cardinal Mazarin (1602-1661), successeur de Richelieu et principal ministre de la minorité de Louis XIV entre 1643 à 1661. Ouverte aux savants dès 1643 dans l’hôtel particulier de Mazarin (qui deviendra par la suite le site historique de la Bibliothèque nationale de France), c’est la plus ancienne bibliothèque publique de France. Amputée en 1668 de ses manuscrits à la faveur d'un échange avec la bibliothèque du Roi, la collection fut transportée dans le palais conçu par Louis Le Vau pour le Collège des Quatre-Nations. Rouverte en 1689, la Bibliothèque Mazarine fut maintenue en activité sous la Révolution en raison de son caractère public, tandis que le collège était supprimé. Au-dessus des entrées, des faisceaux de licteur, avec l'étoile de Mazarin.
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<center>L'Institut de France.</center>Le cadran solaire du matin.
L'Institut de France.
Le cadran solaire du matin.
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<center>L'Institut de France.</center>Lae cadran solaire de l'après-midi. Ces deux cadrans ont été réalisés par Barthélémy en 1676, tailleur de pierre.
L'Institut de France.
Lae cadran solaire de l'après-midi. Ces deux cadrans ont été réalisés par Barthélémy en 1676, tailleur de pierre.
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<center>L'Institut de France.</center>Derrière la cour principale, les cours avec les salles de classes et les logements.
L'Institut de France.
Derrière la cour principale, les cours avec les salles de classes et les logements.
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<center>L'Institut de France.</center>La seconde cour est elle aussi ornée d’un cadran solaire, un cadran double vertical déclinant, qui date probablement de la même époque que ceux de la cour principale.
L'Institut de France.
La seconde cour est elle aussi ornée d’un cadran solaire, un cadran double vertical déclinant, qui date probablement de la même époque que ceux de la cour principale.
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<center>L'Institut de France.</center>
L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>Faisceaux de licteur.
L'Institut de France.
Faisceaux de licteur.
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>
La bibliothèque Mazarine
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>Les armoiries du cardinal Mazarin, avec le chapeau de cardinal, le faisceau de licteur et les trois étoiles. À gauche, allégorie de la Prudence, à droite celle de la Tempérance
La bibliothèque Mazarine
Les armoiries du cardinal Mazarin, avec le chapeau de cardinal, le faisceau de licteur et les trois étoiles. À gauche, allégorie de la Prudence, à droite celle de la Tempérance
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>Buste de Mazarin, par Louis Lerambert. Marbre, vers 1664.
La bibliothèque Mazarine
Buste de Mazarin, par Louis Lerambert. Marbre, vers 1664.
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>Buste de Gabriel Naudé, par raymond Gayrard. Marbre, 1824. Depuis la fin de l'année 1642, Gabriel Naudé était entré au servicede Mazarin et avait entrepris pour son nouveau maître de concevoir et de développer la plus belle et la plus volumineuse bibliothèque que l'Europe ait connue.
La bibliothèque Mazarine
Buste de Gabriel Naudé, par raymond Gayrard. Marbre, 1824. Depuis la fin de l'année 1642, Gabriel Naudé était entré au servicede Mazarin et avait entrepris pour son nouveau maître de concevoir et de développer la plus belle et la plus volumineuse bibliothèque que l'Europe ait connue.
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>En 1824, l’architecte Léon Biet réalisa, sous la direction d’Antoine Vaudoyer, un escalier d’honneur au décor néo-classique, inscrit dans un tambour ovale à éclairage zénithal, et couronné d’une galerie ornée de bustes antiques.
La bibliothèque Mazarine
En 1824, l’architecte Léon Biet réalisa, sous la direction d’Antoine Vaudoyer, un escalier d’honneur au décor néo-classique, inscrit dans un tambour ovale à éclairage zénithal, et couronné d’une galerie ornée de bustes antiques.
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>De nombreuses oeuvres d’art sont venues compléter cet ensemble à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe : bustes en marbre, bronze ou terre cuite, représentant des empereurs romains, des auteurs de l’Antiquité ou des savants des XVIIe et XVIIIe siècles, ornent les accès à la bibliothèque et la salle de lecture.
La bibliothèque Mazarine
De nombreuses oeuvres d’art sont venues compléter cet ensemble à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe : bustes en marbre, bronze ou terre cuite, représentant des empereurs romains, des auteurs de l’Antiquité ou des savants des XVIIe et XVIIIe siècles, ornent les accès à la bibliothèque et la salle de lecture.
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<center>La bibliothèque Mazarine</center>
La bibliothèque Mazarine
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<center>L'Institut de France.</center>
L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>
L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>Statue de Montyon.
L'Institut de France.
Statue de Montyon.
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<center>L'Institut de France.</center>Statue de Volney (1757-1820). Constantin-François Chassebœuf de La Giraudais, comte Volney, dit Volney, né le 3 février 1757 à Craon en Anjou et mort le 25 avril 1820 à Paris, est un philosophe et orientaliste français. Il fut nommé par le Directoire le 6 décembre 1795 membre de l'Institut dans la classe des Sciences morales et politiques.
L'Institut de France.
Statue de Volney (1757-1820). Constantin-François Chassebœuf de La Giraudais, comte Volney, dit Volney, né le 3 février 1757 à Craon en Anjou et mort le 25 avril 1820 à Paris, est un philosophe et orientaliste français. Il fut nommé par le Directoire le 6 décembre 1795 membre de l'Institut dans la classe des Sciences morales et politiques.
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<center>L'Institut de France.</center>Plaque de la porte.
L'Institut de France.
Plaque de la porte.
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<center>L'Institut de France.</center>La voûte en berceau du couloir d'entrée possède aussi sa coupole.
L'Institut de France.
La voûte en berceau du couloir d'entrée possède aussi sa coupole.
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<center>L'Institut de France.</center>Le cénotaphe du cardinal Mazarin par Antoine Coysevox (XVIIe siècle).
L'Institut de France.
Le cénotaphe du cardinal Mazarin par Antoine Coysevox (XVIIe siècle).
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<center>L'Institut de France.</center>Le cénotaphe du cardinal Mazarin par Antoine Coysevox (XVIIe siècle)
L'Institut de France.
Le cénotaphe du cardinal Mazarin par Antoine Coysevox (XVIIe siècle)
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<center>L'Institut de France.</center>Partie supérieure du cénotaphe de Mazarin (réalisée par Antoine Coysevox).
L'Institut de France.
Partie supérieure du cénotaphe de Mazarin (réalisée par Antoine Coysevox).
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<center>L'Institut de France.</center>Sur le couronnement, encadrant les armes de Mazarin, allégories de la Religion et de la Charité.
L'Institut de France.
Sur le couronnement, encadrant les armes de Mazarin, allégories de la Religion et de la Charité.
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<center>L'Institut de France.</center>Allégorie de la Prudence (attribuée à Le Hongre). On reconnaît, dans la main gauche, le miroir et le serpent, attributs de la Prudence.
L'Institut de France.
Allégorie de la Prudence (attribuée à Le Hongre). On reconnaît, dans la main gauche, le miroir et le serpent, attributs de la Prudence.
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<center>L'Institut de France.</center>Allégorie de la Paix (attribuée à Le Hongre).
L'Institut de France.
Allégorie de la Paix (attribuée à Le Hongre).
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<center>L'Institut de France.</center>Allégorie de la Fidélité (attribuée à Tuby).
L'Institut de France.
Allégorie de la Fidélité (attribuée à Tuby).
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<center>L'Institut de France.</center>Allégorie de la Fidélité (attribuée à Tuby).
L'Institut de France.
Allégorie de la Fidélité (attribuée à Tuby).
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<center>L'Institut de France.</center>Buste du duc d'Aumale.
L'Institut de France.
Buste du duc d'Aumale.
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<center>L'Institut de France.</center>A
L'Institut de France.
A
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L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>Napoléon Ier.
L'Institut de France.
Napoléon Ier.
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L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>Statue de Sully.
L'Institut de France.
Statue de Sully.
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<center>L'Institut de France.</center>Statue de Bossuet, évêque de Meaux.
L'Institut de France.
Statue de Bossuet, évêque de Meaux.
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<center>L'Institut de France.</center>Statue de René Descartes (1777), par Pajou Régis.
L'Institut de France.
Statue de René Descartes (1777), par Pajou Régis.
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<center>L'Institut de France.</center>C'est là, sous la Coupole que se tiennent les séances solennelles.
L'Institut de France.
C'est là, sous la Coupole que se tiennent les séances solennelles.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>La célèbre coupole de l'Institut de France. Elle est elliptique à l’intérieur et circulaire à l’extérieur.
L'Institut de France.
La célèbre coupole de l'Institut de France. Elle est elliptique à l’intérieur et circulaire à l’extérieur.
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<center>L'Institut de France.</center>La célèbre coupole de l'Institut de France. Elle est elliptique à l’intérieur et circulaire à l’extérieur.
L'Institut de France.
La célèbre coupole de l'Institut de France. Elle est elliptique à l’intérieur et circulaire à l’extérieur.
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<center>L'Institut de France.</center>Citation du prophète Ezéchiel :
L'Institut de France.
Citation du prophète Ezéchiel : ""il siégera sous son ombre au milieu des nations".
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<center>L'Institut de France.</center>Citation du prophète Ezéchiel :
L'Institut de France.
Citation du prophète Ezéchiel : ""il siégera sous son ombre au milieu des nations".
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<center>L'Institut de France.</center>
L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>
L'Institut de France.
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<center>L'Institut de France.</center>Le décor est fait des médaillons des douze apôtres, des initiales de saint Louis (SL) et d’une citation du prophète Ezéchiel : St Thomas, St Jacques le mineur, st Philippe." title="" />
L'Institut de France.
Le décor est fait des médaillons des douze apôtres, des initiales de saint Louis (SL) et d’une citation du prophète Ezéchiel : ""il siégera sous son ombre au milieu des nations".
St Thomas, St Jacques le mineur, st Philippe.
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<center>L'Institut de France.</center>St Bartholomée, st Matthieu, st Simon.
L'Institut de France.
St Bartholomée, st Matthieu, st Simon.
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<center>L'Institut de France.</center>St Thadée, st Matthias, st André.
L'Institut de France.
St Thadée, st Matthias, st André.
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<center>L'Institut de France.</center>St Pierre, St Jacques le majeur, st Jean.
L'Institut de France.
St Pierre, St Jacques le majeur, st Jean.
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<center>L'Institut de France.</center>Petite tribune du XIXe.
L'Institut de France.
Petite tribune du XIXe.
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<center>Arrière de l'institut, rue Mazarine.</center>
Arrière de l'institut, rue Mazarine.
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<center>Arrière de l'institut.</center>
Arrière de l'institut.
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<center>Arrière de l'institut, rue Mazarine.</center>
Arrière de l'institut, rue Mazarine.
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<center>Arrière de l'institut, rue Mazarine.</center>
Arrière de l'institut, rue Mazarine.
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<center>Arrière de l'institut, rue Mazarine.</center>Les remparts édifiés au début du XIIIe siècle n'ont jamais servi militairement jusqu'à l’époque de Charles V : sur la rive gauche, ils sont jugés encore suffisants au XIVe siècle, et simplement consolidés puis entourés d'un fossé sec. La rue Mazarine en témoigne : cet ancien chemin extérieur de l'enceinte de Philippe-Auguste est en effet baptisé au XVIIe siècle
Arrière de l'institut, rue Mazarine.
Les remparts édifiés au début du XIIIe siècle n'ont jamais servi militairement jusqu'à l’époque de Charles V : sur la rive gauche, ils sont jugés encore suffisants au XIVe siècle, et simplement consolidés puis entourés d'un fossé sec. La rue Mazarine en témoigne : cet ancien chemin extérieur de l'enceinte de Philippe-Auguste est en effet baptisé au XVIIe siècle "rue des Fossés de Nesle". Avec l'essor de la capitale, les fortifications médiévales sont lentement absorbées dans le tissu urbain : la muraille devient limite de propriété, soubassement de maison ou carrière de pierres, et ses tours servent de logis, d'atelier, ou même de chapelle.
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<center>Rue Mazarine.</center>Emplacement du jeu de paume des Métayers où la troupe de Molière ouvrit en décembre 1643 l'Illustre Théâtre.
Rue Mazarine.
Emplacement du jeu de paume des Métayers où la troupe de Molière ouvrit en décembre 1643 l'Illustre Théâtre.
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<center>Rue Mazarine.</center>Dans cette maison habita, en 1791, le député Girondin Charles Barbaroux, 1767-1794.
Rue Mazarine.
Dans cette maison habita, en 1791, le député Girondin Charles Barbaroux, 1767-1794.
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<center>Rue Mazarine.</center>Maison de Champollion qui découvrit, en 1822, le principe du déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens.
Rue Mazarine.
Maison de Champollion qui découvrit, en 1822, le principe du déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens.
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<center>L'île de la Jatte.</center>Rendue célèbre par les peintres impressionnistes du XIXe siècle, en particulier Seurat, Monet, van Gogh et Sisley, l'île a connu plusieurs vies : d'abord populaire avec ses guinguettes, puis ancien site industriel automobile et aéronautique, aujourd'hui l'île est un quartier résidentiel chic et cossu : des immeubles de standing et quelques maisons ou hôtels particuliers, c'est aussi un lieu très apprécié des joggeurs et promeneurs.
L'île de la Jatte.
Rendue célèbre par les peintres impressionnistes du XIXe siècle, en particulier Seurat, Monet, van Gogh et Sisley, l'île a connu plusieurs vies : d'abord populaire avec ses guinguettes, puis ancien site industriel automobile et aéronautique, aujourd'hui l'île est un quartier résidentiel chic et cossu : des immeubles de standing et quelques maisons ou hôtels particuliers, c'est aussi un lieu très apprécié des joggeurs et promeneurs.
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<center>L'île de la Jatte.</center>
L'île de la Jatte.
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<center>L'île de la Jatte.</center>
L'île de la Jatte.
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<center>L'île de la Jatte.</center>Temple de l'Amour, XVIIIe.
L'île de la Jatte.
Temple de l'Amour, XVIIIe.
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<center>L'île de la Jatte.</center>Temple de l'Amour, XVIIIe.
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Temple de l'Amour, XVIIIe.
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Temple de l'Amour, XVIIIe.
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<center>L'île de la Jatte.</center>La Défense.
L'île de la Jatte.
La Défense.
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<center>L'île de la Jatte.</center>La Défense.
L'île de la Jatte.
La Défense.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center>La façade comprend un fronton triangulaire et un grand oculus qui surmonte une entrée rectangulaire à pilastres, dans le style des églises néo-classiques italiennes et françaises des XVIIe et XVIIIe siècles.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La façade comprend un fronton triangulaire et un grand oculus qui surmonte une entrée rectangulaire à pilastres, dans le style des églises néo-classiques italiennes et françaises des XVIIe et XVIIIe siècles.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.</center>
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.</center>À la révolution Madame de Carignan Saint-Maurice acheta la statue pour éviter la profanation d'une vente publique. Elle fut écrouée aux
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
À la révolution Madame de Carignan Saint-Maurice acheta la statue pour éviter la profanation d'une vente publique. Elle fut écrouée aux "Oiseaux", ancienne maison d'éducation, en 1793. Parmi les détenus se trouvaient plusieurs religieuses de Saint-Thomas de Villeneuve avec la mère Walsh de Valois, leur supérieure générale. Toutes furent libérées le 4 octobre 1794. En 1795, la maison des hospitalières fut mise en adjudication. Mais après l'intervention de Madame de Carignan, exposant les services rendus à la population besogneuse du quartier, cette adjudication ne fut pas appliquée.
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<center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.</center>L'Annonciation.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
L'Annonciation.
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<center></center><center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Visitation.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Visitation.
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<center></center><center>Notre-Dame-de Bonne-Délivrance. </center> La Nativité.
Notre-Dame-de Bonne-Délivrance.
La Nativité.
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