Des betteraves à sucres, des céréales et du fourrage pour les animaux sont cultivés et des chevaux, des vaches, des bœufs, des moutons et des volailles sont élevés. Une partie de la production est destinée à l’approvisionnement des ouvriers de la chocolaterie tandis que le reste est envoyé à Paris.
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La ferme du Buisson.
En 1976, dans le cadre de la politique des villes nouvelles et celle de restructuration du territoire, le projet de réhabilitation de la Ferme du Buisson en centre d'art et de culture commence. En 1990, la Ferme du Buisson obtient le label scène nationale avant de se doter d'un centre d'art et d'un cinéma. En 2020, La Ferme du Buisson est labellisée par le ministère de la culture, Centre d'art contemporain d'intérêt national.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
L'église Notre-Dame du Raincy est une œuvre majeure de l'architecte Auguste Perret. Le 17 juin 1923, elle est inaugurée, après seulement treize mois de chantier. C'est la première église entièrement en béton armé où ce matériau, considéré par l'architecte comme aussi noble que la pierre, a systématiquement été laissée à l'état brut.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le clocher (haut de quarante-cinq mètres, il est inspiré des tours-lanterne médiévales) est au-dessus du porche sur la largeur de la nef. La façade occidentale, rompant avec l'économie constructive de Perret, est chargée et peu lisible, l'architecte ayant voulu dissimuler la difficulté du raccord entre le plan basilical et la puissante tour, par des volumes saillants.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Ses façades sont constituées de claustras en béton où sont inséré des milliers de panneaux de vitrail. Elle mérite donc son appellation : « la Sainte-Chapelle du béton armé ».
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le chevet. Auguste Perret remplace les murs extérieurs de l'édifice par des claustras, sorte de résilles de béton où s'inscrivent les vitraux, les transformant en murs de lumière.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le bas-relief en bronze qui orne le tympan d'entrée conçu par le sculpteur Antoine Bourdelle. C''est une pietà qui a été mise en place et inaugurée le 19 septembre 1999.
Ce bronze avait été commandé pendant les années 1920 par le chanoine Nègre à Bourdelle, mais faute de crédits l'artiste ne réalisa qu'une esquisse conservée au musée Bourdelle. Il a fallu attendre soixante-dix ans pour voir le bronze coulé et installé à l'initiative de l'association RESTAURER l'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
La légèreté des colonnes élancées et la lumière des grandes verrières aux variations chromatiques subtiles définissent une esthétique nouvelle, empreinte d'un grand classicisme : le plan rectangulaire est divisé en trois vaisseaux communiquant entre eux et bordés de claustras (une nef centrale flanquée d'un collatéral de chaque côté), l'édifice adoptant ainsi une combinaison entre le formule du plan type d'une église-halle (vaisseaux de même hauteur) au plan basilical (collatéraux deux fois moins larges)
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatre rangée de sept fines colonnes galbées et cannelées, de de 11 m de haut sur 43 cm de diamètre (cette finesse des colonnes comparées à des « jambes de girafe » a valu à celle église d'être qualifiée d'architecture d'allumettes), soutiennent de légères voûtes surbaissées (constituées de minces voiles de béton de 3 cm d’épaisseur, Perret comparait leur finesse à une « coquille d’œuf »)), renforcées par des nervures qui évitent le recours à tout système de contrefort, au demeurant incommode en raison de la présence d'un mitoyen ; les deux rangées périphériques sont détachées de la paroi afin d'accentuer l'impression de monumentalité. Le berceau longitudinal de la nef centrale est contrebuté par les berceaux transversaux des collatéraux, chacun de ces éléments étant issu du même moule de coffrage que l'agence Perret avait déjà utilisé, peut-être à Montataire pour les ateliers Marinoni.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le chœur surélevé et clôturé est encadré par deux escaliers qui mènent aux autels secondaires, de part et d'autre de la chapelle de la Vierge, tous trois placés face au mur du fond, incurvé en son centre.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les volumes saillants du clocher forment au revers de la façade des cavités que Perret comble par un orgue central et, de part et d'autre, deux chapelles couvertes d'un belvédère octogonal. L'orgue actuel a été conçu par le facteur d'orgue John Abbey en 1875-1876, pour l'église Saint-Louis du Raincy. Il a été transféré à l'église Notre-Dame lors de sa construction en 1923, et restauré en 1957 par Beuchet-Debierre. Il a une certaine valeur historique puisque c'est sur lui que pour la première fois John Abbey a inauguré sa technique du frein harmonique. Malheureusement, la restauration de 1957 a supprimé toute trace de ce procédé et remanié considérablement la composition de l'instrument. L'orgue restauré a été inauguré par Pierre Pincemaille le 17 octobre 2010.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle baptismale avec son baptistère en béton.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les vitraux sont un élément indispensable de l'église Notre-Dame du Raincy. Une montée chromatique permet de passer d'un bleu froid et vert tendre à l'entrée au bleu marial soutenu de rouge du sanctuaire. Les façades nord et sud, traitées en tons chauds, présentent des variations de jaunes, roses et ocres, avec des touches de vert et de bleu.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les parties figuratives des vitraux de Notre-Dame du Raincy sont l'œuvre du peintre Maurice Denis. Cofondateur, à 18 ans, du groupe des « Nabis » (les « Prophètes » en hébreux) en compagnie de Pierre Bonnard, Edouard Vuillard, Félix Vallotton et Paul Sérusier, Maurice Denis se consacre également aux arts décoratifs et devient le théoricien du groupe. Il prône une peinture aux contours nettement définis (voire cernés) et aux couleurs plates (sans effet de relief ou de profondeur) : une simplification figurative, primitiviste et décorative issue de Gauguin.
Lié aux milieux littéraires symbolistes, Maurice Denis s'oriente vers une idéalisation de scènes quotidiennes, finit par se consacrer à une peinture murale imprégnée d'un catholicisme très littéraire et fonde avec Georges Lavallières (l'auteur des peintures de Notre-Dame-des-Missions du-Cygne-d'Enghien à Epinay) « l'Atelier d'art sacré ».
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Marguerite Huré, peintre verrier, a réalisé ces verrières ainsi que les vitraux à motifs géométriques du chœur et de la façade latérale sud. Le célèbre peintre Maurice Denis a dessiné les dix grandes verrières figuratives sur le thème de la vie de la Vierge Marie. Ces vitraux sont sur une trame carrée (10 × 10 cm) qui s'interrompt pour les éléments importants du dessin, à savoir les visages et les mains. Le choix de ce parti, inspiré par les vitraux de l'église Saint-Eustache revient à Marguerite Huré, Maurice Denis, en lui remettant les cartons, n'avait donné aucune indication quant à la coupe des verres.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les claustra de la grande verrière du Raincy s'accommodaient difficilement de vitraux historiés, si bien que le maître d'ouvrage a confié le programme iconographique des dix grandes verrières au maître-verrier Marguerite Huré, qui a réalisé pour un budget limité en un peu plus d'un an (1922-1923) l'ensemble des motifs géométriques, cette artiste ayant introduit l'art abstrait dans le vitrail religieux. Les vitraux sont peints au vernis à froid sur verre blanc, mais ce procédé excluant la cuisson ne pouvant être que provisoire, il sera repris quelques années plus tard en façade nord par une mise au plomb, sur la façade sud un parti de dessin à la grisaille couchée sur verre antique de couleur sera adopté. Pour faire ressortir chaque élément vitré et l'isoler de son cadre, Marguerite Huré crée un filet de perles blanches périphérique qui filtre la lumière et qui contribue à l'unité d'ensemble. La tradition fortement ancrée des vitraux historiés a incité le maître d'ouvrage à faire entourer les dessins abstraits de Marguerite Huré de baies figuratives plus grandes exécutées sur des cartons de Maurice Denis (pour les parties figurées)
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L'église Notre-Dame du Raincy.
La première verrière à gauche commémore la victoire de la bataille de la Marne en septembre 1914, conformément au vœu d'un généreux donateur.
A MARIE SOUVENIR DE LA VICTOIRE DE L'OURCQ
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L'église Notre-Dame du Raincy.
« Souvenir de la victoire de l'Ourcq en 1914 », ce vitrail (parfois appelé La Vierge aux Taxis) représente des taxis, des « poilus » et des généraux (Foch, Gallieni et Maunoury, dont le poste de commandement était à la mairie du Raincy), en souvenir du départ du Raincy, en septembre 1914, d'une des colonnes des taxis de la Marne.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Première verrière à droite. L'Annonciation.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Première verrière à droite. L'Annonciation.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Première verrière à droite. L'Annonciation.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à gauche. L'Assomption.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à gauche. L'Assomption.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à droite. La Visitation
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à droite. La Visitation
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à gauche. Marie le jour de la Pentecôte
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à gauche. Marie le jour de la Pentecôte
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à droite. La Nativité de Jésus
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à droite. La Nativité de Jésus
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à gauche. La communion de Marie
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à gauche. La communion de Marie
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à droite. Les noces de Cana », Auguste Perret figure parmi les convives
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à droite. Les noces de Cana », Auguste Perret figure parmi les convives
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à gauche. Marie au pied de la croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à gauche. Marie au pied de la croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à droite. Marie rencontre Jésus portant sa croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à droite. Marie rencontre Jésus portant sa croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle saint François d'Assise.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle saint François d'Assise.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle de gauche.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle de gauche.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Saint Antoine de Padoue.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Saint Antoine de Padoue.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Saint Expedit.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Sainte Bernadette.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Verre peint.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Verre teinté dans la masse
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le chemin de croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Vitrail au-dessus de l'entrée de la crypte.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
La crypte. Faute d'espace, Perret crée en rez-de-jardin sous le maître-autel une crypte abritant calorifère, sacristie, bureaux, magasin pour le matériel eucharistique, toilettes et salle de catéchisme.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Faute d'espace, Perret crée en rez-de-jardin sous le maître-autel une crypte abritant calorifère, sacristie, bureaux, magasin pour le matériel eucharistique, toilettes et salle de catéchisme.
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Notre-Dame-des-Missions.
Cette église est celle d'Épinay-sur-Seine. Avant d'être Notre-Dame-des-Missions, église paroissiale du quartier du Cygne d'Enghien, ce pavillon des Missions catholiques est construit pour l'Exposition coloniale de 1931 à Paris. Paul Tournon en dessine les plans.
Voué à la démolition, le pavillon en bois doit sa survie au cardinal Verdier qui prônait l'évangélisation des banlieues, et au maréchal Lyautey. L'église est démontée puis reconstruite en béton.
L'ensemble offre un témoignage vivant du style Art déco et du renouveau de l'art religieux en 1930, sous l'impulsion des Ateliers d'Art Sacré initiés par Maurice Denis et Georges Desvalliéres. A l'intérieur, sculptures, vitraux et tableaux célèbrent la christianisation du monde. Vingt-neuf artistes ont œuvré sur le chantier.
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Notre-Dame-des-Missions.
Signe de ses fonction premières, l'édifice est marqué par une rare association de styles : porche en forme de pagode, clocher-minaret d'inspiration africaine (style néo-soudanais), pignon décoré de céramiques sus motifs orientaux, statues .symbolisent les peuples d'Afrique, d'Europe, d'Asie et d'Amérique.
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Notre-Dame-des-Missions.
Quant à la toiture elle accentue le style en se relevant d’acrotères en forme de têtes de séraphins au lieu du Nâga bouddhique , dues à Carlo Sarrabezolles, à la manière d’une pagode. C'est lui qui a sculpté sur place l'ange de 7 m de haut dans le bloc de béton de l"église Saint Louis à Marseille. C'est l'inventeur de la taille directe du béton en prise.
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Notre-Dame-des-Missions.
La façade et de style extrême-oriental, revêtu de céramiques bleues et blanches. À son faîte la « Vierge à l’Enfant » de Roger de Villiers domine la façade en se détachant sur le ciel ; ses lignes pures et délicates sont sculptées en relief sur un fond en ogive. La vierge pose les pieds sur la sphère terrestre et la tête du serpent. La façade est décorée de grès émaillés exécutés par Robert Barriot sur les dessins de Raymond Virac. Les idéogrammes chinois sont empruntés aux litanies de la Vierge et à l'art ornemental d’Extrême-Orient
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Notre-Dame-des-Missions.
Signe de ses fonction premières, l'édifice est marqué par une rare association de styles : porche en forme de pagode chinoise avec ses 3 toits superposés à tuiles creuses ,
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Notre-Dame-des-Missions.
Le clocher de style africain, est une tour de plan carré prolongé aux angles par quatre statues. Carlo Sarrabezolles a sculpté directement dans le béton en prise les six acrotères de la toiture et les quatre statues, représentant les quatre races, aux angles du clocher.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les quatre statues, représentant les quatre races, donnent une dimension humaine au sacré. Ces sculptures hautes de sept mètres, colossales mais aux visages expressifs, font corps avec l’architecture. Depuis sa récente restauration, on peut voir deux des quatre phrases extraites du nouveau testament qui avaient disparu avec le temps et qui ont retrouvé leur place.
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Notre-Dame-des-Missions.
Elle doit son double vocable, Notre-Dame-des-Missions-du-Cygne d'Enghien, d'une part, au fait que l'Exposition coloniale glorifie l'évangélisation des colonies par les missionnaires (Notre-Dame-des-Missions) et, d'autre part, parce que sa reconstruction à Épinay-sur-Seine s'effectue dans le quartier nord-ouest, au lieudit « le Cygne d'Enghien ». Cet édifice entre dans le cadre d'une grande opération mise en place par l'Église durant les années 1930, les « Chantiers du Cardinal » qui christianisent la banlieue rouge.
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Notre-Dame-des-Missions.
Dans les années 1925/1930, l'Église décide de christianiser la « banlieue rouge ». Les constructions d'édifices religieux se multiplient. Ils utilisent les matériaux et le style propres à cette époque : le béton et la brique. Een 1930, le cardinal Verdier décide de développer l'œuvre entreprise. Entre 1931 et 1940, cent deux églises sont construites en région parisienne par les « Chantiers du Cardinal ».
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Notre-Dame-des-Missions.
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Notre-Dame-des-Missions.
La très atypique Notre-Dame des Missions, vestige de l’exposition coloniale de 1931, se distingue par son extraordinaire verrière en triptyque réalisée par les maîtres verriers et peintres d’art sacré les plus inventifs et productifs de cette période. Comme le pavillon, ces vitraux avaient été exposés à l’exposition coloniale de Vincennes avant d’être transportés à Epinay. L'autel est surélevé dégageant un espace pour la crypte. De caque coté du chœur des inscriptions également sur toile marouflée relatent, par ordre chronologique, l'histoire des Missions avec ses saints et ses congrégations à travers les pays parcourus. On peut les voir aussi au fond de l'église, au-dessus de la tribune.
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Notre-Dame-des-Missions.
On assiste au retour voulu de la technique de l'Âge d'Or du vitrail composé de verre teinté dans la masse sans l'adjonction d'émaux. Leur restauration date de 2007.
La couleur du fond est identique pour les 3 verrières qui couvrent une surface de 200 m2. Cette unité de couleurs dominantes choisies par Jean Hébert-Stewens donne à l'église une certaine atmosphère.
Les maître verriers ont ainsi réalisé un ensemble homogène bien qu'utilisant des techniques dissemblables.
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Notre-Dame-des-Missions.
La verrière de droite (œuvre de Valentine Reyre exécutée par Marguerite Huré) est consacrée à saint Joseph protecteur de l'Eglise universelle.
« C'est l'Eglise qui fructifie comme le palmier dans les terres les plus lointaines, où toutes les races donnent leurs fleurs et leurs fruits de sainteté. Saint Joseph, sous la courbure des palmes, où se jouent des colombes, tient sur son bras gauche le petit Jésus. De la main droite, Joseph écarte son manteau sous lequel le pape Pie XI, embrasse d'un grand geste les saints martyrs indigènes (Rose de Lima, à demi-indienne, Michaël Guébré, le lazariste abyssin, Paul Le Bao-Thirn, prêtre annamite). »
Marguerite Huré a également conçu la façade extérieure constituée de la fameuse « brique Huré » et d’autres panneaux de verre coloré éclairant l’église.
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Notre-Dame-des-Missions.
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Notre-Dame-des-Missions.
Le panneau central montre le « Christ missionnaire en gloire » réalisé par J. Hébert-Stevens (Christ missionnaire), les bras grands ouverts, marqué des stigmates de sa passion, il accueille les peuples du monde entier, symbolisés par quatre anges figurant les points cardinaux (œuvre d'André Rinuy) Sous ses pieds se lit l'inscription : « Je suis la Voie, la Vérité, la Vie. ». Au bas du vitrail découpé en prédelle, Pauline Peugniez a représenté la Pentecôte et la dispersion des apôtres.
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Notre-Dame-des-Missions.
Au bas du vitrail découpé en prédelle, Pauline Peugniez a représenté la Pentecôte et la dispersion des apôtres : « Allez, enseignez toutes les nations, baptisez-les au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. »
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Notre-Dame-des-Missions.
La verrière de gauche (œuvre de l'atelier Barillet, Le Chevallier et Hanssen) est consacrée à Notre-Dame des Missions : la Vierge, figure de l'Eglise sur la barque de Pierre, étend ses bras dans un rythme que souligne la voile aux tons chauds qui encadre son manteau bleu. A sa droite et à sa gauche, sur la barque, saint François-Xavier et sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, patrons de la Propagation de la Foi et des Missions. C'est l'Eglise en route portant la bonne nouvelle à travers les océans, l’évangélisation de l’Afrique, l’Amérique, l’Asie et l’Océanie.
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Notre-Dame-des-Missions.
Pour le 80ème anniversaire une croix en pavés de verre (œuvre de V. Gaugeac) a été ajoutée.
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Notre-Dame-des-Missions.
Sur 12 toiles marouflées, les scènes peintes racontent l'histoire de l'expansion du christianisme dans le monde.
Les peintures sont disposées par ordre chronologique (tourné vers l'autel : à gauche l'Europe, à droite les autres pays). Chaque peinture est l'œuvre d'un artiste différent, elles ont en commun de représenter un Saint ou Bienheureux du pays concerné.
Les peintures sur toile marouflée sont classées du Ier au 20e siècles. L’évangélisation de la Gaule au IIe siècle par Saint Pothin, œuvre d'Henri Marret.
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Notre-Dame-des-Missions.
La christianisation de l'Angleterre au VIe siècle par Valentine Reyre : saint Augustin de Cantorbéry baptise le roi de Kent Ethelbert avec à ses côtés la reine à genoux.
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Notre-Dame-des-Missions.
La conversion des peuples slaves par saint Cyrille et saint Méthode au IXe siècle. L'artiste Georges Ballot représente les deux apôtres partant évangéliser les plaines de Hongrie, d’Ukraine, de Valachie.
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Notre-Dame-des-Missions.
Saint Boniface, apôtre de la Germanie au VIIIe siècle, œuvre de Paul de Laboulaye, compagnon des « Ateliers d'Art Sacré ». Le saint en majesté, bras ouverts, se détache sur une carte paysagée représentant la Germanie, ses fleuves, ses lacs, ses forêts...
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Notre-Dame-des-Missions.
Au Ve siècle, la conversion de l'Irlande par saint Patrick et saint Colomban, œuvre signée conjointement par Pauline Peugniez et Charles Plessard, avec pour fond des scènes pastorales dans des paysages évocateurs de l'Irlande.
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Notre-Dame-des-Missions.
L'évangélisation du monde romain et grec, par Saint Pierre et Saint Paul, décoration due à Maurice Denis.
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Notre-Dame-des-Missions.
Saint Théophane Vénard mis à mort en Indochine au milieu du XIXe siècle. Cette œuvre est de Raymond Virac.
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Notre-Dame-des-Missions.
Pour le XVIIe siècle, Robert-Albert Génicot consacre un panneau au Bienheureux Alphonse Navarrete des frères Prêcheurs, apôtre du Japon où il fut martyrisé. En fond, se profilent l'Océan Pacifique et les côtes de l’île de Hondo
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Notre-Dame-des-Missions.
Au XIVe siècle, l'histoire des Missions se poursuit avec l'évocation du franciscain Johannes de Montecorvivo, premier archevêque de Pékin peint par Emile Marie Beaume,
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Notre-Dame-des-Missions.
Au XVIe siècle, saint François-Xavier, de la Compagnie de Jésus, apôtre des Indes et du Japon, œuvre de Lucien Simon.
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Notre-Dame-des-Missions.
Au XVIe siècle, l'œuvre d'Henri de Maistre, représente les jésuites martyrs des iroquois au Canada en 1642-1443. Avec un souci profond d'authenticité, l'artiste individualise chacun de ces martyrs dont l'histoire est bien connue : les pères Le Jeune, Bréboeuf, Lallemand et Jogues
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Notre-Dame-des-Missions.
Panneau où George Desvallières dresse une synthèse de l’histoire du christianisme en Afrique au XIXe siècle et XXe siècle, depuis le cardinal Lavigerie jusqu'au père de Foucauld.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les statues-colonnes, représentant les « Béatitudes », adossées aux piliers et donnant leur élan aux portants de la voûte sont l'œuvre de deux artistes Raymond Delamarre évoque quatre des huit félicités énoncées par saint Matthieu lors de son sermon sur la montagne en Syrie. Les quatre autres béatitudes sont dues à Anne-Marie Roux-Colas (née en 1898), comme celle-ci où elle a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Notre-Dame-des-Missions.
Statue d'Anne-Marie Roux-Colas, qui a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les 4 statues centrales sont signées Raymond Delamarre. On les reconnaît à leur drapé droit et au port de tête plus altier que les 4 autres statues d'Anne-Marie Roux-Colas.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les 4 statues centrales sont signées Raymond Delamarre. On les reconnaît à leur drapé droit et au port de tête plus altier que les 4 autres statues d'Anne-Marie Roux-Colas, qui a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les 4 statues centrales sont signées Raymond Delamarre. On les reconnaît à leur drapé droit et au port de tête plus altier que les 4 autres statues d'Anne-Marie Roux-Colas, qui a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les 4 statues centrales sont signées Raymond Delamarre. On les reconnaît à leur drapé droit et au port de tête plus altier que les 4 autres statues d'Anne-Marie Roux-Colas, qui a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Notre-Dame-des-Missions.
Les 4 autres statues sont d'Anne-Marie Roux-Colas, qui a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Les 4 autres statues sont d'Anne-Marie Roux-Colas, qui a cherché à attirer l'attention en privilégiant l'expression des visages et les attitudes.
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Notre-Dame-des-Missions.
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Notre-Dame-des-Missions.
Au fond de l'église en haut, une exceptionnelle rosace par sa conception de Marguerite Huré. Elle est constituée d'un ensemble de briques de verre et d'un entourage en ciment incorporant sur une face, un verre blanc et sur l'autre un verre coloré. On constate une réfraction de la lumière qui donne à la rosace une intensité exceptionnelle.
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Notre-Dame-des-Missions.
Saint Enfant Jésus de Prague.
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Notre-Dame-des-Missions.
Au fond de l'église se trouve le baptistère dont le sol est en contrebas de celui de l'église pour figurer selon une coutume ancienne le lit du Jourdain. Il est décoré par Elisabeth Branly (épouse de Paul Tournon).
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Notre-Dame-des-Missions.
Dans la zone médiane : l'Eglise militante. Les vertus combattent les vices, la force contre la colère, la foi contre l'orgueil, la tempérance contre la gourmandise, la prudence contre la luxure» la justice contre l'envie, l'espérance contre la paresse, la charité contre l'avarice
Dans la zone inférieure l'Eglise souffrante Les âmes attendent une délivrance au purgatoire. Les unes pleurent, les autres tendent les bras cependant qu'une colombe leur apparaît, tenant dans son bec un rameau d'olivier.
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Notre-Dame-des-Missions.
Dans la zone médiane : l'Eglise militante. Les vertus combattent les vices, la force contre la colère, la foi contre l'orgueil, la tempérance contre la gourmandise, la prudence contre la luxure» la justice contre l'envie, l'espérance contre la paresse, la charité contre l'avarice
Dans la zone inférieure l'Eglise souffrante Les âmes attendent une délivrance au purgatoire. Les unes pleurent, les autres tendent les bras cependant qu'une colombe leur apparaît, tenant dans son bec un rameau d'olivier.
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Notre-Dame-des-Missions.
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Notre-Dame-des-Missions.
Dans la zone supérieure : l'Eglise triomphante. Les anges se réjouissent, chantent et dansent, ils portent des présents de fleurs et d'oiseaux.
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Notre-Dame-des-Missions.
Chapelle de droite.
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Notre-Dame-des-Missions.
Chapelle de gauche, de la Vierge.
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Notre-Dame-des-Missions.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
231
Notre-Dame-des-Missions.
Saint Joseph.
232
Notre-Dame-des-Missions.
Sainte Jeanne d'Arc.
233
Notre-Dame-des-Missions.
Saint Antoine de Padoue.
234
Notre-Dame-des-Missions.
Saint Ftrançois Xavier.
235
Notre-Dame-des-Missions.
Notre Dame de Lourdes.
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Notre-Dame-des-Missions.
Saint Michel (?) ou Jean-Marie Baptiste Vianney, dit le Curé d'Ars.
