<center>Chapelle de la Sorbonne. </center>
Chapelle de la Sorbonne.
120
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center>
Chapelle de la Sorbonne.
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<center>Chapelle de la Sorbonne. </center>
Chapelle de la Sorbonne.
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<center>Chapelle de la Sorbonne. </center>
Chapelle de la Sorbonne.
123
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center>
Chapelle de la Sorbonne.
124
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> Au-dessus du porche sur le parvis, se trouve le seul orgue non modifié du facteur Paul Dallery, construit en 1825 sous la direction de son père François, successeurs de la dynastie Clicquot. Dans un style classique français, il est considéré comme un exceptionnel témoignage de la facture d'orgues du début du XIXe siècle.
Chapelle de la Sorbonne.
Au-dessus du porche sur le parvis, se trouve le seul orgue non modifié du facteur Paul Dallery, construit en 1825 sous la direction de son père François, successeurs de la dynastie Clicquot. Dans un style classique français, il est considéré comme un exceptionnel témoignage de la facture d'orgues du début du XIXe siècle.
125
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> À la croisée du transept, la coupole sur pendentifs comporte un tambour à huit fenêtres séparées par des pilastres corinthiens. Les pendentifs sont décorés des armoiries de Richelieu, d'ange et des quatre Pères de l'église, peints par Philippe de Champaigne.
Chapelle de la Sorbonne.
À la croisée du transept, la coupole sur pendentifs comporte un tambour à huit fenêtres séparées par des pilastres corinthiens. Les pendentifs sont décorés des armoiries de Richelieu, d'ange et des quatre Pères de l'église, peints par Philippe de Champaigne.
126
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> Divisée en quartiers décorés de figures d’anges sur fond d’or, la coupole s’appuie sur un tambour éclairé de grandes baies cintrées.
Chapelle de la Sorbonne.
Divisée en quartiers décorés de figures d’anges sur fond d’or, la coupole s’appuie sur un tambour éclairé de grandes baies cintrées.
127
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> St Augustin d'Hippone.
Chapelle de la Sorbonne.
St Augustin d'Hippone.
128
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> St Jérôme de Stridon.
Chapelle de la Sorbonne.
St Jérôme de Stridon.
129
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> St Ambroise de Milan.
Chapelle de la Sorbonne.
St Ambroise de Milan.
130
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> St Grégoire Ier.
Chapelle de la Sorbonne.
St Grégoire Ier.
131
<center>Chapelle de la Sorbonne. </center> Tableau de Timbal représentant la Théologie. Il rassemble les portraits de tous les docteurs de l'Église depuis saint Jérôme jusqu'à Bossuet, et parmi lesquels figure Robert de Sorbon.
Chapelle de la Sorbonne.
Tableau de Timbal représentant la Théologie. Il rassemble les portraits de tous les docteurs de l'Église depuis saint Jérôme jusqu'à Bossuet, et parmi lesquels figure Robert de Sorbon.
132
<center>Chapelle Sainte-Ursule de la Sorbonne. </center> Porte extérieure.  Dans la lignée des églises baroques, la façade présente deux rangs de colonnes superposées d'ordre corinthien, et d'ordre composite, bordés à l'étage par deux volutes. Elle est ornée de quatre niches comportant chacune une statue. La fenêtre centrale a été modifiée au XIXe siècle pour incorporer une horloge surmontée des armes du cardinal et tenue par deux muses.
Chapelle Sainte-Ursule de la Sorbonne.
Porte extérieure. Dans la lignée des églises baroques, la façade présente deux rangs de colonnes superposées d'ordre corinthien, et d'ordre composite, bordés à l'étage par deux volutes. Elle est ornée de quatre niches comportant chacune une statue. La fenêtre centrale a été modifiée au XIXe siècle pour incorporer une horloge surmontée des armes du cardinal et tenue par deux muses.
133
<center>Chapelle Sainte-Ursule de la Sorbonne. </center> En bas, Bossuet par Louis-Ernest Barrias (1841-1905) et le chancelier Jean de Gerson par Joseph Félon (1818-1896).
Chapelle Sainte-Ursule de la Sorbonne.
En bas, Bossuet par Louis-Ernest Barrias (1841-1905) et le chancelier Jean de Gerson par Joseph Félon (1818-1896).
134
<center>Chapelle Sainte-Ursule de la Sorbonne. </center> A gauche, Saint Thomas d'Aquin , à droite, Pierre Lombard . Au centre, le sculpteur Jean-Baptiste Roman (1792-1835) réalisa, en 1827, les figures allégoriques de La Vérité (avec le miroir) et de La Science (avec le livre), obstruant l’ouverture de la baie axiale. Ces deux figures posent le coude sur le cadran d’une horloge de la maison Niot-Blin. Elles contemplent le blason aux armes de Richelieu, surmonté de la couronne ducale et du chapeau cardinalice. La demi-lune de cette baie porte une frise montrant six symboles du Zodiaque : les Gémeaux, le Taureau, le Bélier, les Poissons, le Verseau et le Capricorne.  A gauche,  les prophètes Moïse et Élie ; à droite, les saints apôtres Pierre et Jean.
Chapelle Sainte-Ursule de la Sorbonne.
A gauche, Saint Thomas d'Aquin , à droite, Pierre Lombard . Au centre, le sculpteur Jean-Baptiste Roman (1792-1835) réalisa, en 1827, les figures allégoriques de La Vérité (avec le miroir) et de La Science (avec le livre), obstruant l’ouverture de la baie axiale. Ces deux figures posent le coude sur le cadran d’une horloge de la maison Niot-Blin. Elles contemplent le blason aux armes de Richelieu, surmonté de la couronne ducale et du chapeau cardinalice. La demi-lune de cette baie porte une frise montrant six symboles du Zodiaque : les Gémeaux, le Taureau, le Bélier, les Poissons, le Verseau et le Capricorne. A gauche, les prophètes Moïse et Élie ; à droite, les saints apôtres Pierre et Jean.
135
<center>La Sorbonne. </center>Sur les murs, armoiries des académies. Ici, Toulouse.
La Sorbonne.
Sur les murs, armoiries des académies. Ici, Toulouse.
136
<center>Le musée de Cluny. </center> Le musée de Cluny  se trouve dans un hôtel particulier, l'hôtel de Cluny, et dans les Thermes de Cluny contigus. Le musée de Cluny, de son nom officiel Musée national du Moyen Âge - Thermes et hôtel de Cluny, est situé dans le 5e arrondissement de Paris, au cœur du Quartier latin, dans un hôtel particulier du XIIIe siècle : l'hôtel de Cluny. Les bâtiments accueillaient les abbés de l'ordre de Cluny en Bourgogne dès le XIIIe siècle.
Le musée de Cluny.
Le musée de Cluny se trouve dans un hôtel particulier, l'hôtel de Cluny, et dans les Thermes de Cluny contigus. Le musée de Cluny, de son nom officiel Musée national du Moyen Âge - Thermes et hôtel de Cluny, est situé dans le 5e arrondissement de Paris, au cœur du Quartier latin, dans un hôtel particulier du XIIIe siècle : l'hôtel de Cluny. Les bâtiments accueillaient les abbés de l'ordre de Cluny en Bourgogne dès le XIIIe siècle.
137
<center>Le musée de Cluny. </center>À la Révolution, l'hôtel est vendu comme bien national et subit des transformations et des agressions jusqu'à son acquisition par l'État en 1843. L'hôtel est aujourd'hui le plus ancien témoin de l'architecture des hôtels particuliers construits à Paris entre cour et jardin. Il est de style gothique flamboyant selon un plan en U, d'un corps de logis prolongé par deux petites ailes en équerre délimitant une cour intérieure trapézoïdale.
Le musée de Cluny.
À la Révolution, l'hôtel est vendu comme bien national et subit des transformations et des agressions jusqu'à son acquisition par l'État en 1843. L'hôtel est aujourd'hui le plus ancien témoin de l'architecture des hôtels particuliers construits à Paris entre cour et jardin. Il est de style gothique flamboyant selon un plan en U, d'un corps de logis prolongé par deux petites ailes en équerre délimitant une cour intérieure trapézoïdale.
138
<center>Le musée de Cluny. </center>
Le musée de Cluny.
139
<center>Le musée de Cluny. </center>
Le musée de Cluny.
140
<center>Le musée de Cluny. </center>
Le musée de Cluny.
141
<center>Le musée de Cluny. </center>
Le musée de Cluny.
142
<center>Le musée de Cluny. </center> Les armes d'Amboise, « trois pals alternés d'or et de gueules » ornent les lucarnes ouvragées de la façade.
Le musée de Cluny.
Les armes d'Amboise, « trois pals alternés d'or et de gueules » ornent les lucarnes ouvragées de la façade.
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<center>Le musée de Cluny. </center> Une gargouille.
Le musée de Cluny.
Une gargouille.
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<center>Le musée de Cluny. </center>
Le musée de Cluny.
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<center>Quartier latin. </center>
Quartier latin.
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<center>Quartier latin. </center>
Quartier latin.
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<center>L'église Saint-Séverin. </center> Seul rescapé du massacre perpétré par ses oncles Childebert et Clotaire en 524, le dernier petit fils de Clovis, Clodoald -futur Saint-Cloud - élevé dans un monastère, devient le disciple de l'ermite Séverin. Une chapelle érigée à l'emplacement de son oratoire devient paroisse au XIe siècle. L'église actuelle date du XIIIe siècle pour le clocher et les trois premières travées, de la deuxième moitié du XVe pour le reste.
L'église Saint-Séverin.
Seul rescapé du massacre perpétré par ses oncles Childebert et Clotaire en 524, le dernier petit fils de Clovis, Clodoald -futur Saint-Cloud - élevé dans un monastère, devient le disciple de l'ermite Séverin. Une chapelle érigée à l'emplacement de son oratoire devient paroisse au XIe siècle. L'église actuelle date du XIIIe siècle pour le clocher et les trois premières travées, de la deuxième moitié du XVe pour le reste.
149
<center>L'église Saint-Séverin. </center> A cet emplacement, un sanctuaire dédié à saint Séverin est attesté dès le VIe siècle. Une église paroissiale (la plus importante de la rive gauche) est reconstruite au XIIIe siècle, puis agrandie au XIVe siècle. Suite à un incendie survenu en 1448, Saint-Séverin est en grande partie rebâtie durant la seconde moitié du XVe siècle dans le style gothique flamboyant.

La tour et les trois premières travées de la nef datent de l’église du XIIIe siècle. Les piliers des bas-côtés de droite datent du XIVe siècle. Les travées suivantes de la nef sont reconstruites au XVe siècle.  Élévation à 3 niveaux (hautes-arcades, triforium, fenêtres hautes), voûtes sur croisées d'ogives, remplages des baies à soufflets et mouchettes.
L'église Saint-Séverin.
A cet emplacement, un sanctuaire dédié à saint Séverin est attesté dès le VIe siècle. Une église paroissiale (la plus importante de la rive gauche) est reconstruite au XIIIe siècle, puis agrandie au XIVe siècle. Suite à un incendie survenu en 1448, Saint-Séverin est en grande partie rebâtie durant la seconde moitié du XVe siècle dans le style gothique flamboyant. La tour et les trois premières travées de la nef datent de l’église du XIIIe siècle. Les piliers des bas-côtés de droite datent du XIVe siècle. Les travées suivantes de la nef sont reconstruites au XVe siècle. Élévation à 3 niveaux (hautes-arcades, triforium, fenêtres hautes), voûtes sur croisées d'ogives, remplages des baies à soufflets et mouchettes.
150
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Au sommet de la flèche, dont la charpente fut achevée en 1487, subsiste une très vieille cloche : Macée, fondue en 1412.
L'église Saint-Séverin.
Au sommet de la flèche, dont la charpente fut achevée en 1487, subsiste une très vieille cloche : Macée, fondue en 1412.
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<center>L'église Saint-Séverin. </center>
L'église Saint-Séverin.
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<center>L'église Saint-Séverin. </center> Le portail ouest qui date du XIIIe siècle. Il est de style gothique et comprend, de chaque côté, six colonnettes sculptées de guirlandes de feuillage. Le tympan est une représentation de «La Vierge à l'Enfant recevant les honneurs de deux anges». Auteur : Josph-Marius Ramus (1805-1888). Cette sculpture illustre l'Espérance.
L'église Saint-Séverin.
Le portail ouest qui date du XIIIe siècle. Il est de style gothique et comprend, de chaque côté, six colonnettes sculptées de guirlandes de feuillage. Le tympan est une représentation de «La Vierge à l'Enfant recevant les honneurs de deux anges». Auteur : Josph-Marius Ramus (1805-1888). Cette sculpture illustre l'Espérance.
153
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Église de style gothique flamboyant. Plan allongé, dépourvu de transept, nef de 8 travées, double bas-côtés, chapelles latérales, double déambulatoire et chapelles rayonnantes.  La décoration du chœur en placage de marbre fut entreprise à partir de 1684 grâce aux dons de la Grande Mademoiselle, cousine germaine de Louis XIV.
L'église Saint-Séverin.
Église de style gothique flamboyant. Plan allongé, dépourvu de transept, nef de 8 travées, double bas-côtés, chapelles latérales, double déambulatoire et chapelles rayonnantes. La décoration du chœur en placage de marbre fut entreprise à partir de 1684 grâce aux dons de la Grande Mademoiselle, cousine germaine de Louis XIV.
154
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Élévation à 3 niveaux (hautes-arcades, triforium, fenêtres hautes), voutes sur croisées d'ogives, remplages des baies à soufflets et mouchettes. Le splendide buffet d'orgue date de 1745.
L'église Saint-Séverin.
Élévation à 3 niveaux (hautes-arcades, triforium, fenêtres hautes), voutes sur croisées d'ogives, remplages des baies à soufflets et mouchettes. Le splendide buffet d'orgue date de 1745.
155
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Les trois premières travées de la nef datent du XIIIe siècle, les piliers sont des colonnes monocylindriques à chapiteaux floraux. Puis suivent les quatre dernières travées (gothique du XVe siècle) : arcades ogivales plus étroites que dans les premières travées et colonnes à gorges.
L'église Saint-Séverin.
Les trois premières travées de la nef datent du XIIIe siècle, les piliers sont des colonnes monocylindriques à chapiteaux floraux. Puis suivent les quatre dernières travées (gothique du XVe siècle) : arcades ogivales plus étroites que dans les premières travées et colonnes à gorges.
156
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Les vitraux de Saint-Séverin datent de plusieurs époques. Dans la nef, au premier étage de l'élévation, ils sont tous du XIXe siècle et dus à Emile Hirsch (1832-1904). Au deuxième étage et au niveau des trois première travées, ils remontent à la fin du XIVe siècle. Ils décrivent des épisodes de la vie des Apôtres. Au niveau des travées suivantes, ils sont du XVe siècle et illustrent la vie de saints martyrs. Ici, Saint André. 
Dans les collatéraux, les magnifiques vitraux historiés sont du XIXe siècle. On les doit à Emile Hirsh et à Edouard-Amédée Didron (1836-1902).
L'église Saint-Séverin.
Les vitraux de Saint-Séverin datent de plusieurs époques. Dans la nef, au premier étage de l'élévation, ils sont tous du XIXe siècle et dus à Emile Hirsch (1832-1904). Au deuxième étage et au niveau des trois première travées, ils remontent à la fin du XIVe siècle. Ils décrivent des épisodes de la vie des Apôtres. Au niveau des travées suivantes, ils sont du XVe siècle et illustrent la vie de saints martyrs. Ici, Saint André. Dans les collatéraux, les magnifiques vitraux historiés sont du XIXe siècle. On les doit à Emile Hirsh et à Edouard-Amédée Didron (1836-1902).
157
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Au premier niveau de l'élévation (XIXe siècle), deuxième vitrail à partir de la droite, le roi Saint-Louis, qui porte la couronne d'épine du Christ sur un coussin, est entouré de trois autres rois. Les vitraux du deuxième niveau sont du XIVe et du XVe. Saint André et un saint évêque ; Saints Jacques et Matthieu ; L'Ascension ;  La Trinité.
L'église Saint-Séverin.
Au premier niveau de l'élévation (XIXe siècle), deuxième vitrail à partir de la droite, le roi Saint-Louis, qui porte la couronne d'épine du Christ sur un coussin, est entouré de trois autres rois. Les vitraux du deuxième niveau sont du XIVe et du XVe. Saint André et un saint évêque ; Saints Jacques et Matthieu ; L'Ascension ; La Trinité.
158
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Un bout de L'Ascension ; La Trinité ; Saints Sébastien et Thomas ; Saint Diacre et Apparition du Christ à Marie-Madeleine ; La Trinité - Saints Christophe et Catherine
L'église Saint-Séverin.
Un bout de L'Ascension ; La Trinité ; Saints Sébastien et Thomas ; Saint Diacre et Apparition du Christ à Marie-Madeleine ; La Trinité - Saints Christophe et Catherine
159
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Les vitraux de l'abside : au premier niveau (la claire-voie), ils datent du XIXe siècle et relatent les événements de la vie du Christ : Nativité ; Jardin des Oliviers : Crucifixion ; Résurrection ; Ascension ; Pentecôte. Au deuxième niveau, ils remontent au XVe siècle et sont consacrés à la Vierge, au Christ, aux Apôtres et aux saints.
L'église Saint-Séverin.
Les vitraux de l'abside : au premier niveau (la claire-voie), ils datent du XIXe siècle et relatent les événements de la vie du Christ : Nativité ; Jardin des Oliviers : Crucifixion ; Résurrection ; Ascension ; Pentecôte. Au deuxième niveau, ils remontent au XVe siècle et sont consacrés à la Vierge, au Christ, aux Apôtres et aux saints.
160
<center>L'église Saint-Séverin. </center> De gauche à droite : La Crucifixion avec la Vierge et Saint Jean ; Saints Pierre, Paul et André ; Saints Jacques, Agnès et Antoine ; Saints Simon, Barthélémy et Antoine.
L'église Saint-Séverin.
De gauche à droite : La Crucifixion avec la Vierge et Saint Jean ; Saints Pierre, Paul et André ; Saints Jacques, Agnès et Antoine ; Saints Simon, Barthélémy et Antoine.
161
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Saints Simon, Barthélémy et Antoine ; Saint Clément et meurtre de Thomas Beckett ; Saints Prosper et Philippe ; Saints Paul et Barnabé ; ?
L'église Saint-Séverin.
Saints Simon, Barthélémy et Antoine ; Saint Clément et meurtre de Thomas Beckett ; Saints Prosper et Philippe ; Saints Paul et Barnabé ; ?
162
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Décollation de saint Jean-Baptiste.
L'église Saint-Séverin.
Décollation de saint Jean-Baptiste.
163
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Vitrail de la Sainte Famille et de Sainte Elisabeth et saint Jean-Baptiste,  visible dans une chapelle latérale (XIXe siècle).
L'église Saint-Séverin.
Vitrail de la Sainte Famille et de Sainte Elisabeth et saint Jean-Baptiste, visible dans une chapelle latérale (XIXe siècle).
164
<center>L'église Saint-Séverin. </center> La nativité.
L'église Saint-Séverin.
La nativité.
165
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Saint Vincent de Paul et les petits enfants.
L'église Saint-Séverin.
Saint Vincent de Paul et les petits enfants.
166
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Saint Vincent de Paul fait baptiser un enfant.
L'église Saint-Séverin.
Saint Vincent de Paul fait baptiser un enfant.
167
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Saint Vincent de Paul au chevet de Louis XIII.
L'église Saint-Séverin.
Saint Vincent de Paul au chevet de Louis XIII.
168
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Saint François de Sales fonde l'ordre de la Visitation.
L'église Saint-Séverin.
Saint François de Sales fonde l'ordre de la Visitation.
169
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Saints Louis de Gonzague, Charles Borromée.
L'église Saint-Séverin.
Saints Louis de Gonzague, Charles Borromée.
170
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Vocation de saint Pierre. Ravissement
de saint Paul en haut.
L'église Saint-Séverin.
Vocation de saint Pierre. Ravissement de saint Paul en haut.
171
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Un des vitraux du XIXe siècle dans les chapelles latérales : «Apostolat en Provence de sainte Marie-Madeleine», 1876.
L'église Saint-Séverin.
Un des vitraux du XIXe siècle dans les chapelles latérales : «Apostolat en Provence de sainte Marie-Madeleine», 1876.
172
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Pièta.
L'église Saint-Séverin.
Pièta.
173
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Sainte Geneviève rendant la vue à sa mère.
L'église Saint-Séverin.
Sainte Geneviève rendant la vue à sa mère.
174
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Jésus et les petits enfants.
L'église Saint-Séverin.
Jésus et les petits enfants.
175
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Des superbes colonnes torses. En arrière-plan, les vitraux contemporains de Jean-René Bazaine (1904-2001) illuminent le déambulatoire. A gauche, le Mariage, à droite la Confirmation.
L'église Saint-Séverin.
Des superbes colonnes torses. En arrière-plan, les vitraux contemporains de Jean-René Bazaine (1904-2001) illuminent le déambulatoire. A gauche, le Mariage, à droite la Confirmation.
176
<center>L'église Saint-Séverin. </center> L'Eucharistie.
L'église Saint-Séverin.
L'Eucharistie.
177
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Le Baptême I et le Baptême II.
L'église Saint-Séverin.
Le Baptême I et le Baptême II.
178
<center>L'église Saint-Séverin. </center>
L'église Saint-Séverin.
179
<center>L'église Saint-Séverin. </center> Reliquaire de Ste Ursule.
L'église Saint-Séverin.
Reliquaire de Ste Ursule.
180
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> L'entrée principale se présente sous la forme d'un portail hémicyclique monumental, à deux pylônes, de style néoclassique, conçu par l'architecte Étienne-Hippolyte Godde, et inauguré en 1825. Il est orné de sabliers ailés en médaillons, de flambeaux et de guirlandes de fleurs, et fermé par une lourde porte à deux battants.Deux sentences bibliques latines y sont inscrites : Sur le pylône de gauche : Spes illorum immortalitate plena est (« L'espérance est pleine d'immortalité » - Sagesse, III, IV)
    Sur le pylône de droite : Qui credit in me etiam si mortuus fuerit vivet (« Celui qui croit en moi, même s'il est mort, vivra » - Jean, XI). Le cimetière porte le nom de François d'Aix de La Chaise dit le Père Lachaise qui était le prêtre confesseur de Louis XIV.
Le cimetière du Père Lachaise
L'entrée principale se présente sous la forme d'un portail hémicyclique monumental, à deux pylônes, de style néoclassique, conçu par l'architecte Étienne-Hippolyte Godde, et inauguré en 1825. Il est orné de sabliers ailés en médaillons, de flambeaux et de guirlandes de fleurs, et fermé par une lourde porte à deux battants.Deux sentences bibliques latines y sont inscrites : Sur le pylône de gauche : Spes illorum immortalitate plena est (« L'espérance est pleine d'immortalité » - Sagesse, III, IV) Sur le pylône de droite : Qui credit in me etiam si mortuus fuerit vivet (« Celui qui croit en moi, même s'il est mort, vivra » - Jean, XI). Le cimetière porte le nom de François d'Aix de La Chaise dit le Père Lachaise qui était le prêtre confesseur de Louis XIV.
181
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Allée principale. Au fond, l'ossuaire. Le cimetière porte le nom de François d'Aix de La Chaise dit le Père Lachaise qui était le prêtre confesseur de Louis XIV.  C'est le plus grand cimetière parisien et s’étend sur 43 hectares. Il totalise 75 000 concessions funéraires.  De nombreuses personnalités y sont présentes : artistes, musiciens et chanteurs (Frédéric Chopin, Rossini, Jim Morrison, Edith Piaf, Alain Bashung…) et écrivains (Molière, Balzac, Colette, Marcel Proust, Jean de la Fontaine, Oscar Wilde…), hommes d’État, militaires, historiens, …
Le cimetière du Père Lachaise
Allée principale. Au fond, l'ossuaire. Le cimetière porte le nom de François d'Aix de La Chaise dit le Père Lachaise qui était le prêtre confesseur de Louis XIV. C'est le plus grand cimetière parisien et s’étend sur 43 hectares. Il totalise 75 000 concessions funéraires. De nombreuses personnalités y sont présentes : artistes, musiciens et chanteurs (Frédéric Chopin, Rossini, Jim Morrison, Edith Piaf, Alain Bashung…) et écrivains (Molière, Balzac, Colette, Marcel Proust, Jean de la Fontaine, Oscar Wilde…), hommes d’État, militaires, historiens, …
182
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Le monument aux morts de l'ossuaire, par le peintre et sculpteur Albert Bartholomé, inauguré le 1er novembre 1899, après douze ans de travaux. À gauche, et suivant une ligne ascendante, une femme est assise, les cheveux dénoués ; derrière elle, un jeune homme, accroupi ; une femme agenouillée, de ses deux bras, se fait un bandeau pour ne pas voir la porte sombre près d'elle, la main tendrement appuyée sur son épaule, son compagnon lui donne un suprême baiser ;  appuyés l'un sur l'autre, dans un dernier groupe, le visage caché par leurs bras  ou leurs mains, deux autres malheureux attendent l'inexorable mort. Et de l'autre, côté, suivant une ligne descendante, un homme chancelant qui, de ses deux mains, s'accroche au bord de la porte dont il va franchir le seuil ; une femme, prosternée, la face contre terre, une vierge, les mains jointes, un enfant, et un peu plus loin, une femme aux longs cheveux défaits, soutenue par l'étreinte fraternelle d'un ami ; une jeune fille, au moment de s'engager sur la voie douloureuse, se détourne soudain et envoie, de ses doigts un baiser  au cher passé qu'elle quitte. Mais un couple est entré dans le caveau, et, rasant des deux côtés la paroi de l'étroit couloir, s'enfonce dans l'ombre qui déjà l'enveloppe. Au-dessous, une large baie est creusée ; un homme et une femme sont étendus côte à côte, leurs quatre mains unies et leurs visages rapprochés, un enfant est comme jeté en travers de leurs corps. Agenouillée au-dessus d'eux, une figure radieuse ouvre ses deux bras étendus.
Le cimetière du Père Lachaise
Le monument aux morts de l'ossuaire, par le peintre et sculpteur Albert Bartholomé, inauguré le 1er novembre 1899, après douze ans de travaux. À gauche, et suivant une ligne ascendante, une femme est assise, les cheveux dénoués ; derrière elle, un jeune homme, accroupi ; une femme agenouillée, de ses deux bras, se fait un bandeau pour ne pas voir la porte sombre près d'elle, la main tendrement appuyée sur son épaule, son compagnon lui donne un suprême baiser ; appuyés l'un sur l'autre, dans un dernier groupe, le visage caché par leurs bras ou leurs mains, deux autres malheureux attendent l'inexorable mort. Et de l'autre, côté, suivant une ligne descendante, un homme chancelant qui, de ses deux mains, s'accroche au bord de la porte dont il va franchir le seuil ; une femme, prosternée, la face contre terre, une vierge, les mains jointes, un enfant, et un peu plus loin, une femme aux longs cheveux défaits, soutenue par l'étreinte fraternelle d'un ami ; une jeune fille, au moment de s'engager sur la voie douloureuse, se détourne soudain et envoie, de ses doigts un baiser au cher passé qu'elle quitte. Mais un couple est entré dans le caveau, et, rasant des deux côtés la paroi de l'étroit couloir, s'enfonce dans l'ombre qui déjà l'enveloppe. Au-dessous, une large baie est creusée ; un homme et une femme sont étendus côte à côte, leurs quatre mains unies et leurs visages rapprochés, un enfant est comme jeté en travers de leurs corps. Agenouillée au-dessus d'eux, une figure radieuse ouvre ses deux bras étendus.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Tombe de Bartholomé.
Le cimetière du Père Lachaise
Tombe de Bartholomé.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Jules Romains.
Le cimetière du Père Lachaise
Jules Romains.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
186
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
187
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Colette.
Le cimetière du Père Lachaise
Colette.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> L.T.J. Visconti. Tombeau par Leharivel-Durocher.
Le cimetière du Père Lachaise
L.T.J. Visconti. Tombeau par Leharivel-Durocher.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Famille Dantan. Tombeau antique à caryatides, d'Antoine Laurent Dantan.
Le cimetière du Père Lachaise
Famille Dantan. Tombeau antique à caryatides, d'Antoine Laurent Dantan.
190
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Famille Haussmann.
Le cimetière du Père Lachaise
Famille Haussmann.
191
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Alfred de Musset, près d'un saule.
Le cimetière du Père Lachaise
Alfred de Musset, près d'un saule.
192
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
193
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Généraux Clément-Thomas et Lecomte,  assassinés en 1809.
Le cimetière du Père Lachaise
Généraux Clément-Thomas et Lecomte, assassinés en 1809.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
196
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Ignace Hoff (1836-1902), sous-officier français célèbre pour s'être illustré pendant le siège de Paris durant la guerre Franco-Prussienne de 1870. Statue de Bartholdi.
Le cimetière du Père Lachaise
Ignace Hoff (1836-1902), sous-officier français célèbre pour s'être illustré pendant le siège de Paris durant la guerre Franco-Prussienne de 1870. Statue de Bartholdi.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Raymond Radiguet.
Le cimetière du Père Lachaise
Raymond Radiguet.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
200
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Marie Sophie Catherine de Flavigny, comtesse d'Agoult.
Le cimetière du Père Lachaise
Marie Sophie Catherine de Flavigny, comtesse d'Agoult.
201
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Caillebotte.
Le cimetière du Père Lachaise
Caillebotte.
202
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Philippe Ricord.
Le cimetière du Père Lachaise
Philippe Ricord.
203
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Théodore Barriere.
Le cimetière du Père Lachaise
Théodore Barriere.
204
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Duc de Morny.
Le cimetière du Père Lachaise
Duc de Morny.
205
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Jules Michelet.
Le cimetière du Père Lachaise
Jules Michelet.
206
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Eugène delacroix, tombeau de Brognard
Le cimetière du Père Lachaise
Eugène delacroix, tombeau de Brognard
207
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
208
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Buste funéraire de Balzac par David d'Anger
Le cimetière du Père Lachaise
Buste funéraire de Balzac par David d'Anger
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Gérard de Nerval.
Le cimetière du Père Lachaise
Gérard de Nerval.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Charles Nodier.
Le cimetière du Père Lachaise
Charles Nodier.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
212
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Allan Karadec, fondateur de la philosophie spirite, , monument en forme de dolmen, buste de Capellaro. Tombe continuellement fleurie depuis 1869.
Le cimetière du Père Lachaise
Allan Karadec, fondateur de la philosophie spirite, , monument en forme de dolmen, buste de Capellaro. Tombe continuellement fleurie depuis 1869.
214
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Guillaume Apollinaire.
Le cimetière du Père Lachaise
Guillaume Apollinaire.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>La crémation est autorisée en France à partir de 1887-1889. Ce n'est qu'à la fin du siècle, en 1894, que débutèrent les travaux du columbarium et du crématorium, conçus en 1886 par Jean Camille Formigé. L'ensemble crematorium-columbarium se compose d'une chapelle de style néo-byzantin et de quatre ailes. Le toit est composé d'un vaste dôme de briques et de grès, de trois petites demi-coupoles et de deux cheminées. Dans les années 1920, le dôme principal est décoré de vitraux de Carl Mauméjean. Le columbarium définitif se compose de quatre niveaux : deux en sous-sols et deux à l'extérieur et peut contenir plus de 40 800 cases.
Le cimetière du Père Lachaise
La crémation est autorisée en France à partir de 1887-1889. Ce n'est qu'à la fin du siècle, en 1894, que débutèrent les travaux du columbarium et du crématorium, conçus en 1886 par Jean Camille Formigé. L'ensemble crematorium-columbarium se compose d'une chapelle de style néo-byzantin et de quatre ailes. Le toit est composé d'un vaste dôme de briques et de grès, de trois petites demi-coupoles et de deux cheminées. Dans les années 1920, le dôme principal est décoré de vitraux de Carl Mauméjean. Le columbarium définitif se compose de quatre niveaux : deux en sous-sols et deux à l'extérieur et peut contenir plus de 40 800 cases.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Simone Signoret, Yves Montand.
Le cimetière du Père Lachaise
Simone Signoret, Yves Montand.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Simone Signoret, Yves Montand, à coté, le bouleau.
Le cimetière du Père Lachaise
Simone Signoret, Yves Montand, à coté, le bouleau.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Ingres, buste par Bonnassieux, tombeau en marbre de Baltard.
Le cimetière du Père Lachaise
Ingres, buste par Bonnassieux, tombeau en marbre de Baltard.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Raffaëlli, peintre.
Le cimetière du Père Lachaise
Raffaëlli, peintre.
220
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Antoine Jean Gros, peintre.
Le cimetière du Père Lachaise
Antoine Jean Gros, peintre.
221
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Corot.
Le cimetière du Père Lachaise
Corot.
222
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Charles François Daubigny.
Le cimetière du Père Lachaise
Charles François Daubigny.
223
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> La Fontaine et Molière, tombes dressées en 1817, tombeaux de Brognard.
Le cimetière du Père Lachaise
La Fontaine et Molière, tombes dressées en 1817, tombeaux de Brognard.
224
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Parmentier.
Le cimetière du Père Lachaise
Parmentier.
225
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Alphonse Daudet.
Le cimetière du Père Lachaise
Alphonse Daudet.
226
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Joseph Hugo, père de Victor Hugo.
Le cimetière du Père Lachaise
Joseph Hugo, père de Victor Hugo.
227
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Hahnemann, fondateur de l'homéopathie.
Le cimetière du Père Lachaise
Hahnemann, fondateur de l'homéopathie.
228
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Bled.
Le cimetière du Père Lachaise
Bled.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Eugène et Jean-Baptiste Isabey, peintres.
Le cimetière du Père Lachaise
Eugène et Jean-Baptiste Isabey, peintres.
230
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center>
Le cimetière du Père Lachaise
231
<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Géricault, sa représentation et le tableau du radeau de la méduse sont de Etex.
Le cimetière du Père Lachaise
Géricault, sa représentation et le tableau du radeau de la méduse sont de Etex.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Le radeau de la méduse .
Le cimetière du Père Lachaise
Le radeau de la méduse .
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Adolphe Thiers, sculptures de Chapu.
Le cimetière du Père Lachaise
Adolphe Thiers, sculptures de Chapu.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Adolphe Thiers, sculptures de Chapu.
Le cimetière du Père Lachaise
Adolphe Thiers, sculptures de Chapu.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Felix Faure, gisant de Saint-Marceaux.
Le cimetière du Père Lachaise
Felix Faure, gisant de Saint-Marceaux.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Couture, peintre. Tombeau de Tony Noël.
Le cimetière du Père Lachaise
Couture, peintre. Tombeau de Tony Noël.
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<center>Le cimetière du Père Lachaise </center> Arago, buste de David d'Angers.
Le cimetière du Père Lachaise
Arago, buste de David d'Angers.
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