Dix lustres, fondus par Lecoq, complètent le décor de cette galerie d'apparat.
148
Le grand foyer.
Il est orné de peintures allégoriques, dues à Paul Baudry, Félix Barrias et Delaunay.
149
Le grand foyer.
Un plafond à voussures, peint par Paul Baudry figure les grandes étapes de l'histoire de la Musique, de la Comédie et de la Tragédie et décline plusieurs aspects de leur thématique propre.
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Le grand foyer.
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Le grand foyer.
La partie centrale est limitée par deux arcs ornés de deux grandes têtes modelées par Chabaud : Mercure ici) et Amphitrite, en qui on a cru reconnaître les traits de Charles Garnier et de sa femme.
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Le grand foyer.
La partie centrale est limitée par deux arcs ornés de deux grandes têtes modelées par Chabaud : Mercure et Amphitrite (ici), en qui on a cru reconnaître les traits de Charles Garnier et de sa femme.
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Le grand foyer.
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La logia.
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La logia.
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La logia.
Avenue de l'opéra.
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La logia.
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L'opéra Garnier.
Le « salon du Soleil », côté cour. Sur les voûtes dominent les tons chauds de l'or, au milieu d'un décor de salamandres.
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L'opéra Garnier.
Le « salon du Soleil », côté cour.
160
L'opéra Garnier.
Le « salon du Soleil », côté cour. Des miroirs étamés à dominante chaude, recouvrent ses parois et se reflètent à l'infini pour former des « chemins de lumière ».
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L'opéra Garnier.
162
L'opéra Garnier.
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La rotonde du Glacier.
Tout autour sont disposés entre les fenêtres une série de huit tapisseries d'après des cartons peints par A.J. Mazerolle (1826-1889), réalisées par la Manufacture des Gobelins. Elles représentent les diverses boissons que l'on peut commander : « le champagne », « le café », « le thé », « l'orangeade » et autres breuvages, mais aussi « la pêche » et « la chasse ».
164
La rotonde du Glacier.
Achevée bien après l'ouverture de l'Opéra, la rotonde se rapproche plus du style propre à la « Belle Époque » ou aux « années 1900 ».
165
La rotonde du Glacier.
Plafond peint par Georges Jules-Victor Clairin, une ronde de bacchanales et de faunes.
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L'opéra Garnier.
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La bibliothèque.
168
Entrée vers le pavillon de l'empereur.
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Ancien plafond de l'opéra.
La première coupole du plafond de la grande salle est due au pinceau du peintre préféré de Napoléon III, Jules Eugène Lenepveu (Angers, 1819 - Paris, 1898), Grand Prix de Rome en 1847. Cette peinture est aujourd'hui dissimulée par une seconde de Chagall, accrochée sous l'œuvre originelle.
170
Palais de Justice.
La façade qui domine la Cour du Mai, de toute l'entrée principale du Palais, fut reconstruite entre 1783 et 1786 en style néo-classique avec colonnade.
171
Palais de Justice.
La façade principale, dite de la Cour de Mai, sur le boulevard du Palais, a été reconstruite vers 1780. L'attique du pavillon central est ornée de quatre statues en pierre de 1781: De gauche à droite, l'Abondance, par Pierre-François Berruer, la Prudence et la justice, par Félix Lecomte , la Force de Pierre-François Berruer.
L'Horloge est surmontée de deux génies ailés portant un écusson frappé des armes royales, sculpté par Augustin Pajou
172
Palais de Justice.
La grille monumentale en fer forgé, très ouvragée avec des dorures, qui ouvre sur la cour du Mai a été exécutée en 1776 par le maître serrurier Bigonnet.
173
Palais de Justice.
En face du palais de justice.
174
Palais de Justice.
La galerie Marchande.
175
Palais de Justice.
La galerie Marchande. On y trouve des beaux frontons, probablement de la fin du XVIIIe s., et dont les attributs rappellent d'anciennes juridictions.
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Palais de Justice.
177
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Elle se compose de deux immenses nefs séparées par un rang d'arcades à plein cintre.
178
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus . Incendiée en 1618, la Grand-Salle fut reconstruite par Salomon de Brosse en 1622. Après le nouvel incendie de la Commune (1871), elle fut refaite par Duc et Daumet, dans l'esprit de l'ancienne.
179
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Un monument a été élevé en 1821 à la mémoire de Berryer, par Chapu sur les dessins de Lebas. L’artiste glissa une tortue sous les pieds de la Justice (représentée par une femme à droite de Berryer) symbolisant la sagesse et aussi la lenteur de la justice. Bien que royaliste, il passa sur ses convictions pour défendre les révolutionnaires de 1848 dont faisait partie Louis Blanc.. Il a aussi défendu le maréchal Ney.
180
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Elevé en 1826, cette statue représente Malesherbes, le défenseur de Louis XVI. A ses côtés, se trouvent les représentations de la France (une femme assise) et de la Fidélité (qui caresse un chien). La statue de Malesherbes fut commandée à Jacques Edmée Dumont. Les deux autres sont de François Joseph Bosio.
181
Palais de Justice.
La salle des Pas-Perdus. Un escalier imposant, à double révolution, conduit aux chambres du Tribunal civil et au Greffe.
182
Palais de Justice.
183
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Probablement chambre de saint Louis à l'origine, elle fit partie plus tard des locaux du Parlement de Paris. C'est là qu'à partir du 6 avril 1793 siégea le Tribunal révolutionnaire, là que furent condamnés tant de personnages célèbres, dont Marie-Antoinette. Restaurée en 1866, incendiée en 1871, la Grand-Chambre a été rétablie dans le style primitif de Louis XII (1502) par Duc et Daumet.
184
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Ancienne Grand-Chambre ou Chambre Dorée, à nervures surbaissées et pendentifs.
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Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Le porc-épic est le symbole de Louis XII, à coté des fleurs de lis.
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Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil.
187
Palais de Justice.
La 1er Chambre du tribunal civil. Dans le coin, un "divan" pour le roi, c'est de là que vient l'expression le "lit de justice".
188
Palais de Justice.
La 1ère Chambre du tribunal civil. C'est par cette porte qu'est entrée Marie-Antoinette.
189
Palais de Justice.
Chambre des Criées. C'est là où on vend les faillites, à la bougie.
190
Palais de Justice.
Le dépôt était la prison des hommes, la souricière, la prison des femmes.
191
Palais de Justice.
La galerie des Prisonniers et la galerie Lamoignon forment une longue galerie aux voûtes aplaties et en partie neuve.
192
Palais de Justice.
Vestibule de Harlay. A l'extrémité de la galerie Lamoignon se trouve le vestibule de Harlay (œuvre de Duc). Harlay fut maître des requêtes sous Henri IV. Au fond, la statue de Charlemagne. Avec Napoléon 1er elle encadre une immense porte métallique qui donne aujourd’hui accès au « self de Harlay ». Il s’agit de l’œuvre de Philippe Lemaire en 1860.
193
Palais de Justice.
Vestibule de Harlay. A une extrémité on remarque les statues de saint Louis à gauche et de Philippe Auguste à droite. Elles sont l’œuvre de Philippe Lemaire en 1860. Entre ces deux statues une porte donne accès à la Chambre civile de la Cour de cassation.
194
Palais de Justice.
Vestibule de Harlay. Le personnage central tient une balance repkiée, ca qui veut dire que la justice veille.
195
Palais de Justice.
La Cour de cassation offre dans ses chambres et bureaux un très intéressant et complet ensemble de décor Second Empire.
196
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation.
197
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. En haut, à gauche, la galerie qui a été ajoutée pour le procés du maréchal Pétain.
198
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation
199
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. Tapisserie du XIX, représentant Mardochée et Ester.
200
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. Le haut du lustre rappelle le mortier (chapeau) du juge.
201
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation. Le plafond, dû à Bonnat en 1901, représente la justice qui sépare les bons et les méchants.
202
Palais de Justice.
Chambre civile de la Cour de cassation
203
Palais de Justice.
Place Dauphine.
204
Palais de Justice.
La façade sud néo-gothique. La protection (de François Jouffroy), la force et l’équité (de Jean-Louis Jaley).
205
La Sainte-Chapelle.
La Sainte-Chapelle, merveille d'architecture gothique (1246-1248), malheureusement enfermée dans un cadre ingrat, est un des joyaux de Paris. Saint Louis fit élever la chapelle pour y placer la Couronne d'épines et un fragment de la vraie Croix que lui avaient envoyés, de Constantinople, Jean de Brienne et l'empereur Baudouin II. Ils étaient enfermés dans la boule placée au-dessous de la croix et sont aujourd'hui à Notre-Dame.
La construction est peut-être de Pierre de Montreuil, les plans sont de 1241, commencée en janvier 1246, l'église était consacrée dès le 25 avril 1248.
206
La Sainte-Chapelle.
La Sainte-Chapelle brûla en 1630 et fut reconstruite très lentement. Sa démolition fut envisagée dès 1790 mais, au XIXe, le Moyen Age connut heureusement, une grande faveur et l'édifice fut restauré, vers la fin du règne de Louis-Philippe, par Duban, Lassus, Viollet-le-Duc et Bœswillwald. La flèche fut dressée en 1857.
207
La Sainte-Chapelle.
Des gâbles, délicatement sculptés, surmontent les fenêtres hautes. Au-dessus, une balustrade fait le tour de l'édifice.
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La Sainte-Chapelle.
Le chevet, le soir.
209
La Sainte-Chapelle.
A la façade s'adossent deux porches superposés. En bas, le le Couronnement de la Vierge. Le Jugement dernier est représenté sur le portail de la chapelle haute.
210
La Sainte-Chapelle.
Au-dessus du porche supérieur, la grande rose à meneaux flamboyants, reconstruite sous Charles VIII, est surmontée d'une balustrade découpée en fleurs de lis; sur l'appui de la balustrade, deux anges couronnent le chiffre du roi Charles.
211
La Sainte-Chapelle.
Le Jugement dernier est représenté sur le portail de la chapelle haute.
212
La Sainte-Chapelle.
Le Christ du Jugement dernier entouré de deux anges portant les instruments de la Passion la croix et les clous à droite ; la couronne d'épines et la lance à gauche). Le linteau représente la résurrection générale des morts, avec au milieu, saint Michel procédant à la pesée des âmes et part et d'autre, les morts qui soulèvent leur dalle funéraire au son des olifants des anges. À gauche, Abraham reçoit dans son sein les âmes élues, symbolisées par de petits personnages nus sur ses genoux. A droite une sympathique représentation de l'enfer, composée de petits diablotins entremêlés.
213
La Sainte-Chapelle.
La statuaire des portails avait été intégralement détruit à la Révolution, ne laissant subsister que les contours. On doit la reconstitution à Geoffroy-Dechaume, qui a également mené les recherches préalables. La porte de la chapelle basse est décorée au trumeau d'une statue de la Vierge, et au tympan d'un bas-relief Couronnement de la Vierge. Tout ce décor est du XIXe s.
214
La Sainte-Chapelle.
Il y a deux chapelles superposées, celle du rez-de-chaussée, qui est fort basse, destinée aux serviteurs, et celle du premier étage, réservée à la famille royale et aux grands officiers.
215
La Sainte-Chapelle.
A l'intérieur de la chapelle basse (haut de 6,60 m), 14 colonnes monostyles et clefs de voûte. Le chœur est formé d'un rond-point à sept pans. Les deux colonnes noires qui percent le chœur étaient en fait destinées à soutenir la lourde châsse de l'étage supérieur. Dallage entièrement composé de pierres tombales, parmi lesquelles on voit encore celle de Jacques Boileau.
216
La Sainte-Chapelle.
Les fleurs de lys du manteau de la Vierge sur le fond azur des voûtes se retrouvent sur les colonnes en alternance avec des tours sur fond pourpre, armes de la reine Blanche de Castille, mère de Louis IX.
217
La Sainte-Chapelle.
Le plafond est parsemé de fleurs de lys alors que celui de la chapelle haute est couvert d'étoiles : c'est un exemple de l'alternance constante entre symboles royaux et divins.
218
La Sainte-Chapelle.
Les croisées d'ogives sont encadrées par des bandes rouges ornées de L dorés.
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La Sainte-Chapelle.
La Vierg et le Christ.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
Les murs latéraux sont animés d'arcatures aveugles trilobées et de 12 médaillons figurant les apôtres.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
231
La Sainte-Chapelle.
La voûte surbaissée est épaulée par des étrésillons ajourés qui relient les colonnes des bas-côtés aux murs latéraux.
232
La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
235
La Sainte-Chapelle.
La chapelle haute. Cette chapelle royale marquait la perfection des solutions qui permettaient les poussées de voûtes sur de minces colonnes, entraînant ainsi la suppression des murs remplacés par les verrières.
236
La Sainte-Chapelle.
L'architecture (20,50 m sous voûte) disparaît toute entière sous les dorures et les enluminures du XIXe s., mais l'ornement principal, ce sont les vitraux. Chacune des 15 fenêtres (15,40 m sur 4,25 m) est un écrin éblouissant. Ces vitraux ont été habilement restaurés par Lusson, d'après les cartons de Steinheil et sous la direction de F. de Guilhermy, on distingue mal les parties anciennes des modernes (sur 1 134 scènes, 720 remonteraient au XIIIe s).
237
La Sainte-Chapelle.
A droite, en entrant. Histoire des reliques de la Passion. La verrière de l'histoire des reliques de la Passion est la seule à se lire en boustrophédon (système de lecture serpentant depuis le bas, de gauche à droite, puis de droite à gauche, jusqu'en haut).
238
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Histoire des reliques de la Passion. Dans la partie basse des lancettes, elle illustre le récit de la découverte des reliques par sainte Hélène à Jérusalem, jusqu'à leur arrivée dans le royaume de France.
239
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Histoire des reliques de la Passion. Saint Louis, son frère Robert et une reine, probablement Blanche de Castille, sont représentés plusieurs fois dans les différentes scènes de la translation.
240
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Histoire des reliques de la Passion.
241
La Sainte-Chapelle.
Le Livre des rois. Chaque baie est composée de quatre lancettes et surmontée de trois roses. Celles du chœur ne comportent que deux lancettes.
242
La Sainte-Chapelle.
Détails du Livre des rois
243
La Sainte-Chapelle.
le Livre d'Esther
244
La Sainte-Chapelle.
les Livres de Judith et de Job
245
La Sainte-Chapelle.
A droite, les Livres de Jérémie et de Tobie. A gauche, le Livre d'Ezéquiel
246
La Sainte-Chapelle.
Le choeur. Au centre, la Passion. A droite, Saint-Jean Baptiste et le livre de Daniel. A gauche, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
247
La Sainte-Chapelle.
Le choeur. Au centre, la Passion. A droite, Saint-Jean Baptiste et le livre de Daniel. A gauche, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
248
La Sainte-Chapelle.
Le choeur. A gauche, le Livre d'Isaïe et l'Arbre de Jessé et, en haut, un bout du Livre des Juges. A droite, Saint-Jean l'Evangéliste et l'Enfance du Christ.
249
La Sainte-Chapelle.
De gauche à droite : Deutéronome & Josué ; livre des Juges ; l'arbre de Jessé et Isaïe.
250
La Sainte-Chapelle.
Livre des nombres.
251
La Sainte-Chapelle.
L'Exode
252
La Sainte-Chapelle.
Détails de l'Exode.
253
La Sainte-Chapelle.
A gauche, en trant. La Genèse
254
La Sainte-Chapelle.
Détails de la Genèse.
255
La Sainte-Chapelle.
Détails de la Genèse.
256
La Sainte-Chapelle.
Détails de la Genèse.
257
La Sainte-Chapelle.
Au milieu d'une jolie arcature à jour qui traverse l'abside dans toute sa largeur, s'élève un baldaquin ogival, en bois, sous lequel étaient exposées les reliques (celles qui restent sont presque toutes, aujourd'hui, à Notre-Dame).
258
La Sainte-Chapelle.
La grande châsse contenant les 22 reliques de la Passion du Christ, parmi lesquelles le fragment de la Vraie Croix et la Couronne d'Épines, était jadis exposée sur la tribune, et fut fondue à la Révolution. Les reliques subsistantes sont aujourd'hui conservées dans le trésor de la cathédrale Notre-Dame de Paris.
259
La Sainte-Chapelle.
260
La Sainte-Chapelle.
Deux escaliers de bois montent à la plate-forme.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
266
La Sainte-Chapelle.
267
La Sainte-Chapelle.
A gauche, en entrant.Quatre statues des apôtres sont anciennes (XIVe s.). Quatre ont été reconstituées d'après les originaux qui existaient encore, mais brisés en plusieurs endroits. Deux qui manquaient ont été refaites.
268
La Sainte-Chapelle.
Sur des culs-de-lampe adossés aux piliers, les statues des Apôtres portent des croix de consécration. Saint Jean.
269
La Sainte-Chapelle.
A droite, bas du vitrail du livre des nombres.
270
La Sainte-Chapelle.
A gauche, livre des nombres. A droite, Deutéronome et Josué.
271
La Sainte-Chapelle.
272
La Sainte-Chapelle.
Saint Paul.
273
La Sainte-Chapelle.
Saint Pierre.
274
La Sainte-Chapelle.
A droite, près du choeur.
275
La Sainte-Chapelle.
276
La Sainte-Chapelle.
277
La Sainte-Chapelle.
278
La Sainte-Chapelle.
A droite, en entrant.
279
La Sainte-Chapelle.
Deux niches, ouvertes sous les fenêtres, à dr. et à g., étaient les places d'honneur réservées au roi, à la reine Blanche de Castille et aux membres de la famille royale. Au-dessus, les anges encadrent un Christ bénissant. Ces sculptures rappellent que le roi est l'oint du Seigneur.
280
La Sainte-Chapelle.
Sous les fenêtres court une arcature reposant sur un banc continu, et dont les quatre-feuilles encadrent des sculptures représentant des scènes de martyres. Dans les écoinçons, des anges accueillent ces martyrs.
281
La Sainte-Chapelle.
Les 100 chapiteaux" à décor de feuillages des murs latéraux sont tous différents. Aux écoinçons" des arcatures, les anges rappellent les 42 scènes de martyres figurant dans les quadrilobes. Saint Matthias, lapidé puis décapité.
282
La Sainte-Chapelle.
Saint Denis.
283
La Sainte-Chapelle.
Saint Laurent, Saint Sébastien.
284
La Sainte-Chapelle.
285
La Sainte-Chapelle.
A droite, saint Etienne.
286
La Sainte-Chapelle.
Le portail s'ouvre sous une arcade brisée, et deux arcades plus étroites en tiers-point la flanquent. Les tympans de ces trois arcades ont été peints par Steinheil, qui n'a pu s'appuyer sur rien d'existant, car la présence de la tribune d'orgue avait fait que ce mur fût resté vierge. Les motifs sont les trois scènes de sacrifice de l'Ancien Testament ; un Christ bénissant flanqué d'anges en prière et encadré des prophètes Isaïe et Jérémie
287
La Sainte-Chapelle.
288
La Sainte-Chapelle.
Le sacrifice d'Abraham.
289
La Sainte-Chapelle.
L'immolation de l'agneau pascal ; le sang sur les maisons des Hébreux (afin que l'ange de la mort épargne les premiers-nés) ; et le serpent d'airain de Moïse dans le désert.
290
La Sainte-Chapelle.
La grande rose, qui date de Charles VIII, est divisée en 86 panneaux. Elle illustre le livre prophétique de saint Jean : l'Apocalypse, représentée symboliquement face à la Passion du Christ, dans le vitrail axial du chœur. Au centre de la rose, le Christ revient en gloire à la fin des Temps pour juger les vivants et les morts.
291
La Sainte-Chapelle.
292
Fontaine du Châtelet ou fontaine de la Victoire.
Cette fontaine fut commandée en 1806 par Napoléon Ier à Emmanuel Crétet son ministre de l'intérieur, pour commémorer ses victoires et pour délivrer de l'eau potable gratuite aux Parisiens. Le projet fut dirigé par l'ingénieur François-Jean Bralle. Elle a la forme d'une colonne et fut terminée en 1808. Elle est surmontée d'une Victoire en bronze doré brandissant les lauriers de la victoire, œuvre du sculpteur Louis-Simon Boizot. Sa base porte quatre statues, allégories de la Vigilance, de la Justice, de la Force et de la Prudence, également œuvres de Boizot. Un bassin inférieur, dessiné par Gabriel Davioud, a été ajouté à la fontaine sous le Second Empire. Il est entouré de quatre sphinx sculptés par Henri-Alfred Jacquemart qui crachent des jets d'eau.
293
Tour St Jacques.
C'est le seul vestige de l'église St-Jacques-de-la-Boucherie. Pascal y aurait renouvelé ses expériences barométriques du Puy-de-Dôme en 1648.