Paris 2012

Palais Royal, Banque de France, place des Victoires, Hôtel de Soubise.

<center></center><center>Le  Carrousel.</center> Entre les deux colonnes de gauche, un bas-relief de Cartellier : La Capitulation d’Ulm ; entre celles de droite : un bas-relief d’Espercieux : La Bataille d’Austerlitz.
Le Carrousel.
Entre les deux colonnes de gauche, un bas-relief de Cartellier : La Capitulation d’Ulm ; entre celles de droite : un bas-relief d’Espercieux : La Bataille d’Austerlitz.
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<center></center><center>Le  Carrousel.</center> Les statues représentent les différents uniformes de la Grande armée. De gauche à droite : un chasseur à cheval, par Foucou ; un carabinier, par Chinard. Bas-relief d’Espercieux : La Bataille d’Austerlitz.
Le Carrousel.
Les statues représentent les différents uniformes de la Grande armée. De gauche à droite : un chasseur à cheval, par Foucou ; un carabinier, par Chinard. Bas-relief d’Espercieux : La Bataille d’Austerlitz.
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<center></center><center>Le  Carrousel.</center> En 1815 Bosio plaça dans le char une statue de la restauration, les deux figures de part et d'autre du char étant la Victoire et la Paix. Sur le frontispice : L'armée française embarquée à Boulogne menaçait l'Angleterre
Une troisième coalition éclate sur le continent
Les Français volent de l'océan au Danube
La Bavière est délivrée, l'armée autrichienne prisonnière à Ulm
Napoléon entre dans Vienne, il triomphe à Austerlitz
En moins de cent jours, la coalition est dissoute.
Le Carrousel.
En 1815 Bosio plaça dans le char une statue de la restauration, les deux figures de part et d'autre du char étant la Victoire et la Paix. Sur le frontispice : L'armée française embarquée à Boulogne menaçait l'Angleterre Une troisième coalition éclate sur le continent Les Français volent de l'océan au Danube La Bavière est délivrée, l'armée autrichienne prisonnière à Ulm Napoléon entre dans Vienne, il triomphe à Austerlitz En moins de cent jours, la coalition est dissoute.
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<center></center><center>Le  Carrousel.</center> De gauche à droite : un cuirassier, par Taunay ; un dragon, par Corbet. Bas-relief de Cartellier : La Capitulation d’Ulm
Le Carrousel.
De gauche à droite : un cuirassier, par Taunay ; un dragon, par Corbet. Bas-relief de Cartellier : La Capitulation d’Ulm
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<center>Le Louvre.</center>La Cour Napoléon. Le pavillon Daru derrière la pyramide, l'aile Henri II et son pavillon central, le pavillon de Sully. Statues de l'aile Henri II : Le Lorrain, Auguste Hyacinthe de Bay ; Grétry, Nicolas Victor Vilain ; Regnard, Théodore Gruyère ; Jacques Coeur, Louis Elias Robert. Pavillon de Sully : fronton, Napoléon 1er dominant l’Histoire et les Arts, Antoine Barye et Pierre Simart. Sur les bords, L’Art et L'Encouragement, Nanteuil. Cariatides, Pierre Simart, Francisque Duret (2), Pierre Simart. Autour de l'horloge : La Paix et la Guerre, Pierre Jules Cavelier. Oculus, La Beauté et l’Art, Eugène Guillaume et L'alliance de l’art antique et de la Renaissance, Jean Marie Bonnassieux.
Le Louvre.
La Cour Napoléon. Le pavillon Daru derrière la pyramide, l'aile Henri II et son pavillon central, le pavillon de Sully. Statues de l'aile Henri II : Le Lorrain, Auguste Hyacinthe de Bay ; Grétry, Nicolas Victor Vilain ; Regnard, Théodore Gruyère ; Jacques Coeur, Louis Elias Robert. Pavillon de Sully : fronton, Napoléon 1er dominant l’Histoire et les Arts, Antoine Barye et Pierre Simart. Sur les bords, L’Art et L'Encouragement, Nanteuil. Cariatides, Pierre Simart, Francisque Duret (2), Pierre Simart. Autour de l'horloge : La Paix et la Guerre, Pierre Jules Cavelier. Oculus, La Beauté et l’Art, Eugène Guillaume et L'alliance de l’art antique et de la Renaissance, Jean Marie Bonnassieux.
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<center>Le Louvre.</center>La Cour Napoléon.
Le Louvre.
La Cour Napoléon.
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<center>Le Louvre.</center>
Le Louvre.
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<center></center><center>Le Louvre.</center> Le Pavillon de la Bibliothèque donne sur la rue de Rivoli, à hauteur de la place du Palais-Royal. Il permet d'aller dans  la cour Napoléon.
Le Louvre.
Le Pavillon de la Bibliothèque donne sur la rue de Rivoli, à hauteur de la place du Palais-Royal. Il permet d'aller dans la cour Napoléon.
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<center></center><center>Le Louvre.</center>Le Pavillon de la Bibliothèque. Cariatides, Astyanax Scaevola Bosio. Fronton : Les Sciences et les Arts, Pierre Édouard Charrier. Au-dessus, aux coins du toit, deux statues : Les Arts, Auguste Préault. Toutes ces statues datent de 1857.
Le Louvre.
Le Pavillon de la Bibliothèque. Cariatides, Astyanax Scaevola Bosio. Fronton : Les Sciences et les Arts, Pierre Édouard Charrier. Au-dessus, aux coins du toit, deux statues : Les Arts, Auguste Préault. Toutes ces statues datent de 1857.
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<center></center><center>Hôtel du Louvre.</center> C'est le premier grand hôtel que les Pereyre firent construire.
Hôtel du Louvre.
C'est le premier grand hôtel que les Pereyre firent construire.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Entrée du Conseil d'État. C'est en 1629 que Richelieu fit construire ce palais par Jacques Lemercier. C'est là qu'il mourut le 4 décembre 1642 et il le légua  à son souverain. À la mort de Louis XIII, Anne d'Autriche s'y installa avec le petit Louis XIV alors âgé de cinq ans et son frère Philippe. De Cardinal, le palais devenait Royal. En 1672 Louis XIV le remet à Philippe d'Orléans, et depuis cette époque, les Orléans en furent les propriétaires. Le Palais présente en façade sur la Place du Palais-Royal, un portique de neuf baies, flanquées de colonnes toscanes reliant deux pavillons à frontons triangulaires. Au fond de la cour s’élève le corps de bâtiment à deux étages surmonté d’un attique avec fronton arrondi où deux génies, de Pajou, soutenaient l’écu des Orléans – actuellement une horloge.
Le Palais Royal.
Entrée du Conseil d'État. C'est en 1629 que Richelieu fit construire ce palais par Jacques Lemercier. C'est là qu'il mourut le 4 décembre 1642 et il le légua à son souverain. À la mort de Louis XIII, Anne d'Autriche s'y installa avec le petit Louis XIV alors âgé de cinq ans et son frère Philippe. De Cardinal, le palais devenait Royal. En 1672 Louis XIV le remet à Philippe d'Orléans, et depuis cette époque, les Orléans en furent les propriétaires. Le Palais présente en façade sur la Place du Palais-Royal, un portique de neuf baies, flanquées de colonnes toscanes reliant deux pavillons à frontons triangulaires. Au fond de la cour s’élève le corps de bâtiment à deux étages surmonté d’un attique avec fronton arrondi où deux génies, de Pajou, soutenaient l’écu des Orléans – actuellement une horloge.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Le fronton en pierre couronnant le pavillon est représente La Prudence et la Libéralité.  En 1871, l’incendie du Palais-Royal détruisit l’aile droite de la Cour de l’horloge et les étages du bâtiment central. C’est l’œuvre de Jules Franceschi, d’après Pajou (1825-1893) qui l’a exécutée vers 1872/1874 en imitation du bas-relief original de 1765. Au-dessus, deux Trophées, œuvres d’Adolphe Martial en 1874. Ces trophées représentent des torses affublés de tout l’équipage pour mener une bataille, un combat.
Le Palais Royal.
Le fronton en pierre couronnant le pavillon est représente La Prudence et la Libéralité. En 1871, l’incendie du Palais-Royal détruisit l’aile droite de la Cour de l’horloge et les étages du bâtiment central. C’est l’œuvre de Jules Franceschi, d’après Pajou (1825-1893) qui l’a exécutée vers 1872/1874 en imitation du bas-relief original de 1765. Au-dessus, deux Trophées, œuvres d’Adolphe Martial en 1874. Ces trophées représentent des torses affublés de tout l’équipage pour mener une bataille, un combat.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Le fronton en pierre couronnant le pavillon ouest du Palais-Royal, abritant le Conseil d’Etat, donnant sur la Place du Palais Royal représente La Force et la Justice. C’est l’œuvre d’Augustin Pajou (1730-1809) qui l’a exécutée en 1765.
Le Palais Royal.
Le fronton en pierre couronnant le pavillon ouest du Palais-Royal, abritant le Conseil d’Etat, donnant sur la Place du Palais Royal représente La Force et la Justice. C’est l’œuvre d’Augustin Pajou (1730-1809) qui l’a exécutée en 1765.
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<center></center><center>Le ministère de la culture.</center> Salle des conflits. Il s'agit de l'ancienne salle à manger de la duchesse d'Orléans, aménagée par Contant d'Ivry. Elle fait partie du conseil d'état.
Le ministère de la culture.
Salle des conflits. Il s'agit de l'ancienne salle à manger de la duchesse d'Orléans, aménagée par Contant d'Ivry. Elle fait partie du conseil d'état.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> L'architecte Contant d'Ivry construisit la façade du fond en 1754. La façade du Conseil d’Etat donnant sur la cour d’Honneur du Palais-Royal est composée de trois niveaux. Au rez-de-chaussée se trouvent neuf arcades, trois ouvertes et six fermées par des portes-fenêtres. Deux avant-corps se trouvent à gauche et à droite. Le premier étage est distribué entre des colonnes composites. Les fenêtres sont surmontées de frontons triangulaires aux avant-corps et d’zrcs en plein cintre pour les trois centrales. Au-dessus du premier entablement, le troisième étage est décoré de huit statues. Des balustres marquent le bord de cet entablement entre les statues. Au- dessus d’autres balustres sont disposés sur le bord d’un nouvel entablement.
Le Palais Royal.
L'architecte Contant d'Ivry construisit la façade du fond en 1754. La façade du Conseil d’Etat donnant sur la cour d’Honneur du Palais-Royal est composée de trois niveaux. Au rez-de-chaussée se trouvent neuf arcades, trois ouvertes et six fermées par des portes-fenêtres. Deux avant-corps se trouvent à gauche et à droite. Le premier étage est distribué entre des colonnes composites. Les fenêtres sont surmontées de frontons triangulaires aux avant-corps et d’zrcs en plein cintre pour les trois centrales. Au-dessus du premier entablement, le troisième étage est décoré de huit statues. Des balustres marquent le bord de cet entablement entre les statues. Au- dessus d’autres balustres sont disposés sur le bord d’un nouvel entablement.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> De gauche à droite : « La Science » ; « Le Commerce » ; « L’Agriculture » ; « La Navigation ». Ce sont des œuvres d’Antoine-François Gérard (1760-1843).
Le Palais Royal.
De gauche à droite : « La Science » ; « Le Commerce » ; « L’Agriculture » ; « La Navigation ». Ce sont des œuvres d’Antoine-François Gérard (1760-1843).
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> De gauche à droite : « Mars». Le dieu apparaît en armure à l’antique, un casque empanaché à ses côtés, s’appuyant sur un bouclier et serrant un glaive dans l’une de ses mains. ;  « La Prudence». La figure allégorique de La Prudence est une jeune femme tenant un miroir à la main ; « La Générosité ». La figure allégorique montre une jeune femme assise près d’un aigle, une corne d’abondance posée sur son flanc gauche. Elle tourne la tête vers le dieu Apollon, au corps athlétique largement dénudé, qui semble vouloir lui remettre sa couronne de laurier ; « Apollon ». Apollon se tient debout, une lyre à la main, l’un de ses attributs habituels.. Ce sont des œuvres d’Augustin Pajou (1730-1809).
Le Palais Royal.
De gauche à droite : « Mars». Le dieu apparaît en armure à l’antique, un casque empanaché à ses côtés, s’appuyant sur un bouclier et serrant un glaive dans l’une de ses mains. ; « La Prudence». La figure allégorique de La Prudence est une jeune femme tenant un miroir à la main ; « La Générosité ». La figure allégorique montre une jeune femme assise près d’un aigle, une corne d’abondance posée sur son flanc gauche. Elle tourne la tête vers le dieu Apollon, au corps athlétique largement dénudé, qui semble vouloir lui remettre sa couronne de laurier ; « Apollon ». Apollon se tient debout, une lyre à la main, l’un de ses attributs habituels.. Ce sont des œuvres d’Augustin Pajou (1730-1809).
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<center></center><center>Le ministère de la culture.</center>Dôme qui surmonte l'escalier d'honneur construit par Constant d'Ivry.
Le ministère de la culture.
Dôme qui surmonte l'escalier d'honneur construit par Constant d'Ivry.
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<center></center>Son petit-fils, Louis Philippe Joseph d’Orléans, duc de Chartres qui sera duc d’Orléans à la mort de son père en 1785 et futur Philippe-Egalité, entreprend de grands travaux : pour financer la reconstruction du Palais, il confie à l'architecte Victor Louis la mise en œuvre d'un projet immobilier de grande ampleur destiné à lui assurer des revenus, par la construction de maisons uniformes et de rapport sur le pourtour du jardin, avec, au rez-de-chaussée, des galeries donnant sur des boutiques. Le Palais-Royal tel que nous le connaissons naissait. Malheureusement, l'opération reste inachevée et l'aile ouest du palais n'est pas construite, l'opération financière se soldant par un échec en 1786. A gauche, la galerie des Proues. A droite, la façade du Conseil d’Etat.
Son petit-fils, Louis Philippe Joseph d’Orléans, duc de Chartres qui sera duc d’Orléans à la mort de son père en 1785 et futur Philippe-Egalité, entreprend de grands travaux : pour financer la reconstruction du Palais, il confie à l'architecte Victor Louis la mise en œuvre d'un projet immobilier de grande ampleur destiné à lui assurer des revenus, par la construction de maisons uniformes et de rapport sur le pourtour du jardin, avec, au rez-de-chaussée, des galeries donnant sur des boutiques. Le Palais-Royal tel que nous le connaissons naissait. Malheureusement, l'opération reste inachevée et l'aile ouest du palais n'est pas construite, l'opération financière se soldant par un échec en 1786. A gauche, la galerie des Proues. A droite, la façade du Conseil d’Etat.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center>Les colonnes de Buren.
Le Palais Royal.
Les colonnes de Buren.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Les colonnes de Buren. Cette sculpture est intitulée
Le Palais Royal.
Les colonnes de Buren. Cette sculpture est intitulée "les deux plateaux".
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> La galerie des Proues est le seul reste du palais Cardinal primitif.
Le Palais Royal.
La galerie des Proues est le seul reste du palais Cardinal primitif.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Elle est ornée de proues de navires et d'ancres rappelant que le cardinal de Richelieu été aussi grand amiral.
Le Palais Royal.
Elle est ornée de proues de navires et d'ancres rappelant que le cardinal de Richelieu été aussi grand amiral.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Bureau du ministre de la culture.
Le Palais Royal.
Bureau du ministre de la culture.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Louis-Philippe Joseph, qui sera Philippe-Egalité, manquant d'argent, décida de faire construire autour de son jardin une suite d'habitations semblables : au rez-de-chaussée sous les galeries, seront les boutiques tandis que les étages supérieurs seront occupés par des appartements. Le duc choisit comme architecte Victor Louis qui vient d’achever le théâtre de Bordeaux.
Le Palais Royal.
Louis-Philippe Joseph, qui sera Philippe-Egalité, manquant d'argent, décida de faire construire autour de son jardin une suite d'habitations semblables : au rez-de-chaussée sous les galeries, seront les boutiques tandis que les étages supérieurs seront occupés par des appartements. Le duc choisit comme architecte Victor Louis qui vient d’achever le théâtre de Bordeaux.
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<center></center><center>Jardin du Palais-Royal</center> LE PETIT CANON DU PALAIS ROYAL.
1786 Le sieur Rousseau, horloger au 95 galerie de Beaujolais, indiquait midi aux promeneurs du Palais Royal en tirant le canon installé sur la ligne méridienne de Paris. Une loupe était censée provoquer la mise à feu d'une mèche, les jours de soleil.
1799 Le petit canon est déplacé au milieu de ce parterre. Il tonnera jusqu'en 1914.
1990 Il fonctionne à nouveau, tous les jours à midi, depuis le 13 juillet 1990.
Cette légende y était gravée :
Jardin du Palais-Royal
LE PETIT CANON DU PALAIS ROYAL. 1786 Le sieur Rousseau, horloger au 95 galerie de Beaujolais, indiquait midi aux promeneurs du Palais Royal en tirant le canon installé sur la ligne méridienne de Paris. Une loupe était censée provoquer la mise à feu d'une mèche, les jours de soleil. 1799 Le petit canon est déplacé au milieu de ce parterre. Il tonnera jusqu'en 1914. 1990 Il fonctionne à nouveau, tous les jours à midi, depuis le 13 juillet 1990. Cette légende y était gravée : "HORAS NON NUMERO NISI SERENAS' "JE NE COMPTE QUE LES HEURES HEUREUSES"
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<center></center><center>Jardin du Palais-Royal</center> Composé d'un ensemble de rangs de tilleuls taillés en marquise et de marronniers rouges, le jardin est agrémenté d'une fontaine centrale dont les jets d'eau se déploient vers deux longues pelouses bordées de massifs de fleurs, redessinés par le paysagiste Mark Rudkin
Jardin du Palais-Royal
Composé d'un ensemble de rangs de tilleuls taillés en marquise et de marronniers rouges, le jardin est agrémenté d'une fontaine centrale dont les jets d'eau se déploient vers deux longues pelouses bordées de massifs de fleurs, redessinés par le paysagiste Mark Rudkin
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<center></center><center>Jardin du Palais-Royal</center> Au fond, le Théâtre éphémère en bois de la Comédie-Française (2012) installé à l’emplacement de l’ancien Camp des Tartares (1785-1829). Le quatrième côté du quadrilatère devait achever le palais proprement dit. Faute d’argent, on y éleva en 1785 des boutiques en bois décorées en trompe-l'œil qui furent louées à des marchands. On appela cette galerie de Bois le Camp des Tartares.
Jardin du Palais-Royal
Au fond, le Théâtre éphémère en bois de la Comédie-Française (2012) installé à l’emplacement de l’ancien Camp des Tartares (1785-1829). Le quatrième côté du quadrilatère devait achever le palais proprement dit. Faute d’argent, on y éleva en 1785 des boutiques en bois décorées en trompe-l'œil qui furent louées à des marchands. On appela cette galerie de Bois le Camp des Tartares.
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<center></center><center>Jardin du Palais-Royal</center>
Jardin du Palais-Royal
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<center></center><center>Jardin du Palais-Royal</center>
Jardin du Palais-Royal
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Le troisième étage et les combles destinés aux domestiques sont à demi cachés par une balustrade supportant des vases.
Le Palais Royal.
Le troisième étage et les combles destinés aux domestiques sont à demi cachés par une balustrade supportant des vases.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> Chaque maison comprend un rez-de-chaussée et un entresol donnant en retrait sur la galerie, un étage noble, un second plus réduit.
Le Palais Royal.
Chaque maison comprend un rez-de-chaussée et un entresol donnant en retrait sur la galerie, un étage noble, un second plus réduit.
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<center></center><center>Le Palais Royal.</center> La galerie de Beaujolais. Au fond, le restaurant
Le Palais Royal.
La galerie de Beaujolais. Au fond, le restaurant "le Grand Vefour", anciennement le café de Chartres. Colette a passé ses dernières années ici.
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<center></center><center>Hôtel de Mélusine.</center> Le nom de cet hôtel est dû à une tapisserie. Il date du temps de Louis XIII, il a un beau balcon soutenu par des consoles à têtes de lions.
Hôtel de Mélusine.
Le nom de cet hôtel est dû à une tapisserie. Il date du temps de Louis XIII, il a un beau balcon soutenu par des consoles à têtes de lions.
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<center></center><center>Le ministère de la culture.</center><center>Le ministère de la culture.</center> Façade sur la rue Saint Honoré. Résille d'acier inoxydable de Francis Soler et Frédéric Druot.
Le ministère de la culture.
Le ministère de la culture.
Façade sur la rue Saint Honoré. Résille d'acier inoxydable de Francis Soler et Frédéric Druot.
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<center></center><center>Le ministère de la culture.</center><center>Le ministère de la culture.</center> Résille d'acier inoxydable de Francis Soler.
Le ministère de la culture.
Le ministère de la culture.
Résille d'acier inoxydable de Francis Soler.
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<center></center><center>Le ministère de la culture.</center><center>Le ministère de la culture.</center> La résille d'acier inoxydable de Francis Soler enveloppe le ministère de la culture. Les entrelacs de métal découpés au laser s'harmonisent avec les toits de zinc et les nuages du ciel de Paris. C'est une touche baroque, presque art nouveau. Son motif abstrait, d'après Francis Soler, vient  d'un tableau de la Renaissance italienne, de Giulio Romano du palais du Té à Mantoue. L'architecte a déformé les personnages par ordinateur jusqu'à obtenir des arabesques où ils se dissolvent. La fine dentelle d'acier voile et dévoile la façade dans un même mouvement. Légère et puissante, elle enserre le batîment du premier étage aux combles et l'ancre ainsi dans le sol parisien. De l'intérieur, la résille argentée ne gêne pas la vue mais crée des jeux de lumière suivant le ciel changeant de Paris. Elle permet de voir sans être vu, selon le principe des moucharabiehs arabes.
Le ministère de la culture.
Le ministère de la culture.
La résille d'acier inoxydable de Francis Soler enveloppe le ministère de la culture. Les entrelacs de métal découpés au laser s'harmonisent avec les toits de zinc et les nuages du ciel de Paris. C'est une touche baroque, presque art nouveau. Son motif abstrait, d'après Francis Soler, vient d'un tableau de la Renaissance italienne, de Giulio Romano du palais du Té à Mantoue. L'architecte a déformé les personnages par ordinateur jusqu'à obtenir des arabesques où ils se dissolvent. La fine dentelle d'acier voile et dévoile la façade dans un même mouvement. Légère et puissante, elle enserre le batîment du premier étage aux combles et l'ancre ainsi dans le sol parisien. De l'intérieur, la résille argentée ne gêne pas la vue mais crée des jeux de lumière suivant le ciel changeant de Paris. Elle permet de voir sans être vu, selon le principe des moucharabiehs arabes.
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<center></center><center>Bourse de Commerce</center> À l'emplacement approximatif où se trouve aujourd'hui la Bourse de commerce se trouvait l'hôtel de Soissons qui appartenait, au début du XIIIe siècle, à Jean II de Nesles. N'ayant pas d'héritiers, celui-ci en céda en 1232 la propriété à saint Louis, qui l'offrit à sa mère, Blanche de Castille, pour en faire sa résidence. Sur les instances du confesseur du roi Charles VIII, Jean Tisseran, celui-ci y installa en 1498, le couvent des filles repenties. À partir de 1572, Catherine de Médicis abandonna subitement le palais des Tuileries qu'elle faisait édifier et acquit un hôtel appelé d'Albret, constitué de diverses demeures qui voisinaient le couvent à l'est. Elle s'y installa et commença l'aménagement de ce qui allait devenir l'Hôtel de la Reine. L'ensemble du projet fut confié à l'architecte Jean Bullant qui s'y attela de 1572 à sa mort en 1578. De nombreuses améliorations y furent par la suite apportées au fil du temps, dont notamment en 1611 un magnifique portail élevé par Salomon de Brosse. La colonne astronomique cannelée, appelée également colonne Médicis, haute de 31 mètres, qui existe encore, est le seul vestige subsistant de cet hôtel. Victor Amédée de Savoie, prince de Carignan,  établit dans l'hôtel, en 1720, la Bourse de Paris. Ruiné par la banqueroute de Law, il dut vendre la propriété en 1740. La prévôté de Paris racheta le terrain et détruisit les bâtiments en 1748. La colonne, vendue séparément, fut acquise par Louis Petit de Bachaumont qui en fit ensuite don à la Ville de Paris.
Bourse de Commerce
À l'emplacement approximatif où se trouve aujourd'hui la Bourse de commerce se trouvait l'hôtel de Soissons qui appartenait, au début du XIIIe siècle, à Jean II de Nesles. N'ayant pas d'héritiers, celui-ci en céda en 1232 la propriété à saint Louis, qui l'offrit à sa mère, Blanche de Castille, pour en faire sa résidence. Sur les instances du confesseur du roi Charles VIII, Jean Tisseran, celui-ci y installa en 1498, le couvent des filles repenties. À partir de 1572, Catherine de Médicis abandonna subitement le palais des Tuileries qu'elle faisait édifier et acquit un hôtel appelé d'Albret, constitué de diverses demeures qui voisinaient le couvent à l'est. Elle s'y installa et commença l'aménagement de ce qui allait devenir l'Hôtel de la Reine. L'ensemble du projet fut confié à l'architecte Jean Bullant qui s'y attela de 1572 à sa mort en 1578. De nombreuses améliorations y furent par la suite apportées au fil du temps, dont notamment en 1611 un magnifique portail élevé par Salomon de Brosse. La colonne astronomique cannelée, appelée également colonne Médicis, haute de 31 mètres, qui existe encore, est le seul vestige subsistant de cet hôtel. Victor Amédée de Savoie, prince de Carignan, établit dans l'hôtel, en 1720, la Bourse de Paris. Ruiné par la banqueroute de Law, il dut vendre la propriété en 1740. La prévôté de Paris racheta le terrain et détruisit les bâtiments en 1748. La colonne, vendue séparément, fut acquise par Louis Petit de Bachaumont qui en fit ensuite don à la Ville de Paris.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center> En 1823, le président de la Chambre des Notaires, Marchoux, acheta le n°6 rue Vivienne, le n°4- rue des Petits-Champs et le passage des Petits-Pères pour y créer un de ces passages alors à la mode, dont il confia la construction à l'architecte Delannoy. L'entrée de la rue des Petits-Champs.
Galerie Vivienne.
En 1823, le président de la Chambre des Notaires, Marchoux, acheta le n°6 rue Vivienne, le n°4- rue des Petits-Champs et le passage des Petits-Pères pour y créer un de ces passages alors à la mode, dont il confia la construction à l'architecte Delannoy. L'entrée de la rue des Petits-Champs.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center> François-Jacques Delannoy conçoit un décor de style pompéien néo-classique recouvert d'une verrière élégante, fait de mosaïques, peintures et sculptures exaltant le commerce.
Galerie Vivienne.
François-Jacques Delannoy conçoit un décor de style pompéien néo-classique recouvert d'une verrière élégante, fait de mosaïques, peintures et sculptures exaltant le commerce.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center> Vers la rotonde. Vidocq y habita au n°13, dans un immeuble ancien conservé par Delannoy, vers 1840.
Galerie Vivienne.
Vers la rotonde. Vidocq y habita au n°13, dans un immeuble ancien conservé par Delannoy, vers 1840.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center>
Galerie Vivienne.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center>
Galerie Vivienne.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center>
Galerie Vivienne.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center>
Galerie Vivienne.
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<center></center><center>Galerie Vivienne.</center> Céramique de G. Facchina.
Galerie Vivienne.
Céramique de G. Facchina.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Elle occupe l'ancien hôtel de la Vrillière, bâti par François Mansart vers 1635 mais remanié de 1713 à 1719 par Robert de Cotte pour le comte de Toulouse, dernier fils légitimé de Louis XIV et de Mme de Montespan.
La Banque de France.
Elle occupe l'ancien hôtel de la Vrillière, bâti par François Mansart vers 1635 mais remanié de 1713 à 1719 par Robert de Cotte pour le comte de Toulouse, dernier fils légitimé de Louis XIV et de Mme de Montespan.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> L'hôtel prit le nom d'hôtel de Toulouse, passa au fils du comte, le duc de Penthièvre, puis à la belle fille de ce dernier, la princesse de Lamballe. La révolution y établit l'imprimerie nationale et la Banque de France ne l'occupa qu'en 1811. La cour des écuries est due à l'architecte Gabriel Crétin.
La Banque de France.
L'hôtel prit le nom d'hôtel de Toulouse, passa au fils du comte, le duc de Penthièvre, puis à la belle fille de ce dernier, la princesse de Lamballe. La révolution y établit l'imprimerie nationale et la Banque de France ne l'occupa qu'en 1811. La cour des écuries est due à l'architecte Gabriel Crétin.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La cour d'honneur.
La Banque de France.
La cour d'honneur.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Crétin est l'auteur de la porte d'entrée de la rue de la Vrillière (1860-1861).
La Banque de France.
Crétin est l'auteur de la porte d'entrée de la rue de la Vrillière (1860-1861).
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Tableau montrant Louis-Alexandre comte de Toulouse. En 1683, par le décès de son demi-frère le  comte de Vermandois, Louis-Alexandre reçoit la charge d’Amiral de France. En 1697 il obtient le duché de Penthièvre. En 1723, il se marie avec Marie-Victoire-Sophie de Noailles. Ils n'auront qu’un fils, Louis-Jean-Marie de Bourbon-Penthièvre (1725-1793). Ce dernier reçoit tous les biens des légitimés. Il aura un fils, prince de Lamballe qui se maria avec Marie-Louise de Savoie-Carignan (1749-1792), l'amie de la reine Marie-Antoinette, et une fille Louise Marie Adélaïde de Bourbon (1753-1821), dite « Mademoiselle de Penthièvre », mariée à Philippe, duc d'Orléans (1747-1793). Au dessus du tableau, les armes des Toulouse, trois fleurs de lis avec la brisure vers la gauche car c'étaient des bâtards.
La Banque de France.
Tableau montrant Louis-Alexandre comte de Toulouse. En 1683, par le décès de son demi-frère le comte de Vermandois, Louis-Alexandre reçoit la charge d’Amiral de France. En 1697 il obtient le duché de Penthièvre. En 1723, il se marie avec Marie-Victoire-Sophie de Noailles. Ils n'auront qu’un fils, Louis-Jean-Marie de Bourbon-Penthièvre (1725-1793). Ce dernier reçoit tous les biens des légitimés. Il aura un fils, prince de Lamballe qui se maria avec Marie-Louise de Savoie-Carignan (1749-1792), l'amie de la reine Marie-Antoinette, et une fille Louise Marie Adélaïde de Bourbon (1753-1821), dite « Mademoiselle de Penthièvre », mariée à Philippe, duc d'Orléans (1747-1793). Au dessus du tableau, les armes des Toulouse, trois fleurs de lis avec la brisure vers la gauche car c'étaient des bâtards.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Tapisserie aux armes des de la Vrillière. Il y eut quatre Louis Phélypeaux de la Vrillière. De 1630 à 1702, ils furent propriètaires de cet hôtel. lls tiennent de père en fils sous Louis XIV le quatrième secrétariat d'État, celui chargé de la Maison du roi et des affaires de la « religion prétendue réformée » (souvent abrégée R.P.R.), mais même dans ce domaine, leur influence politique réelle demeura limitée.
La Banque de France.
Tapisserie aux armes des de la Vrillière. Il y eut quatre Louis Phélypeaux de la Vrillière. De 1630 à 1702, ils furent propriètaires de cet hôtel. lls tiennent de père en fils sous Louis XIV le quatrième secrétariat d'État, celui chargé de la Maison du roi et des affaires de la « religion prétendue réformée » (souvent abrégée R.P.R.), mais même dans ce domaine, leur influence politique réelle demeura limitée.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Armoiries : écartelé aux 1 et 4 d'azur semé de quatrefeuilles d'or aux franc-canton d'hermine, armoiries des Phélypeaux, aux 2 et 3 d'argent à trois lézards de sinope vert posés en pal. Les armoiries sont encadrées par les colliers de saint Louis et de saint Michel et l'écu est surmonté par une couronne ducale.
La Banque de France.
Armoiries : écartelé aux 1 et 4 d'azur semé de quatrefeuilles d'or aux franc-canton d'hermine, armoiries des Phélypeaux, aux 2 et 3 d'argent à trois lézards de sinope vert posés en pal. Les armoiries sont encadrées par les colliers de saint Louis et de saint Michel et l'écu est surmonté par une couronne ducale.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La galerie dorée, longue de près de 40 m et large de 7 m. De style Régence, elle a été originellement conçue pour François Mansart pour Phélypeaux de La Vrillière, secrétaire d'État et collectionneur d'art0 Le plafond est de François Périer, le peintre attitré de Phélypeaux, et restauré par Balze et Denuelle.
La Banque de France.
La galerie dorée, longue de près de 40 m et large de 7 m. De style Régence, elle a été originellement conçue pour François Mansart pour Phélypeaux de La Vrillière, secrétaire d'État et collectionneur d'art0 Le plafond est de François Périer, le peintre attitré de Phélypeaux, et restauré par Balze et Denuelle.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Sur les panneaux il y a des copies de tableaux anciens, entourées de sculptures en bois doré qui représentent des emblèmes  de la chasse et de la pêche par Vassé.
La Banque de France.
Sur les panneaux il y a des copies de tableaux anciens, entourées de sculptures en bois doré qui représentent des emblèmes de la chasse et de la pêche par Vassé.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La porte d'entrée en bois sculpté.
La Banque de France.
La porte d'entrée en bois sculpté.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Aux deux extrémités  quatre statues représentent les quatre parties du monde.
La Banque de France.
Aux deux extrémités quatre statues représentent les quatre parties du monde.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> L'Asie, avec son symbole, l'éléphant dans le médaillon du bas.
La Banque de France.
L'Asie, avec son symbole, l'éléphant dans le médaillon du bas.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> L'Amérique, avec l'alligator.
La Banque de France.
L'Amérique, avec l'alligator.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> A l'autre extrémité, une belle cheminée en marbre.
La Banque de France.
A l'autre extrémité, une belle cheminée en marbre.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> A l'autre extrémité, une belle cheminée en marbre.
La Banque de France.
A l'autre extrémité, une belle cheminée en marbre.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Buste de Hardouin-Mansart, le petit-neveu de François Mansart. Sur la plaque du fond de cheminée, blasons des Toulouse, avec la brisure vers la gauche.
La Banque de France.
Buste de Hardouin-Mansart, le petit-neveu de François Mansart. Sur la plaque du fond de cheminée, blasons des Toulouse, avec la brisure vers la gauche.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> L'Afrique, avec le chameau.
La Banque de France.
L'Afrique, avec le chameau.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> L'Europe, avec le cheval.
La Banque de France.
L'Europe, avec le cheval.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Table de chasse. Les lambris sont de Robert de Cotte.
La Banque de France.
Table de chasse. Les lambris sont de Robert de Cotte.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le plafond comporte une fresque, présentant les quatre éléments : l'Eau avec Neptune et Amphitrite,
La Banque de France.
Le plafond comporte une fresque, présentant les quatre éléments : l'Eau avec Neptune et Amphitrite,
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<center></center><center>La Banque de France.</center>  l'Air avec Éole et Junon,
La Banque de France.
l'Air avec Éole et Junon,
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le plafond. et suivi de la Lune.
La Banque de France.
Le plafond. et suivi de la Lune.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le plafond. Le sujet central représente le Lever du Soleil. Il est entouré par les quatre éléments,les heures du jour, le temps et la nuit.
La Banque de France.
Le plafond. Le sujet central représente le Lever du Soleil. Il est entouré par les quatre éléments,les heures du jour, le temps et la nuit.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le plafond.  Au centre figure le char d'Apollon qui traverse le ciel
La Banque de France.
Le plafond. Au centre figure le char d'Apollon qui traverse le ciel
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le plafond. Le char d'Apollon est précédé de l'étoile du matin
La Banque de France.
Le plafond. Le char d'Apollon est précédé de l'étoile du matin
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le plafond.
La Banque de France.
Le plafond.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>  la Terre avec Pluton et Proserpine,
La Banque de France.
la Terre avec Pluton et Proserpine,
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<center></center><center>La Banque de France.</center>et le  Feu avec Jupiter et Sémélé. Sémélé, allongé, obéit à sa nourrice, qui est en fait Héra, et voit Zeus dans toute sa splendeur (il se trouve à gauche sur son aigle). Elle fut consumée par la foudre qui entourait le dieu. Zeus eut juste le temps de sauver leur bébé en le cachant dans sa cuisse jusqu'au terme de la grossesse et ainsi trois mois plus tard naquit Dionysos pour la deuxième fois.
C'est pourquoi il est appelé le
La Banque de France.
et le Feu avec Jupiter et Sémélé. Sémélé, allongé, obéit à sa nourrice, qui est en fait Héra, et voit Zeus dans toute sa splendeur (il se trouve à gauche sur son aigle). Elle fut consumée par la foudre qui entourait le dieu. Zeus eut juste le temps de sauver leur bébé en le cachant dans sa cuisse jusqu'au terme de la grossesse et ainsi trois mois plus tard naquit Dionysos pour la deuxième fois. C'est pourquoi il est appelé le "deux fois né".
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Mort de Cléopâtre et Antoine. Copie de Turchi.
La Banque de France.
Mort de Cléopâtre et Antoine. Copie de Turchi.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Coriolan marche sur Rome, mais cèdant aux prières de sa mère et de sa femme, il se retire. Copie du Guerchin.
La Banque de France.
Coriolan marche sur Rome, mais cèdant aux prières de sa mère et de sa femme, il se retire. Copie du Guerchin.
85
<center></center><center>La Banque de France.</center> Romulus et Remus recueilli par Faustulus. Copie de Pierre de Cortone.
La Banque de France.
Romulus et Remus recueilli par Faustulus. Copie de Pierre de Cortone.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Enlévement d'Hélène par Paris, original de Guido Reni.
La Banque de France.
Enlévement d'Hélène par Paris, original de Guido Reni.
88
<center></center><center>La Banque de France.</center> Camille livre le maître d'école de Faleries à ses écoliers. Copie de Poussin. Général romain assiégeant la ville étrusque de Faléries, Camille punit la trahison d'un maître d'école qui lui amenait ses élèves en otages.
La Banque de France.
Camille livre le maître d'école de Faleries à ses écoliers. Copie de Poussin. Général romain assiégeant la ville étrusque de Faléries, Camille punit la trahison d'un maître d'école qui lui amenait ses élèves en otages.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Hersilie séparant Romulus et Tatius, ou le combat de Romains et des Sabins. Copie du Guerchin.
La Banque de France.
Hersilie séparant Romulus et Tatius, ou le combat de Romains et des Sabins. Copie du Guerchin.
91
<center></center><center>La Banque de France.</center> Auguste ordonne de fermer les portes du temple de Janus, ou la Paix d'Auguste. Copie de Carlo Maratta.
La Banque de France.
Auguste ordonne de fermer les portes du temple de Janus, ou la Paix d'Auguste. Copie de Carlo Maratta.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Les Adieux de Caton d'Utique à son fils. Copie du Guerchin .
La Banque de France.
Les Adieux de Caton d'Utique à son fils. Copie du Guerchin .
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La sibylle fait apparaître la Vierge à Auguste. Copie de Pierre de Cortone.
La Banque de France.
La sibylle fait apparaître la Vierge à Auguste. Copie de Pierre de Cortone.
95
<center></center><center>La Banque de France.</center> César remet Cléopâtre sur le trône d'Egypte, à droite, la femme de César Calpurnia Pisonis. Copie de pierre de Cortone.
La Banque de France.
César remet Cléopâtre sur le trône d'Egypte, à droite, la femme de César Calpurnia Pisonis. Copie de pierre de Cortone.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
La Banque de France.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Le papier peint qui recouvrait les murs en 1793.
La Banque de France.
Le papier peint qui recouvrait les murs en 1793.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger. Les lambris sont à nu, ce sont des lambris à la capucine.
La Banque de France.
La salle à manger. Les lambris sont à nu, ce sont des lambris à la capucine.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger.
La Banque de France.
La salle à manger.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
La Banque de France.
La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
La Banque de France.
La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
La Banque de France.
La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
La Banque de France.
La salle à manger. Dessus de porte du XIXe siècle.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger.
La Banque de France.
La salle à manger.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger.
La Banque de France.
La salle à manger.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger.
La Banque de France.
La salle à manger.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger.
La Banque de France.
La salle à manger.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La salle à manger.
La Banque de France.
La salle à manger.
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<center></center><center>La Banque de France.</center>
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Louis Ier Phélypeaux de la Vrillière qui fit construire l'hôtel.
La Banque de France.
Louis Ier Phélypeaux de la Vrillière qui fit construire l'hôtel.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> Mercure.
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Mercure.
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La trompe qui était l'extrémité de l'hôtel
La Banque de France.
La trompe qui était l'extrémité de l'hôtel
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<center></center><center>La Banque de France.</center> La trompe qui était l'extrémité de l'hôtel
La Banque de France.
La trompe qui était l'extrémité de l'hôtel
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<center></center><center>Place des Victoires.</center>Une statue primitive du roi, à pied, a déterminé le rayon de la place, ce qui lui donne ses dimensions harmonieuses. L'établissement de la place, financé en partie par le maréchal duc de la Feuillade, est dû à Jules Hardouin-Mansart. La place évoque les victoires de Louis XIV.
Place des Victoires.
Une statue primitive du roi, à pied, a déterminé le rayon de la place, ce qui lui donne ses dimensions harmonieuses. L'établissement de la place, financé en partie par le maréchal duc de la Feuillade, est dû à Jules Hardouin-Mansart. La place évoque les victoires de Louis XIV.
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<center></center><center>Place des Victoires.</center>La statue que nous voyons aujourd'hui est une œuvre de Bosio (1822).
Place des Victoires.
La statue que nous voyons aujourd'hui est une œuvre de Bosio (1822).
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<center></center><center>Place des Victoires.</center>La statue que nous voyons aujourd'hui est une œuvre de Bosio (1822).
Place des Victoires.
La statue que nous voyons aujourd'hui est une œuvre de Bosio (1822).
121
<center></center><center>Place des Victoires.</center>Le passage du Rhin.
Place des Victoires.
Le passage du Rhin.
122
<center></center><center>Place des Victoires.</center>L'institution de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.
Place des Victoires.
L'institution de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis.
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<center></center><center>Place des Victoires.</center> La rue Vide-Gousset. Hôtel Rambouillet de la Sablière ou hôtel Clairambault.
Place des Victoires.
La rue Vide-Gousset. Hôtel Rambouillet de la Sablière ou hôtel Clairambault.
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<center></center><center>Place des Victoires.</center>Elle est bordée de façades uniformes qui conservent leurs arcades surmontées de mascarons et les pilastres ioniques embrassant deux étages. L'hôtel de Prévenchères, ou hôtel Lenoir.
Place des Victoires.
Elle est bordée de façades uniformes qui conservent leurs arcades surmontées de mascarons et les pilastres ioniques embrassant deux étages. L'hôtel de Prévenchères, ou hôtel Lenoir.
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<center></center><center>Place des Victoires.</center>
Place des Victoires.
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