Paris 2012

Champs Elysées, Hôtel de la Païva, Maisons-Laffitte

<center>Marathon de Paris.</center>
Marathon de Paris.
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<center>Marathon de Paris.</center>
Marathon de Paris.
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<center>Patinoire.</center>Le Panorama fut édifié en 1860 par l'architecte Gabriel Davioud, avec le concours du peintre Langlois. Le Panorama étai tun vaste tableau circulaire développé sur la paroi intérieure d'une rotonde et qui donnait l'illusion de la réalité. Puis ce fut, en 1893, le Palais de Glace. Depuis 1961, c'est le Théâtre du Rond-Point.
Patinoire.
Le Panorama fut édifié en 1860 par l'architecte Gabriel Davioud, avec le concours du peintre Langlois. Le Panorama étai tun vaste tableau circulaire développé sur la paroi intérieure d'une rotonde et qui donnait l'illusion de la réalité. Puis ce fut, en 1893, le Palais de Glace. Depuis 1961, c'est le Théâtre du Rond-Point.
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<center>Ancien hôtel Lehon.</center>Lehon été l'ambassadeur de Belgique. Sa femme était la maîtresse du duc de Morny.
Ancien hôtel Lehon.
Lehon été l'ambassadeur de Belgique. Sa femme était la maîtresse du duc de Morny.
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<center>Ancien hôtel de Morny.</center>Le duc de Morny se fit construire un petit hôtel que la rumeur publique appelée
Ancien hôtel de Morny.
Le duc de Morny se fit construire un petit hôtel que la rumeur publique appelée "la niche à fidèle".
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<center>Ancien hôtel de Morny.</center>Cet hôtel fut agrandi par Dassault en 1975.
Ancien hôtel de Morny.
Cet hôtel fut agrandi par Dassault en 1975.
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<center>Ancien hôtel de Morny.</center>Partie de 1890.
Ancien hôtel de Morny.
Partie de 1890.
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<center>Ancien hôtel de Morny.</center>A gauche, l'ancienne partie, à droite la nouvelle. On voit la différence par les volets.
Ancien hôtel de Morny.
A gauche, l'ancienne partie, à droite la nouvelle. On voit la différence par les volets.
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<center>Ancien hôtel de Morny.</center>
Ancien hôtel de Morny.
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<center>Champs Elysées</center>
Champs Elysées
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Née à Moscou en 1819, dans une famille de réfugiés juifs polonais, Esther Lachmann a connu une enfance misérable. Mariée à 17 ans à un modeste tailleur français, Antoine Villoing, elle abandonne rapidement enfant et mari, pour faire fortune ailleurs. Son objectif, c’est Paris où elle arrive sous le nom de Thérèse. Jeune et belle, elle attire le regard des hommes… et fait ses débuts de prostituée dans le quartier des Lorettes. Elle devient rapidement l’une des courtisanes les plus en vue du Paris du second Empire.
Hôtel de la Païva.
Née à Moscou en 1819, dans une famille de réfugiés juifs polonais, Esther Lachmann a connu une enfance misérable. Mariée à 17 ans à un modeste tailleur français, Antoine Villoing, elle abandonne rapidement enfant et mari, pour faire fortune ailleurs. Son objectif, c’est Paris où elle arrive sous le nom de Thérèse. Jeune et belle, elle attire le regard des hommes… et fait ses débuts de prostituée dans le quartier des Lorettes. Elle devient rapidement l’une des courtisanes les plus en vue du Paris du second Empire.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Son mariage avec le marquis de Païva y Araujo - dont elle se débarrasse promptement - lui vaut un titre de noblesse. Sa liaison avec Guido Henckel von Donnersmarck, richissime propriétaire de mines en Silésie, cousin de Bismarck, lui procure une très confortable fortune et le titre de comtesse. C’est cette fortune qui lui permet de s’offrir sur les Champs-Elysées une demeure qu’elle souhaite aussi ostentatoire que possible, manifestant aux yeux de tous son incroyable réussite. La Païva fit appel à l'architecte Pierre Manguin pour construire l'hôtel dans le style de la renaissance italienne avec un jardin suspendu. Elle l'inaugura en 1866. Elle y reçut des gens célèbres : les Goncourt, Théophile Gautier, Gambetta, Renan, Taine... En 1882, soupçonnée d'espionnage, elle dut quitter la France et se retirer en Silésie où elle décéda deux ans plus tard. Les portes en bronze sculpté sont de Eugène Legrain.
Hôtel de la Païva.
Son mariage avec le marquis de Païva y Araujo - dont elle se débarrasse promptement - lui vaut un titre de noblesse. Sa liaison avec Guido Henckel von Donnersmarck, richissime propriétaire de mines en Silésie, cousin de Bismarck, lui procure une très confortable fortune et le titre de comtesse. C’est cette fortune qui lui permet de s’offrir sur les Champs-Elysées une demeure qu’elle souhaite aussi ostentatoire que possible, manifestant aux yeux de tous son incroyable réussite. La Païva fit appel à l'architecte Pierre Manguin pour construire l'hôtel dans le style de la renaissance italienne avec un jardin suspendu. Elle l'inaugura en 1866. Elle y reçut des gens célèbres : les Goncourt, Théophile Gautier, Gambetta, Renan, Taine... En 1882, soupçonnée d'espionnage, elle dut quitter la France et se retirer en Silésie où elle décéda deux ans plus tard. Les portes en bronze sculpté sont de Eugène Legrain.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Vestibule.
Hôtel de la Païva.
Vestibule.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>
Hôtel de la Païva.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>
Hôtel de la Païva.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>
Hôtel de la Païva.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>vers le grand salon.
Hôtel de la Païva.
vers le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. L'architecte Manguin s'est entouré des sculpteurs: Louis-Ernest Barrias, Léon Cugnot, Eugène Delaplanche, Eugène Legrain, Ernest Carrier-Belleuse et Jules Dalou.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. L'architecte Manguin s'est entouré des sculpteurs: Louis-Ernest Barrias, Léon Cugnot, Eugène Delaplanche, Eugène Legrain, Ernest Carrier-Belleuse et Jules Dalou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. Cheminée à la royale, de style renaissance.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. Cheminée à la royale, de style renaissance.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. La Païva aurait servi de modèle au sculpteur Delaplanche pour ces allégories de l’Harmonie et de la Musique qui ornent la cheminée en marbre rouge. Le vase est d'inspiration Médicis.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. La Païva aurait servi de modèle au sculpteur Delaplanche pour ces allégories de l’Harmonie et de la Musique qui ornent la cheminée en marbre rouge. Le vase est d'inspiration Médicis.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. Relief de style XVIIIe,
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. Relief de style XVIIIe, "Amours dansants", de Delaplanche.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. Petits Amours, de Dalou.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. Petits Amours, de Dalou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. Les muses, deux paires sont l’œuvre de Jules Dalou et deux autres de Nathan.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. Les muses, deux paires sont l’œuvre de Jules Dalou et deux autres de Nathan.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. Le plafond est de Paul Baudry, sa peinture représente « Le Jour pourchassant la Nuit ».
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. Le plafond est de Paul Baudry, sa peinture représente « Le Jour pourchassant la Nuit ».
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon. Les lambris brun et or comme les portes, sont ornés de lapis-lazuli.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon. Les lambris brun et or comme les portes, sont ornés de lapis-lazuli.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le grand salon.
Hôtel de la Païva.
Le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique. Vénus sortant du bain, peinture d'Henri Picou.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique. Vénus sortant du bain, peinture d'Henri Picou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le petit salon de musique.
Hôtel de la Païva.
Le petit salon de musique.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Vers la salle à manger.
Hôtel de la Païva.
Vers la salle à manger.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Vers le grand salon.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Vers le grand salon.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger, nouveauté du 19ème siècle.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger, nouveauté du 19ème siècle.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Faune à la flûte de Pan de Dalou.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Faune à la flûte de Pan de Dalou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger.  Faune à la flûte double de Dalou.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Faune à la flûte double de Dalou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. La Bacchante, et le grand oiseau sont des  sculptures de J Dalou.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. La Bacchante, et le grand oiseau sont des sculptures de J Dalou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Dessus de cheminée de A. Jacquemart.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Dessus de cheminée de A. Jacquemart.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Le plafond à coupole, à l’italienne, c’est « Diane » alanguie avec un cerf, directement issue d’un plat de Bernard Palissy est du jeune Jules Dalou.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Le plafond à coupole, à l’italienne, c’est « Diane » alanguie avec un cerf, directement issue d’un plat de Bernard Palissy est du jeune Jules Dalou.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Au dessus des portes, peintes par Gabriel Ranvier, des allégories de la chasse,
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Au dessus des portes, peintes par Gabriel Ranvier, des allégories de la chasse,
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. la pêche,
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. la pêche,
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. la récolte,
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. la récolte,
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. les vendanges.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. les vendanges.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Les lambris incrustés de marbre sont d'Antoine Kneib, ébéniste.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Les lambris incrustés de marbre sont d'Antoine Kneib, ébéniste.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Le bar.
Hôtel de la Païva.
La salle à manger. Le bar.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Le bar.
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La salle à manger. Le bar.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La salle à manger. Le bar.
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La salle à manger. Le bar.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx. Cet escalier en onyx jaune, probablement unique au monde, qui faisait affirmer à Théophile Gautier : « Comme la vertu, le vice a ses degrés »
Hôtel de la Païva.
L’escalier d’onyx. Cet escalier en onyx jaune, probablement unique au monde, qui faisait affirmer à Théophile Gautier : « Comme la vertu, le vice a ses degrés »
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx. Amphitrite, bas-relief de Léon Cugnot.
Hôtel de la Païva.
L’escalier d’onyx. Amphitrite, bas-relief de Léon Cugnot.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx. Sous la coupole, quatre villes italiennes peintes par Pierre Bisset.
Hôtel de la Païva.
L’escalier d’onyx. Sous la coupole, quatre villes italiennes peintes par Pierre Bisset.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx. Statue de Pétrarque de Léon Cugnot.
Hôtel de la Païva.
L’escalier d’onyx. Statue de Pétrarque de Léon Cugnot.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx. Statue en marbre représentant Virgile, datée de 1865 et réalisée par Louis-Ernest Barrias.
Hôtel de la Païva.
L’escalier d’onyx. Statue en marbre représentant Virgile, datée de 1865 et réalisée par Louis-Ernest Barrias.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx. Statue de Dante, par Jean-Paul Aubé.
Hôtel de la Païva.
L’escalier d’onyx. Statue de Dante, par Jean-Paul Aubé.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>L’escalier d’onyx.
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L’escalier d’onyx.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque. Murs recouverts de panneaux d’agate, de faïence de Deck et de céramiques de Venise, sol en onyx, plafond à caissons.
Hôtel de la Païva.
Le cabinet de toilette mauresque. Murs recouverts de panneaux d’agate, de faïence de Deck et de céramiques de Venise, sol en onyx, plafond à caissons.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque.
Hôtel de la Païva.
Le cabinet de toilette mauresque.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque.
Hôtel de la Païva.
Le cabinet de toilette mauresque.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque. Baignoire en argent avec trois robinets, le troisième étant utilisé pour verser du lait ou du champagne.
Hôtel de la Païva.
Le cabinet de toilette mauresque. Baignoire en argent avec trois robinets, le troisième étant utilisé pour verser du lait ou du champagne.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque.
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Le cabinet de toilette mauresque.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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Le cabinet de toilette mauresque.
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Le cabinet de toilette mauresque.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise. Des médaillons en bronze doré sur les portes, signés Picou, exposent les vertus de la maîtresse de maison : divitia
Hôtel de la Païva.
La chambre de la marquise. Des médaillons en bronze doré sur les portes, signés Picou, exposent les vertus de la maîtresse de maison : divitia
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise. Fortitudo.
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La chambre de la marquise. Fortitudo.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise. Plafond peint à clés pendantes, néo-gothique flamboyant.
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La chambre de la marquise. Plafond peint à clés pendantes, néo-gothique flamboyant.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise. La cheminée en malachite verte est portée par deux statues agenouillées de Albert Carrier-Belleuse en bronze doré.
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La chambre de la marquise. La cheminée en malachite verte est portée par deux statues agenouillées de Albert Carrier-Belleuse en bronze doré.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Vers le boudoir.
Hôtel de la Païva.
Vers le boudoir.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Boudoir. Cheminée en marbre de Carrare, à décor floral.
Hôtel de la Païva.
Boudoir. Cheminée en marbre de Carrare, à décor floral.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Boudoir. L'encadrement du foyer est incrusté de lapis-lazuli.
Hôtel de la Païva.
Boudoir. L'encadrement du foyer est incrusté de lapis-lazuli.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>Bouidoir. Bronze argenté de Albert Carrier-Belleuse, « femme et enfant ».
Hôtel de la Païva.
Bouidoir. Bronze argenté de Albert Carrier-Belleuse, « femme et enfant ».
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<center>Hôtel de la Païva.</center>
Hôtel de la Païva.
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<center>Hôtel de la Païva.</center>En bas de l'escalier, vers le vestibule.
Hôtel de la Païva.
En bas de l'escalier, vers le vestibule.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Ancien hôtel Claridge.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Ancien hôtel Claridge.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
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Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Galerie du Lido. Les Arcades des Champs-Élysées furent construites en 1925 par l'architecte Charles Lefebvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon à l'emplacement de l'ancien hôtel Dufayel. La parcelle de terrain, étroite, entre l'avenue et la rue de Ponthieu, avait été acquise par le diamantaire et promoteur immobilier Léonard Rosenthal. Les Arcades furent inaugurées le 1er octobre 1926. Quelques colonnes en marbre, provenant de l'ancien hôtel Dufayel, sont utilisées dans la réalisation. La décoration de la galerie est l'œuvre du ferronnier René Gobert, des maîtres-verriers Fernand Jacopozzi et René Lalique, auteur de fontaines de verre, aujourd'hui disparues.
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido. Les Arcades des Champs-Élysées furent construites en 1925 par l'architecte Charles Lefebvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon à l'emplacement de l'ancien hôtel Dufayel. La parcelle de terrain, étroite, entre l'avenue et la rue de Ponthieu, avait été acquise par le diamantaire et promoteur immobilier Léonard Rosenthal. Les Arcades furent inaugurées le 1er octobre 1926. Quelques colonnes en marbre, provenant de l'ancien hôtel Dufayel, sont utilisées dans la réalisation. La décoration de la galerie est l'œuvre du ferronnier René Gobert, des maîtres-verriers Fernand Jacopozzi et René Lalique, auteur de fontaines de verre, aujourd'hui disparues.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Galerie du Lido.
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Galerie du Lido.
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Galerie du Lido.
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Galerie du Lido.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Galerie du Lido.
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Galerie du Lido.
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Les Champs Elysées.
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Les Champs Elysées.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>
Les Champs Elysées.
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace. Hôtel de voyageurs construit en 1898 pour la Compagnie des wagons-lits par l'architecte Georges Chedanne. Ce fut le premier des grands hôtels de voyageurs édifiés sur les Champs-Élysées. Il fut bientôt suivi par l'hôtel Astoria (1904) et l'hôtel Claridge (1912).
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace. Hôtel de voyageurs construit en 1898 pour la Compagnie des wagons-lits par l'architecte Georges Chedanne. Ce fut le premier des grands hôtels de voyageurs édifiés sur les Champs-Élysées. Il fut bientôt suivi par l'hôtel Astoria (1904) et l'hôtel Claridge (1912).
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<center>Les  Champs Elysées.</center>Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
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Les Champs Elysées.
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