Le Fort du Mont à Albertville. Hauteluce. Beaufort-sur-Doron.

Le Fort du Mont. Hauteluce : l'écomusée ; l'église Saint-Jacques-d'Assyrie ; l'église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies. Beaufort-sur-Doron : l'église Saint-Maxime ; la Coopérative laitière du Beaufortin.

<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Entrée du fort. Il domine le bassin albertvillois à 1130 m d’altitude. Il occupe un replat qui permet le regard vers la vallée de la Tarentaise et vers le débouché du Beaufortain. Comme tous les édifices similaires, est astucieusement situé pour surveiller et défendre un secteur, mais « est également protégé des éventuels tirs ennemis.
L’ensemble du site est peu visible, donc peu exposé depuis la vallée tant les aménagements se fondent dans le relief naturel : c'est l'art du défilement. De plus, le Fort étant perché, il est difficile pour des canons ennemis de se positionner de façon à nuire. Cet atout est appelé «le commandement».
Albertville : Fort du Mont.
Entrée du fort. Il domine le bassin albertvillois à 1130 m d’altitude. Il occupe un replat qui permet le regard vers la vallée de la Tarentaise et vers le débouché du Beaufortain. Comme tous les édifices similaires, est astucieusement situé pour surveiller et défendre un secteur, mais « est également protégé des éventuels tirs ennemis. L’ensemble du site est peu visible, donc peu exposé depuis la vallée tant les aménagements se fondent dans le relief naturel : c'est l'art du défilement. De plus, le Fort étant perché, il est difficile pour des canons ennemis de se positionner de façon à nuire. Cet atout est appelé «le commandement».
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Au-dessus de l'entrée, le poste de télégraphie optique. A partir de 1874, le Général Séré de Rivières impose au Comité de Défense, qui a pour mission la réorganisation défensive de toutes les frontières de France, un nouveau système de fortifications qui porte son nom.
Il choisit le site d'Albertville pour arrêter une invasion italienne lancée depuis le Col du Petit Saint Bernard (Tarentaise), prévoyant aussi un contournement dans le Beaufortain.
Albertville : Fort du Mont.
Au-dessus de l'entrée, le poste de télégraphie optique. A partir de 1874, le Général Séré de Rivières impose au Comité de Défense, qui a pour mission la réorganisation défensive de toutes les frontières de France, un nouveau système de fortifications qui porte son nom. Il choisit le site d'Albertville pour arrêter une invasion italienne lancée depuis le Col du Petit Saint Bernard (Tarentaise), prévoyant aussi un contournement dans le Beaufortain.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Séré de Rivières, fidèle à ses principes, organise la place d'Albertville avec plusieurs forts et ouvrages, placés et étagés autour de la ville.
Trois types d'ouvrages sont mis en œuvre :
Les ouvrages d'interdiction qui barrent les fonds de vallées ;
Les ouvrages de protection à flanc de montagne ayant un champ de tir étendu ;
Les ouvrages de surveillance sur les crêtes.
Tous ces ouvrages se protègent mutuellement.
Les batteries de Conflans ferment la route de Tarentaise (interdiction, en bas). Batterie de Lançon (au centre) Avec une vue en enfilade jusqu'à Cevins, le Fort du Mont (à droite)est idéalement placé pour surveiller et couper cette route par des tirs d'artillerie de longue portée (protection). Plus en retrait, le Fort du Villard (et ses batteries, en bas à gauche) à Mercury et le Fort de Tamié (à gauche) complètent le barrage et empêchent tout mouvement ennemi vers la Combe de Savoie, tandis qu'au nord d'Albertville, le Fort de Lestai verrouille le Val d'Arly.
Sur les Crêtes, les blockhaus des Têtes et du Laitelet (surveillance) au-dessus du Fort du Mont) et celui de l'Alpettaz (aufond, à gauche)au-dessus du Fort de Lestai (aufond, au centre) achèvent de verrouiller le dispositif.
Albertville : Fort du Mont.
Séré de Rivières, fidèle à ses principes, organise la place d'Albertville avec plusieurs forts et ouvrages, placés et étagés autour de la ville. Trois types d'ouvrages sont mis en œuvre : Les ouvrages d'interdiction qui barrent les fonds de vallées ; Les ouvrages de protection à flanc de montagne ayant un champ de tir étendu ; Les ouvrages de surveillance sur les crêtes. Tous ces ouvrages se protègent mutuellement. Les batteries de Conflans ferment la route de Tarentaise (interdiction, en bas). Batterie de Lançon (au centre) Avec une vue en enfilade jusqu'à Cevins, le Fort du Mont (à droite)est idéalement placé pour surveiller et couper cette route par des tirs d'artillerie de longue portée (protection). Plus en retrait, le Fort du Villard (et ses batteries, en bas à gauche) à Mercury et le Fort de Tamié (à gauche) complètent le barrage et empêchent tout mouvement ennemi vers la Combe de Savoie, tandis qu'au nord d'Albertville, le Fort de Lestai verrouille le Val d'Arly. Sur les Crêtes, les blockhaus des Têtes et du Laitelet (surveillance) au-dessus du Fort du Mont) et celui de l'Alpettaz (aufond, à gauche)au-dessus du Fort de Lestai (aufond, au centre) achèvent de verrouiller le dispositif.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Construit entre 1877 et 1881 pour arrêter une éventuelle invasion italienne, ce Fort est occupé par l'armée française jusqu'à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
Pourtant, à peine achevé, il devient quasiment obsolète du fait de l'évolution de l'artillerie et de la mise en place d'une autre ligne de défense, plus proche de la frontière italienne, autour de Bourg-Saint-Maurice.
Le Fort du Mont n'a ainsi jamais connu de combats.
Albertville : Fort du Mont.
Construit entre 1877 et 1881 pour arrêter une éventuelle invasion italienne, ce Fort est occupé par l'armée française jusqu'à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Pourtant, à peine achevé, il devient quasiment obsolète du fait de l'évolution de l'artillerie et de la mise en place d'une autre ligne de défense, plus proche de la frontière italienne, autour de Bourg-Saint-Maurice. Le Fort du Mont n'a ainsi jamais connu de combats.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un des bastionnets de l'escarpe. L’enceinte du fort épouse le relief mais le terrain alentour était parfaitement dégagé : ni talus, ni roche, ni arbre qui puisse permettre à un assaillant de se dérober aux tirs défensifs : c’est le glacis. Protégés par un mur d’escarpe haut de plusieurs mètres, les défenseurs visent et tirent grâce à des ouvertures ressemblant aux meurtrières d’autrefois : les créneaux à fusil.
Chaque segment du mur d’escarpe est protégé par un saillant, permettant ainsi un tir flanquant, c’est-à-dire parallèle au mur. Parfois, un coffre (abri enterré) est dissimulé dans le saillant, comme ici occupé par un  bastionnet.
Albertville : Fort du Mont.
Un des bastionnets de l'escarpe. L’enceinte du fort épouse le relief mais le terrain alentour était parfaitement dégagé : ni talus, ni roche, ni arbre qui puisse permettre à un assaillant de se dérober aux tirs défensifs : c’est le glacis. Protégés par un mur d’escarpe haut de plusieurs mètres, les défenseurs visent et tirent grâce à des ouvertures ressemblant aux meurtrières d’autrefois : les créneaux à fusil. Chaque segment du mur d’escarpe est protégé par un saillant, permettant ainsi un tir flanquant, c’est-à-dire parallèle au mur. Parfois, un coffre (abri enterré) est dissimulé dans le saillant, comme ici occupé par un bastionnet.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le mécanisme du pont-levis. L’unique entrée du fort reste un point faible qu’il faut protéger – y compris en temps de paix – grâce à un fossé, un pont-levis et de nombreux créneaux à fusil. Dans tous les forts de la région d’Albertville, on retrouve le même type de pont-levis : le pont-levis à bascule en-dessous à mouvement assisté. Sous ces termes un peu ardus se cache en fait une technique assez simple : le tablier en bois se redresse grâce à des contre poids qui basculent dans une fosse, le tout formant un ensemble solidaire et rectiligne, en équilibre sur des tourillons. Ce mécanisme s’actionne facilement grâce à un seul homme, qui, tirant sur un levier, déverrouille la chute des contrepoids.
Albertville : Fort du Mont.
Le mécanisme du pont-levis. L’unique entrée du fort reste un point faible qu’il faut protéger – y compris en temps de paix – grâce à un fossé, un pont-levis et de nombreux créneaux à fusil. Dans tous les forts de la région d’Albertville, on retrouve le même type de pont-levis : le pont-levis à bascule en-dessous à mouvement assisté. Sous ces termes un peu ardus se cache en fait une technique assez simple : le tablier en bois se redresse grâce à des contre poids qui basculent dans une fosse, le tout formant un ensemble solidaire et rectiligne, en équilibre sur des tourillons. Ce mécanisme s’actionne facilement grâce à un seul homme, qui, tirant sur un levier, déverrouille la chute des contrepoids.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Cour principale avec des casemates logements. Tous les forts Séré de Rivières sont construits et équipés de façon à tenir un siège de trois mois maximum.'
Cette autonomie vaut aussi bien pour les vivres, l'eau, le matériel que pour les soins et les munitions.
 Le Fort du Mont peut accueillir 400 soldats (dont 13 officiers et 17 sous-officiers) et comprend des casemates pour loger la troupe en dortoirs. 
Les pièces où dorment les gradés sont plus petites et bien plus confortables. De même, ceux-ci se restaurent au mess alors que les soldats emportent leurs rations dans le dortoir ou à l'extérieur.
Le pain est cuit sur place quotidiennement dans le four du Fort.
Albertville : Fort du Mont.
Cour principale avec des casemates logements. Tous les forts Séré de Rivières sont construits et équipés de façon à tenir un siège de trois mois maximum.' Cette autonomie vaut aussi bien pour les vivres, l'eau, le matériel que pour les soins et les munitions. Le Fort du Mont peut accueillir 400 soldats (dont 13 officiers et 17 sous-officiers) et comprend des casemates pour loger la troupe en dortoirs. Les pièces où dorment les gradés sont plus petites et bien plus confortables. De même, ceux-ci se restaurent au mess alors que les soldats emportent leurs rations dans le dortoir ou à l'extérieur. Le pain est cuit sur place quotidiennement dans le four du Fort.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Casemates logements des officiers.
Albertville : Fort du Mont.
Casemates logements des officiers.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Au-dessus, le poste de télégraphie optique.
Communiquer avec les autres forts était essentiel. Le moyen adopté à l’époque fut la télégraphie optique (le téléphone n’était pas encore répandu). Le principe est simple  : il suffit d’envoyer des signaux lumineux codés en morse. Pour cela, on emploie une source de lumière (lampe à pétrole ou à acétylène ou, dans certains cas, le soleil capté par des miroirs) couplée à une lentille grossissante, le tout dirigé vers le poste récepteur. Ainsi, le Fort du Mont était en permanence en mesure de communiquer avec les autres forts autour d’Albertville, mais aussi avec le Fort de Montperché (Maurienne), le Fort Barraux (Grésivaudan) et même le Fort de Saint-Eynard (Grenoble).
Albertville : Fort du Mont.
Au-dessus, le poste de télégraphie optique. Communiquer avec les autres forts était essentiel. Le moyen adopté à l’époque fut la télégraphie optique (le téléphone n’était pas encore répandu). Le principe est simple : il suffit d’envoyer des signaux lumineux codés en morse. Pour cela, on emploie une source de lumière (lampe à pétrole ou à acétylène ou, dans certains cas, le soleil capté par des miroirs) couplée à une lentille grossissante, le tout dirigé vers le poste récepteur. Ainsi, le Fort du Mont était en permanence en mesure de communiquer avec les autres forts autour d’Albertville, mais aussi avec le Fort de Montperché (Maurienne), le Fort Barraux (Grésivaudan) et même le Fort de Saint-Eynard (Grenoble).
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Une casemate.
Albertville : Fort du Mont.
Une casemate.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Les défenseurs visaient et tiraient grâce à des ouvertures ressemblant aux meurtrières d’autrefois : les créneaux à fusil.
Albertville : Fort du Mont.
Les défenseurs visaient et tiraient grâce à des ouvertures ressemblant aux meurtrières d’autrefois : les créneaux à fusil.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Bastionnet avec sa galerie d'escarpe couverte.
Albertville : Fort du Mont.
Bastionnet avec sa galerie d'escarpe couverte.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La galerie d'escarpe couverte.
Albertville : Fort du Mont.
La galerie d'escarpe couverte.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le  chemin de ronde.
Albertville : Fort du Mont.
Le chemin de ronde.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Mur de défilement le long de la courtine sud.
Albertville : Fort du Mont.
Mur de défilement le long de la courtine sud.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le  chemin de ronde.
Albertville : Fort du Mont.
Le chemin de ronde.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un abri pour les hommes et les munitions. Au-dessus, une plarforme d'artillerie pour un canon de 120 de Bange.
Albertville : Fort du Mont.
Un abri pour les hommes et les munitions. Au-dessus, une plarforme d'artillerie pour un canon de 120 de Bange.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Au fond, un saillant.
Albertville : Fort du Mont.
Au fond, un saillant.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le mur d’escarpe au niveau du deuxième bastionnet.
Albertville : Fort du Mont.
Le mur d’escarpe au niveau du deuxième bastionnet.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Vue du bastionnet.
Albertville : Fort du Mont.
Vue du bastionnet.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Vue du bastionnet.
Albertville : Fort du Mont.
Vue du bastionnet.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Entrée du troisème coffre d'escarpe qui  s'occupe de la protection du saillant .
Albertville : Fort du Mont.
Entrée du troisème coffre d'escarpe qui s'occupe de la protection du saillant .
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Chaque segment du mur d’escarpe est protégé par un saillant, permettant ainsi un tir flanquant, c’est-à-dire parallèle au mur.
Albertville : Fort du Mont.
Chaque segment du mur d’escarpe est protégé par un saillant, permettant ainsi un tir flanquant, c’est-à-dire parallèle au mur.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le saillant.
Albertville : Fort du Mont.
Le saillant.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le flanc est (face à la Roche Pourrie), plus exposé à ce genre d’attaque, possède un fossé complété par le mur de contre-escarpe.
Albertville : Fort du Mont.
Le flanc est (face à la Roche Pourrie), plus exposé à ce genre d’attaque, possède un fossé complété par le mur de contre-escarpe.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La caponnière double. La caponnière, construite en saillie par rapport au fort, permet de tirer vers le fossé. Les ouvertures aménagées sur deux niveaux sont destinées à des fusils et à des canons à balles. 
La caponnière du Fort du Mont est dite «  double  » car elle permet de flanquer le côté nord en plus du fossé est.
Albertville : Fort du Mont.
La caponnière double. La caponnière, construite en saillie par rapport au fort, permet de tirer vers le fossé. Les ouvertures aménagées sur deux niveaux sont destinées à des fusils et à des canons à balles. La caponnière du Fort du Mont est dite « double » car elle permet de flanquer le côté nord en plus du fossé est.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le chemin de ronde.
Albertville : Fort du Mont.
Le chemin de ronde.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Accès à la caponnière double depuis le chemin de ronde.
Albertville : Fort du Mont.
Accès à la caponnière double depuis le chemin de ronde.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté est.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté sud.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage. Côté nord.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L’intérieur de la caponnière double à étage. Cheminée d'aération.
Albertville : Fort du Mont.
L’intérieur de la caponnière double à étage. Cheminée d'aération.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Escalier d'accés à la caponnière.
Albertville : Fort du Mont.
Escalier d'accés à la caponnière.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Une cheminée d'aération.
Albertville : Fort du Mont.
Une cheminée d'aération.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La claustra délimite la lampisterie.
Albertville : Fort du Mont.
La claustra délimite la lampisterie.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La claustra délimite la lampisterie.
Albertville : Fort du Mont.
La claustra délimite la lampisterie.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L'arrière d'une chambrée du deuxième casernement.
Albertville : Fort du Mont.
L'arrière d'une chambrée du deuxième casernement.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> L'arrière d'une chambrée du deuxième casernement. Des jours grilles se trouvent au sol devant chaque porte du premier étage de façon à éclairer le couloir du rez-de-chaussée.
Albertville : Fort du Mont.
L'arrière d'une chambrée du deuxième casernement. Des jours grilles se trouvent au sol devant chaque porte du premier étage de façon à éclairer le couloir du rez-de-chaussée.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Entrée d'une chambrée.
Albertville : Fort du Mont.
Entrée d'une chambrée.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Entrée d'une chambrée.
Albertville : Fort du Mont.
Entrée d'une chambrée.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Une chambrée  pour 48 hommes, avec son plancher.
Albertville : Fort du Mont.
Une chambrée pour 48 hommes, avec son plancher.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le casernement des sous-officiers. L’artillerie de l’époque, en progrès constant, projette des obus destructeurs. Les bâtiments maçonnés sont donc dissimulés sous d’épais matelas de terre. L’explosion d’un projectile forme un cratère mais ne perce pas la voûte de la casemate.
Albertville : Fort du Mont.
Le casernement des sous-officiers. L’artillerie de l’époque, en progrès constant, projette des obus destructeurs. Les bâtiments maçonnés sont donc dissimulés sous d’épais matelas de terre. L’explosion d’un projectile forme un cratère mais ne perce pas la voûte de la casemate.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un passage couvert
Albertville : Fort du Mont.
Un passage couvert
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La cuisine.
Albertville : Fort du Mont.
La cuisine.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La boulangerie.
Albertville : Fort du Mont.
La boulangerie.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un lavoir.
Albertville : Fort du Mont.
Un lavoir.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La cour supérieure. Portes des anciennes poudrières. A droite, entrée du monte-charge destiné à descendre les munitions sous-terre. Au-dessus, une des deux casemate Haxo. Deux casemates de tir direct d’artillerie sont positionnées pour contenir l’ennemi loin du fort. Ces casemates de type Haxo sont noyées dans le cavalier au-dessus du bâtiment A. La casemate Haxo (du nom de son inventeur 
François Haxo, l’architecte de la Bastille de Grenoble) se compose d’un simple tunnel voûté, autorisant un tir direct avec un canon-revolver. Le choix de cette arme et de cette architecture – déjà dépassées pour l’époque – s’explique par la proximité des cibles à atteindre (1500 m environ). A noter que ce sont les deux seules casemates de ce type sur la place-forte d’Albertville.
Albertville : Fort du Mont.
La cour supérieure. Portes des anciennes poudrières. A droite, entrée du monte-charge destiné à descendre les munitions sous-terre. Au-dessus, une des deux casemate Haxo. Deux casemates de tir direct d’artillerie sont positionnées pour contenir l’ennemi loin du fort. Ces casemates de type Haxo sont noyées dans le cavalier au-dessus du bâtiment A. La casemate Haxo (du nom de son inventeur François Haxo, l’architecte de la Bastille de Grenoble) se compose d’un simple tunnel voûté, autorisant un tir direct avec un canon-revolver. Le choix de cette arme et de cette architecture – déjà dépassées pour l’époque – s’explique par la proximité des cibles à atteindre (1500 m environ). A noter que ce sont les deux seules casemates de ce type sur la place-forte d’Albertville.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Entrée du magasin caverne creusé dans la roche.
Albertville : Fort du Mont.
Entrée du magasin caverne creusé dans la roche.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Trois ateliers de chargement avec leurs fumivores des créneaux à lampe.
Albertville : Fort du Mont.
Trois ateliers de chargement avec leurs fumivores des créneaux à lampe.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un atelier de chargement avec une gouttière de récupération de la condensation.
Albertville : Fort du Mont.
Un atelier de chargement avec une gouttière de récupération de la condensation.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> A gauche, des emplacements pour stocker les détonateurs.
Albertville : Fort du Mont.
A gauche, des emplacements pour stocker les détonateurs.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un créneaux à lampe avec son fumivore.
Albertville : Fort du Mont.
Un créneaux à lampe avec son fumivore.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Un créneaux à lampe avec son fumivore.
Albertville : Fort du Mont.
Un créneaux à lampe avec son fumivore.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le magasin caverne à poudre avec deux gouttières de récupération de la condensation. Le Fort du Mont peut stocker jusqu’à 72 tonnes de poudre. Hautement explosive et sensible à l’humidité, la poudre exige d’apporter un soin particulier à son stockage.
Dans un premier temps, les tonnelets de poudre sont entassés dans des magasins casemates. Les soldats chargés du transport chaussent des galoches en bois et prennent garde de ne jamais entrer dans la pièce avec une lampe à pétrole. Le fer est banni à cause du risque d’étincelle, les gonds et serrures sont en bronze. La troupe confectionne les petites munitions (cartouches) et les gargousses (sacs de poudre pour les canons).
A partir de 1885, les progrès techniques de l’artillerie et l’invention d’une nouvelle poudre (la mélinite), plus efficace et moins sensible à l’humidité, imposent la création de nouveaux lieux de stockage sécurisés. Les maçonneries ne résistent pas aux nouveaux obus, il faut donc chercher la solution en sous-sol avec le percement d’un magasin-caverne à plusieurs mètres sous terre. Les conditions de travail des artificiers vont s’en trouver terriblement changées !
Albertville : Fort du Mont.
Le magasin caverne à poudre avec deux gouttières de récupération de la condensation. Le Fort du Mont peut stocker jusqu’à 72 tonnes de poudre. Hautement explosive et sensible à l’humidité, la poudre exige d’apporter un soin particulier à son stockage. Dans un premier temps, les tonnelets de poudre sont entassés dans des magasins casemates. Les soldats chargés du transport chaussent des galoches en bois et prennent garde de ne jamais entrer dans la pièce avec une lampe à pétrole. Le fer est banni à cause du risque d’étincelle, les gonds et serrures sont en bronze. La troupe confectionne les petites munitions (cartouches) et les gargousses (sacs de poudre pour les canons). A partir de 1885, les progrès techniques de l’artillerie et l’invention d’une nouvelle poudre (la mélinite), plus efficace et moins sensible à l’humidité, imposent la création de nouveaux lieux de stockage sécurisés. Les maçonneries ne résistent pas aux nouveaux obus, il faut donc chercher la solution en sous-sol avec le percement d’un magasin-caverne à plusieurs mètres sous terre. Les conditions de travail des artificiers vont s’en trouver terriblement changées !
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center>
Albertville : Fort du Mont.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> La citerne. L’approvisionnement en eau est assuré par une source captée en amont. En cas d’attaque, pour éviter toute tentative d’empoisonnement, il faut puiser l’eau de la citerne d’une capacité théorique de 440 m3  alimentée par un système de chéneaux pour la récupération de l’eau de pluie.
Albertville : Fort du Mont.
La citerne. L’approvisionnement en eau est assuré par une source captée en amont. En cas d’attaque, pour éviter toute tentative d’empoisonnement, il faut puiser l’eau de la citerne d’une capacité théorique de 440 m3 alimentée par un système de chéneaux pour la récupération de l’eau de pluie.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le mécanisme inférieur du pont-levis.
Albertville : Fort du Mont.
Le mécanisme inférieur du pont-levis.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le mécanisme du pont-levis : les contre-poids basculants.
Albertville : Fort du Mont.
Le mécanisme du pont-levis : les contre-poids basculants.
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<center>Albertville : Fort du Mont.</center> Le mécanisme du pont levis : les contre poids basculantsd.
Albertville : Fort du Mont.
Le mécanisme du pont levis : les contre poids basculantsd.
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<center>La Négresse .</center>
La Négresse .
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Son clocher à bulbe avec le Mont Blanc au fond.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Son clocher à bulbe avec le Mont Blanc au fond.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center> Fabrication du beurre.
Hauteluce : Écomusée.
Fabrication du beurre.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center> Les petits ramoneurs. Dès la fin du XVIIIe siècle, les petits ramoneurs se répandent dans toute la France.
Leur recrutement se fait dans trois régions : la Maurienne, la Tarentaise et la Vallée d'Aoste. Les troupes de petits savoyards partent le jour de la Saint Gras (le 7 septembre) et reviennent en mai. Pour les Savoyards
Hauteluce : Écomusée.
Les petits ramoneurs. Dès la fin du XVIIIe siècle, les petits ramoneurs se répandent dans toute la France. Leur recrutement se fait dans trois régions : la Maurienne, la Tarentaise et la Vallée d'Aoste. Les troupes de petits savoyards partent le jour de la Saint Gras (le 7 septembre) et reviennent en mai. Pour les Savoyards
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<center>Hauteluce : Écomusée.</center>
Hauteluce : Écomusée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Au cœur du Beaufortain, à 1100 mètres d’altitude, l’église Saint-Jacques d’Assyrie est un des hauts lieux de l’art baroque savoyard. Construite entre 1666 et 1672, elle présente une riche décoration. Le clocher, typique de l’art baroque alpin, à bulbe est l’un des plus majestueux et des plus élaborés de la région. Elle a, sans doute, été le fruit d’un grand remaniement au XVIIIe siècle, après le ministère de Saint François de Sales qui introduit en Pays de Savoie le style baroque architecture de la « contre-réforme ».
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Au cœur du Beaufortain, à 1100 mètres d’altitude, l’église Saint-Jacques d’Assyrie est un des hauts lieux de l’art baroque savoyard. Construite entre 1666 et 1672, elle présente une riche décoration. Le clocher, typique de l’art baroque alpin, à bulbe est l’un des plus majestueux et des plus élaborés de la région. Elle a, sans doute, été le fruit d’un grand remaniement au XVIIIe siècle, après le ministère de Saint François de Sales qui introduit en Pays de Savoie le style baroque architecture de la « contre-réforme ».
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Dédiée à Saint Jacques d’Assyrie, premier évêque de Tarentaise, venu évangéliser la Vallée vers le milieu du 5ème siècle avec Saint Maxime de Riez, l’église paroissiale est classée monument historique. Cette église halle est conforme aux édifices du Beaufortain : la tribune ne se contente pas d’être au fond de la nef : elle remplit également une grande surface des bas-côtés, représentant ainsi un « U » dans le sanctuaire.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Dédiée à Saint Jacques d’Assyrie, premier évêque de Tarentaise, venu évangéliser la Vallée vers le milieu du 5ème siècle avec Saint Maxime de Riez, l’église paroissiale est classée monument historique. Cette église halle est conforme aux édifices du Beaufortain : la tribune ne se contente pas d’être au fond de la nef : elle remplit également une grande surface des bas-côtés, représentant ainsi un « U » dans le sanctuaire.
94
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> La façade de l'église d'Hauteluce se distingue des autres églises baroques du Beaufortain par son décor peint représentant un temple antique. La façade avec 2 cadrans solaires sans gnomon. Au dessus des colonnes ioniques, dans des fausses niches Saint Pierre et Saint Paul encadrent Saint Jacques d'Assyrie.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La façade de l'église d'Hauteluce se distingue des autres églises baroques du Beaufortain par son décor peint représentant un temple antique. La façade avec 2 cadrans solaires sans gnomon. Au dessus des colonnes ioniques, dans des fausses niches Saint Pierre et Saint Paul encadrent Saint Jacques d'Assyrie.
95
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Les églises du Beaufortain ont deux rangées de fenêtres : les supérieures pour éclairer la tribune, les inférieures, la nef.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Les églises du Beaufortain ont deux rangées de fenêtres : les supérieures pour éclairer la tribune, les inférieures, la nef.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> L’église est flanquée au Nord du chœur d’un monumental clocher à bulbe de 55 mètres de hauteur. Rasé à la Révolution sur ordre du Représentant du Peuple Albitte en 1794, il a été reconstruit entre 1820 et 1825. Lors de cette reconstruction, on installa une première cloche, toujours en place. Elle a été fondue par les fondeurs Vallier & Gautier en 1824, un temps établis à Albertville. Chevet polygonal.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
L’église est flanquée au Nord du chœur d’un monumental clocher à bulbe de 55 mètres de hauteur. Rasé à la Révolution sur ordre du Représentant du Peuple Albitte en 1794, il a été reconstruit entre 1820 et 1825. Lors de cette reconstruction, on installa une première cloche, toujours en place. Elle a été fondue par les fondeurs Vallier & Gautier en 1824, un temps établis à Albertville. Chevet polygonal.
97
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Au-dessus d’un toit à l’impériale, se superposent deux petits corps octogonaux aveugles (lanternes), un bulbe, une flèche effilée puis une boule qui supporte une croix et un coq.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Au-dessus d’un toit à l’impériale, se superposent deux petits corps octogonaux aveugles (lanternes), un bulbe, une flèche effilée puis une boule qui supporte une croix et un coq.
98
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> La tour du clocher comme la façade est ornée d’un décor du 19e siècle en trompe-l’œil, avec des chaînages d’angle et de fausses pierres appareillées.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La tour du clocher comme la façade est ornée d’un décor du 19e siècle en trompe-l’œil, avec des chaînages d’angle et de fausses pierres appareillées.
99
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> La tourr porte une pendule à une seule aiguille qui signifie le temps qui passe et rapproche de la mort : une horloge sans aiguilles, la mort avec une faux, le léopard symbolisant l’éternité, le serpent, au pied gauche du squelette, le péché, et la stèle funéraire les fins dernières.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La tourr porte une pendule à une seule aiguille qui signifie le temps qui passe et rapproche de la mort : une horloge sans aiguilles, la mort avec une faux, le léopard symbolisant l’éternité, le serpent, au pied gauche du squelette, le péché, et la stèle funéraire les fins dernières.
100
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> L’entrée se fait sous une tribune en forme de fer à cheval, très caractéristique du Beaufortain. La balustrade est en pierre taillée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
L’entrée se fait sous une tribune en forme de fer à cheval, très caractéristique du Beaufortain. La balustrade est en pierre taillée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> C'est une église halle. Les voûtes de la nef sont des voûtes d'arête, elles transmettent les poussées sur 4 piliers qui ont des sections cruciformes (caractéristique de l'architecture au 17ème).
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
C'est une église halle. Les voûtes de la nef sont des voûtes d'arête, elles transmettent les poussées sur 4 piliers qui ont des sections cruciformes (caractéristique de l'architecture au 17ème).
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
105
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> A gauche, la croix de bois sculptée à la main date de 1723. Le retable baroque s’inscrit dans une abside à sept pans en insérant des verrières dans les volets latéraux, ce qui lui donne une allure bien particulière, très aérée. Il a été réalisé en 1749 par Joseph Albertini, de la Valsesia (vallée entre Turin et Milan) et Joseph Gentil, originaire de Macôt en Tarentaise.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
A gauche, la croix de bois sculptée à la main date de 1723. Le retable baroque s’inscrit dans une abside à sept pans en insérant des verrières dans les volets latéraux, ce qui lui donne une allure bien particulière, très aérée. Il a été réalisé en 1749 par Joseph Albertini, de la Valsesia (vallée entre Turin et Milan) et Joseph Gentil, originaire de Macôt en Tarentaise.
106
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>  Sur la grande toile centrale, Saint Jacques Apôtre en habit de pèlerin et Saint Jacques d’Assyrie en archevêque, se font face. Ils sont encadrés par Saint Maurice (patron de la Maison de Savoie) et Saint Sébastien, invoqué contre la peste. Au-dessus, à l’étage céleste, la Vierge en assomption, entourée d’angelots, fait le lien entre le ciel et la terre. Le retable est un structure en bois, en pin cembro (ou arolle), peint et doré à la feuille d’or.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Sur la grande toile centrale, Saint Jacques Apôtre en habit de pèlerin et Saint Jacques d’Assyrie en archevêque, se font face. Ils sont encadrés par Saint Maurice (patron de la Maison de Savoie) et Saint Sébastien, invoqué contre la peste. Au-dessus, à l’étage céleste, la Vierge en assomption, entourée d’angelots, fait le lien entre le ciel et la terre. Le retable est un structure en bois, en pin cembro (ou arolle), peint et doré à la feuille d’or.
107
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Antoine l'Ermite.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Antoine l'Ermite.
108
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Le tabernacle en bois doré (deuxième moitié du 18e siècle) occupe tout le centre du retable. sur la porte, le pélican. Comme tous ceux du Beaufortain, ce tabernacle frappe par sa richesse, son exubérance et sa monumentalité.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Le tabernacle en bois doré (deuxième moitié du 18e siècle) occupe tout le centre du retable. sur la porte, le pélican. Comme tous ceux du Beaufortain, ce tabernacle frappe par sa richesse, son exubérance et sa monumentalité.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Roch.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Roch.
110
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Dieu le Père, avec, au-dessus, la colombe du Saint Esprit.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Dieu le Père, avec, au-dessus, la colombe du Saint Esprit.
111
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Au-dessus de l'avant chœur : un calvaire. Ce calvaire sur poutre de gloire représente le Christ en croix, à sa droite, Marie (avec une épée plantée dans la poitrine), Marie Madeleine et Saint Jean. Le pied de la Croix est orné d'une sorte de gloire circulaire et rayonnante dans laquelle sont disposées 3 têtes d'anges.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Au-dessus de l'avant chœur : un calvaire. Ce calvaire sur poutre de gloire représente le Christ en croix, à sa droite, Marie (avec une épée plantée dans la poitrine), Marie Madeleine et Saint Jean. Le pied de la Croix est orné d'une sorte de gloire circulaire et rayonnante dans laquelle sont disposées 3 têtes d'anges.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Jacques, évêque de Tarentaise.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Jacques, évêque de Tarentaise.
113
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Jacques apôtre. Vitrail de Jandet, Grenoble, 1888.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Jacques apôtre. Vitrail de Jandet, Grenoble, 1888.
114
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> St Paul.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
St Paul.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> St Pierre.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
St Pierre.
116
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Joseph et la Ste Vierge tenant l'enfant Jésus dans leurs bras, de part et d'autre de la loggia du choeur.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Joseph et la Ste Vierge tenant l'enfant Jésus dans leurs bras, de part et d'autre de la loggia du choeur.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Dans le médaillon, st Jean l'évangéliste.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Dans le médaillon, st Jean l'évangéliste.
118
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Peinture en face de la loggia. Au-dessus, st Luc et st Marc.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Peinture en face de la loggia. Au-dessus, st Luc et st Marc.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> La donation du Rosaire  à sainte Catherine de Sienne par Jésus et saint Dominique par le Vierge.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La donation du Rosaire à sainte Catherine de Sienne par Jésus et saint Dominique par le Vierge.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> La Sainte Famille, encadrée par les statues, à gauche Saint Mamert protecteur contre les avalanches et à droite Saint Donat protecteur contre la grêle et le tonnerre. Deux Saints importants dans cette vallée d'Hauteluce.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La Sainte Famille, encadrée par les statues, à gauche Saint Mamert protecteur contre les avalanches et à droite Saint Donat protecteur contre la grêle et le tonnerre. Deux Saints importants dans cette vallée d'Hauteluce.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
126
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> La chaire à prêcher, en noyer teinté, date du début du 18e siècle. Quatre personnages sculptés en haut relief occupent les panneaux de la cuve hexagonale. Ils sont groupés deux par deux.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
La chaire à prêcher, en noyer teinté, date du début du 18e siècle. Quatre personnages sculptés en haut relief occupent les panneaux de la cuve hexagonale. Ils sont groupés deux par deux.
127
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Pierre (clés) et Saint Paul (épée). Sur le bas de la cuve, des têtes d'anges que supportent des consoles.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Pierre (clés) et Saint Paul (épée). Sur le bas de la cuve, des têtes d'anges que supportent des consoles.
128
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Saint Jacques Apôtre et Saint Jacques d’Assyrie.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Saint Jacques Apôtre et Saint Jacques d’Assyrie.
129
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Le mouvement dans les attitudes évoque le style particulier et expressif du sculpteur savoyard Jacques Clérant.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Le mouvement dans les attitudes évoque le style particulier et expressif du sculpteur savoyard Jacques Clérant.
130
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> L’abat-voix avec la colombe. Sur le dossier, le Bon Pasteur.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
L’abat-voix avec la colombe. Sur le dossier, le Bon Pasteur.
131
<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center>
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Première travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Première travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Première travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Première travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Première travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Première travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Deuxième travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Deuxième travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Deuxième travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Deuxième travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Deuxième travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Deuxième travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Troisième travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Troisième travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Troisième travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Troisième travée.
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<center>Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.</center> Troisième travée.
Hauteluce : Église Saint-Jacques-d'Assyrie.
Troisième travée.
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<center>Hauteluce.</center> Le Mont Blanc.
Hauteluce.
Le Mont Blanc.
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<center>Hauteluce.</center> Vallée du Beaufortain.
Hauteluce.
Vallée du Beaufortain.
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<center>Hauteluce.</center> Vallée du Beaufortain.
Hauteluce.
Vallée du Beaufortain.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> La chapelle Notre Dame de Haute au col des Saisies est une chapelle moderne construite en 2000 sur l’initiative d’une association l’ A.C.C.S. (Association pour la Construction de la Chapelle des Saisies). Il n’existait pas de chapelle avant et le village station ne date que des années soixante.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La chapelle Notre Dame de Haute au col des Saisies est une chapelle moderne construite en 2000 sur l’initiative d’une association l’ A.C.C.S. (Association pour la Construction de la Chapelle des Saisies). Il n’existait pas de chapelle avant et le village station ne date que des années soixante.
145
<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> L’architecte Gerard Jubier a conçu une forme octogonale (les baptistères primitifs) une charpente lumineuse reposant sur douze piliers (les apôtres), huit à l’intérieur, quatre à l’extérieur.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
L’architecte Gerard Jubier a conçu une forme octogonale (les baptistères primitifs) une charpente lumineuse reposant sur douze piliers (les apôtres), huit à l’intérieur, quatre à l’extérieur.
146
<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> La salle comme un théâtre descend vers l’autel. Le nom Notre Dame de Haute Lumière vient de son architecture avec de nombreuses ouvertures orientées plein sud apportant beaucoup de lumière à l’intérieur de l’édifice. La charpente, impressionnante, repose sur sept fermes (symbole des sept dons de l’Esprit Saint) fixées sur les colonnes, elles-mêmes ancrées sur le rocher.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La salle comme un théâtre descend vers l’autel. Le nom Notre Dame de Haute Lumière vient de son architecture avec de nombreuses ouvertures orientées plein sud apportant beaucoup de lumière à l’intérieur de l’édifice. La charpente, impressionnante, repose sur sept fermes (symbole des sept dons de l’Esprit Saint) fixées sur les colonnes, elles-mêmes ancrées sur le rocher.
147
<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>Les vitraux sont l’œuvre de Joel Mône verrier à Lyon avec une visitation et une annonciation de chaque côté du chœur et une nativité (2008). 4 piliers.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Les vitraux sont l’œuvre de Joel Mône verrier à Lyon avec une visitation et une annonciation de chaque côté du chœur et une nativité (2008). 4 piliers.
148
<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> Dans le choeur, les œuvres en bois sont de de René Picard, le père de Franck.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Dans le choeur, les œuvres en bois sont de de René Picard, le père de Franck.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> Croix lumineuse.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Croix lumineuse.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> Charpente lumineuse et quatre des douze piliers.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
Charpente lumineuse et quatre des douze piliers.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> La Nativité.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La Nativité.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center> La Nativité.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La Nativité.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>La Visitation.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
La Visitation.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>  L'annonciation.
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
L'annonciation.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.</center>
Église Notre-Dame-de-Haute-Lumière aux Saisies.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> L'Église Saint-Maxime de Beaufort est placée sous la patronage du saint, évangélisateur du Beaufortain. Il s'agît d'une église de style baroque, aménagée, puis agrandie entre 1608 et 1670, transformée à nouveau en 1958.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L'Église Saint-Maxime de Beaufort est placée sous la patronage du saint, évangélisateur du Beaufortain. Il s'agît d'une église de style baroque, aménagée, puis agrandie entre 1608 et 1670, transformée à nouveau en 1958.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> La tour du clocher est massive.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
La tour du clocher est massive.
168
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Placée au cœur du village, sur un promontoire rocheux, l’église offre une façade à pignon très sobre avec un portail. La porte en noyer clair est sculptée de fleurs de marguerite et décorée de cabochons en bronze. La statue de saint Maxime évêque trône dans une niche au-dessus d’un arc en plein cintre.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Placée au cœur du village, sur un promontoire rocheux, l’église offre une façade à pignon très sobre avec un portail. La porte en noyer clair est sculptée de fleurs de marguerite et décorée de cabochons en bronze. La statue de saint Maxime évêque trône dans une niche au-dessus d’un arc en plein cintre.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Porte du clocher.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Porte du clocher.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center>
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> L'église comporte une nef centrale et deux collatéraux. La tribune à retours d’angle avec une balustrade en noyer va jusqu’au chœur. Le chevet est plat.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L'église comporte une nef centrale et deux collatéraux. La tribune à retours d’angle avec une balustrade en noyer va jusqu’au chœur. Le chevet est plat.
172
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Les voûtes de la nef et des collatéraux sont dans le style du XVIIIe siècle : motifs végétaux et floraux, avec des chapeaux de cardinal. Ces peintures murales ont été restaurées en 1992.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Les voûtes de la nef et des collatéraux sont dans le style du XVIIIe siècle : motifs végétaux et floraux, avec des chapeaux de cardinal. Ces peintures murales ont été restaurées en 1992.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Retable majeur dont la partie centrale est réalisé par François Cuenot entre 1650 et 1659, et qui recouvre la totalité du chevet. La partie supérieure fut réalisée au XIXe siècle. Couleurs opaques gris et vert cendré typique du XIXe siècle, rehaussé de dorures. Premier registre probablement réalisé par François Cuenot.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Retable majeur dont la partie centrale est réalisé par François Cuenot entre 1650 et 1659, et qui recouvre la totalité du chevet. La partie supérieure fut réalisée au XIXe siècle. Couleurs opaques gris et vert cendré typique du XIXe siècle, rehaussé de dorures. Premier registre probablement réalisé par François Cuenot.
174
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center>
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
175
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> L’autel-tombeau en marqueterie date de 1746.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L’autel-tombeau en marqueterie date de 1746.
176
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Registre inférieur. Niche gauche : statue de saint Aubin bénissant (guérisseur des enfants faibles) attribuée à François Cuenot.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Niche gauche : statue de saint Aubin bénissant (guérisseur des enfants faibles) attribuée à François Cuenot.
177
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Registre inférieur. Tabernacle en bois doré et argenté, monumental. La porte convexe coulissante de l’ostensoir est ornée de l’Agneau aux Sept Sceaux de l’Apocalypse. Porte entourée de deux niches avec à gauche saint Paul et saint Pierre à droite. Monstrance terminée par des volutes formant une couronne fermée qui supporte la croix tréflée de saint Maurice. Deux anges portent une guirlande de fleur. Quatre autres tiennent des instruments de la Passion.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Tabernacle en bois doré et argenté, monumental. La porte convexe coulissante de l’ostensoir est ornée de l’Agneau aux Sept Sceaux de l’Apocalypse. Porte entourée de deux niches avec à gauche saint Paul et saint Pierre à droite. Monstrance terminée par des volutes formant une couronne fermée qui supporte la croix tréflée de saint Maurice. Deux anges portent une guirlande de fleur. Quatre autres tiennent des instruments de la Passion.
178
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Registre inférieur. Tabernacle en bois doré et argenté, monumental : en bas, la réserve des hosties est décorée d’une gravure de l’Ascension.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Tabernacle en bois doré et argenté, monumental : en bas, la réserve des hosties est décorée d’une gravure de l’Ascension.
179
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Registre inférieur. Panneau central : toile peinte représentant saint Maxime en évêque (gauche) face à saint Maurice en légionnaire agenouillé.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Panneau central : toile peinte représentant saint Maxime en évêque (gauche) face à saint Maurice en légionnaire agenouillé.
180
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Registre inférieur. Saint Maurice en légionnaire agenouillé. Au-dessus d’eux, la Vierge et l’Enfant parmi les anges musiciens observent la scène.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Saint Maurice en légionnaire agenouillé. Au-dessus d’eux, la Vierge et l’Enfant parmi les anges musiciens observent la scène.
181
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Registre inférieur. Niche droite : statue de saint Guérin portant la clé de son cilice (protecteur des troupeaux de bovins) attribuée à François Cuenot.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre inférieur. Niche droite : statue de saint Guérin portant la clé de son cilice (protecteur des troupeaux de bovins) attribuée à François Cuenot.
182
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center>Registre supérieur. Panneaux plats ornés de grappes de raisin (vin eucharistique), et d’épis de blé (pain eucharistique).
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Registre supérieur. Panneaux plats ornés de grappes de raisin (vin eucharistique), et d’épis de blé (pain eucharistique).
183
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Attique : la colombe du Saint-Esprit figure dans un vitrail du XIXe siècle, inséré dans un œil-de-bœuf.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Attique : la colombe du Saint-Esprit figure dans un vitrail du XIXe siècle, inséré dans un œil-de-bœuf.
184
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center>Au-dessus du retable, st maxime. Poutre de gloire : le Christ en croix est entouré de la Vierge debout et voilée à droite, de Marie-Madeleine au pied de la croix, et de saint Jean sur la gauche. Deux angelots dans une gloire.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Au-dessus du retable, st Maxime. Poutre de gloire : le Christ en croix est entouré de la Vierge debout et voilée à droite, de Marie-Madeleine au pied de la croix, et de saint Jean sur la gauche. Deux angelots dans une gloire.
185
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Poutre de gloire : le Christ en croix est entouré de la Vierge debout et voilée à droite, de Marie-Madeleine au pied de la croix, et de saint Jean sur la gauche. Deux angelots dans une gloire.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Poutre de gloire : le Christ en croix est entouré de la Vierge debout et voilée à droite, de Marie-Madeleine au pied de la croix, et de saint Jean sur la gauche. Deux angelots dans une gloire.
186
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> La Pentecôte.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
La Pentecôte.
187
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> La Résurrection. Ces deux panneaux peints datent de 1840-1850.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
La Résurrection. Ces deux panneaux peints datent de 1840-1850.
188
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Les stalles.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Les stalles.
189
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Autel du Rosaire. Toile peinte et cadre datés de la première moitié du XVIIe siècle. Encadrement précieux posé sur deux gradins à frise fleurie. Au sommet : les deux cœurs flambants de Marie (le glaive) et de Jésus (la croix) figurent dans un gros médaillon couronné par la colombe du Saint-Esprit.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Autel du Rosaire. Toile peinte et cadre datés de la première moitié du XVIIe siècle. Encadrement précieux posé sur deux gradins à frise fleurie. Au sommet : les deux cœurs flambants de Marie (le glaive) et de Jésus (la croix) figurent dans un gros médaillon couronné par la colombe du Saint-Esprit.
190
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Le tableau représente la Vierge et l’Enfant au centre d’une couronne de roses. Tandis que la Vierge remet le chapelet à saint Dominique, l’Enfant le remet à sainte Catherine de Sienne. Le chien aux pieds des deux saints dominicains est une figure du serviteur de Dieu. Il tient dans sa gueule le flambeau allumé, symbole du triomphe de la foi sur l’hérésie. Le lys qu’ils tiennent symbolise la chasteté. Au sommet : les deux cœurs flambants de Marie (le glaive) et de Jésus (la croix).
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Le tableau représente la Vierge et l’Enfant au centre d’une couronne de roses. Tandis que la Vierge remet le chapelet à saint Dominique, l’Enfant le remet à sainte Catherine de Sienne. Le chien aux pieds des deux saints dominicains est une figure du serviteur de Dieu. Il tient dans sa gueule le flambeau allumé, symbole du triomphe de la foi sur l’hérésie. Le lys qu’ils tiennent symbolise la chasteté. Au sommet : les deux cœurs flambants de Marie (le glaive) et de Jésus (la croix).
191
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Autel saint Éloi. Retable de corporation de métier, dédié à saint Éloi. Une hache, une équerre et un compas décorent le devant d’autel.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Autel saint Éloi. Retable de corporation de métier, dédié à saint Éloi. Une hache, une équerre et un compas décorent le devant d’autel.
192
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Sur la gauche, saint Éloi évêque brandit le marteau des orfèvres et des maréchaux ferrants. Sur la droite, saint Crépin offre une paire de chaussures à un enfant (saint patron des cordonniers).
En haut : la Vierge Marie et l’Enfant Jésus sont encadrés par saint Antoine abbé (muni du Tau et de la clochette)  à gauche, et saint Joseph portant le bâton fleuri à droite.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Sur la gauche, saint Éloi évêque brandit le marteau des orfèvres et des maréchaux ferrants. Sur la droite, saint Crépin offre une paire de chaussures à un enfant (saint patron des cordonniers). En haut : la Vierge Marie et l’Enfant Jésus sont encadrés par saint Antoine abbé (muni du Tau et de la clochette) à gauche, et saint Joseph portant le bâton fleuri à droite.
193
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Chaire à prêcher.
Sculptée par Jacques Clérant (originaire de Moûtiers), en noyer enduit d’une patine noire. Cuve hexagonale, ornée des quatre Pères de l’Église latine en haut-relief : : le pape Grégoire le Grand, saint Augustin évêque,
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Chaire à prêcher. Sculptée par Jacques Clérant (originaire de Moûtiers), en noyer enduit d’une patine noire. Cuve hexagonale, ornée des quatre Pères de l’Église latine en haut-relief : le pape Grégoire le Grand, saint Augustin évêque,
194
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center>  saint Ambroise évêque, le pape Grégoire le Grand,
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
saint Ambroise évêque, le pape Grégoire le Grand,
195
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> saint Jérôme cardinal, saint Ambroise évêque.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
saint Jérôme cardinal, saint Ambroise évêque.
196
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Sur le dossier : le Bon Pasteur.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Sur le dossier : le Bon Pasteur.
197
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> L’abat-voix est décoré de guirlandes de fleurs et des anges musiciens en occupent la partie supérieure. Un angelot, perché au sommet, souffle dans la trompette du Jugement Dernier.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
L’abat-voix est décoré de guirlandes de fleurs et des anges musiciens en occupent la partie supérieure. Un angelot, perché au sommet, souffle dans la trompette du Jugement Dernier.
198
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Motifs végétaux et floraux, avec des chapeaux de cardinal.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Motifs végétaux et floraux, avec des chapeaux de cardinal.
199
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Motifs végétaux et floraux.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Motifs végétaux et floraux.
200
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> En haut, le baptême de Jésus par Saint Jean-Baptiste.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
En haut, le baptême de Jésus par Saint Jean-Baptiste.
201
<center>Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.</center> Le chemin de Croix.
Beaufort-sur-Doron : Église Saint-Maxime.
Le chemin de Croix.
202
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> L'appellation « beaufort » associé au fromage remonte à 1865. Le projet de création de la Coopérative laitière du Beaufortain débute en 1957 mené par un groupe d'agriculteurs. Après un démarrage difficile, elle ouvre ses portes en 1961. L'année suivante, la fruitière d'Arêches cesse son activité et ses adhérents rejoignent la nouvelle Coopérative. En 1968, la protection comme Appellation d'origine contrôlée est enregistrée. La zone de production du lait et sa transformation est limitée aux vallées du Beaufortain, de la Maurienne, de la Tarentaise et d'une partie du val d'Arly et les vaches doivent être de race tarine ou abondance. En 1972, l'ouverture de la Coopérative au public puis le développement de la vente directe ont contribué à sa réussite et à la notoriété du fromage Beaufort. La coopérative comporte 41 caves d'affinage avec une capacité totale de 32 000 meules, et fabrique plus de 30 000 meules par an. C'est le 1er producteur de Beaufort avec 1/4 de la production nationale.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
L'appellation « beaufort » associé au fromage remonte à 1865. Le projet de création de la Coopérative laitière du Beaufortain débute en 1957 mené par un groupe d'agriculteurs. Après un démarrage difficile, elle ouvre ses portes en 1961. L'année suivante, la fruitière d'Arêches cesse son activité et ses adhérents rejoignent la nouvelle Coopérative. En 1968, la protection comme Appellation d'origine contrôlée est enregistrée. La zone de production du lait et sa transformation est limitée aux vallées du Beaufortain, de la Maurienne, de la Tarentaise et d'une partie du val d'Arly et les vaches doivent être de race tarine ou abondance. En 1972, l'ouverture de la Coopérative au public puis le développement de la vente directe ont contribué à sa réussite et à la notoriété du fromage Beaufort. La coopérative comporte 41 caves d'affinage avec une capacité totale de 32 000 meules, et fabrique plus de 30 000 meules par an. C'est le 1er producteur de Beaufort avec 1/4 de la production nationale.
203
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Le lait non refroidi collecté dans les deux heures est emprésuré dès son arrivée à la laiterie. Le caillé est emprisonné dans la toile et le cercle de bois, et mis sous presse pendant 20 heures et retourné à plusieurs reprises. Il faut 10 kg de lait cru pour élaborer 1 kg de fromage. Salé par trempage 24 heures en saumure, le fromage passe ensuite des mains du fromager à celles du caviste. Le fromage est entreposé en cave à la température inférieure à 12 °C et à l'hygrométrie supérieure à 92 %. Le caviste dépose deux fois par semaine une petite poignée de sel sur le fromage. Une fois fondu, le sel est étalé et le surplus essuyé à la main, avant que la meule ne soit retournée. Le fromage est posé sur des planches d'épicéa brutes. L'affinage dure au minimum 5 mois après la date d'emprésurage.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Le lait non refroidi collecté dans les deux heures est emprésuré dès son arrivée à la laiterie. Le caillé est emprisonné dans la toile et le cercle de bois, et mis sous presse pendant 20 heures et retourné à plusieurs reprises. Il faut 10 kg de lait cru pour élaborer 1 kg de fromage. Salé par trempage 24 heures en saumure, le fromage passe ensuite des mains du fromager à celles du caviste. Le fromage est entreposé en cave à la température inférieure à 12 °C et à l'hygrométrie supérieure à 92 %. Le caviste dépose deux fois par semaine une petite poignée de sel sur le fromage. Une fois fondu, le sel est étalé et le surplus essuyé à la main, avant que la meule ne soit retournée. Le fromage est posé sur des planches d'épicéa brutes. L'affinage dure au minimum 5 mois après la date d'emprésurage.
204
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Une plaque de caséine bleue signale les fromages conformes au décret d'appellation. Elle est posée en talon lors du premier retournement du fromage. Il s'agit d'un droit à produire. Elle est achetée auprès du Syndicat de Défense du Beaufort qui protège l'AOP.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Une plaque de caséine bleue signale les fromages conformes au décret d'appellation. Elle est posée en talon lors du premier retournement du fromage. Il s'agit d'un droit à produire. Elle est achetée auprès du Syndicat de Défense du Beaufort qui protège l'AOP.
205
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Informations de fabrication.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Informations de fabrication.
206
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> À la sortie des presses, les fromages sont marqués d'une lettre indiquant l'instant de fabrication (matin ou soir), de la lettre du fromager, de la lettre de la cuve, du jour et du mois de fabrication. Ces meules sont en train d'être retournées par un robot : la première colonne a été retournée. L'homme est plus rapide que la machine : il peut faire 70 retournements dans l'heure.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
À la sortie des presses, les fromages sont marqués d'une lettre indiquant l'instant de fabrication (matin ou soir), de la lettre du fromager, de la lettre de la cuve, du jour et du mois de fabrication. Ces meules sont en train d'être retournées par un robot : la première colonne a été retournée. L'homme est plus rapide que la machine : il peut faire 70 retournements dans l'heure.
207
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> La meule est saisie par le robot.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
La meule est saisie par le robot.
208
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Elle est posée sur un plateau tournant.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est posée sur un plateau tournant.
209
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Elle est salée par de l'eau saumurée.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est salée par de l'eau saumurée.
210
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Elle est reprise par le robot.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est reprise par le robot.
211
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Elle est reposée retournée sur la planche en épicéa.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Elle est reposée retournée sur la planche en épicéa.
212
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Dans cette cave sont entreposés du fromage qui n'est pas du beaufort : sa face latérale n'est pas concave. Cette forme particulière est donnée par moulage dans un cercle de bois de hêtre convexe appelé
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Dans cette cave est entreposé du fromage qui n'est pas du beaufort : sa face latérale n'est pas concave. Cette forme particulière est donnée par moulage dans un cercle de bois de hêtre convexe appelé "cercle de beaufort".
213
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Les 4 étapes finales.
« Le fromager est soucieux de la qualité du fromage. Avant de procéder au moulage il prend, les grains de caillé dans sa main pour faire son jugement : c’est le test du pâton. Il apprécie la texture à sa juste valeur : les grains ne doivent être ni, trop fermes, ni, trop, doux ».
Soutirage et moulage.
Le mélange du caillé et du petit-lait est évacué puis réparti dans les cloches de soutirage. Les grains de fromage se déposent en partie basse de la cloche où ils se rassemblent dans la toile de lin et le cercle en bois de hêtre.
Pressage et retournement.
Les fromages sont mis en presse, soumis à une force proche de 1000 kg, jusqu'au lendemain. Les grains se soudent et le petit-lait s'écoule. Plusieurs retournements seront réalisés afin de changer la toile et de resserrer le cercle.
Saumurage. .
À la sortie de presse, les fromages sont placés pendant 24 h dans une tour de refroidissement puis sont plongés à nouveau 24 h dans une saumure dynamique, un bain d'eau saturée en sel. Le fromage durcit en surface et commence à se former.
Affinage.
Placées sur des tablards en épicéa, dans les caves fraîches et humides, les meules sont salées, frottées et retournées deux fois par semaine par l'homme ou le robot, pendant 5 mois minimum.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Les 4 étapes finales. « Le fromager est soucieux de la qualité du fromage. Avant de procéder au moulage il prend, les grains de caillé dans sa main pour faire son jugement : c’est le test du pâton. Il apprécie la texture à sa juste valeur : les grains ne doivent être ni, trop fermes, ni, trop, doux ». Soutirage et moulage. Le mélange du caillé et du petit-lait est évacué puis réparti dans les cloches de soutirage. Les grains de fromage se déposent en partie basse de la cloche où ils se rassemblent dans la toile de lin et le cercle en bois de hêtre. Pressage et retournement. Les fromages sont mis en presse, soumis à une force proche de 1000 kg, jusqu'au lendemain. Les grains se soudent et le petit-lait s'écoule. Plusieurs retournements seront réalisés afin de changer la toile et de resserrer le cercle. Saumurage. . À la sortie de presse, les fromages sont placés pendant 24 h dans une tour de refroidissement puis sont plongés à nouveau 24 h dans une saumure dynamique, un bain d'eau saturée en sel. Le fromage durcit en surface et commence à se former. Affinage. Placées sur des tablards en épicéa, dans les caves fraîches et humides, les meules sont salées, frottées et retournées deux fois par semaine par l'homme ou le robot, pendant 5 mois minimum.
214
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Pressage et retournement. Les fromages sont mis en presse, soumis à une force proche de 1000 kg, jusqu'au lendemain. Les grains se soudent et le petit-lait s'écoule. Plusieurs retournements seront réalisés afin de changer la toile et de resserrer le cercle.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Pressage et retournement. Les fromages sont mis en presse, soumis à une force proche de 1000 kg, jusqu'au lendemain. Les grains se soudent et le petit-lait s'écoule. Plusieurs retournements seront réalisés afin de changer la toile et de resserrer le cercle.
215
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> Les fromages arrivent recouverts de toile de lin.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
Les fromages arrivent recouverts de toile de lin.
216
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> On découvre la meule.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On découvre la meule.
217
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> On enlève aussi le cerclage.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On enlève aussi le cerclage.
218
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> La meule n'est marquée que par la plaque de caséine.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
La meule n'est marquée que par la plaque de caséine.
219
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> On imprime le chiffre du mois (6 pour juin).
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On imprime le chiffre du mois (6 pour juin).
220
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> On ajoute toutes les lettres de fabrication.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On ajoute toutes les lettres de fabrication.
221
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center>
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
222
<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> On remballe le tout et la meule passe dans une presse. Ensuite on enlève la toile.
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
On remballe le tout et la meule passe dans une presse. Ensuite on enlève la toile.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center> On resserre le cerclage à coups de maillet. Ensuite les meules vont être reposées.
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On resserre le cerclage à coups de maillet. Ensuite les meules vont être reposées.
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<center>Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.</center>
Beaufort-sur-Doron : Coopérative laitière du Beaufortin.
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