Paris 2019

Manufacture de Sèvres, Maison des Jardies (Gambetta), Eglise de Ville d'Avray et les étangs de Corot.

<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Vase Cordelier 1ère grandeur, émaux de PN (pâte nouvelle) bleu céleste
Manufacture de Sèvres
Vase Cordelier 1ère grandeur, émaux de PN (pâte nouvelle) bleu céleste
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Vase Cordelier 1ère grandeur, émaux de PN (pâte nouvelle) bleu céleste
Manufacture de Sèvres
Vase Cordelier 1ère grandeur, émaux de PN (pâte nouvelle) bleu céleste
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Atelier de brunissage. Le brunissage, étape de lissage à l’agate et aux hématites du décor doré, permet de redonner la brillance à l’or pur rendu mat par la cuisson. L'agate s'utilise pour l'éclat des filets, tandis que l'hématite, plus douce, s'utilise pour les détails.
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Atelier de brunissage. Le brunissage, étape de lissage à l’agate et aux hématites du décor doré, permet de redonner la brillance à l’or pur rendu mat par la cuisson. L'agate s'utilise pour l'éclat des filets, tandis que l'hématite, plus douce, s'utilise pour les détails.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Atelier de brunissage.
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Atelier de brunissage.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Atelier de brunissage.
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Atelier de brunissage.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Atelier de brunissage.
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Atelier de brunissage.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Atelier de brunissage.
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Atelier de brunissage.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center>  L’atelier de garnissage-découpage façonne des anses, becs et boutons de préhension. Il intervient dans le découpage de pièces réalisées par l’atelier du calibrage. Il procède également à la retouche des vases facettés provenant de l’atelier du grand-coulage.
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L’atelier de garnissage-découpage façonne des anses, becs et boutons de préhension. Il intervient dans le découpage de pièces réalisées par l’atelier du calibrage. Il procède également à la retouche des vases facettés provenant de l’atelier du grand-coulage.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Atelier de Garnissage-Découpage. Le collage des garnitures se fait avec de la barbotine. Au départ, il faut tenir compte du retrait de 18% à la cuisson.
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Atelier de Garnissage-Découpage. Le collage des garnitures se fait avec de la barbotine. Au départ, il faut tenir compte du retrait de 18% à la cuisson.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center>
Manufacture de Sèvres
"Rustiques figulines" de Bernard Palissy (vers 1510-1590)
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"Rustiques figulines" de Bernard Palissy (vers 1510-1590)
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"Rustiques figulines" de Bernard Palissy (vers 1510-1590)
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"Rustiques figulines" de Bernard Palissy (vers 1510-1590)
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Nativité. Bas-relief. Ecole d'Andrea Della Robbia (1435-1505). Terre cuite émaillée. Florence. Vers 1500.
Manufacture de Sèvres
Nativité. Bas-relief. Ecole d'Andrea Della Robbia (1435-1505). Terre cuite émaillée. Florence. Vers 1500.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Porte-candélabre. Deux anges. Atelier de Buglioni. Terre cuite émaillée. Florence. 1460-1521.
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Porte-candélabre. Deux anges. Atelier de Buglioni. Terre cuite émaillée. Florence. 1460-1521.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Porte-candélabre. Deux anges. Atelier de Buglioni. Terre cuite émaillée. Florence. 1460-1521.
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Porte-candélabre. Deux anges. Atelier de Buglioni. Terre cuite émaillée. Florence. 1460-1521.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Retable de Cognac. Girolamo Della Robbia (1488-1566). Ce retable provient d’une chapelle du château de Cognac, lieu de naissance de François Ier. Terre cuite émaillée. France. Mars 1530. Entre deux pilastres ornés de symboles se rapportant au roi François Ier et à sa mère Louise de Savoie, dont les écussons forment la base, la scène centrale en relief représente La Naissance de la Vierge, d'après une gravure d'Albrecht Dürer (1471-1528) éditée en 1511.
Peinte en grisaille sur la prédelle, La Rencontre à la porte Dorée, illustre la rencontre des futurs parents de la Vierge, Anne et Joachim, devant la porte de Jérusalem.
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Retable de Cognac. Girolamo Della Robbia (1488-1566). Ce retable provient d’une chapelle du château de Cognac, lieu de naissance de François Ier. Terre cuite émaillée. France. Mars 1530. Entre deux pilastres ornés de symboles se rapportant au roi François Ier et à sa mère Louise de Savoie, dont les écussons forment la base, la scène centrale en relief représente La Naissance de la Vierge, d'après une gravure d'Albrecht Dürer (1471-1528) éditée en 1511. Peinte en grisaille sur la prédelle, La Rencontre à la porte Dorée, illustre la rencontre des futurs parents de la Vierge, Anne et Joachim, devant la porte de Jérusalem.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Epi de faîtage. À la fin du 16e siècle, les épis de faîtage peuvent compter jusqu’à dix éléments et leur fabrication nécessiter jusqu’à 30 moules. Terre vernissée. Le Pré d’Auge, Calvados. Vers 1600.
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Epi de faîtage. À la fin du 16e siècle, les épis de faîtage peuvent compter jusqu’à dix éléments et leur fabrication nécessiter jusqu’à 30 moules. Terre vernissée. Le Pré d’Auge, Calvados. Vers 1600.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> Vierge à l'Enfant. Giovanni Della Robbia ? (1394-1451). Terre cuite émaillée. France ? XVe siècle.
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Vierge à l'Enfant. Giovanni Della Robbia ? (1394-1451). Terre cuite émaillée. France ? XVe siècle.
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<center></center><center>Manufacture de Sèvres</center> SERVICE BLEU ÉLYSÉE. À l'issue d'un concours sur projet Évariste Richer a conçu le Service Bleu Élysée, à partir d'un plan du rez-de-chaussée du palais de l'Elysée datant de 1913. L'artiste a décomposé l'image en trois cents cercles définis par une assiette, chacune représentant un détail architectural du plan. Ces cinq assiettes représentent le célèbre perron de l'Élysée.
L'offset procédé d'impression qui permet une reproduction fidèle à l'intention de l'artiste, révèle la densité graphique du bleu de Sèvres et la blancheur de la porcelaine. Aujourd'hui, cette technique qui a peu à peu remplacé la la lithographie, est associée aux progrès Informatiques afin d'élargir le champ des possibles.
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SERVICE BLEU ÉLYSÉE. À l'issue d'un concours sur projet Évariste Richer a conçu le Service Bleu Élysée, à partir d'un plan du rez-de-chaussée du palais de l'Elysée datant de 1913. L'artiste a décomposé l'image en trois cents cercles définis par une assiette, chacune représentant un détail architectural du plan. Ces cinq assiettes représentent le célèbre perron de l'Élysée. L'offset procédé d'impression qui permet une reproduction fidèle à l'intention de l'artiste, révèle la densité graphique du bleu de Sèvres et la blancheur de la porcelaine. Aujourd'hui, cette technique qui a peu à peu remplacé la la lithographie, est associée aux progrès Informatiques afin d'élargir le champ des possibles.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Dès 1889, Benedetta Leris, sœur de Gambetta, fait don à l’État d’un terrain attenant à la maison des Jardies pour qu’y soit érigé un monument à la mémoire de son frère, par les soins du Comité des Alsaciens-Lorrains. Les fonds nécessaires sont recueillis auprès des populations des deux régions annexées par l’Allemagne depuis 1871.
Maison des Jardies à Sèvres
Dès 1889, Benedetta Leris, sœur de Gambetta, fait don à l’État d’un terrain attenant à la maison des Jardies pour qu’y soit érigé un monument à la mémoire de son frère, par les soins du Comité des Alsaciens-Lorrains. Les fonds nécessaires sont recueillis auprès des populations des deux régions annexées par l’Allemagne depuis 1871.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Conçue par l’Alsacien Auguste Bartholdi, la statue, inaugurée en grandes pompes le 8 novembre 1891, est avant tout un éloge de l’action de Gambetta dans l’organisation de la défense nationale, un hommage à celui qui ne s’était jamais résigné à céder l’Alsace et la Lorraine aux Prussiens victorieux. Son choix d’être député de Strasbourg, alors que l’Alsace est occupée, en est l’illustration la plus forte.
Maison des Jardies à Sèvres
Conçue par l’Alsacien Auguste Bartholdi, la statue, inaugurée en grandes pompes le 8 novembre 1891, est avant tout un éloge de l’action de Gambetta dans l’organisation de la défense nationale, un hommage à celui qui ne s’était jamais résigné à céder l’Alsace et la Lorraine aux Prussiens victorieux. Son choix d’être député de Strasbourg, alors que l’Alsace est occupée, en est l’illustration la plus forte.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le monument est particulièrement représentatif de la statuaire officielle de la IIIe République, grandiloquente et allégorique. Puissante et solennelle, l’œuvre de Bartholdi illustre la détermination de Gambetta, représenté portant gravement contre son cœur les drapeaux des deux provinces perdues. À ses pieds, gît l’aigle impérial. Encadrant le piédestal, les figures de l’Alsace et de la Lorraine, adossées à un autel votif, attendent leur délivrance. Trois inscriptions latines, Pro Patria, « pour la patrie », In clade decus, « l’honneur dans la défaite », et In luctu spes, « l’espérance dans le deuil », résument la symbolique de l’œuvre. Sur la rambarde, les noms et les blasons des villes.
Maison des Jardies à Sèvres
Le monument est particulièrement représentatif de la statuaire officielle de la IIIe République, grandiloquente et allégorique. Puissante et solennelle, l’œuvre de Bartholdi illustre la détermination de Gambetta, représenté portant gravement contre son cœur les drapeaux des deux provinces perdues. À ses pieds, gît l’aigle impérial. Encadrant le piédestal, les figures de l’Alsace et de la Lorraine, adossées à un autel votif, attendent leur délivrance. Trois inscriptions latines, Pro Patria, « pour la patrie », In clade decus, « l’honneur dans la défaite », et In luctu spes, « l’espérance dans le deuil », résument la symbolique de l’œuvre. Sur la rambarde, les noms et les blasons des villes.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> L'arrière du monument, avec, aussi, sur la rambarde, les noms et les blasons des villes.
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L'arrière du monument, avec, aussi, sur la rambarde, les noms et les blasons des villes.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le monument abrite dans son socle le cœur du célèbre défunt jusqu’en 1920. à cette date, celui-ci est transféré au Panthéon, en même temps que le corps du soldat inconnu, au cours d’une cérémonie qui réunit symboliquement le « saint » et le « martyr » de la République.
Maison des Jardies à Sèvres
Le monument abrite dans son socle le cœur du célèbre défunt jusqu’en 1920. à cette date, celui-ci est transféré au Panthéon, en même temps que le corps du soldat inconnu, au cours d’une cérémonie qui réunit symboliquement le « saint » et le « martyr » de la République.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Construite sur le versant sud du domaine de Saint-Cloud, la maison des Jardies était à l’origine une simple habitation de vigneron. Son cadre reposant et idéalement situé près de Paris, attire au XIXe siècle des personnalités qui marqueront le site de leur empreinte. C’est d’abord à Honoré de Balzac que les Jardies doivent leur renommée. Séduit par la situation idéale du terrain, l’écrivain fit en 1837 une première acquisition d’une maison et d’un terrain qu’il étendit progressivement de la rue du chemin vert (l’actuelle avenue Gambetta) à l’embarcadère du chemin de fer afin d’y créer un lotissement.
Maison des Jardies à Sèvres
Construite sur le versant sud du domaine de Saint-Cloud, la maison des Jardies était à l’origine une simple habitation de vigneron. Son cadre reposant et idéalement situé près de Paris, attire au XIXe siècle des personnalités qui marqueront le site de leur empreinte. C’est d’abord à Honoré de Balzac que les Jardies doivent leur renommée. Séduit par la situation idéale du terrain, l’écrivain fit en 1837 une première acquisition d’une maison et d’un terrain qu’il étendit progressivement de la rue du chemin vert (l’actuelle avenue Gambetta) à l’embarcadère du chemin de fer afin d’y créer un lotissement.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La cuisine. Léon Gambetta acheta l’ancienne maison du jardinier de Balzac en 1878. Il s’y rendit régulièrement avec son amie Léonie Léon, pour se reposer et se remettre de sa santé fragile. Il y mourut prématurément le 31 décembre 1882. Ses héritiers, son père et sa sœur, émus par la force du sentiment populaire qui transforma la Maison des Jardies en lieu de pèlerinage (elle le restera jusqu’à la seconde guerre mondiale), en firent don à l’Etat en 1887.
Maison des Jardies à Sèvres
La cuisine. Léon Gambetta acheta l’ancienne maison du jardinier de Balzac en 1878. Il s’y rendit régulièrement avec son amie Léonie Léon, pour se reposer et se remettre de sa santé fragile. Il y mourut prématurément le 31 décembre 1882. Ses héritiers, son père et sa sœur, émus par la force du sentiment populaire qui transforma la Maison des Jardies en lieu de pèlerinage (elle le restera jusqu’à la seconde guerre mondiale), en firent don à l’Etat en 1887.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La cuisine, première pièce de la visite, fait également office d’entrée. Elle frappe d’emblée par son aspect simple et rustique. L’espace, lieu mixte de passage et de travail, était jadis réservé à la domesticité
Maison des Jardies à Sèvres
La cuisine, première pièce de la visite, fait également office d’entrée. Elle frappe d’emblée par son aspect simple et rustique. L’espace, lieu mixte de passage et de travail, était jadis réservé à la domesticité
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La cuisine. Le fourneau en fonte situé au fond de la cuisine permettait de chauffer une réserve d’eau, accessible grâce au robinet latéral.
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La cuisine. Le fourneau en fonte situé au fond de la cuisine permettait de chauffer une réserve d’eau, accessible grâce au robinet latéral.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La cuisine. Un buffet, raboté dans sa partie haute à cause du plafond trop bas, accueille le visiteur. Balzac, son propriétaire, l’aurait caché dans cette pièce pour qu’il ne soit pas saisi par les huissiers.
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La cuisine. Un buffet, raboté dans sa partie haute à cause du plafond trop bas, accueille le visiteur. Balzac, son propriétaire, l’aurait caché dans cette pièce pour qu’il ne soit pas saisi par les huissiers.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le vestibule est la seule pièce consacrée entièrement  à la mémoire de Balzac, qui ne vécut jamais dans cette maison, destinée à abriter son jardinier, mais au sein d’un vaste chalet situé à proximité. C’est aux Jardies (dans sa maison qui n’existe plus aujourd’hui) que furent créés des classiques de notre littérature : César Birotteau, la Maison Nucingen, le Curé de village, Qui a terre a guerre...
Maison des Jardies à Sèvres
Le vestibule est la seule pièce consacrée entièrement à la mémoire de Balzac, qui ne vécut jamais dans cette maison, destinée à abriter son jardinier, mais au sein d’un vaste chalet situé à proximité. C’est aux Jardies (dans sa maison qui n’existe plus aujourd’hui) que furent créés des classiques de notre littérature : César Birotteau, la Maison Nucingen, le Curé de village, Qui a terre a guerre...
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Tête monumentale de Balzac, par Auguste Rodin, plâtre, (1898 ?). Cette épreuve est couverte d'un agent démoulant de teinte brun foncé, ayant servi à une fonte. Le modèle ne correspond pas à la tête définitive, mais à la dernière étude (avec un creux dans la chevelure à l’arrière de la tête, et une amorce de col sous la joue gauche).
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Tête monumentale de Balzac, par Auguste Rodin, plâtre, (1898 ?). Cette épreuve est couverte d'un agent démoulant de teinte brun foncé, ayant servi à une fonte. Le modèle ne correspond pas à la tête définitive, mais à la dernière étude (avec un creux dans la chevelure à l’arrière de la tête, et une amorce de col sous la joue gauche).
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La salle à manger .  Agrandie lors de plusieurs campagnes de construction, la demeure reste modeste : pièces peu nombreuses et étroites, plafonds bas et faible luminosité. Seul le salon, adjoint au bâtiment au milieu du XIXe siècle, plus vaste et plus éclairé, fait exception à la règle. Le fait que Gambetta ait eu besoin de se faire construire un kiosque (disparu) en contrebas de la maison pour y installer sa bibliothèque est révélateur : la place faisait défaut dans ce petit bâtiment, acheté au départ pour servir de maison de campagne.
Maison des Jardies à Sèvres
La salle à manger . Agrandie lors de plusieurs campagnes de construction, la demeure reste modeste : pièces peu nombreuses et étroites, plafonds bas et faible luminosité. Seul le salon, adjoint au bâtiment au milieu du XIXe siècle, plus vaste et plus éclairé, fait exception à la règle. Le fait que Gambetta ait eu besoin de se faire construire un kiosque (disparu) en contrebas de la maison pour y installer sa bibliothèque est révélateur : la place faisait défaut dans ce petit bâtiment, acheté au départ pour servir de maison de campagne.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La salle à manger s’ouvre sur l’extérieur par une porte, qui constituait l’entrée principale de la maison. Cette pièce accueille aujourd’hui de nombreux souvenirs de la jeunesse de Gambetta, et de sa carrière d’avocat.
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La salle à manger s’ouvre sur l’extérieur par une porte, qui constituait l’entrée principale de la maison. Cette pièce accueille aujourd’hui de nombreux souvenirs de la jeunesse de Gambetta, et de sa carrière d’avocat.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La salle à manger. Des portraits de ses parents et de sa compagne Léonie Léon évoquent l’attachement qu’il portait à ses proches, grâce au soutien desquels il parvenait à surmonter les épreuves de sa vie politique.
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La salle à manger. Des portraits de ses parents et de sa compagne Léonie Léon évoquent l’attachement qu’il portait à ses proches, grâce au soutien desquels il parvenait à surmonter les épreuves de sa vie politique.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La salle à manger.
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La salle à manger.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon est une vaste pièce, largement éclairée par quatre fenêtres. L’agencement mobilier restitue celui en place à la mort de Gambetta. On peut aisément y prendre conscience de l’atmosphère qui régnait aux Jardies il y a plus d’un siècle, dans ce lieu calme situé en bordure de forêt.
Maison des Jardies à Sèvres
Le salon est une vaste pièce, largement éclairée par quatre fenêtres. L’agencement mobilier restitue celui en place à la mort de Gambetta. On peut aisément y prendre conscience de l’atmosphère qui régnait aux Jardies il y a plus d’un siècle, dans ce lieu calme situé en bordure de forêt.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon.
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Le salon.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon. Sur la desserte, à gauche, un buste en plâtre patiné réalisé par Jean Carries évoque la force qui se dégageait du personnage, en restituant sans idéalisme ses traits et son allure décidée.
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Le salon. Sur la desserte, à gauche, un buste en plâtre patiné réalisé par Jean Carries évoque la force qui se dégageait du personnage, en restituant sans idéalisme ses traits et son allure décidée.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon.
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Le salon.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon.
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Le salon.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon. En haut, médaile de l'union des sociétés de gymnastiques de France, Nice 1801. D'alphèe Dubois, d'après Chapu.  Médaille d'Eugène Riu (1832-1895), général mais aussi sculpteur. Pour les deux, fondeur : F. Barbedienne.
Maison des Jardies à Sèvres
Le salon. En haut, médaile de l'union des sociétés de gymnastiques de France, Nice 1801. D'alphèe Dubois, d'après Chapu. Médaille d'Eugène Riu (1832-1895), général mais aussi sculpteur. Pour les deux, fondeur : F. Barbedienne.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon. Hommage du Lycée Gambetta de Cahors, 1893.
Maison des Jardies à Sèvres
Le salon. Hommage du Lycée Gambetta de Cahors, 1893.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon. A Gambetta. Constance, Fermeté, Prudence.  1873.
Maison des Jardies à Sèvres
Le salon. A Gambetta. Constance, Fermeté, Prudence. 1873.
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<center></center>. De E. Vernier
. De E. Vernier
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> Le salon. Cinquentenaire de la République. Anniversaire de l'Armistice, novembre 1920. Glorification du Soldat Inconnu. Transfert du Coeure de Gambetta. A Verdun, à la place Denfert-Rochereau, au Panthéon, à l'Arc de Triomphe.
Maison des Jardies à Sèvres
Le salon. Cinquentenaire de la République. Anniversaire de l'Armistice, novembre 1920. Glorification du Soldat Inconnu. Transfert du Coeure de Gambetta. A Verdun, à la place Denfert-Rochereau, au Panthéon, à l'Arc de Triomphe.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> L’escalier menant à l’étage s’interrompt par un palier où des tableaux et des médailles rappellent le rôle capital de Gambetta pendant la guerre de 1870. Alors que les Prussiens assiègent Paris, le gouvernement de la Défense nationale nomme Gambetta, ministre de l’Intérieur, à la tête de la délégation de Tours pour coordonner les actions militaires. Pour quitter Paris, il doit partir en ballon depuis la butte Montmartre sous les vivats de la foule parisienne le 7 octobre 1870.
Maison des Jardies à Sèvres
L’escalier menant à l’étage s’interrompt par un palier où des tableaux et des médailles rappellent le rôle capital de Gambetta pendant la guerre de 1870. Alors que les Prussiens assiègent Paris, le gouvernement de la Défense nationale nomme Gambetta, ministre de l’Intérieur, à la tête de la délégation de Tours pour coordonner les actions militaires. Pour quitter Paris, il doit partir en ballon depuis la butte Montmartre sous les vivats de la foule parisienne le 7 octobre 1870.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> L’escalier. Départ de Gambetta.
Maison des Jardies à Sèvres
L’escalier. Départ de Gambetta.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> L’ancien cabinet de toilette, petite pièce communiquant avec la chambre à coucher, abrite à présent des représentations de tous types de Gambetta, caricatures, illustrations de presse ou portraits sculptés. Elles donnent un aperçu de la façon, tour à tour admirative ou ironique, dont l’homme politique pouvait être vu par les témoins de son époque.
Maison des Jardies à Sèvres
L’ancien cabinet de toilette, petite pièce communiquant avec la chambre à coucher, abrite à présent des représentations de tous types de Gambetta, caricatures, illustrations de presse ou portraits sculptés. Elles donnent un aperçu de la façon, tour à tour admirative ou ironique, dont l’homme politique pouvait être vu par les témoins de son époque.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> L’Alsace. Elle attend est une commande d’épouses d'industriels de Thann, faite à l’initiative d’Eugénie Kestner. Le tableau est offert à Léon Gambetta (1838-1882) qui est alors un des plus farouches opposants à l’abandon de l’Alsace-Lorraine au nouvel Empire allemand suite à la guerre de 1870. Ce n’est pas un portrait mais une personnification de l’Alsace, une allégorie qui appartient au monde réel : une jeune Alsacienne en deuil, simple et digne. La cocarde tricolore piquée sur le nœud noir alsacien donne toute sa signification patriotique à cette peinture de Jean-Jacques Henner.  L’original de ce tableau est aujourd’hui au musée Jean-Jacques Henner à Paris.
Maison des Jardies à Sèvres
L’Alsace. Elle attend est une commande d’épouses d'industriels de Thann, faite à l’initiative d’Eugénie Kestner. Le tableau est offert à Léon Gambetta (1838-1882) qui est alors un des plus farouches opposants à l’abandon de l’Alsace-Lorraine au nouvel Empire allemand suite à la guerre de 1870. Ce n’est pas un portrait mais une personnification de l’Alsace, une allégorie qui appartient au monde réel : une jeune Alsacienne en deuil, simple et digne. La cocarde tricolore piquée sur le nœud noir alsacien donne toute sa signification patriotique à cette peinture de Jean-Jacques Henner. L’original de ce tableau est aujourd’hui au musée Jean-Jacques Henner à Paris.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center>La chambre à coucher commémore la mort du grand homme, et témoigne du culte vivace dont il fit l’objet jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. On peut y observer une disposition mobilière fidèle aux origines et une profusion d’objets funéraires, dont le lit mortuaire dans lequel il rendit l’âme après vingt jours de maladie.
Maison des Jardies à Sèvres
La chambre à coucher commémore la mort du grand homme, et témoigne du culte vivace dont il fit l’objet jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. On peut y observer une disposition mobilière fidèle aux origines et une profusion d’objets funéraires, dont le lit mortuaire dans lequel il rendit l’âme après vingt jours de maladie.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La chambre à coucher.
Maison des Jardies à Sèvres
La chambre à coucher.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center> La chambre à coucher.
Maison des Jardies à Sèvres
La chambre à coucher.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center>  La chambre à coucher. A gauche, une caricature anonyme parue dans une édition italienne du journal Le Perroquet, représente Gambetta en coq gaulois bombant fièrement le torse parce qu’il avait placé « la France avant tout ».
Maison des Jardies à Sèvres
La chambre à coucher. A gauche, une caricature anonyme parue dans une édition italienne du journal Le Perroquet, représente Gambetta en coq gaulois bombant fièrement le torse parce qu’il avait placé « la France avant tout ».
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center>  La chambre à coucher. Les funérailles.
Maison des Jardies à Sèvres
La chambre à coucher. Les funérailles.
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<center></center><center> Maison des Jardies à Sèvres </center>  La chambre à coucher. La cassette qui renfermait son cœur, autrefois installée dans le socle du monument  de Bartholdi.
Maison des Jardies à Sèvres
La chambre à coucher. La cassette qui renfermait son cœur, autrefois installée dans le socle du monument de Bartholdi.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center>
Ville d’Avray.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Villa Augier-Prouvost, 1926, par Robert Mallet-Stevens, architecte de la villa Noailles à Hyères.
Ville d’Avray.
Villa Augier-Prouvost, 1926, par Robert Mallet-Stevens, architecte de la villa Noailles à Hyères.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Villa Augier-Prouvost, 1926, par Robert Mallet-Stevens, architecte de la villa Noailles à Hyères.
Ville d’Avray.
Villa Augier-Prouvost, 1926, par Robert Mallet-Stevens, architecte de la villa Noailles à Hyères.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Cette fontaine captait une source, aujourd’hui tarie, d’excellente qualité. La fontaine fournissait de l’eau à la table du Roy à Versailles, à Compiègne, au Louvre, mais aussi au Temple et à 1a Conciergerie lors de 1’emprisonnement de la famille royale.
Ville d’Avray.
Cette fontaine captait une source, aujourd’hui tarie, d’excellente qualité. La fontaine fournissait de l’eau à la table du Roy à Versailles, à Compiègne, au Louvre, mais aussi au Temple et à 1a Conciergerie lors de 1’emprisonnement de la famille royale.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L’escalier d’accès, côté gauche, verrouillé par une lourde porte, était réservé au service du Roy. Du côté droit, en contrebas, un robinet était laissé librement à la disposition du peuple.
Ville d’Avray.
L’escalier d’accès, côté gauche, verrouillé par une lourde porte, était réservé au service du Roy. Du côté droit, en contrebas, un robinet était laissé librement à la disposition du peuple.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. L'aspect extérieur de Saint-Nicolas - Saint-Marc est très sobre. De style néo-classique, l'église présente une façade percée d'un porche encadré de refends, le tout surmonté d'un fronton abritant une horloge. Elle est flanquée d'un clocher carré peu élevé.
 C'est l'une des rares églises construites sous la Révolution. La première pierre en fut posée le 11 juillet 1789 et l'édifice fut consacré en 1791. Les architectes sont Charles François Darnaudin et  Poirot. Elle  a succédé à une première église Saint-Nicolas du XIIe siècle. C'est le seigneur de Ville-d'Avray, le baron Marc-Antoine Thierry, qui finança les travaux (grâce aux fonds apportés par le Roi). En hommage à son soutien, le sanctuaire devint Saint-Nicolas - Saint-Marc.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. L'aspect extérieur de Saint-Nicolas - Saint-Marc est très sobre. De style néo-classique, l'église présente une façade percée d'un porche encadré de refends, le tout surmonté d'un fronton abritant une horloge. Elle est flanquée d'un clocher carré peu élevé. C'est l'une des rares églises construites sous la Révolution. La première pierre en fut posée le 11 juillet 1789 et l'édifice fut consacré en 1791. Les architectes sont Charles François Darnaudin et Poirot. Elle a succédé à une première église Saint-Nicolas du XIIe siècle. C'est le seigneur de Ville-d'Avray, le baron Marc-Antoine Thierry, qui finança les travaux (grâce aux fonds apportés par le Roi). En hommage à son soutien, le sanctuaire devint Saint-Nicolas - Saint-Marc.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Maître-autel, marbre blanc et rouge, les startuettes d'Aaron, Abel, Christ bénissant, Abraham, Melchisédech.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Maître-autel, marbre blanc et rouge, les startuettes d'Aaron, Abel, Christ bénissant, Abraham, Melchisédech.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Saint Nicolas, avec des enfants agenouillés et des marins, par Buffet Paul et  Waldmeter Ernest.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Saint Nicolas, avec des enfants agenouillés et des marins, par Buffet Paul et Waldmeter Ernest.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. La voûte est couverte de caissons sculptés. La croisée du transept est coiffée d'une coupole aplatie également ornée de caissons. Dans les pendentifs, les quatre évangélistes par Chambellan Armand. A gauche, saint Jean avec l'aigle et à droite saint Matthieu avec l'ange.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. La voûte est couverte de caissons sculptés. La croisée du transept est coiffée d'une coupole aplatie également ornée de caissons. Dans les pendentifs, les quatre évangélistes par Chambellan Armand. A gauche, saint Jean avec l'aigle et à droite saint Matthieu avec l'ange.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. A gauche, saint Luc avec le boeuf et à droite, saint Marc avec le lion.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. A gauche, saint Luc avec le boeuf et à droite, saint Marc avec le lion.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Sculpture dans le chœur «Le baptême de Jésus» par F. Rude
C'est une copie de l'original qui est à la Madeleine à Paris.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Sculpture dans le chœur «Le baptême de Jésus» par F. Rude C'est une copie de l'original qui est à la Madeleine à Paris.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Sculpture de James Pradier dans le chœur, «Le mariage de la Vierge»
Cette sculpture est le modèle créé pour l'original en marbre que l'on
peut voir dans l'église de la Madeleine à Paris.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Sculpture de James Pradier dans le chœur, «Le mariage de la Vierge» Cette sculpture est le modèle créé pour l'original en marbre que l'on peut voir dans l'église de la Madeleine à Paris.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Le Christ» par Duret.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Le Christ» par Duret.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. La Vierge en prière offerte par James Pradier à l'église de Ville-d'Avray
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. La Vierge en prière offerte par James Pradier à l'église de Ville-d'Avray
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Adam et Ève chassés du Paradis terrestre» par Camille Corot.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Adam et Ève chassés du Paradis terrestre» par Camille Corot.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Sainte Madeleine retirée à la Sainte-Beaume, par Camille Corot.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Sainte Madeleine retirée à la Sainte-Beaume, par Camille Corot.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Le baptême de Jésus» par Camille Corot.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Le baptême de Jésus» par Camille Corot.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Jésus au Jardin des oliviers par Camille Corot.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Jésus au Jardin des oliviers par Camille Corot.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Le Repos pendant la Fuite en Egypte, par Richomme Jules.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Le Repos pendant la Fuite en Egypte, par Richomme Jules.
88
<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Saint Nicolas sauvant les matelots, par Richomme Jules.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Saint Nicolas sauvant les matelots, par Richomme Jules.
89
<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Jérôme dans le désert» par Camille Corot.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. «Jérôme dans le désert» par Camille Corot.
90
<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Le Christ et les anges, par Cazes Romain.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Le Christ et les anges, par Cazes Romain.
91
<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. La Sainte Famille, vitrail offert par une famille de la ville en 1886. Croisillon nord.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. La Sainte Famille, vitrail offert par une famille de la ville en 1886. Croisillon nord.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Dans le médaillon, donation du rosaire à saint Dominique par la Vierge et l'Enfant Jésus.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Dans le médaillon, donation du rosaire à saint Dominique par la Vierge et l'Enfant Jésus.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray.
94
<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Christ en croix. Semble être découpé dans un panneau de bois plus large dont on n'a gardé que le Christ en croix, monté sur un fond de velours et encadré dans un cadre de bois moderne.
Ville d’Avray.
L'église Saint-Nicolas - Saint-Marc de Ville-d'Avray. Christ en croix. Semble être découpé dans un panneau de bois plus large dont on n'a gardé que le Christ en croix, monté sur un fond de velours et encadré dans un cadre de bois moderne.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Marc-Antoine Thierry, premier valet de chambre du roi Louis XVI, est issu d'une famille de serviteurs de la royauté depuis quatre générations. Au XVIIIe siècle, la charge de premier valet de chambre est une charge honorifique, qui s'achetait contre de fortes sommes d'argent, et qui pouvaient être revendue à un successeur. En 1775, il acheta le manoir de la Brosse à Ville-d'Avray qu'il fit démolir pour édifier le château qu'il entoura d'un vaste parc. Il céda des terres et des bois au Roi en échange de la seigneurie de Ville-d'Avray avec ses droits utiles et honorifique. Il fit beaucoup pour cette commune pratiquant le mécénat avec notamment la construction de l'église qui débuta le 11 juillet 1789, soit trois jours avant la prise de la Bastille. Aujourd'hui la commune de Ville-d'Avray a adopté les armoiries de son célèbre mécène.
Ville d’Avray.
Marc-Antoine Thierry, premier valet de chambre du roi Louis XVI, est issu d'une famille de serviteurs de la royauté depuis quatre générations. Au XVIIIe siècle, la charge de premier valet de chambre est une charge honorifique, qui s'achetait contre de fortes sommes d'argent, et qui pouvaient être revendue à un successeur. En 1775, il acheta le manoir de la Brosse à Ville-d'Avray qu'il fit démolir pour édifier le château qu'il entoura d'un vaste parc. Il céda des terres et des bois au Roi en échange de la seigneurie de Ville-d'Avray avec ses droits utiles et honorifique. Il fit beaucoup pour cette commune pratiquant le mécénat avec notamment la construction de l'église qui débuta le 11 juillet 1789, soit trois jours avant la prise de la Bastille. Aujourd'hui la commune de Ville-d'Avray a adopté les armoiries de son célèbre mécène.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center>
Ville d’Avray.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Groupe sculpté du début du 4ème quart du 19ème siècle réalisé par François-Raoul Larche (1860-1912),  exposé au salon de 1909. Corot a fait ses études à Coubron (Seine-Saint-Denis) où habitait Larche.
Ville d’Avray.
Groupe sculpté du début du 4ème quart du 19ème siècle réalisé par François-Raoul Larche (1860-1912), exposé au salon de 1909. Corot a fait ses études à Coubron (Seine-Saint-Denis) où habitait Larche.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Maison de Corot, construite au 4ème quart du 18ème siècle. Surélevée en 1798. Maison vendue en 1817 au père du peintre Corot qui l’habita. Maison achetée en 1875 par Lemerre, éditeur parisien qui attira à Ville-d’Avray de nombreux romanciers.
Ville d’Avray.
Maison de Corot, construite au 4ème quart du 18ème siècle. Surélevée en 1798. Maison vendue en 1817 au père du peintre Corot qui l’habita. Maison achetée en 1875 par Lemerre, éditeur parisien qui attira à Ville-d’Avray de nombreux romanciers.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Les étangs de Ville-d'Avray (peints par Jean-Baptiste-Camille Corot) font partie du patrimoine historique d'État. Ces étangs permettaient - et permettent toujours - de fournir en eau les fontaines du parc de Saint-Cloud (pour l'événement des « Grandes Eaux » du parc).
Ville d’Avray.
Les étangs de Ville-d'Avray (peints par Jean-Baptiste-Camille Corot) font partie du patrimoine historique d'État. Ces étangs permettaient - et permettent toujours - de fournir en eau les fontaines du parc de Saint-Cloud (pour l'événement des « Grandes Eaux » du parc).
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> L'étang aux bateliers.
Ville d’Avray.
L'étang aux bateliers.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Monument à Corot, de Jean Baptiste Camille.
Ville d’Avray.
Monument à Corot, de Jean Baptiste Camille.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center>
Ville d’Avray.
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<center></center><center>Ville d’Avray. </center> Le canal vers St Cloud, avec un moulin.
Ville d’Avray.
Le canal vers St Cloud, avec un moulin.
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