Paris 2018

Parc de La Villette, Basilique du Sacré-Coeur et Saint-Jean de Montmartre.

<center></center><center>Parc de la Villette </center> Des sculptures sur les immeubles rappellent que nous sommes dans le quartier des anciens abattoirs.
Parc de la Villette
Des sculptures sur les immeubles rappellent que nous sommes dans le quartier des anciens abattoirs.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Des sculptures sur les immeubles rappellent que nous sommes dans le quartier des anciens abattoirs. Au premier étage, des têtes de boeufs, au second de bêlier et au troisième de moutons.
Parc de la Villette
Des sculptures sur les immeubles rappellent que nous sommes dans le quartier des anciens abattoirs. Au premier étage, des têtes de boeufs, au second de bêlier et au troisième de moutons.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Au premier étage, des têtes de boeufs, au second de bêliers et au troisième de moutons.
Parc de la Villette
Au premier étage, des têtes de boeufs, au second de bêliers et au troisième de moutons.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Canal Saint Denis.
Parc de la Villette
Canal Saint Denis.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Canal Saint Denis.
Parc de la Villette
Canal Saint Denis.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Monument aux morts.
Parc de la Villette
Monument aux morts.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Folie horloge (N1).
Folie information-billetterie (L9), c’est le point d’entrée sur le parc côté porte de Pantin. Elle a vocation à accueillir et orienter des visiteurs. Surface : 598 m2. <br> En 1865, le Baron Haussmann chargé par Napoléon III de
Parc de la Villette
Folie horloge (N1). Folie information-billetterie (L9), c’est le point d’entrée sur le parc côté porte de Pantin. Elle a vocation à accueillir et orienter des visiteurs. Surface : 598 m2.
En 1865, le Baron Haussmann chargé par Napoléon III de "moderniser” l'urbanisme parisien, décide de regrouper, à la Villette, les abattoirs et marchés aux bestiaux de Paris. Les équipements sont modernisés en 1930, mais le problème se repose en 1950, assorti d’un constat inquiétant : avec l'essor de l'industrie frigorifique, il est plus rentable d'abattre les bêtes sur les lieux d'élevage. Pourtant, en 1959, on décide de reconstruire les abattoirs, inadaptés et vétustes pour créer un "marché d'intérêt national de la viande". Les travaux sont stoppés en 1970 et l'abattoir industriel ferme en1974. En 1979, le site est réaménagé en un complexe unique au monde qui associe - sur 55 hectares - nature et architecture, loisirs et culture.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> En 1983, l’architecte Bernard Tschumi est désigné pour concevoir un nouveau parc urbain à la triple vocation : artistique, culturelle et populaire. Au 18e siècle, on nommait «folie» les petits pavillons disposés dans les jardins français qui servaient de lieux, de rendez-vous. Aujourd’hui, à la Villette, ce sont les vingt-six petits bâtiments rouges de formes variées, mais tous construits sur la base d’un cube de 10,80 mètres de côtés, disposés tous les 120 mètres.
Parc de la Villette
En 1983, l’architecte Bernard Tschumi est désigné pour concevoir un nouveau parc urbain à la triple vocation : artistique, culturelle et populaire. Au 18e siècle, on nommait «folie» les petits pavillons disposés dans les jardins français qui servaient de lieux, de rendez-vous. Aujourd’hui, à la Villette, ce sont les vingt-six petits bâtiments rouges de formes variées, mais tous construits sur la base d’un cube de 10,80 mètres de côtés, disposés tous les 120 mètres.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Pour traverser le parc en ligne droite, deux grands axes : l’un nord-sud, la galerie de la Villette, caractérisée par sa couverture en forme de vague. L’autre est-ouest, la galerie de l’Ourcq, borde le canal du même nom.
Parc de la Villette
Pour traverser le parc en ligne droite, deux grands axes : l’un nord-sud, la galerie de la Villette, caractérisée par sa couverture en forme de vague. L’autre est-ouest, la galerie de l’Ourcq, borde le canal du même nom.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> La Géode. Construite par les architectes Adrien Fainsilber et Gérard Chamayou, elle fut inaugurée le 6 mai 1985 par le président de la République François Mitterrand.
Parc de la Villette
La Géode. Construite par les architectes Adrien Fainsilber et Gérard Chamayou, elle fut inaugurée le 6 mai 1985 par le président de la République François Mitterrand.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> La Géode. Sa structure est constituée d'un certain nombre de couches, un peu à la manière d'un oignon. La couche externe et visible est une géode par triangularisation de 36 m de diamètre, composée de 6 433 triangles sphériques équilatéraux en acier poli qui réfléchissent la lumière, un peu à la manière d'un miroir. Ces triangles d'un mètre vingt de côté sont fixés sur une fine ossature métallique reprenant la même structure géodésique en triangle, constituée de 2 580 barres en tubes d’acier. Les triangles en acier ne sont pas jointifs, pour ne pas compromettre l'effet
Parc de la Villette
La Géode. Sa structure est constituée d'un certain nombre de couches, un peu à la manière d'un oignon. La couche externe et visible est une géode par triangularisation de 36 m de diamètre, composée de 6 433 triangles sphériques équilatéraux en acier poli qui réfléchissent la lumière, un peu à la manière d'un miroir. Ces triangles d'un mètre vingt de côté sont fixés sur une fine ossature métallique reprenant la même structure géodésique en triangle, constituée de 2 580 barres en tubes d’acier. Les triangles en acier ne sont pas jointifs, pour ne pas compromettre l'effet "miroir" et pour permettre aux triangles de se dilater sous l'effet de la chaleur. L'eau s'infiltrant entre eux est recueillie dans le bassin entourant la géode.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> La Géode. Des films y étaient projetés au format IMAX sur un écran hémisphérique géant de 26 mètres de diamètre et de 1 000 m2 de superficie. Elle fut sonorisée par Cabasse.
Parc de la Villette
La Géode. Des films y étaient projetés au format IMAX sur un écran hémisphérique géant de 26 mètres de diamètre et de 1 000 m2 de superficie. Elle fut sonorisée par Cabasse.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> La Géode. Aire de jeux.
Parc de la Villette
La Géode. Aire de jeux.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Folie observatoire (N4), située à proximité du radiotélescope installé il y a une trentaine d’années. Surface 73 m2.
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Folie observatoire (N4), située à proximité du radiotélescope installé il y a une trentaine d’années. Surface 73 m2.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Folie Argonaute (P4), ancien sous-marin de la Marine nationale.
Parc de la Villette
Folie Argonaute (P4), ancien sous-marin de la Marine nationale.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Le deuxième grand axe est-ouest, la galerie de l’Ourcq, borde le canal du même nom. Au fond, le canal de l'Ourq rejoint le canal Saint Denis pour former le canal Saint Martin qui va jusqu'à la Seine.  Ils constituent le réseau des canaux parisiens, long de 130 km, qui appartient à la Ville de Paris.
Parc de la Villette
Le deuxième grand axe est-ouest, la galerie de l’Ourcq, borde le canal du même nom. Au fond, le canal de l'Ourq rejoint le canal Saint Denis pour former le canal Saint Martin qui va jusqu'à la Seine. Ils constituent le réseau des canaux parisiens, long de 130 km, qui appartient à la Ville de Paris.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Le canal de l'Ourcq, au fond les Grands Moulins de Pantin.
Parc de la Villette
Le canal de l'Ourcq, au fond les Grands Moulins de Pantin.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Le canal de l'Ourcq, au fond les Grands Moulins de Pantin.
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Le canal de l'Ourcq, au fond les Grands Moulins de Pantin.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>A gauche, alignement de folies. Petite Folie (P5) Sa terrasse donne sur la berge du canal de l’Ourcq. Surface : 202 m2. Folie de l’aventure (N5), surface : 365 m2. Folie des merveilles (L5), située au rond-point des canaux et accolée au restaurant My Boat. Surface : 587 m2.
Parc de la Villette
A gauche, alignement de folies. Petite Folie (P5) Sa terrasse donne sur la berge du canal de l’Ourcq. Surface : 202 m2. Folie de l’aventure (N5), surface : 365 m2. Folie des merveilles (L5), située au rond-point des canaux et accolée au restaurant My Boat. Surface : 587 m2.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> « De Passage » est une installation artistique lauréate du Budget Participatif 2014 de la ville de Paris, inscrite dans le projet global intitulé « Reconquête Urbaine », qui matérialise le lien qui unit Paris et Pantin. Cette œuvre artistique lumineuse ouvre une 3ème rive, la voie du haut. Celle-ci est une invitation à lever la tête et à se laisser guider par une constellation de signes lumineux qui accompagnent et racontent la vie du lieu à ceux qui traversent cet espace.
La voûte s'illumine en fonction du passage des piétons, cyclistes, péniches et dessine in situ l'orchestration de tous ces flux métropolitains traversant ce passage.
En l'absence de passage, l'œuvre impulse ses propres mouvements, un clapotis lumineux qui s'écoule à la surface de la voûte.
Les passants peuvent aussi devenir chef d'orchestre de cet orgue lumineux au niveau de deux zones sensibles marquées au sol par une étoile, de chaque côté des rives du canal. Quelques mouvements de bras impulsant des risées de lumière, passant d'une rive à l'autre.
Parc de la Villette
« De Passage » est une installation artistique lauréate du Budget Participatif 2014 de la ville de Paris, inscrite dans le projet global intitulé « Reconquête Urbaine », qui matérialise le lien qui unit Paris et Pantin. Cette œuvre artistique lumineuse ouvre une 3ème rive, la voie du haut. Celle-ci est une invitation à lever la tête et à se laisser guider par une constellation de signes lumineux qui accompagnent et racontent la vie du lieu à ceux qui traversent cet espace. La voûte s'illumine en fonction du passage des piétons, cyclistes, péniches et dessine in situ l'orchestration de tous ces flux métropolitains traversant ce passage. En l'absence de passage, l'œuvre impulse ses propres mouvements, un clapotis lumineux qui s'écoule à la surface de la voûte. Les passants peuvent aussi devenir chef d'orchestre de cet orgue lumineux au niveau de deux zones sensibles marquées au sol par une étoile, de chaque côté des rives du canal. Quelques mouvements de bras impulsant des risées de lumière, passant d'une rive à l'autre.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Les Grands Moulins de Pantin sont une minoterie industrielle créée à Pantin en 1884, le long du Canal de l'Ourcq et des voies ferrées de l'Est, par la Société des moulins Abel Leblanc, sur le site de moulins préexistants. Après leur abandon comme minoterie, ils sont réhabilités pour y réaliser un ensemble immobilier de bureaux conçu par le cabinet d'architectes Reichen et Robert sous la direction de Jean-François Authier pour BNP Paribas.
Parc de la Villette
Les Grands Moulins de Pantin sont une minoterie industrielle créée à Pantin en 1884, le long du Canal de l'Ourcq et des voies ferrées de l'Est, par la Société des moulins Abel Leblanc, sur le site de moulins préexistants. Après leur abandon comme minoterie, ils sont réhabilités pour y réaliser un ensemble immobilier de bureaux conçu par le cabinet d'architectes Reichen et Robert sous la direction de Jean-François Authier pour BNP Paribas.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Les Grands Moulins de Pantin. Au premier plan, le débarcadère des Ciments Lafarge.
Parc de la Villette
Les Grands Moulins de Pantin. Au premier plan, le débarcadère des Ciments Lafarge.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Murs tagués de Lafarge.
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Murs tagués de Lafarge.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Les Grands Moulins de Pantin. Le moulin est reconstruit en 1923 pour la Société des Grands Moulins de Paris créée par le fils du fondateur, par l'architecte Eugène Haug (collaborateur de Paul Friesé), avec une structure de béton dans laquelle s'intègre un remplissage en briques. Après les dégâts de la guerre et notamment l'incendie du 19 août 1944, le moulin, les silos et la chaufferie sont restaurés en 1945 par l'architecte Jean Bailly, qui créera de nouveaux bâtiments (la semoulerie en 1952, les ateliers et garages). En 1994, le site est repris par le céréalier Soufflet, conjointement avec les Grands moulins de Corbeil.
Parc de la Villette
Les Grands Moulins de Pantin. Le moulin est reconstruit en 1923 pour la Société des Grands Moulins de Paris créée par le fils du fondateur, par l'architecte Eugène Haug (collaborateur de Paul Friesé), avec une structure de béton dans laquelle s'intègre un remplissage en briques. Après les dégâts de la guerre et notamment l'incendie du 19 août 1944, le moulin, les silos et la chaufferie sont restaurés en 1945 par l'architecte Jean Bailly, qui créera de nouveaux bâtiments (la semoulerie en 1952, les ateliers et garages). En 1994, le site est repris par le céréalier Soufflet, conjointement avec les Grands moulins de Corbeil.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Pont du tram.
Parc de la Villette
Pont du tram.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Les Grands Moulins de Pantin. En juin 2001, le groupe Soufflet, propriétaire des Grands Moulins de Pantin ferme la meunerie ; le bâtiment est racheté par Meunier Immobilier, filiale du groupe BNP Paribas qui décide sa transformation en bureaux. Ce groupe fait appel au cabinet d'architectes Reichen et Robert sous la direction de Jean-François Authier pour envisager sa réhabilitation en un ensemble tertiaire de 50 000 m2 de bureaux (dont 22 000 provenant de la réhabilitation des bâtiments anciens conservés), qui doit respecter l'architecture initiale. Les trois tours et les grandes toitures sont conservées. La chaufferie est transformée en cafétéria. Le silo donnant sur le canal est conservé et la structure du Moulin en béton et briquettes est percée de fenêtres. Les briques des constructions sont mises en valeur.
Parc de la Villette
Les Grands Moulins de Pantin. En juin 2001, le groupe Soufflet, propriétaire des Grands Moulins de Pantin ferme la meunerie ; le bâtiment est racheté par Meunier Immobilier, filiale du groupe BNP Paribas qui décide sa transformation en bureaux. Ce groupe fait appel au cabinet d'architectes Reichen et Robert sous la direction de Jean-François Authier pour envisager sa réhabilitation en un ensemble tertiaire de 50 000 m2 de bureaux (dont 22 000 provenant de la réhabilitation des bâtiments anciens conservés), qui doit respecter l'architecture initiale. Les trois tours et les grandes toitures sont conservées. La chaufferie est transformée en cafétéria. Le silo donnant sur le canal est conservé et la structure du Moulin en béton et briquettes est percée de fenêtres. Les briques des constructions sont mises en valeur.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Les Grands Moulins de Pantin. L'avancée sur le canal servait à charger les péniches de farine.
Parc de la Villette
Les Grands Moulins de Pantin. L'avancée sur le canal servait à charger les péniches de farine.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Claes Oldenburg et Coosje van Bruggen (Bicyclette ensevelie)
Parc de la Villette
Claes Oldenburg et Coosje van Bruggen (Bicyclette ensevelie)
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Claes Oldenburg et Coosje van Bruggen (Bicyclette ensevelie). A gauche, le guidon avec la sonnette, au fond, la selle et à droite, une pédale.
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Claes Oldenburg et Coosje van Bruggen (Bicyclette ensevelie). A gauche, le guidon avec la sonnette, au fond, la selle et à droite, une pédale.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Folie belvédère (P6) Surface : 30 m2.
Parc de la Villette
Folie belvédère (P6) Surface : 30 m2.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Laurence Vacherot, Gilles Vexlard (Jardin de la treille). Chasselas de Fontainebleau.
Parc de la Villette
Laurence Vacherot, Gilles Vexlard (Jardin de la treille). Chasselas de Fontainebleau.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Fontaine vineuse.
Parc de la Villette
Fontaine vineuse.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Alexandre Chemetoff (Jardin des bambous) Daniel Buren (La Diagonale des bambous)
Parc de la Villette
Alexandre Chemetoff (Jardin des bambous) Daniel Buren (La Diagonale des bambous)
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Bernhard Leitner (Cylindre sonore)
Parc de la Villette
Bernhard Leitner (Cylindre sonore)
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> La Cité de la musique – Philharmonie de Paris est nichée au cœur du Parc de la Villette. La Philharmonie 1, réalisée par l’architecte Jean Nouvel et ouverte au public en janvier 2015, comprend notamment une grande salle de concert (2 400 places), plusieurs salles de répétition, des espaces éducatifs et d’expositions temporaires.
Philharmonie de Paris
La Cité de la musique – Philharmonie de Paris est nichée au cœur du Parc de la Villette. La Philharmonie 1, réalisée par l’architecte Jean Nouvel et ouverte au public en janvier 2015, comprend notamment une grande salle de concert (2 400 places), plusieurs salles de répétition, des espaces éducatifs et d’expositions temporaires.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> La Philharmonie 1.
Philharmonie de Paris
La Philharmonie 1.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> La couverture de la Philharmonie se compose de quelque 340 000 oiseaux, répartis en 7 géométries et quatre teintes différentes. 265 000 oiseaux en tôle d’aluminium sont posés en bardage sur les façades pour figurer un grand envol. Le projet compte sept géométries et quatre teintes d'oiseaux différentes.
Philharmonie de Paris
La couverture de la Philharmonie se compose de quelque 340 000 oiseaux, répartis en 7 géométries et quatre teintes différentes. 265 000 oiseaux en tôle d’aluminium sont posés en bardage sur les façades pour figurer un grand envol. Le projet compte sept géométries et quatre teintes d'oiseaux différentes.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> Les 65 000 oiseaux restants, conçus soit en fonte d'aluminium et assemblés sur un contreparement de granit prédécoupé, soit en béton, habillent le parvis de la Philharmonie, ainsi qu’une partie de la toiture acoustique de la Grande salle.
Philharmonie de Paris
Les 65 000 oiseaux restants, conçus soit en fonte d'aluminium et assemblés sur un contreparement de granit prédécoupé, soit en béton, habillent le parvis de la Philharmonie, ainsi qu’une partie de la toiture acoustique de la Grande salle.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> Jean Nouvel s'est entouré de Brigitte Métra comme architecte associée pour la salle de concert, des acousticiens Marshall Day Acoustics (conception acoustique de la salle), Nagata Acoustics (conseil de l'architecte et essais sur maquette)5 et Studio DAP pour l'acoustique du bâtiment. Les Ateliers Jean Nouvel se sont entourés de Jacques Le Marquet et ducks scéno pour la scénographie de la salle.
Philharmonie de Paris
Jean Nouvel s'est entouré de Brigitte Métra comme architecte associée pour la salle de concert, des acousticiens Marshall Day Acoustics (conception acoustique de la salle), Nagata Acoustics (conseil de l'architecte et essais sur maquette)5 et Studio DAP pour l'acoustique du bâtiment. Les Ateliers Jean Nouvel se sont entourés de Jacques Le Marquet et ducks scéno pour la scénographie de la salle.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> Le dessin du projet reprend les formes d’une colline en aluminium couverte de pavés superposés horizontalement coupés d’un aileron vertical pour jouer sur les lignes de perspectives existantes. Il s’érige comme une butte offrant un panorama sur Paris et ses alentours, au-delà du périphérique
Philharmonie de Paris
Le dessin du projet reprend les formes d’une colline en aluminium couverte de pavés superposés horizontalement coupés d’un aileron vertical pour jouer sur les lignes de perspectives existantes. Il s’érige comme une butte offrant un panorama sur Paris et ses alentours, au-delà du périphérique
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> La Philharmonie 1.
Philharmonie de Paris
La Philharmonie 1.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> La Philharmonie 1.
Philharmonie de Paris
La Philharmonie 1.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> La Cité de la musique.
Philharmonie de Paris
La Cité de la musique.
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<center></center><center>Philharmonie de Paris</center> Entrée latérale de la Cité de la musique
Philharmonie de Paris
Entrée latérale de la Cité de la musique
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>Les abattoirs de la Villette La
Parc de la Villette
Les abattoirs de la Villette La " Cité du sang " En 1865, le Baron Haussmann chargé par Napoléon III de "moderniser” l'urbanisme parisien, décide de regrouper, à la Villette, les abattoirs et marchés aux bestiaux de Paris. Le complexe est inauguré le 21 octobre 1867, avec les trois halles gigantesques du marché aux bestiaux, édifiées par Jules de Mérindol au sud du canal de l’Ourcq I et les abattoirs au nord. L'architecte Jules de Mérindol (1815-1888)3, élève de Victor Baltard, a été assisté de Louis-Adolphe Janvier. L'histoire du quartier va se confondre avec celle de ce monde clos, fascinant par ses rites, codes et ses hiérarchies... inquiétant aussi, surtout dans la cité du "sang" où vers 1900 23 000 moutons et 5 000 bœufs sont abattu et dépecés chaque jour. Dès le début du XXe siècle, les abattoirs ont du mal à faire face à l'essor du marché de la viande. Les équipements sont modernisés en 1930, mais le problème se repose en 1950, assorti d’un constat inquiétant : avec l'essor de l'industrie frigorifique, il est plus rentable d'abattre les bêtes sur les lieux d'élevage. Pourtant, en 1959, on décide de reconstruire les abattoirs, inadaptés et vétustes pour créer un "marché d'intérêt national de la viande". Difficultés techniques et coûts freinent le chantier. Le "Scandale de la Villette" fait bientôt la une des journaux. Les travaux sont stoppés en 1970 et l'abattoir industriel ferme en1974. En 1979, le site est réaménagé en un complexe unique au monde qui associe - sur 55 hectares - nature et architecture, loisirs et culture.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Située à l’entrée du Parc de la Villette, côté Porte de Pantin, la fontaine aux lions est une œuvre de style égyptien. La fontaine du Château d’Eau, aujourd’hui à cet endroit, provient de l’ancien carrefour aménagé entre le boulevard Saint-Martin et la rue Bondy. Il fut partiellement détruit au moment de la création de la place de la République. Dessinée en 1811 par l’ingénieur Pierre Simon Girard (1765-1836), directeur des Eaux de Paris, elle était à l’époque alimentée par les eaux du canal de l’Ourcq. Mise en place quelque temps au centre de la nouvelle place, elle fut installée à la Villette dès 1867. Les lions, groupés deux par deux, ainsi que la vasque ancienne qui domine l’ouvrage ont été fondus au Creusot. Ils sont parmi les premiers exemples de l’utilisation de la fonte de fer dans la création des fontaines. Les assises en pierre, actuellement en place sont modernes. Du temps de l’existence des abattoirs, elle servait à abreuver les animaux avant que ceux-ci ne soient négociés dans la grande halle. Derrière, le pavillon de la Bourse, ancienne bourse aux bestiaux abritant une criée et actuel théâtre Paris-Villette.
Parc de la Villette
Située à l’entrée du Parc de la Villette, côté Porte de Pantin, la fontaine aux lions est une œuvre de style égyptien. La fontaine du Château d’Eau, aujourd’hui à cet endroit, provient de l’ancien carrefour aménagé entre le boulevard Saint-Martin et la rue Bondy. Il fut partiellement détruit au moment de la création de la place de la République. Dessinée en 1811 par l’ingénieur Pierre Simon Girard (1765-1836), directeur des Eaux de Paris, elle était à l’époque alimentée par les eaux du canal de l’Ourcq. Mise en place quelque temps au centre de la nouvelle place, elle fut installée à la Villette dès 1867. Les lions, groupés deux par deux, ainsi que la vasque ancienne qui domine l’ouvrage ont été fondus au Creusot. Ils sont parmi les premiers exemples de l’utilisation de la fonte de fer dans la création des fontaines. Les assises en pierre, actuellement en place sont modernes. Du temps de l’existence des abattoirs, elle servait à abreuver les animaux avant que ceux-ci ne soient négociés dans la grande halle. Derrière, le pavillon de la Bourse, ancienne bourse aux bestiaux abritant une criée et actuel théâtre Paris-Villette.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris,  inauguré en 1990, revient à Christian de Portzamparc.
Parc de la Villette
Le Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, inauguré en 1990, revient à Christian de Portzamparc.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Folie information-billetterie (L9), c’est le point d’entrée sur le parc côté porte de Pantin. Elle a vocation à accueillir et orienter des visiteurs. Surface : 598 m2.
Parc de la Villette
Folie information-billetterie (L9), c’est le point d’entrée sur le parc côté porte de Pantin. Elle a vocation à accueillir et orienter des visiteurs. Surface : 598 m2.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center> Folie Janvier (N8). Le pavillon Janvier (à droite de la Grande halle), ancien bâtiment administratif (services de police et poste) et actuel siège administratif de La Villette.
Parc de la Villette
Folie Janvier (N8). Le pavillon Janvier (à droite de la Grande halle), ancien bâtiment administratif (services de police et poste) et actuel siège administratif de La Villette.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle, ancienne « halle aux bœufs »,  a été réhabilitée à deux reprises depuis la création du parc de la Villette par les architectes Bernard Reichen et Philippe Robert, entre 1983 et 1985, puis entre 2005 et 2007. La « Halle aux Moutons » fut complètement démontée en 1986, et achetée par le département de la Seine-Saint-Denis dans l'espoir de la remonter sur un autre site, ce qui n'est toujours pas le cas aujourd'hui.
Parc de la Villette
La grande halle, ancienne « halle aux bœufs », a été réhabilitée à deux reprises depuis la création du parc de la Villette par les architectes Bernard Reichen et Philippe Robert, entre 1983 et 1985, puis entre 2005 et 2007. La « Halle aux Moutons » fut complètement démontée en 1986, et achetée par le département de la Seine-Saint-Denis dans l'espoir de la remonter sur un autre site, ce qui n'est toujours pas le cas aujourd'hui.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
Parc de la Villette
La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs. C'est un bâtiment composé de structures en charpente de fer et de fonte, longue de 245 mètres, large de 85 mètres, et haute de 19 mètres
Parc de la Villette
La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs. C'est un bâtiment composé de structures en charpente de fer et de fonte, longue de 245 mètres, large de 85 mètres, et haute de 19 mètres
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
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La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
Parc de la Villette
La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
Parc de la Villette
La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
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<center></center><center>Parc de la Villette </center>La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
Parc de la Villette
La grande halle de La Villette, qui abritait les abattoirs.
63
<center></center><center>Parc de la Villette </center>
Parc de la Villette
64
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Statue équestre de saint Louis due à Hippolyte Lefèbvre et installée en 1927. Saint Louis tient la couronne d'épines dans sa main gauche. De l'autre côté, Statue équestre de Jeanne d'Arc.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Statue équestre de saint Louis due à Hippolyte Lefèbvre et installée en 1927. Saint Louis tient la couronne d'épines dans sa main gauche. De l'autre côté, Statue équestre de Jeanne d'Arc.
65
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Tympan du portail gauche : «Moïse faisant jaillir l'eau du rocher» par Léon Fagel (1851-1913).
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Tympan du portail gauche : «Moïse faisant jaillir l'eau du rocher» par Léon Fagel (1851-1913).
66
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Le tympan central sculpté en bas-relief par Leon Fagel,
«Le coup de lance du soldat Longin après la mort du Christ»
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le tympan central sculpté en bas-relief par Leon Fagel, «Le coup de lance du soldat Longin après la mort du Christ»
67
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Le chevet. La Basilique du Sacré-Cœur est un monument votif. En 1870, Garibaldi s'empare de Rome, le pape Pie IX se réfugie au Vatican. Puis vient la défaite du Second Empire face à la Prusse et l'occupation de la France. Deux notables de Poitiers émettent le vœu de faire construire un sanctuaire en l'honneur du Sacré-Cœur de Jésus-Christ pour que le pape soit libéré (ce qui n'arrivera qu'avec les accords du Latran en 1923) et pour que cessent les malheurs de la France. En 1872, l'archevêque de Paris, qui appuie le vœu, choisit la colline de Montmartre (qui est un terrain nu) pour la construction. En 1873, l'Assemblée Nationale déclare la basilique d'utilité publique. Les fonds seront collectés par souscription nationale.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le chevet. La Basilique du Sacré-Cœur est un monument votif. En 1870, Garibaldi s'empare de Rome, le pape Pie IX se réfugie au Vatican. Puis vient la défaite du Second Empire face à la Prusse et l'occupation de la France. Deux notables de Poitiers émettent le vœu de faire construire un sanctuaire en l'honneur du Sacré-Cœur de Jésus-Christ pour que le pape soit libéré (ce qui n'arrivera qu'avec les accords du Latran en 1923) et pour que cessent les malheurs de la France. En 1872, l'archevêque de Paris, qui appuie le vœu, choisit la colline de Montmartre (qui est un terrain nu) pour la construction. En 1873, l'Assemblée Nationale déclare la basilique d'utilité publique. Les fonds seront collectés par souscription nationale.
68
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  L'archange Saint Michel. Coupole : hauteur 55 mètres, diamètre 16 mètres. L'architecte Paul Abadie (1812-1884) est choisi pour édifier le monument en style romano-byzantin, très à la mode à cette époque. Il venait d'ailleurs de restaurer l'église Saint-Front de Périgueux dans le même style. Commencée en 1875, la basilique du Sacré-Cœur ne sera vraiment terminée qu'en 1960. C'est l'un des monuments les plus visités de Paris, mais également un haut lieu de pèlerinage. Le Saint-Sacrement y est exposé en permanence et offert à l'adoration perpétuelle des fidèles catholiques. À la mort d'Abadie en 1884, il est remplacé par Honoré Daumet (1884-1886) lui-même remplacé par Charles Laisné (1886-1891) qui fait intervenir dans la réalisation de vitraux le peintre-verrier Émile Hirsch. Puis se succèdent Henri-Pierre Rauline (1891-1904) qui dirige les travaux et Charles Garnier comme architecte conseil, Lucien Magne (1904-1916) et Jean-Louis Hulot (1916-1924).
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
L'archange Saint Michel. Coupole : hauteur 55 mètres, diamètre 16 mètres. L'architecte Paul Abadie (1812-1884) est choisi pour édifier le monument en style romano-byzantin, très à la mode à cette époque. Il venait d'ailleurs de restaurer l'église Saint-Front de Périgueux dans le même style. Commencée en 1875, la basilique du Sacré-Cœur ne sera vraiment terminée qu'en 1960. C'est l'un des monuments les plus visités de Paris, mais également un haut lieu de pèlerinage. Le Saint-Sacrement y est exposé en permanence et offert à l'adoration perpétuelle des fidèles catholiques. À la mort d'Abadie en 1884, il est remplacé par Honoré Daumet (1884-1886) lui-même remplacé par Charles Laisné (1886-1891) qui fait intervenir dans la réalisation de vitraux le peintre-verrier Émile Hirsch. Puis se succèdent Henri-Pierre Rauline (1891-1904) qui dirige les travaux et Charles Garnier comme architecte conseil, Lucien Magne (1904-1916) et Jean-Louis Hulot (1916-1924).
69
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  En contraste avec les églises du Moyen- Age (par exemple le style gothique de Notre-Dame de Paris - 1163-1240), le style s’inspire de modèles comme Sainte Sophie de Constantinople ou encore San Marco de Venise ou Ravenne.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
En contraste avec les églises du Moyen- Age (par exemple le style gothique de Notre-Dame de Paris - 1163-1240), le style s’inspire de modèles comme Sainte Sophie de Constantinople ou encore San Marco de Venise ou Ravenne.
70
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Les pierres extérieures, appelées « Château-Landon », proviennent de la carrière de Souppes en Seine et Marne et ont la propriété particulière d’êtres très dures, d’avoir un grain très fin et de blanchir au contact de l’eau de pluie.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Les pierres extérieures, appelées « Château-Landon », proviennent de la carrière de Souppes en Seine et Marne et ont la propriété particulière d’êtres très dures, d’avoir un grain très fin et de blanchir au contact de l’eau de pluie.
71
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Fête des Vendanges à Montmartre.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Fête des Vendanges à Montmartre.
72
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Fête des Vendanges à Montmartre.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Fête des Vendanges à Montmartre.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Le campanile culmine à 91 mètres.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le campanile culmine à 91 mètres.
74
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Le campanile abrite la célèbre « Savoyarde ». C’est la plus grosse cloche du monde, du moins parmi celles qui peuvent se balancer. Elle pèse 19 tonnes. Sa tonalité, celle du contre-ut grave, est très caractéristique. Elle a été offerte par les 4 diocèses de Savoie et fondue en 1895 à Annecy par l’entreprise Paccard, dont la renommée date de cette époque. Tirée par 28 chevaux, transportée à grand peine sur la hauteur elle arriva dans la nuit du 16 octobre 1895 le jour de la Sainte Marguerite Marie.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le campanile abrite la célèbre « Savoyarde ». C’est la plus grosse cloche du monde, du moins parmi celles qui peuvent se balancer. Elle pèse 19 tonnes. Sa tonalité, celle du contre-ut grave, est très caractéristique. Elle a été offerte par les 4 diocèses de Savoie et fondue en 1895 à Annecy par l’entreprise Paccard, dont la renommée date de cette époque. Tirée par 28 chevaux, transportée à grand peine sur la hauteur elle arriva dans la nuit du 16 octobre 1895 le jour de la Sainte Marguerite Marie.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
77
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  La Chapelle Saint-Michel ou de l'Armée, placée aussi sous le patronage de Jeanne d'Arc. Les vitraux, posés de 1903 à 1920, mais détruits en 1944 par des bombardements, sont refaits en 1946.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La Chapelle Saint-Michel ou de l'Armée, placée aussi sous le patronage de Jeanne d'Arc. Les vitraux, posés de 1903 à 1920, mais détruits en 1944 par des bombardements, sont refaits en 1946.
78
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Sur les pierres sont inscrits les noms des donateurs.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Sur les pierres sont inscrits les noms des donateurs.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Sur les pierres sont inscrits les noms des donateurs.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Sur les pierres sont inscrits les noms des donateurs.
80
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Sacré-Cœur-du-Christ, statue en argent qui montre son cœur ouvert, d'Eugène Bénet (1912).
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Sacré-Cœur-du-Christ, statue en argent qui montre son cœur ouvert, d'Eugène Bénet (1912).
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Le déambulatoire.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le déambulatoire.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Chemin de Croix.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chemin de Croix.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Chapelle de Saint Jean-Baptiste.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de Saint Jean-Baptiste.
90
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Chapelle de  la Vierge ou chapelle du Saint-Cœur-de-Marie avec une statue de Notre-Dame de la Paix de Gustave Crauk, surmontant un autel en marbre de Carrare.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Vierge ou chapelle du Saint-Cœur-de-Marie avec une statue de Notre-Dame de la Paix de Gustave Crauk, surmontant un autel en marbre de Carrare.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Chapelle de la Vierge.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Vierge.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Chapelle de la Vierge.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Vierge.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center> Chapelle de la Vierge.  Mosaïque de l'Assomption (70 m², exécutée par René Martin d'après les cartons de Marcel Magne).
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Vierge. Mosaïque de l'Assomption (70 m², exécutée par René Martin d'après les cartons de Marcel Magne).
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Chapelle Saint-Ignace de Loyola.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle Saint-Ignace de Loyola.
96
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Chapelle Saint-Ignace de Loyola, consacrée à l'ordre des jésuites. A gauche, vitrail de Louiis de Gonzague et à droite celui de Claude de la Colombière.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle Saint-Ignace de Loyola, consacrée à l'ordre des jésuites. A gauche, vitrail de Louiis de Gonzague et à droite celui de Claude de la Colombière.
97
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Chapelle Saint-Ignace de Loyola.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle Saint-Ignace de Loyola.
98
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Chapelle Sainte-Ursule
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle Sainte-Ursule
99
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Chapelle de Saint-Vincent-de-Paul. A gauche, St Vincent, petit berger, vide sa bourse dans les mains d'un pauvre. Au centre, il envoie des prêtres évangéliser les travailleurs des champs. A droite, il confie des enfants trouvés à Louise de Marillac et aux filles de la charité.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de Saint-Vincent-de-Paul. A gauche, St Vincent, petit berger, vide sa bourse dans les mains d'un pauvre. Au centre, il envoie des prêtres évangéliser les travailleurs des champs. A droite, il confie des enfants trouvés à Louise de Marillac et aux filles de la charité.
100
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   L'aigle et le pélican.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
L'aigle et le pélican.
101
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  Construit en 1898, c’est le dernier grand instrument de l’illustre Aristide Cavaillé-Coll. A l’origine, c’est un « simple » particulier, le baron de l’Espée, qui l’avait commandé pour son gigantesque château situé à Biarritz ! Il avait désiré ce qui pouvait se faire de mieux à l’époque, et n’avait pas regardé à la dépense. Le baron revendit son orgue quelques années plus tard à Charles Mutin, le successeur de Cavaillé, et la basilique en fit l’acquisition en 1919.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Construit en 1898, c’est le dernier grand instrument de l’illustre Aristide Cavaillé-Coll. A l’origine, c’est un « simple » particulier, le baron de l’Espée, qui l’avait commandé pour son gigantesque château situé à Biarritz ! Il avait désiré ce qui pouvait se faire de mieux à l’époque, et n’avait pas regardé à la dépense. Le baron revendit son orgue quelques années plus tard à Charles Mutin, le successeur de Cavaillé, et la basilique en fit l’acquisition en 1919.
102
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
103
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Le chœur de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre et son retable en marbre de Carrare. Le chœur est fermé par onze arcades romanes, étrangement allongées.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le chœur de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre et son retable en marbre de Carrare. Le chœur est fermé par onze arcades romanes, étrangement allongées.
104
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Le maître-autel en marbre de Sienne dans le chœur est de Rauline. Le retable de Lucien Magne est orné d'une représentation du Christ en croix, entouré de chaque côté des apôtres. Le tabernacle est surmonté d'un ciborium en argent doré : conçu en 1902, il est orné de deux anges supportant l'ostensoir qui renferme le corps divin. 
Au premier plan, le maître-autel, reproduction en bronze d'un autel de Cluny
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Le maître-autel en marbre de Sienne dans le chœur est de Rauline. Le retable de Lucien Magne est orné d'une représentation du Christ en croix, entouré de chaque côté des apôtres. Le tabernacle est surmonté d'un ciborium en argent doré : conçu en 1902, il est orné de deux anges supportant l'ostensoir qui renferme le corps divin. Au premier plan, le maître-autel, reproduction en bronze d'un autel de Cluny
105
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   La coupole.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La coupole.
106
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   La coupole.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La coupole.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   La coupole.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La coupole.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   La coupole.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La coupole.
109
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   La mosaïque du chœur est due à Olivier Merson, H. M. Magne et R. Martin. Elle représente le Christ ressuscité, vêtu de blanc, les bras grands ouverts, laissant voir un cœur d’or.. Avec une surface totale de 475m2, c'est l'une des plus grandes du monde. Autour du Christ, à des échelles différentes, tout un monde d’adorateurs est représenté, dont les Saints protecteurs de la France : en grand, la Vierge Marie et Saint Michel, Sainte Jeanne d’Arc, ainsi que la France personnifiée offrant sa couronne à droite  et le Pape Léon XIII offrant le monde à gauche.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La mosaïque du chœur est due à Olivier Merson, H. M. Magne et R. Martin. Elle représente le Christ ressuscité, vêtu de blanc, les bras grands ouverts, laissant voir un cœur d’or.. Avec une surface totale de 475m2, c'est l'une des plus grandes du monde. Autour du Christ, à des échelles différentes, tout un monde d’adorateurs est représenté, dont les Saints protecteurs de la France : en grand, la Vierge Marie et Saint Michel, Sainte Jeanne d’Arc, ainsi que la France personnifiée offrant sa couronne à droite et le Pape Léon XIII offrant le monde à gauche.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   
De chaque côté, sur deux rangs sous des architectures dorées, l’hommage de l’Eglise (à gauche) et de la France (à droite) au Sacré-Cœur. L’Eglise du Ciel est placée au « deuxième étage » de la mosaïque, entourant le plafond du chœur sur lequel est représentée de manière figurée la Sainte Trinité (au-dessus du Christ, colombe de l’Esprit Saint et visage du Père qui tient et bénit le monde), sur deux rangs : les Saints qui sont particulièrement liés au Sacré-Cœur de Jésus (à gauche) et les Saints de France (à droite). A la base de cette mosaïque court en latin la formule qui illustre la construction de la Basilique comme un don de toute la France au Cœur du Christ : « Au Cœur Sacré de Jésus, la France fervente, pénitente et reconnaissante ».
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
De chaque côté, sur deux rangs sous des architectures dorées, l’hommage de l’Eglise (à gauche) et de la France (à droite) au Sacré-Cœur. L’Eglise du Ciel est placée au « deuxième étage » de la mosaïque, entourant le plafond du chœur sur lequel est représentée de manière figurée la Sainte Trinité (au-dessus du Christ, colombe de l’Esprit Saint et visage du Père qui tient et bénit le monde), sur deux rangs : les Saints qui sont particulièrement liés au Sacré-Cœur de Jésus (à gauche) et les Saints de France (à droite). A la base de cette mosaïque court en latin la formule qui illustre la construction de la Basilique comme un don de toute la France au Cœur du Christ : « Au Cœur Sacré de Jésus, la France fervente, pénitente et reconnaissante ».
111
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   L’hommage de la France :
Partant de la droite, différents événements historiques liant la France au Sacré-Cœur sont évoqués : le vœu de Marseille lors de la peste de 1720 ; le vœu du Temple avec Louis XVI et la famille royale (1792) ; le Vœu national avec les généraux de Sonis et de Charrette portant la bannière du Sacré-Cœur (1870) ; les initiateurs du Vœu, M. Legentil et M. Rohault de Fleury (1871) ; le rapporteur du projet de loi devant l’Assemblée nationale (1873) ; les cardinaux de Paris (Card. Guibert, Richard, et Amette)qui ont collaboré à la construction et à l’embellissement de la Basilique. Au-dessu, la France du Ciel : St Lazare de Marseille, Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe, St Denis, St Martin, Ste Geneviève, St Bernard, St Louis, St François de Sales, St Vincent de Paul, Ste Marguerite-Marie, St Jean-Eudes, Ste Madeleine-Sophie Barrat.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
L’hommage de la France : Partant de la droite, différents événements historiques liant la France au Sacré-Cœur sont évoqués : le vœu de Marseille lors de la peste de 1720 ; le vœu du Temple avec Louis XVI et la famille royale (1792) ; le Vœu national avec les généraux de Sonis et de Charrette portant la bannière du Sacré-Cœur (1870) ; les initiateurs du Vœu, M. Legentil et M. Rohault de Fleury (1871) ; le rapporteur du projet de loi devant l’Assemblée nationale (1873) ; les cardinaux de Paris (Card. Guibert, Richard, et Amette)qui ont collaboré à la construction et à l’embellissement de la Basilique. Au-dessu, la France du Ciel : St Lazare de Marseille, Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe, St Denis, St Martin, Ste Geneviève, St Bernard, St Louis, St François de Sales, St Vincent de Paul, Ste Marguerite-Marie, St Jean-Eudes, Ste Madeleine-Sophie Barrat.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  L’hommage de la France : partant de la droite, différents événements historiques liant la France au Sacré-Cœur sont évoqués : le vœu de Marseille lors de la peste de 1720 ; le vœu du Temple avec Louis XVI et la famille royale (1792) ;
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
L’hommage de la France : partant de la droite, différents événements historiques liant la France au Sacré-Cœur sont évoqués : le vœu de Marseille lors de la peste de 1720 ; le vœu du Temple avec Louis XVI et la famille royale (1792) ;
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   le Vœu national avec les généraux de Sonis et de Charrette portant la bannière du Sacré-Cœur (1870) ; les initiateurs du Vœu, M. Legentil et M. Rohault de Fleury (1871) ; le rapporteur du projet de loi devant l’Assemblée nationale (1873) ; les cardinaux de Paris (Card. Guibert, Richard, et Amette)qui ont collaboré à la construction et à l’embellissement de la Basilique.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
le Vœu national avec les généraux de Sonis et de Charrette portant la bannière du Sacré-Cœur (1870) ; les initiateurs du Vœu, M. Legentil et M. Rohault de Fleury (1871) ; le rapporteur du projet de loi devant l’Assemblée nationale (1873) ; les cardinaux de Paris (Card. Guibert, Richard, et Amette)qui ont collaboré à la construction et à l’embellissement de la Basilique.
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<center></center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre <br><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  La France du Ciel : St Lazare de Marseille, Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe, St Denis, St Martin, Ste Geneviève, St Bernard, St Louis, St François de Sales, St Vincent de Paul, Ste Marguerite-Marie, St Jean-Eudes, Ste Madeleine-Sophie Barrat.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La France du Ciel : St Lazare de Marseille, Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe, St Denis, St Martin, Ste Geneviève, St Bernard, St Louis, St François de Sales, St Vincent de Paul, Ste Marguerite-Marie, St Jean-Eudes, Ste Madeleine-Sophie Barrat.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   La France du Ciel : St Lazare de Marseille, Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe, St Denis, St Martin, Ste Geneviève, St Bernard, St Louis, St François de Sales, St Vincent de Paul, Ste Marguerite-Marie, St Jean-Eudes, Ste Madeleine-Sophie Barrat.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
La France du Ciel : St Lazare de Marseille, Ste Marie-Madeleine et Ste Marthe, St Denis, St Martin, Ste Geneviève, St Bernard, St Louis, St François de Sales, St Vincent de Paul, Ste Marguerite-Marie, St Jean-Eudes, Ste Madeleine-Sophie Barrat.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   L’hommage de l’Eglise catholique : partant de la gauche, on aperçoit le Pape Clément XIII qui institue la fête du Sacré-Cœur.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
L’hommage de l’Eglise catholique : partant de la gauche, on aperçoit le Pape Clément XIII qui institue la fête du Sacré-Cœur.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   puis le Pape Pie IX qui l’étend à l’Eglise universelle,
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
puis le Pape Pie IX qui l’étend à l’Eglise universelle,
118
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   enfin, à droite, le Pape Léon XIII (qui tend le globe) consacrant le genre humain au Sacré-Cœur. Il est suivi par des personnages symbolisant les cinq continents.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
enfin, à droite, le Pape Léon XIII (qui tend le globe) consacrant le genre humain au Sacré-Cœur. Il est suivi par des personnages symbolisant les cinq continents.
119
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>  L’Eglise du Ciel : St Pierre, St Jean, St Paul, St Ignace d’Antioche, Ste Agnès, St Augustin, St Dominique, St François d’Assise, St Ignace de Loyola, Ste Gertrude, Ste Catherine de Sienne, Ste Rose de Lima, Ste Thérèse d’Avila.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
L’Eglise du Ciel : St Pierre, St Jean, St Paul, St Ignace d’Antioche, Ste Agnès, St Augustin, St Dominique, St François d’Assise, St Ignace de Loyola, Ste Gertrude, Ste Catherine de Sienne, Ste Rose de Lima, Ste Thérèse d’Avila.
120
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
121
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Chapelle de la Marine, avec la statue Stella Maris, de Fagel.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Marine, avec la statue Stella Maris, de Fagel.
122
<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Chapelle de la Marine. A gauche, bénédiction des croisés avant l'embarquement. A droite, Monseigneur de Belzunce remet aux marins des images du Sacré-Coeur.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Marine. A gauche, bénédiction des croisés avant l'embarquement. A droite, Monseigneur de Belzunce remet aux marins des images du Sacré-Coeur.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Chapelle de la Marine. Jésus marche sur l'eau. De H. Pinta.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Marine. Jésus marche sur l'eau. De H. Pinta.
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<center></center><center>Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre </center>   Chapelle de la Marine. rencontre de Jésus avec Simon, André, Jacques et Jean, pécheurs du lac de Tibériade et ses premiers disciples. De Guilbert Martin.
Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre
Chapelle de la Marine. rencontre de Jésus avec Simon, André, Jacques et Jean, pécheurs du lac de Tibériade et ses premiers disciples. De Guilbert Martin.
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<center></center><center>Église Saint-Pierre de Montmartre.</center>
Église Saint-Pierre de Montmartre.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center> Deux tourelles d'escalier encadrent une haute verrière. L'emploi du ciment armé en façade de l'église a amené de Baudot à renouveler la technique de décoration. De l'alliance de deux produits de l'industrie moderne : la céramique et le ciment armé, il a tiré une esthétique novatrice.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Deux tourelles d'escalier encadrent une haute verrière. L'emploi du ciment armé en façade de l'église a amené de Baudot à renouveler la technique de décoration. De l'alliance de deux produits de l'industrie moderne : la céramique et le ciment armé, il a tiré une esthétique novatrice.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Les grés de Bigot, pastilles et triangles de grès cérame émaillé coloré ont été fixés dans le ciment frais. Ils soulignent les parties courbes du porche, animent la façade et, à l'intérieur de l'église, décorent la balustrade de la tribune et l'autel.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Les grés de Bigot, pastilles et triangles de grès cérame émaillé coloré ont été fixés dans le ciment frais. Ils soulignent les parties courbes du porche, animent la façade et, à l'intérieur de l'église, décorent la balustrade de la tribune et l'autel.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center> Céramiques d'art d'Alexandre Bigot au-dessus du portail et sculptures de Pierre Roche représentant saint Jean l'Évangéliste entouré de deux anges. Peu connu du grand public Anatole de Baudot, disciple d'Eugène Viollet-le-Duc et de Henri Labrouste, n'en demeure pas moins l'un des maîtres à penser de l'architecture du dernier tiers du XIXe et du début du XXe siècle. La raison en est simple : si le ciment armé revêt tant d'intérêt aux yeux d'Anatole de Baudot, c'est qu'à la différence du fer, il peut être à la fois ossature et enveloppe de l'édifice.
Anatole de Baudot se démarque ainsi nettement des architectes qui, comme Boileau au Bon Marché, utilisent ce matériau nouveau qu'est le fer en le réduisant à n'être que le support de formes anciennes, sans l'intégrer pleinement à des formules neuves, comme celles qui sont à l'origine du renom architectural de Saint-Jean-de-Montmartre.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Céramiques d'art d'Alexandre Bigot au-dessus du portail et sculptures de Pierre Roche représentant saint Jean l'Évangéliste entouré de deux anges. Peu connu du grand public Anatole de Baudot, disciple d'Eugène Viollet-le-Duc et de Henri Labrouste, n'en demeure pas moins l'un des maîtres à penser de l'architecture du dernier tiers du XIXe et du début du XXe siècle. La raison en est simple : si le ciment armé revêt tant d'intérêt aux yeux d'Anatole de Baudot, c'est qu'à la différence du fer, il peut être à la fois ossature et enveloppe de l'édifice. Anatole de Baudot se démarque ainsi nettement des architectes qui, comme Boileau au Bon Marché, utilisent ce matériau nouveau qu'est le fer en le réduisant à n'être que le support de formes anciennes, sans l'intégrer pleinement à des formules neuves, comme celles qui sont à l'origine du renom architectural de Saint-Jean-de-Montmartre.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Au béton armé, Baudot préférera le ciment armé qui permet de plus faibles épaisseurs. Il choisira donc le système Cottancin qui utilise de minces dalles de ciment armé renforcées de contreforts pour les parties horizontales et des briques enfilées sur des tringles de fer pour les parties verticales. Ces deux parties reliées entre elles forment un véritable monolithe indéformable, les murs n'intervenant plus que comme remplissage ne portant pas de charges. Le système Cottancin disparaîtra après 1914 au profit du système Hennebique, qui lui, emploie le béton armé.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Au béton armé, Baudot préférera le ciment armé qui permet de plus faibles épaisseurs. Il choisira donc le système Cottancin qui utilise de minces dalles de ciment armé renforcées de contreforts pour les parties horizontales et des briques enfilées sur des tringles de fer pour les parties verticales. Ces deux parties reliées entre elles forment un véritable monolithe indéformable, les murs n'intervenant plus que comme remplissage ne portant pas de charges. Le système Cottancin disparaîtra après 1914 au profit du système Hennebique, qui lui, emploie le béton armé.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  A gauche, un bas-relief de saint Jean avec un aigle, sculpture de Guéniot.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
A gauche, un bas-relief de saint Jean avec un aigle, sculpture de Guéniot.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  En 2007, le sculpteur et orfèvre Goudji, créé et réalise une cuve baptismale en pierre de Pontijou, fer forgé, argent et jaspe.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
En 2007, le sculpteur et orfèvre Goudji, créé et réalise une cuve baptismale en pierre de Pontijou, fer forgé, argent et jaspe.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Quarante-huit petits vitraux curvilignes forment un ensemble unique de par son ampleur, dédié aux mérites de la Sainte Vierge. Ils sont classés par thème, ordonnés en partant du bas-côté gauche de l'église et font état des qualités innombrables de Marie.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Quarante-huit petits vitraux curvilignes forment un ensemble unique de par son ampleur, dédié aux mérites de la Sainte Vierge. Ils sont classés par thème, ordonnés en partant du bas-côté gauche de l'église et font état des qualités innombrables de Marie.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>   La crucifixion, 1901, par L.D Tournel et ses fils.  Au-dessous sont représentés les quatre évangélistes avec leurs symboles habituels.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
La crucifixion, 1901, par L.D Tournel et ses fils. Au-dessous sont représentés les quatre évangélistes avec leurs symboles habituels.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Les cavaliers de l'Apocalypse, de part et d'autre de la tribune.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Les cavaliers de l'Apocalypse, de part et d'autre de la tribune.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Les cavaliers de l'Apocalypse, de part et d'autre de la tribune.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Les cavaliers de l'Apocalypse, de part et d'autre de la tribune.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Les « draperies », qui tapissent Ie fond du chœur, évoquent l’auteur du quatrième évangile par la multiplicité des têtes d'aigle qui y sont peintes. Les sculptures de bronze et terre vernissée de Pierre Roche (1855-1922) décorent  le maître-autel dans le style 1900. Elles représentent les 4 évangélistes. Alexandre Bigot, célèbre céramiste, est l'auteur du grès décorant la façade, ainsi que le maitre autel.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Les « draperies », qui tapissent Ie fond du chœur, évoquent l’auteur du quatrième évangile par la multiplicité des têtes d'aigle qui y sont peintes. Les sculptures de bronze et terre vernissée de Pierre Roche (1855-1922) décorent le maître-autel dans le style 1900. Elles représentent les 4 évangélistes. Alexandre Bigot, célèbre céramiste, est l'auteur du grès décorant la façade, ainsi que le maitre autel.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  La chapelle de la Vierge. La peinture murale est une œuvre d'Eugène Thiery qui a également réalisé les quatre stations du chemin de croix. Autour de la Vierge Marie, consolatrice des affligés, le peintre a représenté des scènes et des personnages liés à la Grande Guerre : à gauche, un soldat agonise, la tête posée sur les genoux d'une religieuse de Saint Vincent de Paul, à droite, un poilu, casque sous le bras, accompagné de sa jeune épousée.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
La chapelle de la Vierge. La peinture murale est une œuvre d'Eugène Thiery qui a également réalisé les quatre stations du chemin de croix. Autour de la Vierge Marie, consolatrice des affligés, le peintre a représenté des scènes et des personnages liés à la Grande Guerre : à gauche, un soldat agonise, la tête posée sur les genoux d'une religieuse de Saint Vincent de Paul, à droite, un poilu, casque sous le bras, accompagné de sa jeune épousée.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  Il faudra attendre le premier quart du XXe siècle pour que le vitrail, comme l'ensemble du décor peint des églises, soit portés par une véritable dynamique créative, liée en grande partie à la création des Ateliers d'Art sacré par Maurice Denis et George Desvallières (1919). Les vitraux de Saint-Jean de Montmartre sont une bonne illustration de cette résurrection du vitrail, Jac Galland excellant dans un art figuratif, nettement affranchi des canons de l'imagerie saint-sulpicienne. Les cartons des vitraux sont dus à Pascal Blanchard. La Multiplication des pains.
L’église Saint-Jean de Montmartre.
Il faudra attendre le premier quart du XXe siècle pour que le vitrail, comme l'ensemble du décor peint des églises, soit portés par une véritable dynamique créative, liée en grande partie à la création des Ateliers d'Art sacré par Maurice Denis et George Desvallières (1919). Les vitraux de Saint-Jean de Montmartre sont une bonne illustration de cette résurrection du vitrail, Jac Galland excellant dans un art figuratif, nettement affranchi des canons de l'imagerie saint-sulpicienne. Les cartons des vitraux sont dus à Pascal Blanchard. La Multiplication des pains.
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<center></center><center>L’église Saint-Jean de Montmartre. </center>  La Femme adultère
L’église Saint-Jean de Montmartre.
La Femme adultère
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