Paris 2017

Le Quartier d'Amérique, les Buttes-Chaumont, la Cité Internationale Universitaire.

<center>L'Eglise Saint-François d'Assise</center>L'église catholique Saint François d'Assise en brique a été construite entre 1913 et 1926 par les frères Paul et Auguste Courcoux. Ce sanctuaire est dédié à saint François d'Assise pour commémorer les sept cents ans de la création du Tiers-Ordre de saint François.
L'Eglise Saint-François d'Assise
L'église catholique Saint François d'Assise en brique a été construite entre 1913 et 1926 par les frères Paul et Auguste Courcoux. Ce sanctuaire est dédié à saint François d'Assise pour commémorer les sept cents ans de la création du Tiers-Ordre de saint François.
1
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Le quartier est plus communément appelé
Le Quartier d'Amérique
Le quartier est plus communément appelé " la Mouzaïa " du nom de la rue principale autour de laquelle il s’organise . Il s’agit d’un lieu-dit célèbre depuis un épisode de notre guerre coloniale en Algérie, la prise du " Thénia de la Mouzaïa " ( col de montagne ) le 12 mai 1840 par le duc d’Aumale avec les zouaves et les tirailleurs de Vincennes sous les ordres du colonel La Moricicière , sous les ordres du duc d'Orléans commandant en chef , contre la Smalah de l’émir Abd-el-Kader.
2
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Les 250 maisons de la Mouzaïa ont été construites à la fin du XIXe siècle (1879) pour les ouvriers modestes qui travaillaient sur les carrières de gypse et de meulière du quartier . On exploita les carrières de gypse jusqu’en 1872. Car le gypse des buttes Chaumont, d'excellente réputation . Ce gypse chauffé à 120 ° dans des fours donnait un plâtre d'excellente qualité . Selon une légende tenace les carrières étaient ainsi nommées car une partie du plâtre produit aurait été exporté, et aurait servi à édifier la Maison Blanche, à Washington, aux États-Unis . C'est la raison pour laquelle on a donné le nom
Le Quartier d'Amérique
Les 250 maisons de la Mouzaïa ont été construites à la fin du XIXe siècle (1879) pour les ouvriers modestes qui travaillaient sur les carrières de gypse et de meulière du quartier . On exploita les carrières de gypse jusqu’en 1872. Car le gypse des buttes Chaumont, d'excellente réputation . Ce gypse chauffé à 120 ° dans des fours donnait un plâtre d'excellente qualité . Selon une légende tenace les carrières étaient ainsi nommées car une partie du plâtre produit aurait été exporté, et aurait servi à édifier la Maison Blanche, à Washington, aux États-Unis . C'est la raison pour laquelle on a donné le nom " d'Amérique " à ce quartier . C’est l’architecte Paul-Casimir Fouquiau qui les a conçues selon des règles strictes imposées par la structure du sous-sol . Elles sont toutes érigées selon le même modèle sur un terrain en pente , avec façade de brique rouge (aujourd’hui repeintes dans la plupart des cas) , porte d’entrée étroite , marquise en fer forgé et cour à l’avant . Le sol étant fragile à causes des anciennes carrières dans le sous-sol , les demeures ne devaient pas faire plus de deux étages . C'est pourquoi il n’y a pas d’immeubles dans le quartier, mais seulement des maisonnettes, avec courettes, jardins, terrasses . Elles appartenaient autrefois à des voies privées et étaient fermées .
3
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Aujourd'hui ouvertes ces ruelles, que l'on appelle Villa, sont pavées et éclairées par des lampadaires dont le mât est décoré d'une branche de lierre entrelacée selon le modèle
Le Quartier d'Amérique
Aujourd'hui ouvertes ces ruelles, que l'on appelle Villa, sont pavées et éclairées par des lampadaires dont le mât est décoré d'une branche de lierre entrelacée selon le modèle " Oudry " .
4
<center>Le Quartier d'Amérique</center>La butte de
Le Quartier d'Amérique
La butte de " Beauregard " , bien nommée , est parmi les cinq points culminants du quartier . En ce temps-là, en son sommet, la rue de Bellevue était couronnée de six moulins , le moulin Vieux , le moulin Neuf , le moulin Basset , le Petit Moulin , le moulin de la Motte et le moulin du Costre.
5
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Plus bas à l’angle avec la rue de la Fraternité on aperçoit la villa de R. Fisher et sa toiture terrasse avec pergola, l’Art Déco côtoyant ici un pastiche « normand ».
Le Quartier d'Amérique
Plus bas à l’angle avec la rue de la Fraternité on aperçoit la villa de R. Fisher et sa toiture terrasse avec pergola, l’Art Déco côtoyant ici un pastiche « normand ».
6
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Rue de la Fraternité, maison appartenant à  l'œuvre de la
Le Quartier d'Amérique
Rue de la Fraternité, maison appartenant à l'œuvre de la " Bouchée de pain " . L’œuvre de la « Bouchée de pain » a été, fondée en 1884 par Mr et Mme Dehaut . Reconnue d'utilité publique par décret en date du 30 juillet 1900 .
7
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Ce jardin occupe une partie du site de l’ancien Hôpital de la place du Danube, devenu l’hôpital Hérold en 1895 en hommage au préfet de Seine, Ferdinand Hérold (1828- 1882). L’hôpital a été démoli et ses différents services transférés vers l’hôpital Robert Debré en 1988.
Dans le cadre d’une importante opération de rénovation urbaine» de nouveaux espaces verts ont, été aménagés en 2012. Définis en concertation avec ses habitants, ils conjuguent convivialité et rencontres entre les générations. Trois jardins participatifs complètent un vaste paysager équipé de jeux pour enfants. 
A l'arrière plan, immeubles en béton.
Le Quartier d'Amérique
Ce jardin occupe une partie du site de l’ancien Hôpital de la place du Danube, devenu l’hôpital Hérold en 1895 en hommage au préfet de Seine, Ferdinand Hérold (1828- 1882). L’hôpital a été démoli et ses différents services transférés vers l’hôpital Robert Debré en 1988. Dans le cadre d’une importante opération de rénovation urbaine» de nouveaux espaces verts ont, été aménagés en 2012. Définis en concertation avec ses habitants, ils conjuguent convivialité et rencontres entre les générations. Trois jardins participatifs complètent un vaste paysager équipé de jeux pour enfants. A l'arrière plan, immeubles en béton.
8
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Bâtiments construits sous la présidence de Jacques Chirac.
Le Quartier d'Amérique
Bâtiments construits sous la présidence de Jacques Chirac.
9
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Le lycée technique Diderot a une forme de vaisseau ancré sur un banc de béton noir. Il a été réalisé par l'atelier d'architecture Jean-François Laurent.
Le Quartier d'Amérique
Le lycée technique Diderot a une forme de vaisseau ancré sur un banc de béton noir. Il a été réalisé par l'atelier d'architecture Jean-François Laurent.
10
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Le Hameau du Danube.
Le Quartier d'Amérique
Le Hameau du Danube.
11
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Le Hameau du Danube, composé de 28 pavillons réalisés en 1923-1924 par Albenque et Gonnot et organisé de façon symétrique autour d’une voie en Y, constitue un bon exemple de ce rationalisme qui n’exclut pas les effets pittoresques. Il remporta le Concours de façades de la Ville de Paris en 1926.
Le Quartier d'Amérique
Le Hameau du Danube, composé de 28 pavillons réalisés en 1923-1924 par Albenque et Gonnot et organisé de façon symétrique autour d’une voie en Y, constitue un bon exemple de ce rationalisme qui n’exclut pas les effets pittoresques. Il remporta le Concours de façades de la Ville de Paris en 1926.
12
<center>Le Quartier d'Amérique</center>Église Saint-François-d'Assise.
Le Quartier d'Amérique
Église Saint-François-d'Assise.
13
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Le parc des Buttes-Chaumont  <br> Pavillon Davioud. Ce parc de 25 ha occupe l’emplacement d’une ancienne carrière de gypse exploitée depuis la Révolution française jusqu’en 1860. L’État fait l’acquisition du terrain en 1863 et Napoléon III (1808-1875) décide d’y créer le grand parc de l’Est parisien.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Le parc des Buttes-Chaumont
Pavillon Davioud. Ce parc de 25 ha occupe l’emplacement d’une ancienne carrière de gypse exploitée depuis la Révolution française jusqu’en 1860. L’État fait l’acquisition du terrain en 1863 et Napoléon III (1808-1875) décide d’y créer le grand parc de l’Est parisien.
14
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La plus grande des carrières des environs, qui était exploitée à ciel ouvert, est transformée en un vaste jardin public sous Napoléon III : le parc des Buttes-Chaumont, dans le quartier du Combat. Le jardinier Barillet-Deschamps (1824-1873), l’architecte Davioud ‘1823-1881) et l'ingénieur Belgrand (1810-1878) assistent Jean-Charles Alphand(1817-1891) pour en faire l’un des parcs les plus spectaculaires de la capitale.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La plus grande des carrières des environs, qui était exploitée à ciel ouvert, est transformée en un vaste jardin public sous Napoléon III : le parc des Buttes-Chaumont, dans le quartier du Combat. Le jardinier Barillet-Deschamps (1824-1873), l’architecte Davioud ‘1823-1881) et l'ingénieur Belgrand (1810-1878) assistent Jean-Charles Alphand(1817-1891) pour en faire l’un des parcs les plus spectaculaires de la capitale.
15
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Inauguré pour l’Exposition Universelle de 1867, le parc des Buttes-Chaumont s’inscrit dans le vaste plan de rénovation urbain de Paris mené au Second Empire, par le Préfet Georges Haussmann, sous l’impulsion de Napoléon III. C’est un témoignage exceptionnel de l’art des jardins et de ses prouesses techniques au XIXe siècle.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Inauguré pour l’Exposition Universelle de 1867, le parc des Buttes-Chaumont s’inscrit dans le vaste plan de rénovation urbain de Paris mené au Second Empire, par le Préfet Georges Haussmann, sous l’impulsion de Napoléon III. C’est un témoignage exceptionnel de l’art des jardins et de ses prouesses techniques au XIXe siècle.
16
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Pont dit « des Suicidés » qui s'élève à 22 m de hauteur. Pont en pierre composé d'une seule arche, en plein-cintre. Il relie le parc à l'île du Belvédère en traversant le lac
Le parc des Buttes-Chaumont.
Pont dit « des Suicidés » qui s'élève à 22 m de hauteur. Pont en pierre composé d'une seule arche, en plein-cintre. Il relie le parc à l'île du Belvédère en traversant le lac
17
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
18
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Chalet Davioud transformé en buvette.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Chalet Davioud transformé en buvette.
19
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Les lignes courbes des allées, les arbres majestueux, les effets d’eau et d’enrochements créent une situation de paysage naturel ressemblant à la Suisse.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Les lignes courbes des allées, les arbres majestueux, les effets d’eau et d’enrochements créent une situation de paysage naturel ressemblant à la Suisse.
20
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
21
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Le cèdre du Liban est une essence originaire du Moyen-Orient appartenant à la famille des Pinacées.
Hauteur : 15 m Circonférence : 370 cm
Ce cèdre, planté en 1880, imposant par sa taille et l’envergure de ses longues branches horizontales surplombe le parc des Buttes-Chaumont. Introduit en France en 1734, le cèdre est présent dans les parcs parisiens où il trouve l’espace suffisant pour se développer.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Le cèdre du Liban est une essence originaire du Moyen-Orient appartenant à la famille des Pinacées. Hauteur : 15 m Circonférence : 370 cm Ce cèdre, planté en 1880, imposant par sa taille et l’envergure de ses longues branches horizontales surplombe le parc des Buttes-Chaumont. Introduit en France en 1734, le cèdre est présent dans les parcs parisiens où il trouve l’espace suffisant pour se développer.
22
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Barrière en rocaille.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Barrière en rocaille.
23
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La passerelle suspendue à 63 m de haut conçue par Gustave Eiffel.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La passerelle suspendue à 63 m de haut conçue par Gustave Eiffel.
24
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Temple de la Sybille, construit en 1869 par Gabriel Davioud, réplique du temple de Vesta à Tivoli à Rome. Il est situé à 30 mètres d’altitude. La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Temple de la Sybille, construit en 1869 par Gabriel Davioud, réplique du temple de Vesta à Tivoli à Rome. Il est situé à 30 mètres d’altitude. La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
25
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Vue vers le Nord et dans l’axe de l’avenue de Laumière à l’angle avec la Mairie du XIXe, les 4 tours de l’avenue de Flandre ( M. Schulz Van Treeck Arch. 1970-1978) situées au delà du bassin de la Villette .
Le parc des Buttes-Chaumont.
Vue vers le Nord et dans l’axe de l’avenue de Laumière à l’angle avec la Mairie du XIXe, les 4 tours de l’avenue de Flandre ( M. Schulz Van Treeck Arch. 1970-1978) situées au delà du bassin de la Villette .
26
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Montmartre.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Montmartre.
27
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Montmartre.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Montmartre.
28
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
29
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
30
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
31
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La mairie du 19e arrondissement de Paris. Le bâtiment a été conçu par l'architecte Gabriel Davioud et construit entre 1876 et 1878.

La façade du pavillon central est ornée des sculptures de L'Approvisionnement en eau d'Aristide Croisy et de L'Approvisionnement en bétail, de Georges Clère.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La mairie du 19e arrondissement de Paris. Le bâtiment a été conçu par l'architecte Gabriel Davioud et construit entre 1876 et 1878. La façade du pavillon central est ornée des sculptures de L'Approvisionnement en eau d'Aristide Croisy et de L'Approvisionnement en bétail, de Georges Clère.
32
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel.
33
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Platanes.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Platanes.
34
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
35
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Le lac, les ruisseaux et les cascades sont alimentés par le réseau d’eau non potable de l’Est parisien depuis l’usine de pompage du bassin de La Villette.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Le lac, les ruisseaux et les cascades sont alimentés par le réseau d’eau non potable de l’Est parisien depuis l’usine de pompage du bassin de La Villette.
36
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Le Gouffre (1933). Sylvain Kinsburger. Sculpture en pierre.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Le Gouffre (1933). Sylvain Kinsburger. Sculpture en pierre.
37
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel. Les reflets de l’île dans les eaux du lac rappellent les falaises d’Etretat, destination alors en vogue. Ce lac, de 1,5 ha de forme grossièrement circulaire et d'environ 150 m de diamètre, est alimenté par 3 ruisseaux qui descendent les pentes du parc, le premier à l'ouest, le deuxième à l'est et le dernier au sud.
Le parc des Buttes-Chaumont.
La passerelle suspendue conçue par Gustave Eiffel. Les reflets de l’île dans les eaux du lac rappellent les falaises d’Etretat, destination alors en vogue. Ce lac, de 1,5 ha de forme grossièrement circulaire et d'environ 150 m de diamètre, est alimenté par 3 ruisseaux qui descendent les pentes du parc, le premier à l'ouest, le deuxième à l'est et le dernier au sud.
38
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Pont dit « des Suicidés » qui s'élève à 22 m de hauteur. Pont en pierre composé d'une seule arche, en plein-cintre. Il relie le parc à l'île du Belvédère en traversant le lac
Le parc des Buttes-Chaumont.
Pont dit « des Suicidés » qui s'élève à 22 m de hauteur. Pont en pierre composé d'une seule arche, en plein-cintre. Il relie le parc à l'île du Belvédère en traversant le lac
39
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Sur le flanc sud du lac est construite une grotte (une ancienne entrée d'une carrière souterraine)
Le parc des Buttes-Chaumont.
Sur le flanc sud du lac est construite une grotte (une ancienne entrée d'une carrière souterraine)
40
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Vue de l'intérieur de la grotte.  Elle mesure 14 m de large pour 20 m de haut et est décorée de fausses stalactites en ciment armé dont les plus grandes atteignent 8 m.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Vue de l'intérieur de la grotte. Elle mesure 14 m de large pour 20 m de haut et est décorée de fausses stalactites en ciment armé dont les plus grandes atteignent 8 m.
41
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Vue de l'intérieur de la grotte.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Vue de l'intérieur de la grotte.
42
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Vue de l'intérieur de la grotte. La grande cascade culmine à 32 m.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Vue de l'intérieur de la grotte. La grande cascade culmine à 32 m.
43
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Tulipier de Virginie, Magnoliacée. Origine : Amérique du Nord (du Canada à la Floride).
Cet arbre de grande taille possède des feuilles tronquées d'un beau vert pâle qui se teintent de jaune à l'automne.
Implantation en France : 1732. Les 3 premières graines sont rapportées du Canada par le Marquis de la Galissonnière.
Les fleurs sont mellifères et odorantes. Elles produisent un fruit en cône allongé qui sèche et se délite en libérant les akènes ailées.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Tulipier de Virginie, Magnoliacée. Origine : Amérique du Nord (du Canada à la Floride). Cet arbre de grande taille possède des feuilles tronquées d'un beau vert pâle qui se teintent de jaune à l'automne. Implantation en France : 1732. Les 3 premières graines sont rapportées du Canada par le Marquis de la Galissonnière. Les fleurs sont mellifères et odorantes. Elles produisent un fruit en cône allongé qui sèche et se délite en libérant les akènes ailées.
44
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
45
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Le lac des Buttes-Chaumont, surplombé par l'île.
Le parc des Buttes-Chaumont.
Le lac des Buttes-Chaumont, surplombé par l'île.
46
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>Le Théâtre guignol Anatole est l'un des plus anciens théâtres de Guignol créé à Paris. À l'origine, il est installé sur les Champs-Élysées en 1836 par Pierre Dumont, un Lyonnais monté à la capitale. Le théâtre est ensuite repris par son élève Anatole Cressigny puis par Émile Labelle, qui va créer en 1892 un castelet au parc des Buttes-Chaumont
Le parc des Buttes-Chaumont.
Le Théâtre guignol Anatole est l'un des plus anciens théâtres de Guignol créé à Paris. À l'origine, il est installé sur les Champs-Élysées en 1836 par Pierre Dumont, un Lyonnais monté à la capitale. Le théâtre est ensuite repris par son élève Anatole Cressigny puis par Émile Labelle, qui va créer en 1892 un castelet au parc des Buttes-Chaumont
47
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
48
<center>Le parc des Buttes-Chaumont.</center>
Le parc des Buttes-Chaumont.
49
<center></center><center>Fondation ophtalmologique Adolphe de Rothschild. </center> Selon les dernières volontés du baron Adolphe de Rothschild, décédé le 7 février 1900, son épouse la Baronne Julie-Caroline entreprend de faire construire un établissement spécialisé en ophtalmologie, destiné aux « indigents », à l’instar de l’Hôpital Ophtalmique qu’il avait déjà créé à Genève. Les travaux de construction commencent en 1902 : selon les vœux du baron Adolphe, les architectes Chatenay et Rouvre dessinent un bâtiment novateur qui s’accorde avec les idées visionnaires du médecin-directeur, l’éminent Dr. Trousseau, déjà préoccupé de ce que l’on appelle aujourd’hui « l’humanisation » de l’hôpital.
Fondation ophtalmologique Adolphe de Rothschild.
Selon les dernières volontés du baron Adolphe de Rothschild, décédé le 7 février 1900, son épouse la Baronne Julie-Caroline entreprend de faire construire un établissement spécialisé en ophtalmologie, destiné aux « indigents », à l’instar de l’Hôpital Ophtalmique qu’il avait déjà créé à Genève. Les travaux de construction commencent en 1902 : selon les vœux du baron Adolphe, les architectes Chatenay et Rouvre dessinent un bâtiment novateur qui s’accorde avec les idées visionnaires du médecin-directeur, l’éminent Dr. Trousseau, déjà préoccupé de ce que l’on appelle aujourd’hui « l’humanisation » de l’hôpital.
50
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants Arméniens. En 1927, le diplomate et philanthrope arménien Boghos NUBAR (1851-1930) a fait une donation de trois millions de francs à la Cité internationale pour financer l’édification d’un pavillon arménien. a Maison des Étudiants Arméniens ou Fondation Marie NUBAR – a été inaugurée le 16 décembre 1930, six mois après la mort de son fondateur.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants Arméniens. En 1927, le diplomate et philanthrope arménien Boghos NUBAR (1851-1930) a fait une donation de trois millions de francs à la Cité internationale pour financer l’édification d’un pavillon arménien. a Maison des Étudiants Arméniens ou Fondation Marie NUBAR – a été inaugurée le 16 décembre 1930, six mois après la mort de son fondateur.
51
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants Arméniens. Le bâtiment est l’œuvre de l’architecte Léon NAFILYAN, installé à Paris dans les années 1920. Il a conçu le projet dans un style qui perpétue les traditions architecturales arméniennes en empruntant à l’architecture religieuse les principales caractéristiques du décor sculpté qui orne les façades du pavillon. Haut de six étages, cet élégant bâtiment se caractérise par un grand luxe décoratif.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants Arméniens. Le bâtiment est l’œuvre de l’architecte Léon NAFILYAN, installé à Paris dans les années 1920. Il a conçu le projet dans un style qui perpétue les traditions architecturales arméniennes en empruntant à l’architecture religieuse les principales caractéristiques du décor sculpté qui orne les façades du pavillon. Haut de six étages, cet élégant bâtiment se caractérise par un grand luxe décoratif.
52
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>> Maison des Étudiants Arméniens. L'idée de la Cité internationale universitaire de Paris germe dans l'esprit de ses fondateurs - André Honnorat, ministre de l'Instruction Publique et Paul Appell, recteur de Paris - à la fois en réaction au traumatisme de la Première Guerre mondiale et comme une réponse à la crise du logement (notamment estudiantine) qui sévit à Paris à cette époque.
Le terrain choisi pour la réalisation du projet se situe au sud de la capitale, sur la ceinture des fortifications de Thiers édifiées en 1845. « Leur déclassement, voté en 1919, doit permettre l’extension de la ville : lotissement de l’emprise du rempart et aménagement d’une ceinture d’espaces verts autour de la ville (parcs, jardins, terrains de sport, etc.). Après de longues tractations, une convention est finalement signée en 1921.
La première résidence pour étudiants ouvre ses portes en 1925 grâce à Émile Deutsch de la Meurthe, homme d’affaires lorrain à la tête des Pétroles Jupiter. Industriel philanthrope, celui-ci avait exprimé son intention de construire des  « hameaux-jardins » permettant d’accueillir 350 étudiants méritants mais peu fortunés dans des « logements salubres et aérés encadrés de verdure ». En faisant don de 10 millions de francs-or, Émile Deutsch de la Meurthe devient ainsi le premier mécène de la Cité.
Cité internationale universitaire de Paris.
> Maison des Étudiants Arméniens. L'idée de la Cité internationale universitaire de Paris germe dans l'esprit de ses fondateurs - André Honnorat, ministre de l'Instruction Publique et Paul Appell, recteur de Paris - à la fois en réaction au traumatisme de la Première Guerre mondiale et comme une réponse à la crise du logement (notamment estudiantine) qui sévit à Paris à cette époque. Le terrain choisi pour la réalisation du projet se situe au sud de la capitale, sur la ceinture des fortifications de Thiers édifiées en 1845. « Leur déclassement, voté en 1919, doit permettre l’extension de la ville : lotissement de l’emprise du rempart et aménagement d’une ceinture d’espaces verts autour de la ville (parcs, jardins, terrains de sport, etc.). Après de longues tractations, une convention est finalement signée en 1921. La première résidence pour étudiants ouvre ses portes en 1925 grâce à Émile Deutsch de la Meurthe, homme d’affaires lorrain à la tête des Pétroles Jupiter. Industriel philanthrope, celui-ci avait exprimé son intention de construire des « hameaux-jardins » permettant d’accueillir 350 étudiants méritants mais peu fortunés dans des « logements salubres et aérés encadrés de verdure ». En faisant don de 10 millions de francs-or, Émile Deutsch de la Meurthe devient ainsi le premier mécène de la Cité.
53
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Le Collège néerlandais est considéré comme l’un des chefs d’œuvre de la Cité internationale. C’est la seule oeuvre en France de Willem Marinus DUDOK, l’un des architectes les plus éminents de l’école hollandaise de l’entre deux guerres. Sa forme orthogonale, son imbrication de volumes géométriques et son dépouillement décoratif en font un témoignage majeur du courant architectural moderniste des années 1920. Quelques éléments d’architecture renvoient pourtant à la culture nationale néerlandaise. Ainsi, la tour d’angle évoque les beffrois médiévaux des villes du nord des Pays Bas.
Cité internationale universitaire de Paris.
Le Collège néerlandais est considéré comme l’un des chefs d’œuvre de la Cité internationale. C’est la seule oeuvre en France de Willem Marinus DUDOK, l’un des architectes les plus éminents de l’école hollandaise de l’entre deux guerres. Sa forme orthogonale, son imbrication de volumes géométriques et son dépouillement décoratif en font un témoignage majeur du courant architectural moderniste des années 1920. Quelques éléments d’architecture renvoient pourtant à la culture nationale néerlandaise. Ainsi, la tour d’angle évoque les beffrois médiévaux des villes du nord des Pays Bas.
54
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Rosa Abreu de Grancher. Elle a été ouverte en 1933 pour loger les étudiants cubains à Paris. Elle a vu le jour grâce à une donation de Pierre Sanchez Abreu et de sa sœur Rosalia. La Fondation porte le nom de leur tante, Rosa ABREU, d’origine cubaine, et de son défunt mari, le professeur français Jacques-Joseph Grancher, qui travailla avec Louis Pasteur sur le vaccin antirabique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Rosa Abreu de Grancher. Elle a été ouverte en 1933 pour loger les étudiants cubains à Paris. Elle a vu le jour grâce à une donation de Pierre Sanchez Abreu et de sa sœur Rosalia. La Fondation porte le nom de leur tante, Rosa ABREU, d’origine cubaine, et de son défunt mari, le professeur français Jacques-Joseph Grancher, qui travailla avec Louis Pasteur sur le vaccin antirabique.
55
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Rosa Abreu de Grancher. Les travaux de construction de la Fondation Rosa Abreu de Grancher ont été lancés en 1930. C’est l’architecte Albert Laprade, co-auteur de la Résidence Lucien PAYE et futur créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui fut chargé du projet. Il s’est inspiré de la cathédrale de La Havane pour bâtir un élégant édifice de style colonial espagnol.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Rosa Abreu de Grancher. Les travaux de construction de la Fondation Rosa Abreu de Grancher ont été lancés en 1930. C’est l’architecte Albert Laprade, co-auteur de la Résidence Lucien PAYE et futur créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui fut chargé du projet. Il s’est inspiré de la cathédrale de La Havane pour bâtir un élégant édifice de style colonial espagnol.
56
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. En 1930, une Maison de l’Indochine a ouvert ses portes à la Cité internationale. Elle avait été créée à l’initiative d’un comité composé en majorité d’industriels français installés en Asie du Sud-Est, présidée par Raphaël Fontaine. Deux architectes, Pierre MARTIN et Maurice VIEU, ont conçu le bâtiment, qui abritait à l’origine 100 chambres. Ils se sont inspirés de la tradition architecturale indochinoise, comme le montrent les larges débords des toitures ou encore les angles des toits relevés en “bec de tourterelle”.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. En 1930, une Maison de l’Indochine a ouvert ses portes à la Cité internationale. Elle avait été créée à l’initiative d’un comité composé en majorité d’industriels français installés en Asie du Sud-Est, présidée par Raphaël Fontaine. Deux architectes, Pierre MARTIN et Maurice VIEU, ont conçu le bâtiment, qui abritait à l’origine 100 chambres. Ils se sont inspirés de la tradition architecturale indochinoise, comme le montrent les larges débords des toitures ou encore les angles des toits relevés en “bec de tourterelle”.
57
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
58
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. une fresque restaurée du peintre vietnamien LÊ PHÔ (1929) est  installée dans le hall d’accueil de la maison.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. une fresque restaurée du peintre vietnamien LÊ PHÔ (1929) est installée dans le hall d’accueil de la maison.
59
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
60
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. La bibliothèque. Le rouge est la couleur du bonheur.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. La bibliothèque. Le rouge est la couleur du bonheur.
61
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
62
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
63
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
64
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
65
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est.
66
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Maison des provinces de France. Les premiers dons en faveur de la création de la Maison des Provinces de France sont dus à l’américain Murry GUGGENHEIM et à un citoyen anonyme de Mulhouse. Tous deux souhaitaient édifier au sein de la Cité internationale une fondation destinée aux étudiants d’origine alsacienne redevenus français en 1918.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des provinces de France. Les premiers dons en faveur de la création de la Maison des Provinces de France sont dus à l’américain Murry GUGGENHEIM et à un citoyen anonyme de Mulhouse. Tous deux souhaitaient édifier au sein de la Cité internationale une fondation destinée aux étudiants d’origine alsacienne redevenus français en 1918.
67
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des provinces de France. La Maison des Provinces de France a été signée par l’architecte en chef du Château de Versailles, Armand GUERITTE. Malgré le nombre élevé de chambres du pavillon, il a su éviter « l’effet caserne » en concevant un élégant – et imposant – bâtiment de briques. Construite en « U », la maison est agrémentée de deux arcades et d’une façade couronnée des  36 écussons des Provinces de France. A gauche, la Savoie et l'Artois. Au centre, la Bourgogne, le Languedoc, le Roussillon et la Champagne. A droite, le Dauphiné.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des provinces de France. La Maison des Provinces de France a été signée par l’architecte en chef du Château de Versailles, Armand GUERITTE. Malgré le nombre élevé de chambres du pavillon, il a su éviter « l’effet caserne » en concevant un élégant – et imposant – bâtiment de briques. Construite en « U », la maison est agrémentée de deux arcades et d’une façade couronnée des 36 écussons des Provinces de France. A gauche, la Savoie et l'Artois. Au centre, la Bourgogne, le Languedoc, le Roussillon et la Champagne. A droite, le Dauphiné.
68
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation hellénique. En 1926, André Honnorat invita le gouvernement hellénique à édifier un foyer national à la Cité internationale. Mais les finances de l’État grec avaient été malmenées par dix ans de guerre contre l’empire Ottoman. La Fondation hellénique a donc vu le jour grâce à une souscription panhellénique qui a réunit des Grecs de Grèce et de la diaspora grecque. La mobilisation des milieux francophiles et de l’ambassadeur de Grèce en France, Nicolaos Politis, a été décisive pour lever les fonds nécessaires. La construction de la fondation a démarré en 1931. Signé par l’architecte Nikolaos Zahos, le bâtiment rend hommage aux architectures de la Grèce antique. A l’extérieur bien sûr, avec son portique évoquant l’Acropole et ses façades ornées de frises. Mais aussi à l’intérieur, avec son magnifique hall à colonnes, pavé de mosaïque et baigné de lumière blanche. La maison a été inaugurée le 23 décembre 1932.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation hellénique. En 1926, André Honnorat invita le gouvernement hellénique à édifier un foyer national à la Cité internationale. Mais les finances de l’État grec avaient été malmenées par dix ans de guerre contre l’empire Ottoman. La Fondation hellénique a donc vu le jour grâce à une souscription panhellénique qui a réunit des Grecs de Grèce et de la diaspora grecque. La mobilisation des milieux francophiles et de l’ambassadeur de Grèce en France, Nicolaos Politis, a été décisive pour lever les fonds nécessaires. La construction de la fondation a démarré en 1931. Signé par l’architecte Nikolaos Zahos, le bâtiment rend hommage aux architectures de la Grèce antique. A l’extérieur bien sûr, avec son portique évoquant l’Acropole et ses façades ornées de frises. Mais aussi à l’intérieur, avec son magnifique hall à colonnes, pavé de mosaïque et baigné de lumière blanche. La maison a été inaugurée le 23 décembre 1932.
69
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Lucien Paye. La Résidence Lucien PAYE a été inaugurée en 1951, sous le nom de Maison de la France d’Outre-Mer. Sa vocation initiale était d’accueillir à Paris les étudiants originaires des territoires français d’outre-mer. En 1972, elle a été rebaptisée Lucien PAYE. Cet universitaire, ministre de l’Éducation Nationale en 1961 et ancien haut responsable de la France au Sénégal, a joué un rôle important dans la création des universités africaines. La résidence, de style résolument africain, a été conçue par trois architectes : Jean Vernon et Bruno Philippe, qui ont signé ensuite la Maison du Maroc et la Maison du Liban, et Albert Laprade, créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui avait été l’auteur, vingt ans auparavant, de la Fondation Rosa ABREU DE GRANCHER. Plusieurs artistes ont collaboré à la création de la maison : Pierre Meauzé, qui réalisa les piliers sculptés de l’entrée, Anna QUINQUAUD, auteur des bas-reliefs de la façade, et Roger BÉZOMBES qui signa les tapisseries monumentales de salle des fêtes, exécutées dans les ateliers d’Aubusson.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Lucien Paye. La Résidence Lucien PAYE a été inaugurée en 1951, sous le nom de Maison de la France d’Outre-Mer. Sa vocation initiale était d’accueillir à Paris les étudiants originaires des territoires français d’outre-mer. En 1972, elle a été rebaptisée Lucien PAYE. Cet universitaire, ministre de l’Éducation Nationale en 1961 et ancien haut responsable de la France au Sénégal, a joué un rôle important dans la création des universités africaines. La résidence, de style résolument africain, a été conçue par trois architectes : Jean Vernon et Bruno Philippe, qui ont signé ensuite la Maison du Maroc et la Maison du Liban, et Albert Laprade, créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui avait été l’auteur, vingt ans auparavant, de la Fondation Rosa ABREU DE GRANCHER. Plusieurs artistes ont collaboré à la création de la maison : Pierre Meauzé, qui réalisa les piliers sculptés de l’entrée, Anna QUINQUAUD, auteur des bas-reliefs de la façade, et Roger BÉZOMBES qui signa les tapisseries monumentales de salle des fêtes, exécutées dans les ateliers d’Aubusson.
70
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle a été la première à voir le jour à La Cité internationale. Elle est le fruit d’une initiative privée : celle d’Émile Deutsch de la Meurthe, entrepreneur fortuné créateur avec son frère, Henry, des Pétroles Jupiter, qui deviendront le groupe Shell. Issu d’une grande famille de mécènes, Émile Deutsch de la Meurthe a financé avec son épouse, Louise, la construction des sept pavillons de la Fondation. Les travaux ont débuté en mai 1923. L’architecte, Lucien Bechmann, a adopté un style régionaliste pittoresque inspiré de collèges anglais comme Oxford. Les bâtiments ont été inaugurés au printemps 1925.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle a été la première à voir le jour à La Cité internationale. Elle est le fruit d’une initiative privée : celle d’Émile Deutsch de la Meurthe, entrepreneur fortuné créateur avec son frère, Henry, des Pétroles Jupiter, qui deviendront le groupe Shell. Issu d’une grande famille de mécènes, Émile Deutsch de la Meurthe a financé avec son épouse, Louise, la construction des sept pavillons de la Fondation. Les travaux ont débuté en mai 1923. L’architecte, Lucien Bechmann, a adopté un style régionaliste pittoresque inspiré de collèges anglais comme Oxford. Les bâtiments ont été inaugurés au printemps 1925.
71
<center></center>Cité internationale universitaire de Paris. <center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle regroupe, autour de son pavillon central, de son beffroi et de son horloge, six bâtiments d'habitation qui portent des noms d'universitaires ayant occupé de hautes fonctions administratives ou de savants ayant honoré l'université de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle regroupe, autour de son pavillon central, de son beffroi et de son horloge, six bâtiments d'habitation qui portent des noms d'universitaires ayant occupé de hautes fonctions administratives ou de savants ayant honoré l'université de Paris.
72
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe.
73
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe.
74
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>
Cité internationale universitaire de Paris.
75
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe. Vestige du bastion 82 des anciennes fortifications.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe. Vestige du bastion 82 des anciennes fortifications.
76
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Clocher de l'église de Gentilly.
Cité internationale universitaire de Paris.
Clocher de l'église de Gentilly.
77
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison du Mexique. Dans les années 1920, le gouvernement français invita le Mexique à participer au projet de construction de la Cité internationale. Dès 1925, un emplacement était réservé sur le site pour une résidence destinée à accueillir les universitaires mexicains. Toutefois, la Maison du Mexique ne fut inaugurée que le 8 octobre 1953. Sa construction a été financée par le gouvernement mexicain et par des particuliers notamment des familles appartenant à la colonie française établie au Mexique. La Maison du Mexique a été imaginée par l’architecte Jorge L. MEDELLIN. Celui-ci fut assisté lors de sa construction par son frère, l’ingénieur Roberto E. MEDELLIN. Il créa un bâtiment à l’allure moderne, constitué de deux barres parallèles reliées par un bâtiment de forme plus libre. Une barre était à l’origine réservée aux étudiants, l’autre aux étudiantes. L’ensemble est complété par un patio aux allures de jardin. A l’intérieur, l’équipement mobilier a été conçu par les designers Charlotte PERRIAND et Jean PROUVE.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison du Mexique. Dans les années 1920, le gouvernement français invita le Mexique à participer au projet de construction de la Cité internationale. Dès 1925, un emplacement était réservé sur le site pour une résidence destinée à accueillir les universitaires mexicains. Toutefois, la Maison du Mexique ne fut inaugurée que le 8 octobre 1953. Sa construction a été financée par le gouvernement mexicain et par des particuliers notamment des familles appartenant à la colonie française établie au Mexique. La Maison du Mexique a été imaginée par l’architecte Jorge L. MEDELLIN. Celui-ci fut assisté lors de sa construction par son frère, l’ingénieur Roberto E. MEDELLIN. Il créa un bâtiment à l’allure moderne, constitué de deux barres parallèles reliées par un bâtiment de forme plus libre. Une barre était à l’origine réservée aux étudiants, l’autre aux étudiantes. L’ensemble est complété par un patio aux allures de jardin. A l’intérieur, l’équipement mobilier a été conçu par les designers Charlotte PERRIAND et Jean PROUVE.
78
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé après la Première Guerre Mondiale pour témoigner de l’amitié entre la France et la Grande-Bretagne. A l’origine, il devait accueillir un nombre égal d’étudiants français et anglais. Un comité fut constitué en 1927 pour récolter les fonds nécessaires à sa construction. Parmi les donateurs figurent l’État français et un couple franco-britannique, Edward et Helen Nathan. Le bâtiment fut inauguré  le 16 juillet 1937, en présence notamment d’Albert Lebrun, président de la République française, de Jean ZAY, ministre français de l’Éducation Nationale, de Sir Éric PHIPPS, ambassadeur de Grande-Bretagne en France et d’une vingtaine de représentants des universités britanniques.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé après la Première Guerre Mondiale pour témoigner de l’amitié entre la France et la Grande-Bretagne. A l’origine, il devait accueillir un nombre égal d’étudiants français et anglais. Un comité fut constitué en 1927 pour récolter les fonds nécessaires à sa construction. Parmi les donateurs figurent l’État français et un couple franco-britannique, Edward et Helen Nathan. Le bâtiment fut inauguré le 16 juillet 1937, en présence notamment d’Albert Lebrun, président de la République française, de Jean ZAY, ministre français de l’Éducation Nationale, de Sir Éric PHIPPS, ambassadeur de Grande-Bretagne en France et d’une vingtaine de représentants des universités britanniques.
79
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
80
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé par Pierre Martin et Maurice Vieu, deux architectes qui furent aussi les auteurs de la Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. Ils imaginèrent un bâtiment sobre et harmonieux dont le style (briques rouges, bow-windows, tourelles, hautes souches de cheminées…)  est inspiré des collèges d’Outre-Manche.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé par Pierre Martin et Maurice Vieu, deux architectes qui furent aussi les auteurs de la Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. Ils imaginèrent un bâtiment sobre et harmonieux dont le style (briques rouges, bow-windows, tourelles, hautes souches de cheminées…) est inspiré des collèges d’Outre-Manche.
81
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
82
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
83
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
84
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Elle est l’une des plus anciennes maisons de la Cité internationale. Elle a été bâtie grâce à Jean-Hubert BIERMANS, homme d’affaires qui avait fait fortune au Canada dans la fabrication de la pâte à papier. Très engagé dans les œuvres philanthropiques, il décida de soutenir l’œuvre d’André HONNORAT, l’un des pères fondateurs de la Cité internationale. En 1924, avec son épouse Berthe LAPÔTRE, il fit don à l’université de Paris d’un important capital. Objectif : financer la construction sur le site d’une maison destinée à loger à Paris les étudiants belges et luxembourgeois. La première pierre de la Fondation fut posée en 1924.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Elle est l’une des plus anciennes maisons de la Cité internationale. Elle a été bâtie grâce à Jean-Hubert BIERMANS, homme d’affaires qui avait fait fortune au Canada dans la fabrication de la pâte à papier. Très engagé dans les œuvres philanthropiques, il décida de soutenir l’œuvre d’André HONNORAT, l’un des pères fondateurs de la Cité internationale. En 1924, avec son épouse Berthe LAPÔTRE, il fit don à l’université de Paris d’un important capital. Objectif : financer la construction sur le site d’une maison destinée à loger à Paris les étudiants belges et luxembourgeois. La première pierre de la Fondation fut posée en 1924.
85
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. ’est Armand GUÉRITTE, architecte en chef du gouvernement français, qui a conçu la Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Ce bâtiment monumental évoque les architectures traditionnelles flamande (par ses tourelles d’angle par exemple) et wallonne (par l’utilisation conjuguée de la pierre de taille, la brique et l’ardoise bleue).
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. ’est Armand GUÉRITTE, architecte en chef du gouvernement français, qui a conçu la Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Ce bâtiment monumental évoque les architectures traditionnelles flamande (par ses tourelles d’angle par exemple) et wallonne (par l’utilisation conjuguée de la pierre de taille, la brique et l’ardoise bleue).
86
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison du Japon. Le 9 février 1927, Jirohachi SATSUMA, petit-fils d’un riche commerçant japonais de filage, s’est engagé auprès de l’Université de Paris à financer la construction d’un bâtiment à la Cité internationale. La première pierre a été posée en 1927 en présence du Prince Ri, beau-frère de l’empereur Hirohito. Jirohachi SATSUMA a confié la création de la Maison du Japon à son ami Pierre SARDOU, architecte en chef des monuments historiques. L’étroitesse du terrain a imposé la construction d’un édifice tout en hauteur, inspiré des constructions nipponnes. Le décor, nuancé et raffiné,  reflète lui aussi la tradition architecturale japonaise. Le porche d’entrée est orné d’un panneau de bois sculpté par Henri NAVARRE qui représente le soleil levant.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison du Japon. Le 9 février 1927, Jirohachi SATSUMA, petit-fils d’un riche commerçant japonais de filage, s’est engagé auprès de l’Université de Paris à financer la construction d’un bâtiment à la Cité internationale. La première pierre a été posée en 1927 en présence du Prince Ri, beau-frère de l’empereur Hirohito. Jirohachi SATSUMA a confié la création de la Maison du Japon à son ami Pierre SARDOU, architecte en chef des monuments historiques. L’étroitesse du terrain a imposé la construction d’un édifice tout en hauteur, inspiré des constructions nipponnes. Le décor, nuancé et raffiné, reflète lui aussi la tradition architecturale japonaise. Le porche d’entrée est orné d’un panneau de bois sculpté par Henri NAVARRE qui représente le soleil levant.
87
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des étudiants suédois. La Maison des Étudiants Suédois a été créée grâce à l’action de l’association « L’Amitié Franco-Suédoise ». L’association a contribué à son financement, aux côtés du gouvernement suédois et d’autres donnateurs.  Le bâtiment a été dessiné par les architectes Peder CLASON et Germain DEBRE. Il évoque un manoir  du XVIIIe siècle, auxquels certains éléments comme les fenêtres aux volets bleus placées à la mode suédoise donnent une touche « nordique ». La maison fut inaugurée en 1931, en présence du Président de la République Française Paul DOUMER et du futur roi Gustave VI Adolphe de Suède.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des étudiants suédois. La Maison des Étudiants Suédois a été créée grâce à l’action de l’association « L’Amitié Franco-Suédoise ». L’association a contribué à son financement, aux côtés du gouvernement suédois et d’autres donnateurs. Le bâtiment a été dessiné par les architectes Peder CLASON et Germain DEBRE. Il évoque un manoir du XVIIIe siècle, auxquels certains éléments comme les fenêtres aux volets bleus placées à la mode suédoise donnent une touche « nordique ». La maison fut inaugurée en 1931, en présence du Président de la République Française Paul DOUMER et du futur roi Gustave VI Adolphe de Suède.
88
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation danoise. La construction de la Fondation Danoise a été financée par des moyens privé et publics. En 1928, le Comité pour la Fondation Danoise a été créé par un groupe de personnalités visionnaires dont Benny DESSAU, grand industriel danois, et Helge WAMBERG, attaché des Affaires Culturelles auprès l’Ambassade du Danemark à Paris, avec le but de récolter des fonds. La première pierre a pu être posée dès 1929 et l’inauguration eut lieu en 1932, en présence du prince héritier Frederik, futur roi Fredrik IX et le président français Paul DOUMER. ’architecte de la Maison, le professeur et inspecteur des bâtiments royaux Kaj GOTTLOBB (1997-1976) était l’un des architectes les plus brillants de sa génération. Le style de la Maison exprime aussi bien le classicisme dont GOTTLOBB s’était inspiré dans sa jeunesse que le fonctionnalisme nordique de l’entre-deux-guerres. A la fois sobre, strict et accueillant.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation danoise. La construction de la Fondation Danoise a été financée par des moyens privé et publics. En 1928, le Comité pour la Fondation Danoise a été créé par un groupe de personnalités visionnaires dont Benny DESSAU, grand industriel danois, et Helge WAMBERG, attaché des Affaires Culturelles auprès l’Ambassade du Danemark à Paris, avec le but de récolter des fonds. La première pierre a pu être posée dès 1929 et l’inauguration eut lieu en 1932, en présence du prince héritier Frederik, futur roi Fredrik IX et le président français Paul DOUMER. ’architecte de la Maison, le professeur et inspecteur des bâtiments royaux Kaj GOTTLOBB (1997-1976) était l’un des architectes les plus brillants de sa génération. Le style de la Maison exprime aussi bien le classicisme dont GOTTLOBB s’était inspiré dans sa jeunesse que le fonctionnalisme nordique de l’entre-deux-guerres. A la fois sobre, strict et accueillant.
89
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison de Norvège. En 1927, l’ambassadeur de Norvège à Paris, Fritz Wedel Jarlsberg, prit les premières initiatives officielles pour susciter l’intérêt du public et du gouvernement norvégiens pour construire une Maison de Norvège. Le projet commença à se concrétiser dans les années trente quand la principale industrie norvégienne de l’époque, Norsk Hydro, se rallia au projet. Après la guerre, en 1947, sous l’égide de l’ambassadeur de Norvège, fut enfin constitué un comité franco-norvégien ayant pour but de réunir tous les fonds nécessaires. Le 13 juin 1951, la Princesse Ragnhild de Norvège posa la première pierre de l’édifice, qui fut inauguré un peu moins de trois ans plus tard, le 30 mars 1954, en présence du Président de la République française René Coty. Œuvre de l’architecte norvégien Reidar Winge LUND, le bâtiment est représentatif du modernisme norvégien. Son style scandinave se distingue par ses façades en briques rouges importées de Norvège et ses espaces intérieurs en bois clair.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison de Norvège. En 1927, l’ambassadeur de Norvège à Paris, Fritz Wedel Jarlsberg, prit les premières initiatives officielles pour susciter l’intérêt du public et du gouvernement norvégiens pour construire une Maison de Norvège. Le projet commença à se concrétiser dans les années trente quand la principale industrie norvégienne de l’époque, Norsk Hydro, se rallia au projet. Après la guerre, en 1947, sous l’égide de l’ambassadeur de Norvège, fut enfin constitué un comité franco-norvégien ayant pour but de réunir tous les fonds nécessaires. Le 13 juin 1951, la Princesse Ragnhild de Norvège posa la première pierre de l’édifice, qui fut inauguré un peu moins de trois ans plus tard, le 30 mars 1954, en présence du Président de la République française René Coty. Œuvre de l’architecte norvégien Reidar Winge LUND, le bâtiment est représentatif du modernisme norvégien. Son style scandinave se distingue par ses façades en briques rouges importées de Norvège et ses espaces intérieurs en bois clair.
90
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse. La Fondation suisse est l’une des réalisations les plus marquantes de la Cité internationale universitaire de Paris dans l’entre deux guerres. Elle a vu le jour grâce au mathématicien Rudolf FUETER, recteur de l’Université de Zürich. Ce dernier constitua un consortium représentant l’université helvétique pour réaliser un lieu d’hébergement à la Cité internationale. Rudolf FUETER sollicita l’architecte visionnaire Charles-Edouard JEANNERET, plus communément connu sous le nom de LE CORBUSIER qui, après quelques hésitations, accepta d’y travailler en collaboration avec son cousin Pierre JEANNERET.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. La Fondation suisse est l’une des réalisations les plus marquantes de la Cité internationale universitaire de Paris dans l’entre deux guerres. Elle a vu le jour grâce au mathématicien Rudolf FUETER, recteur de l’Université de Zürich. Ce dernier constitua un consortium représentant l’université helvétique pour réaliser un lieu d’hébergement à la Cité internationale. Rudolf FUETER sollicita l’architecte visionnaire Charles-Edouard JEANNERET, plus communément connu sous le nom de LE CORBUSIER qui, après quelques hésitations, accepta d’y travailler en collaboration avec son cousin Pierre JEANNERET.
91
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse. La Fondation suisse a été inaugurée le 7 juillet 1933. Deux ans de travaux furent nécessaires pour la construire. Elle illustre bien les « cinq points d’une architecture moderne » selon LE CORBUSIER : double rangée de pilotis dégageant le rez-de-chaussée, plan libre pour l’accueil, façade libre en mur rideau, fenêtres en longueur et toit terrasse. C’est le premier édifice moderne construit à la Cité Universitaire, véritable « machine à habiter » selon LE CORBUSIER.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. La Fondation suisse a été inaugurée le 7 juillet 1933. Deux ans de travaux furent nécessaires pour la construire. Elle illustre bien les « cinq points d’une architecture moderne » selon LE CORBUSIER : double rangée de pilotis dégageant le rez-de-chaussée, plan libre pour l’accueil, façade libre en mur rideau, fenêtres en longueur et toit terrasse. C’est le premier édifice moderne construit à la Cité Universitaire, véritable « machine à habiter » selon LE CORBUSIER.
92
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
93
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
94
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
95
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
96
<center></center>Cité internationale universitaire de Paris. <center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.  Le Salon du Pavillon suisse comporte une fresque peinte par LE CORBUSIER en 1948, en remplacement d’un mural photographique de 1933.
Cité internationale universitaire de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. Le Salon du Pavillon suisse comporte une fresque peinte par LE CORBUSIER en 1948, en remplacement d’un mural photographique de 1933.
97
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
98
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
99
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
100
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
101
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse. Portes des chambres.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. Portes des chambres.
102
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>> Fondation suisse. Une chambre historique ouverte au public permet d’apprécier la dimension privative de l’édifice et le mobilier de Charlotte PERRIAND.
Cité internationale universitaire de Paris.
> Fondation suisse. Une chambre historique ouverte au public permet d’apprécier la dimension privative de l’édifice et le mobilier de Charlotte PERRIAND.
103
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
104
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
105
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège d’Espagne. Le Colegio de España est une institution rattachée au Gouvernement espagnol  dépendant du Ministère de l’Education à travers le Secrétariat Général aux Universités. L’acte de donation fut signé en 1927 par le roi Alphonse XIII. La maison a été conçue par l’architecte espagnole Modesto López Otero -un des architectes de la Ciudad Universitaria de Madrid, créée à la même époque- en collaboration avec les architectes français E. Body et J.-N. Warin. Son style classique est inspiré du Palais de Monterrey à Salamanque qui appartenait au Duc de Alba. L’inauguration de la résidence était prévue pour 1932 mais elle fut retardée en raison des troubles politiques qui agitaient l’Espagne. La maison n’ouvrit ses portes qu’en 1935.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège d’Espagne. Le Colegio de España est une institution rattachée au Gouvernement espagnol dépendant du Ministère de l’Education à travers le Secrétariat Général aux Universités. L’acte de donation fut signé en 1927 par le roi Alphonse XIII. La maison a été conçue par l’architecte espagnole Modesto López Otero -un des architectes de la Ciudad Universitaria de Madrid, créée à la même époque- en collaboration avec les architectes français E. Body et J.-N. Warin. Son style classique est inspiré du Palais de Monterrey à Salamanque qui appartenait au Duc de Alba. L’inauguration de la résidence était prévue pour 1932 mais elle fut retardée en raison des troubles politiques qui agitaient l’Espagne. La maison n’ouvrit ses portes qu’en 1935.
106
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison du Cambodge. La Maison du Cambodge a été construite grâce à une donation du gouvernement royal du Cambodge faite en 1950. Elle a été inaugurée en 1957, après l’indépendance du Cambodge, en présence du président René COTY et du Prince Norodom SIHANOUK. Elle a été dessinée par l’architecte français Alfred AUDOUL. Ce dernier a opté pour un édifice en forme de U, de forme classique enrichie d’éléments décoratifs Khmers. L’Asie est par exemple évoquée par un soubassement strié de bandes horizontales, qui rappelle les temples d’Angkor, et des sculptures en granit représentant deux singes
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison du Cambodge. La Maison du Cambodge a été construite grâce à une donation du gouvernement royal du Cambodge faite en 1950. Elle a été inaugurée en 1957, après l’indépendance du Cambodge, en présence du président René COTY et du Prince Norodom SIHANOUK. Elle a été dessinée par l’architecte français Alfred AUDOUL. Ce dernier a opté pour un édifice en forme de U, de forme classique enrichie d’éléments décoratifs Khmers. L’Asie est par exemple évoquée par un soubassement strié de bandes horizontales, qui rappelle les temples d’Angkor, et des sculptures en granit représentant deux singes
107
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison Heinrich HEINE. Fondation de l’Allemagne. Comme ce fut le cas de la Maison de l’Italie, la Maison de l’Allemagne a tardé à s’ouvrir à la Cité internationale, en raison du contexte politique de l’entre-deux-guerres, puis de la Seconde Guerre Mondiale.  Des contacts furent pourtant établis dès 1927. Mais il fallut attendre les années 1950 pour que le projet voie le jour, grâce à des universitaires qui constituèrent un comité de soutien. L’acte de donation fut signé en 1953. La maison fut inaugurée en 1956, en présence de René Coty, Président de la République française. Ce fut la première représentation officielle de l’Allemagne en France. August RUCKER, de l’université de Munich, lança un concours pour sélectionner l’architecte à qui serait confié le projet de Maison de l’Allemagne. Johannes KRAHN, auteur de plusieurs équipements publics et de monuments religieux, fut choisi à l’unanimité par le jury. Il conçut l’une des réalisations les plus modernes de son époque en associant le béton, l’acier et le verre. En 1967, la maison fut rebaptisée « Maison Heinrich HEINE », du nom du célèbre poète et écrivain allemand du XIXe siècle, dont l’œuvre illustre la richesse des échanges intellectuels entre la France et l’Allemagne.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison Heinrich HEINE. Fondation de l’Allemagne. Comme ce fut le cas de la Maison de l’Italie, la Maison de l’Allemagne a tardé à s’ouvrir à la Cité internationale, en raison du contexte politique de l’entre-deux-guerres, puis de la Seconde Guerre Mondiale. Des contacts furent pourtant établis dès 1927. Mais il fallut attendre les années 1950 pour que le projet voie le jour, grâce à des universitaires qui constituèrent un comité de soutien. L’acte de donation fut signé en 1953. La maison fut inaugurée en 1956, en présence de René Coty, Président de la République française. Ce fut la première représentation officielle de l’Allemagne en France. August RUCKER, de l’université de Munich, lança un concours pour sélectionner l’architecte à qui serait confié le projet de Maison de l’Allemagne. Johannes KRAHN, auteur de plusieurs équipements publics et de monuments religieux, fut choisi à l’unanimité par le jury. Il conçut l’une des réalisations les plus modernes de son époque en associant le béton, l’acier et le verre. En 1967, la maison fut rebaptisée « Maison Heinrich HEINE », du nom du célèbre poète et écrivain allemand du XIXe siècle, dont l’œuvre illustre la richesse des échanges intellectuels entre la France et l’Allemagne.
108
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> L/OBLIQUE est le lieu de la Cité internationale dédié à la connaissance de son patrimoine. Organisé autour d’un espace d’exposition permanent, Implanté au rez-de-chaussée de la Fondation AVICENNE, il propose toute l’année au public des événements pour découvrir l’évolution urbaine, architecturale, paysagère ou encore artistique de ce site unique au monde. Equipé d’un centre de documentation, il favorise les rencontres et l’échange culturel. La Fondation AVICENNE, ex Maison de l’Iran, est la dernière résidence ouverte à la Cité internationale à l’issue de la période de construction qui suivit la seconde guerre mondiale. Elle a été inaugurée en 1969. Le projet associe Claude PARENT, André BLOC, fondateur de la revue Architecture d’Aujourd’hui, ainsi que deux architectes iraniens, Hedar GHIAI et Mossem FOROUGHI. Lors de son ouverture, la Fondation AVICENNE apparut comme un bâtiment véritablement expérimental ! Sa structure est formée de trois portiques d’acier de quelque 38 mètres de haut, auxquels sont suspendus des caissons de quatre étages formant deux blocs d’habitation. La résidence est entièrement fermée sur trois côtés par des façades aveugles.
Cité internationale universitaire de Paris.
L/OBLIQUE est le lieu de la Cité internationale dédié à la connaissance de son patrimoine. Organisé autour d’un espace d’exposition permanent, Implanté au rez-de-chaussée de la Fondation AVICENNE, il propose toute l’année au public des événements pour découvrir l’évolution urbaine, architecturale, paysagère ou encore artistique de ce site unique au monde. Equipé d’un centre de documentation, il favorise les rencontres et l’échange culturel. La Fondation AVICENNE, ex Maison de l’Iran, est la dernière résidence ouverte à la Cité internationale à l’issue de la période de construction qui suivit la seconde guerre mondiale. Elle a été inaugurée en 1969. Le projet associe Claude PARENT, André BLOC, fondateur de la revue Architecture d’Aujourd’hui, ainsi que deux architectes iraniens, Hedar GHIAI et Mossem FOROUGHI. Lors de son ouverture, la Fondation AVICENNE apparut comme un bâtiment véritablement expérimental ! Sa structure est formée de trois portiques d’acier de quelque 38 mètres de haut, auxquels sont suspendus des caissons de quatre étages formant deux blocs d’habitation. La résidence est entièrement fermée sur trois côtés par des façades aveugles.
109
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale. La Maison internationale a été construite dans les années 1930. C’était la quatrième du nom à voir le jour après celle de New York (1924), Berkeley (1930) et Chicago (1932). Elle a été financée grâce à une donation du philanthrope américain John D. ROCKEFELLER Jr. Après avoir consacré une partie de sa fortune à la restauration des châteaux de Fontainebleau et de Versailles, il s’est intéressé à la Cité internationale. L’idée était d’y bâtir un espace commun à l’ensemble des maisons pour favoriser les rencontres et le brassage.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale. La Maison internationale a été construite dans les années 1930. C’était la quatrième du nom à voir le jour après celle de New York (1924), Berkeley (1930) et Chicago (1932). Elle a été financée grâce à une donation du philanthrope américain John D. ROCKEFELLER Jr. Après avoir consacré une partie de sa fortune à la restauration des châteaux de Fontainebleau et de Versailles, il s’est intéressé à la Cité internationale. L’idée était d’y bâtir un espace commun à l’ensemble des maisons pour favoriser les rencontres et le brassage.
110
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale. La conception de la Maison internationale a été confiée en avril 1933 à l’architecte américain Jean-Frédéric LARSON. Ce dernier s’est inspiré de l’architecture française classique, en particulier du château de Fontainebleau, pour créer un bâtiment de style « néo-Louis XIII ». La Maison internationale a été inaugurée en 1936. Elle forme un ensemble monumental de 22 000 m2 composé de deux pavillons d’entrée symétriques, d’une cour d’honneur et d’un corps central de bâtiment flanqué de deux ailes.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale. La conception de la Maison internationale a été confiée en avril 1933 à l’architecte américain Jean-Frédéric LARSON. Ce dernier s’est inspiré de l’architecture française classique, en particulier du château de Fontainebleau, pour créer un bâtiment de style « néo-Louis XIII ». La Maison internationale a été inaugurée en 1936. Elle forme un ensemble monumental de 22 000 m2 composé de deux pavillons d’entrée symétriques, d’une cour d’honneur et d’un corps central de bâtiment flanqué de deux ailes.
111
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale.
112
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale. Depuis 1976, l’aile Ouest de la Maison internationale est entièrement dédiée au logement de résidents de la Cité internationale, sous le nom de Résidence Robert GARRIC. Avec la Fondation Victor LYON et la Résidence André HONNORAT, elle forme le Centre international de courts séjours. Ce centre a pour mission de favoriser les rencontres et les échanges entre les résidents de toutes nationalités, origines, langues ou cultures.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale. Depuis 1976, l’aile Ouest de la Maison internationale est entièrement dédiée au logement de résidents de la Cité internationale, sous le nom de Résidence Robert GARRIC. Avec la Fondation Victor LYON et la Résidence André HONNORAT, elle forme le Centre international de courts séjours. Ce centre a pour mission de favoriser les rencontres et les échanges entre les résidents de toutes nationalités, origines, langues ou cultures.
113
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale.
114
<center></center><center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale.
115