En 2007, Patrick Berger et Jacques Anziutti remportent le concours international lancé par la ville de Paris sur le site des Halles avec leur projet intitulé « La Canopée ». La porte Lescot, 26 m de large, s’ouvre sur le passage de la Canopée. Celui-ci s’ouvre directement sur le jardin Nelson-Mandela, par un franchissement de 96 m de large d’une portée égale à la largeur du jardin.
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La Canopée des Halles.
La structure comporte 15 ventelles inclinées en acier, constituées de membrures supérieures et inférieures courbes tubulaires.16 méridiens en acier PRS de forme courbe et de section trapézoïdale assurent la liaison entre les membrures et supportent les éléments de verrière. La verrière de la Canopée se compose d’une ossature en aluminium sur laquelle viennent reposer les vitrages.
En partie supérieure, un verre clair trempé de 6 mm d'épaisseur est doté d'un surfaçage en léger relief. il est revêtu en sous-face d'émaux translucides à base d'or et d'argent qui lui donnent sa teinte jaune dorée.
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Exposition Magritte.
La Trahision des images. Huile sur toile.
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Exposition Magritte.
L'Apparition, 1928.
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Exposition Magritte.
L'art de la conversation, 1950.
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Exposition Magritte.
La lecture défendue. L'usage de la parole, 1936.
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Exposition Magritte.
Le rêve, 1945.
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Exposition Magritte.
La lumière des coïncidences, 1933.
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Exposition Magritte.
La magie noire (première version), 1934.
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Exposition Magritte.
Le Double Secret, 1927.
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Exposition Magritte.
La décalcomanie, 1966.
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Exposition Magritte.
Tentative de l'impossible, 1928.
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Exposition Magritte.
Le principe d'incertitude, 1944.
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Exposition Magritte.
Les habitants du fleuve, 1926.
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Exposition Magritte.
Les regards perdus, 1927 – 1928.
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Exposition Magritte.
Les amants, 1928.
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Exposition Magritte.
La moisson, 1943.
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Exposition Magritte.
La belle captive, vers 1950.
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Exposition Magritte.
Le Réveille-matin, 1957.
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Exposition Magritte.
La découverte du feu, 1936.
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Exposition Magritte.
L'acte de foi, 1960.
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Exposition Magritte.
La belle captive, 1931.
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Exposition Magritte.
La clé des champs, 1936.
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Exposition Magritte.
L'écran rendez-vous, 1947.
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Exposition Magritte.
L'échelle du feu, 1934.
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Exposition Magritte.
La condition humaine, 1935.
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Exposition Magritte.
Des promenades d'Euclide, 1955.
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Exposition Magritte.
La vie des insectes, 1947.
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Exposition Magritte.
La famine, 1948.
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Exposition Magritte.
L'ellipse, 1948.
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Exposition Magritte.
Le joueur secret, 1927.
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Exposition Magritte.
Cinéma bleu, 1925.
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Exposition Magritte.
L'aimable vérité, 1966.
33
Exposition Magritte.
La mémoire, 1948.
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Exposition Magritte.
Le beau monde, 1962.
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Exposition Magritte.
Le blanc-seing, 1965.
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Exposition Magritte.
L'importance des merveilles, 1927.
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Exposition Magritte.
Les six éléments, 1929.
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Exposition Magritte.
La folie des grandeurs, 1962.
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Exposition Magritte.
L'éloge de l'espace, 1927 – 1928.
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Exposition Magritte.
Les mémoires d'un saint, 1960.
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Exposition Magritte.
La lampe philosophique, 1936.
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Exposition Magritte.
Les merveilles de la nature, 1953.
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Exposition Magritte.
Le viol, 1945.
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Exposition Magritte.
Le sourire du diable, 1966.
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Exposition Magritte.
Le Bain de cristal, 1946.
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Exposition Magritte.
Les Vacances de Hegel, 1958.
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Exposition Magritte.
Le dormeur téméraire, 1928.
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Exposition Magritte.
L'alphabet des révélations, 1929.
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Exposition Magritte.
Variante de la tristesse, 1957.
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Exposition Magritte.
La clairvoyance, 1936.
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Exposition Magritte.
La lame philosophique, 1936.
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Exposition Magritte.
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Exposition Magritte.
Le champ de l'orage, 1937.
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Exposition Magritte.
Le modèle rouge, 1935.
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Exposition Magritte.
Les Vacances de Hegel, 1958.
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Exposition Magritte.
La clé des songes, 1935.
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Exposition Magritte.
L'usage de la parole VI, 1928.
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Exposition Magritte.
Ceci n'est pas une pomme, 1964.
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Exposition Magritte.
L'art de la conversation, 1950.
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Exposition Magritte.
Le sourire, 1951.
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Exposition Magritte.
L'arbre de la science, 1929.
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Exposition Magritte.
Le parfum de l'abîme, 1928.
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Exposition Magritte.
Le corps bleu, 1928.
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Exposition Magritte.
Le masque vide, 1928.
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Exposition Magritte.
L'usage de la parole. Personnage biomorphe aux paroles, 1927 – 1929.
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Exposition Magritte.
L'heureux donateur, 1966.
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Exposition Magritte.
Les jours gigantesques, 1928.
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Exposition Magritte.
Le message à la terre, 1926.
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Exposition Magritte.
L'évidence éternelle, 1948.
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Beaubourg.
Fontaine Stravinsky, de Jean Tingueky et Niki de Saint Phalle. 1983.
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Beaubourg.
Fontaine Stravinsky, de Jean Tingueky et Niki de Saint Phalle. 1983.
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La conciergerie
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
Le chevet, le soir.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
A droite, près du choeur.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
A gauche, livre des nombres. A droite, Deutéronome et Josué.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
Le portail s'ouvre sous une arcade brisée, et deux arcades plus étroites en tiers-point la flanquent. Les tympans de ces trois arcades ont été peints par Steinheil, qui n'a pu s'appuyer sur rien d'existant, car la présence de la tribune d'orgue avait fait que ce mur fût resté vierge. Les motifs sont les trois scènes de sacrifice de l'Ancien Testament ; un Christ bénissant flanqué d'anges en prière et encadré des prophètes Isaïe et Jérémie
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
A droite, bas du vitrail du livre des nombres.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
Sur des culs-de-lampe adossés aux piliers, les statues des Apôtres portent des croix de consécration. Saint Jean.
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La Sainte-Chapelle.
A droite, en entrant.
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La Sainte-Chapelle.
A gauche, en entrant.Quatre statues des apôtres sont anciennes (XIVe s.). Quatre ont été reconstituées d'après les originaux qui existaient encore, mais brisés en plusieurs endroits. Deux qui manquaient ont été refaites.
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La Sainte Chapelle.
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La Sainte-Chapelle.
Saint Denis.
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La Sainte-Chapelle.
Saint Laurent, Saint Sébastien.
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L'opéra Garnier.
Vu de la terrasse des Galeries Lafayette.
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L'opéra Garnier.
Vu de la terrasse des Galeries Lafayette. Un des deux « Pégase » d’Eugène Lequesne qui furent très critiqués : « il a pris le toit de l’Opéra pour un hippodrome ! » raillait-on !
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L'opéra garnier.
Vu de la terrasse des Galeries Lafayette.
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Sacré Coeur.
Vu de la terrasse des Galeries Lafayette.
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Galeries Lafayette.
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Galeries Lafayette.
Le dôme.
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Galeries Lafayette.
Le dôme.
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La tour Eiffel.
Vue du trocadéro.
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La tour Eiffel.
Vue du trocadéro.
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La tour Eiffel.
Vue du trocadéro.
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La tour Eiffel.
Vue du trocadéro.
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Le Trocadéro
Dès 1876, on parle d'aménager les lieux pour l'exposition universelle de 1878. Il est alors projeté dans le programme du Concours pour l'exposition universelle de 1878 d'édifier une « formidable salle de réunions publiques et de solennités ». Le palais est conçu par les architectes Gabriel Davioud et Jules Bourdais, s'inspirant de la Giralda de Séville, du Palazzo Vecchio de Florence et surtout d'un projet du baron Haussmann datant de 1864. Le palais est finalement détruit, remplacé par le palais de Chaillot bâti pour l'exposition spécialisée de 1937, qui reprend l'essentiel de l'ossature de l'ancien édifice (seule la partie centrale du palais du Trocadéro laisse la place à une esplanade).
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Le Trocadéro
L'esplanade est créée, en même temps que le palais de Chaillot, au milieu des années 1930. À son emplacement, se trouvait la salle de concert de l'ancien palais du Trocadéro. De chaque côté, contre le palais, se trouvent quatre statues dorées (donc huit au total) dont sept sont des femmes et un jeune garçon. A gauche, la statue Les Fruits, de Félix Desruelles. Puis, le Printemps, de Paul Niclausse ; les Jardins, de Robert Couturier ; les Oiseaux, de Louis Brasseur.
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Le Trocadéro
Complétement à gauche, la Jeunesse, d’Alexandre Descatoire. Puis, Flore
Marcel Gimond ; le Matin, de Jean Paris dit Pryas ; La Campagne
Paul Cornet.
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Le Trocadéro
Hercule domptant un bison, statue réalisée en bronze en 1937 par Albert Pommier (1880-1944)..
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La tour Eiffel.
Vue du palais de Tokyo.
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La tour Eiffel.
Vue du palais de Tokyo.
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Palais Galliera, musée de la mode de la ville de Paris
Situé sur une ancienne carrière de calcaire à ciel ouvert, le sol de la parcelle fut consolidé. Le jardin a fait l’objet d’une rénovation profonde en 2003 et de replantations en 2005. La fontaine de l'Avril (1916), ornée d’une statue en bronze de Pierre Roché, les sculptures Dieu Pan et un tigre (1897) de Just Bécquet et Enfance de Bacchus (1857) de Jean Perraud, agrémentent ce jardin. Labellisé pour sa gestion écologique, il est planté de tilleuls, sophoras, marronniers et sa plate-bande centrale a été plusieurs fois primée lors du concours des décorations florales estivales. La façade sur jardin est rythmée par trois baies en plein cintre alternant avec des colonnes adossées et baguées. Chaque baie s'orne d'une sculpture représentant les trois arts majeurs : la Peinture d'Henri Chapu, l’Architecture de Jules Thomas et la Sculpture de Pierre Cavelier.
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Palais Galliera, musée de la mode de la ville de Paris
Le péristyle se prolonge de deux ailes, comme deux portiques déployés de part et d’autre du bâtiment. Ils surplombent deux escaliers descendant aux terrasses qui précèdent le square. Chaque portique présente la même composition : deux sculptures, l’une dans sa niche centrale et l’autre à son extrémité. À l’Est, l’Effort (1890) d’Alfred Boucher, au centre, tourne le dos au Jeune berger (1894) d’Alexandre Pezieux.
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Palais Galliera, musée de la mode de la ville de Paris
Sous le portique Ouest, Protection et Avenir (1893) d’Honoré Icard, au centre, répond Au soir de la vie (1906) de Gustave Michel.
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Palais Galliera, musée de la mode de la ville de Paris
Statue en bronze de Pierre Roché.
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Palais de Tokyo.
Le palais de Tokyo, dont le nom originel est palais des Musées d'art moderne, désigne un bâtiment consacré à l'art moderne et contemporain. C'est l'un des trois édifices permanents de l'exposition internationale de 1937 et destiné, selon le projet de 1934, à remplacer le musée du Luxembourg. En 1934, l'État décide alors de construire également un musée d'art moderne. Le projet de Jean-Claude Dondel, André Aubert, Paul Viard et Marcel Dastugue fut retenu. Les lauréats édifièrent un bâtiment de style sobre et monumental, composé de deux ailes symétriques reliées entre elles par un grand péristyle, de part et d'autre d'un axe perpendiculaire à la Seine, sur lequel est situé le miroir d'eau. Celui-ci prend place sur la terrasse dominant le fleuve, en contrebas de l'escalier monumental appuyé sur la colline, qui est décoré des bas-reliefs intitulés « Allégorie à la gloire des Arts » d'Alfred Janniot et sommé de la statue représentant « La France » d'Antoine Bourdelle.
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Palais de Tokyo.
Le miroir d'eau réalisé en 1937 parF élix Févola.. Le bâtiment est nommé palais de Tokyo, du nom du quai de Tokio (actuelle avenue de New-York) en bordure de Seine. De dos, Femme Maure, d'Anna Quinquaud.
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Palais de Tokyo.
De nombreuses statues isolées étaient placées sur les terrasses du miroir d'eau réalisé par Félix Févola, dont il ne reste que les Nymphes couchées de Louis Dejean, Léon-Ernest Drivier et Auguste Guénot.
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Palais de Tokyo.
De nombreuses statues isolées étaient placées sur les terrasses du miroir d'eau réalisé par Félix Févola, dont il ne reste que les Nymphes couchées de Louis Dejean, Léon-Ernest Drivier et Auguste Guénot.
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Palais de Tokyo.
Les bas-reliefs intitulés « Allégorie à la gloire des Arts » d'Alfred Janniot. A gauche, Uranie, au-dessous Clio. Puis Calliope, Melpomène.
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Palais de Tokyo.
Les bas-reliefs intitulés « Allégorie à la gloire des Arts » d'Alfred Janniot. Calliope, Melpomène, Thalie. Au bout Eros. La statue à droite est Femme Maure, dite aussi La Mauritanienne, vers 1937, d'Anna Quinquaud.
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Palais de Tokyo.
Les bas-reliefs intitulés « Allégorie à la gloire des Arts » d'Alfred Janniot. Détachée, à gauche, Vénus. Puis, Erato, Euterpe,
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Palais de Tokyo.
LesLes bas-reliefs intitulés « Allégorie à la gloire des Arts » d'Alfred Janniot. Erato, Euterpe, Terpsichore et sans doute Polymnie
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Palais de Tokyo.
La France, Antoine Bourdelle. Monument dédié aux volontaires des Forces Françaisees Libres, morts pou
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La tour Eiffel.
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La tour Eiffel.
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La tour Eiffel.
La passerelle Debilly, construite au début du XXe siècle. L'architecte est Jean Résal assisté d'Amédée Alby et du fabricant Daydé et Pillé, les mêmes que ceux du pont Alexandre III.