<center>Le choeur. </center> La pietà de Nicolas Coustou est placée derrière l’autel. De part et d’autre de celui-ci se trouvent les statues des deux rois, Louis XIII par Guillaume Coustou et Louis XIV sculpté par Antoine Coysevox. Une série de six statues d’ange en bronze entourent l’ensemble et portent chacun un instrument de la Passion du Christ : une couronne d’épines, les clous de la crucifixion, l’éponge imbibée de vinaigre, l’inscription qui surmontait la croix, le roseau avec lequel le Christ fut fouetté et la lance lui ayant transpercé le cœur.
Le choeur.
La pietà de Nicolas Coustou est placée derrière l’autel. De part et d’autre de celui-ci se trouvent les statues des deux rois, Louis XIII par Guillaume Coustou et Louis XIV sculpté par Antoine Coysevox. Une série de six statues d’ange en bronze entourent l’ensemble et portent chacun un instrument de la Passion du Christ : une couronne d’épines, les clous de la crucifixion, l’éponge imbibée de vinaigre, l’inscription qui surmontait la croix, le roseau avec lequel le Christ fut fouetté et la lance lui ayant transpercé le cœur.
141
<center>Déambulatoitre. </center> Gisant de l’évêque Simon Matifas de Bucy (mort en 1304)
Déambulatoitre.
Gisant de l’évêque Simon Matifas de Bucy (mort en 1304)
142
<center>Chapelle Saint-Marcel. </center> Ancienne Chapelle de la Décollation, de Saint-Jean-Baptiste, Saint-Eutrope et Sainte-Foi ou Chapelle de Vintimille.
Vitraux grisailles de LUSSON, 1862
Peintures murales de Maillot le jeune, Second Empire.
Monument du Cardinal Jean-Baptiste de Belloy Archevêque de Paris de 1802 à 1805 par L-P. Deseine, mort en 1822.
Chapelle Saint-Marcel.
Ancienne Chapelle de la Décollation, de Saint-Jean-Baptiste, Saint-Eutrope et Sainte-Foi ou Chapelle de Vintimille. Vitraux grisailles de LUSSON, 1862 Peintures murales de Maillot le jeune, Second Empire. Monument du Cardinal Jean-Baptiste de Belloy Archevêque de Paris de 1802 à 1805 par L-P. Deseine, mort en 1822.
143
<center>Chapelle Saint-Marcel. </center> Monument de Monseigneur Hyacinthe-Louis de Quelen, Archevêque de Paris de 1821 à 1839 par AV. Geoffroy-Dechaume, mort en 1892
Chapelle Saint-Marcel.
Monument de Monseigneur Hyacinthe-Louis de Quelen, Archevêque de Paris de 1821 à 1839 par AV. Geoffroy-Dechaume, mort en 1892
144
<center>Chapelle Saint-Louis. </center> Ancienne Chapelle Saint-Martin, Sainte-Anne et Saint-Michel ou Chapelle de Noailles
Vitraux : médaillons armoriés par Jean Le Vieil, XVIIIe siècle, et grisailles de Lusson, Second Empire.
Peintures murales d'après Eugène Viollet Le Duc, et statuettes de Corbon, Second Empire.
 Monument du Cardinal Louis-Antoine de Noailles, archevêque de Paris de 1695 à 1729 par A.V Geoffroy Dechaume.
Chapelle Saint-Louis.
Ancienne Chapelle Saint-Martin, Sainte-Anne et Saint-Michel ou Chapelle de Noailles Vitraux : médaillons armoriés par Jean Le Vieil, XVIIIe siècle, et grisailles de Lusson, Second Empire. Peintures murales d'après Eugène Viollet Le Duc, et statuettes de Corbon, Second Empire. Monument du Cardinal Louis-Antoine de Noailles, archevêque de Paris de 1695 à 1729 par A.V Geoffroy Dechaume.
145
<center>Clôture nord du chœur. </center> La clôture nord date du dernier tiers du XIIIe siècle, peu après l’édification du jubé aujourd’hui disparu (aux environs de 1260). On y a sculpté 14 scènes de la naissance et de la vie de Jésus avant sa passion. Ces scènes s’enchaînent sans rupture entre elles et constituent donc un seul continuum.
Clôture nord du chœur.
La clôture nord date du dernier tiers du XIIIe siècle, peu après l’édification du jubé aujourd’hui disparu (aux environs de 1260). On y a sculpté 14 scènes de la naissance et de la vie de Jésus avant sa passion. Ces scènes s’enchaînent sans rupture entre elles et constituent donc un seul continuum.
146
<center>Clôture nord du chœur. </center> Visitation, Nativité, adoration des mages,
Clôture nord du chœur.
Visitation, Nativité, adoration des mages,
147
<center>Clôture nord du chœur. </center> Massacre des innocents, fuite en Egypte.
Clôture nord du chœur.
Massacre des innocents, fuite en Egypte.
148
<center>Clôture nord du chœur. </center> Présentation au temple, Jésus parmi les docteurs, baptême du Christ.
Clôture nord du chœur.
Présentation au temple, Jésus parmi les docteurs, baptême du Christ.
149
<center>Clôture nord du chœur. </center> Noce de Cana, entrée à Jérusalem.
Clôture nord du chœur.
Noce de Cana, entrée à Jérusalem.
150
<center>Clôture nord du chœur. </center> Cène, lavement des pieds et Mont des Oliviers.
Clôture nord du chœur.
Cène, lavement des pieds et Mont des Oliviers.
151
<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Ancienne chapelle saint Jean-Baptiste et sainte Madeleine.
Monument de J.B de Budes, comte de Guebriant, maréchal de France, mort en 1643 et de Renée de Bec-Crespin, son épouse, sur les dessins de Viollet le Duc.
Chapelle saint Ferdinand.
Ancienne chapelle saint Jean-Baptiste et sainte Madeleine. Monument de J.B de Budes, comte de Guebriant, maréchal de France, mort en 1643 et de Renée de Bec-Crespin, son épouse, sur les dessins de Viollet le Duc.
152
<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Mausolée de Mgr de Beaumont (mort en 1781).
Chapelle saint Ferdinand.
Mausolée de Mgr de Beaumont (mort en 1781).
153
<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Priant du cardinal Morlot (mort en 1862). Vitraux : grisailles de Lusson.
Chapelle saint Ferdinand.
Priant du cardinal Morlot (mort en 1862). Vitraux : grisailles de Lusson.
154
<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Peintures murales : d'après Viollet le Duc. Sainte Clotilde, sainte Radegonde, sainte Isabelle, sainte Jeanne.
Chapelle saint Ferdinand.
Peintures murales : d'après Viollet le Duc. Sainte Clotilde, sainte Radegonde, sainte Isabelle, sainte Jeanne.
155
<center>Le triomphe de Job. </center> Guido Reni, peintre. 1636. Provenant de l'église des Mendiants de Bologne. Cette composition symbolise la persévérance dans la foi : Job, après avoir perdu tous ses biens, reçoit des offrandes, récompenses pour avoir conservé sa foi en Dieu malgré les épreuves qui lui furent imposées.
Le triomphe de Job.
Guido Reni, peintre. 1636. Provenant de l'église des Mendiants de Bologne. Cette composition symbolise la persévérance dans la foi : Job, après avoir perdu tous ses biens, reçoit des offrandes, récompenses pour avoir conservé sa foi en Dieu malgré les épreuves qui lui furent imposées.
156
<center>Reliques et châsse de sainte Geneviève, Patronne de Paris. </center> Placide Poussielgue-Rusand, orfèvre. Bronze doré, émaux. Vers 1850. Provenant du Panthéon, ancienne église Sainte-Geneviève à Paris. Geneviève (420-500 env.) est remarquée toute jeune par l'évêque saint Germain d'Auxerre qui la consacre à Dieu. Assidue à la prière, pleine de force d'âme et d'espérance, attentive aux pauvres, son rayonnement est grand. Elle initie ainsi la construction d'une basilique sur le tombeau de saint Denys, premier évêque de Paris. Elle restaure le courage des parisiens devant la menace d'Attila (451) et les sauve de la famine en organisant des convois de vivres depuis la Champagne (470). Devenue l'amie du roi Clovis er de la reine Clotilde, elle devient « Mère de la Patrie menacée ». Elle est représentée tenant à la main le cierge avec lequel elle ranima la flamme de ses compagnes dans la tempête comme elle ranima plusieurs fois l'espérance des parisiens.
Reliques et châsse de sainte Geneviève, Patronne de Paris.
Placide Poussielgue-Rusand, orfèvre. Bronze doré, émaux. Vers 1850. Provenant du Panthéon, ancienne église Sainte-Geneviève à Paris. Geneviève (420-500 env.) est remarquée toute jeune par l'évêque saint Germain d'Auxerre qui la consacre à Dieu. Assidue à la prière, pleine de force d'âme et d'espérance, attentive aux pauvres, son rayonnement est grand. Elle initie ainsi la construction d'une basilique sur le tombeau de saint Denys, premier évêque de Paris. Elle restaure le courage des parisiens devant la menace d'Attila (451) et les sauve de la famine en organisant des convois de vivres depuis la Champagne (470). Devenue l'amie du roi Clovis er de la reine Clotilde, elle devient « Mère de la Patrie menacée ». Elle est représentée tenant à la main le cierge avec lequel elle ranima la flamme de ses compagnes dans la tempête comme elle ranima plusieurs fois l'espérance des parisiens.
157
<center>Saint Pierre guérissant les malades de son ombre. </center> Tableau de Laurent La Hyre, 1606-1656. May de 1635.
On appelle Mays à Notre-Dame une série de 76 tableaux offerts à la cathédrale par la Confrérie des Orfèvres, presque chaque année en date du premier mai (d’où leur nom), en hommage à la Vierge Marie, et ce de 1630 à 1707. Les mays furent dispersés à la Révolution et beaucoup disparurent. Récupérés ensuite, ils embarrassèrent au XIXe siècle le restaurateur Viollet-le-Duc qui, orienté vers la pureté de l’art gothique, n’avait que faire de cette encombrante décoration baroque ou classique. Certains se retrouvent actuellement au musée du Louvre, d’autres dans quelques églises ou dans divers musées français. Il en reste une cinquantaine actuellement. Les plus importants furent fort heureusement récupérés par la cathédrale et ornent aujourd’hui les chapelles latérales de la nef de Notre-Dame.
Saint Pierre guérissant les malades de son ombre.
Tableau de Laurent La Hyre, 1606-1656. May de 1635. On appelle Mays à Notre-Dame une série de 76 tableaux offerts à la cathédrale par la Confrérie des Orfèvres, presque chaque année en date du premier mai (d’où leur nom), en hommage à la Vierge Marie, et ce de 1630 à 1707. Les mays furent dispersés à la Révolution et beaucoup disparurent. Récupérés ensuite, ils embarrassèrent au XIXe siècle le restaurateur Viollet-le-Duc qui, orienté vers la pureté de l’art gothique, n’avait que faire de cette encombrante décoration baroque ou classique. Certains se retrouvent actuellement au musée du Louvre, d’autres dans quelques églises ou dans divers musées français. Il en reste une cinquantaine actuellement. Les plus importants furent fort heureusement récupérés par la cathédrale et ornent aujourd’hui les chapelles latérales de la nef de Notre-Dame.
158
<center>Le transept. </center>
Le transept.
159
<center>Le transept. </center> Statue de saint Denis. Premier évêque de Paris (après 250). Nicolas Coustou, sculpteur. 1722.
Le transept.
Statue de saint Denis. Premier évêque de Paris (après 250). Nicolas Coustou, sculpteur. 1722.
160
<center>Le transept. </center>
Le transept.
161
<center>Le transept. </center>
Le transept.
162
<center>Le transept. </center>
Le transept.
163
<center>Le transept. </center>
Le transept.
164
<center>Le transept. </center>
Le transept.
165
<center>Chapelle Sainte Clotilde. </center> Anciennement Chapelle Saint-Nicolas. Dalle funéraire du chanoine Etienne Yver décédé en 1468. Le défunt nest représenté nu et rongé par les vers, puis ressuscitant et implorant le Christ.
Chapelle Sainte Clotilde.
Anciennement Chapelle Saint-Nicolas. Dalle funéraire du chanoine Etienne Yver décédé en 1468. Le défunt nest représenté nu et rongé par les vers, puis ressuscitant et implorant le Christ.
166
167
<center>Chapelle Saint-Landry. /center> Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Les fils de Sceva, exorcistes juifs,  battus par le démon, par Mathieu Elyas, may 1702 par la corporation des orfèvres.
Chapelle Saint-Landry. /center> Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Les fils de Sceva, exorcistes juifs, battus par le démon, par Mathieu Elyas, may 1702 par la corporation des orfèvres.
168
<center>Chapelle Saint-Landry. /center>
Chapelle Saint-Landry. /center>
169
<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center> Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Vitrail en grisaille par Edouard Didron, peintre verrier (vers 1864) sous la direction d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Vitrail en grisaille par Edouard Didron, peintre verrier (vers 1864) sous la direction d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte
170
<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center> « Seigneur des miracles » saint patron de Lima et du Pérou, vénéré depuis 1687 dans le couvent des Nazaréens de Lii copie du tableau original offerte en 2014 par la confrérie des Porteurs du Seigneur des Miracles par Dante Meza, peintre.
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
« Seigneur des miracles » saint patron de Lima et du Pérou, vénéré depuis 1687 dans le couvent des Nazaréens de Lii copie du tableau original offerte en 2014 par la confrérie des Porteurs du Seigneur des Miracles par Dante Meza, peintre.
171
<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center>
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
172
<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center> « Notre-Dame de Guadalupe » vénérée depuis 1531 dans la basilique éponyme à Mexico reproduction en mosaïque offerte en 1949 par le gouvernement mexicain par l'Ateliers de mosaïque du Vatican.
Couronne offerte en 1949 par les fidèles mexicains (l'originale est conservée dans le Trésor de la cathédrale par Mellerio, orfèvre). Autel et confessionnal d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc (années 1860).
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
« Notre-Dame de Guadalupe » vénérée depuis 1531 dans la basilique éponyme à Mexico reproduction en mosaïque offerte en 1949 par le gouvernement mexicain par l'Ateliers de mosaïque du Vatican. Couronne offerte en 1949 par les fidèles mexicains (l'originale est conservée dans le Trésor de la cathédrale par Mellerio, orfèvre). Autel et confessionnal d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc (années 1860).
173
<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center> « Notre-Dame de Guadalupe » vénérée depuis 1531 dans la basilique éponyme à Mexico reproduction en mosaïque offerte en 1949 par le gouvernement mexicain par l'Ateliers de mosaïque du Vatican.
Couronne offerte en 1949 par les fidèles mexicains (l'originale est conservée dans le Trésor de la cathédrale par Mellerio, orfèvre).
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
« Notre-Dame de Guadalupe » vénérée depuis 1531 dans la basilique éponyme à Mexico reproduction en mosaïque offerte en 1949 par le gouvernement mexicain par l'Ateliers de mosaïque du Vatican. Couronne offerte en 1949 par les fidèles mexicains (l'originale est conservée dans le Trésor de la cathédrale par Mellerio, orfèvre).
174
<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center> Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Le prophète Agabus prédisant à saint Paul ses souffrances à Jérusalem, peinture de Louis Chéron (1660-1713),
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Le prophète Agabus prédisant à saint Paul ses souffrances à Jérusalem, peinture de Louis Chéron (1660-1713), "may" offert le premier mai 1687 par la corporation des orfèvres.
175
<center>Chapelle Saint Vincent de-Paul. </center> Anciennement Chapelle Saint-Julien Le pauvre et Sainte-Marie l'Egyptienne. Monument du Cardinal L.A. Amette 1850-1908-1920 par Hippolyte Lefebvre.
Chapelle Saint Vincent de-Paul.
Anciennement Chapelle Saint-Julien Le pauvre et Sainte-Marie l'Egyptienne. Monument du Cardinal L.A. Amette 1850-1908-1920 par Hippolyte Lefebvre.
176
<center>Chapelle Saint Vincent de-Paul. </center> Saint André tressaille de joie à la vue de son supp1ice par Gabriel Blanchard le Neveu,
Chapelle Saint Vincent de-Paul.
Saint André tressaille de joie à la vue de son supp1ice par Gabriel Blanchard le Neveu, "may" offert le premier mai 1670 par la corporation des orfèvres.
177
<center>Chapelle Saint Vincent de-Paul. </center>
Chapelle Saint Vincent de-Paul.
178
<center>Chapelle de la Sainte-Enfance  (ou Enfance Missionnaire). </center> Anciennement Chapelle Sainte-Genevieve. L'enfance-missionnaire, Œuvre missionnaire fondée en 1843. Statue de « Saint François-Xavier baptisant» (1860), par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume, sculpteur.
Chapelle de la Sainte-Enfance (ou Enfance Missionnaire).
Anciennement Chapelle Sainte-Genevieve. L'enfance-missionnaire, Œuvre missionnaire fondée en 1843. Statue de « Saint François-Xavier baptisant» (1860), par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume, sculpteur.
179
<center>Chapelle de la Sainte-Enfance  (ou Enfance Missionnaire). </center> Statue de sainte Anne et de la sainte Vierge (1864), par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume, sculpteur.
Chapelle de la Sainte-Enfance (ou Enfance Missionnaire).
Statue de sainte Anne et de la sainte Vierge (1864), par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume, sculpteur.
180
<center>Chapelle de la Sainte-Enfance  (ou Enfance Missionnaire). </center> Statue de « L'Œuvre de la Sainte-Enfance » (vers 1864) par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume, sculpteur.
Reliques et chasse de saint Paul Chen séminariste chinois, martyr (mort en 1861), déposées à Notre-Dame de Paris depuis 1920
Chapelle de la Sainte-Enfance (ou Enfance Missionnaire).
Statue de « L'Œuvre de la Sainte-Enfance » (vers 1864) par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume, sculpteur. Reliques et chasse de saint Paul Chen séminariste chinois, martyr (mort en 1861), déposées à Notre-Dame de Paris depuis 1920
181
<center>Chapelle de la Sainte-Enfance  (ou Enfance Missionnaire). </center> Anciennement Chapelle Sainte-Genevieve. La Flagellation de Saint Paul et Saint Silas par Louis Testelin,
Chapelle de la Sainte-Enfance (ou Enfance Missionnaire).
Anciennement Chapelle Sainte-Genevieve. La Flagellation de Saint Paul et Saint Silas par Louis Testelin, "may" offert le premier mai 1655 par la Corporation des orfèvres.
182
<center>Chapelle Saint-Charles.</center> Vierge de Pitié, par Lubin Baugin, XVIIe siècle.
Chapelle Saint-Charles.
Vierge de Pitié, par Lubin Baugin, XVIIe siècle.
183
<center>Chapelle Saint-Charles.</center> Anciennement chapelle Saint Georges et Saint-Blaise. Saint Paul rend aveugle le faux prophète Barjesu et convertit le proconsul Sergius, par Nicolas Loir,
Chapelle Saint-Charles.
Anciennement chapelle Saint Georges et Saint-Blaise. Saint Paul rend aveugle le faux prophète Barjesu et convertit le proconsul Sergius, par Nicolas Loir, "may" offert le premier mai 1650 par la corporation des orfèvres.
184
<center>Chapelle des Fonts Baptismaux. </center> Anciennement chapelle Saint Leonard. Fonts baptismaux avec statuette de saint Jean-Baptiste, effigies des douze apôtres et statues des quatre évangélistes par Louis Bachelet, bronzier (1860) d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte.
Chapelle des Fonts Baptismaux.
Anciennement chapelle Saint Leonard. Fonts baptismaux avec statuette de saint Jean-Baptiste, effigies des douze apôtres et statues des quatre évangélistes par Louis Bachelet, bronzier (1860) d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte.
185
<center>Chapelle des Fonts Baptismaux. </center> Anciennement chapelle Saint Leonard. Fonts baptismaux avec statuette de saint Jean-Baptiste, effigies des douze apôtres et statues des quatre évangélistes par Louis Bachelet, bronzier (1860) d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte.
Chapelle des Fonts Baptismaux.
Anciennement chapelle Saint Leonard. Fonts baptismaux avec statuette de saint Jean-Baptiste, effigies des douze apôtres et statues des quatre évangélistes par Louis Bachelet, bronzier (1860) d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte.
186
<center>Chapelle des Fonts Baptismaux. </center> La descente du Saint Esprit par Jacques Blanchard,
Chapelle des Fonts Baptismaux.
La descente du Saint Esprit par Jacques Blanchard, "may" offert le premier mai 1634 par la corporation des orfèvres.
187
<center>Chapelle des Fonts Baptismaux. </center> « L'Adoration des Bergers » peint pour le maître-autel du couvent des Cordeliers de Paris par Jérôme Francken, peintre (1585)
Chapelle des Fonts Baptismaux.
« L'Adoration des Bergers » peint pour le maître-autel du couvent des Cordeliers de Paris par Jérôme Francken, peintre (1585)
188
<center>La Rose Sud. </center> La Rose Sud ou Rose du Midi fut offerte par le roi Saint Louis. Les maîtres d’œuvres l’ayant conçu sont Jean de Chelles, puis Pierre de Montreuil. Cette rosace est consacrée au Nouveau Testament. Elle comporte quatre-vingt-quatre panneaux répartis sur quatre cercles. Le premier comporte douze médaillons, le second vingt-quatre. Un troisième cercle est constitué par douze quadrilobes, tandis que le quatrième cercle est ponctué de vingt-quatre médaillons trilobés. Nous retrouvons ainsi le nombre symbolique quatre, ainsi que ses multiples, douze et vingt-quatre. Les interventions successives sur la rosace ont totalement bouleversé les panneaux. Ainsi, les douze Apôtres, constituant originalement le premier cercle, sont désormais dispersés dans les deux cercles, se mélangeant à d’autres personnages. 
Dans le médaillon central,  Viollet-le-Duc, par le travail de Gérente, choisit d’y placer la représentation du Christ de l’Apocalypse.
En bas, les deux écoinçons présentent, à gauche, la descente aux Enfers, entourée de Moïse et Aaron (en haut) et de la tentation d’Adam et Eve (en bas), et à droite, la résurrection du Christ à l’ouest avec saint Pierre et saint Paul (en bas), sainte Madeleine et saint Jean (en haut).
La Rose Sud.
La Rose Sud ou Rose du Midi fut offerte par le roi Saint Louis. Les maîtres d’œuvres l’ayant conçu sont Jean de Chelles, puis Pierre de Montreuil. Cette rosace est consacrée au Nouveau Testament. Elle comporte quatre-vingt-quatre panneaux répartis sur quatre cercles. Le premier comporte douze médaillons, le second vingt-quatre. Un troisième cercle est constitué par douze quadrilobes, tandis que le quatrième cercle est ponctué de vingt-quatre médaillons trilobés. Nous retrouvons ainsi le nombre symbolique quatre, ainsi que ses multiples, douze et vingt-quatre. Les interventions successives sur la rosace ont totalement bouleversé les panneaux. Ainsi, les douze Apôtres, constituant originalement le premier cercle, sont désormais dispersés dans les deux cercles, se mélangeant à d’autres personnages. Dans le médaillon central, Viollet-le-Duc, par le travail de Gérente, choisit d’y placer la représentation du Christ de l’Apocalypse. En bas, les deux écoinçons présentent, à gauche, la descente aux Enfers, entourée de Moïse et Aaron (en haut) et de la tentation d’Adam et Eve (en bas), et à droite, la résurrection du Christ à l’ouest avec saint Pierre et saint Paul (en bas), sainte Madeleine et saint Jean (en haut).
189
<center>La Rose Sud. </center> Sous la rosace, la cour céleste est parfaite par les seize prophètes représentés dans les grands vitraux de la claire-voie, peinte au XIXe siècle par Alfred Gérente sous la direction de Viollet-le-Duc. Au centre, les quatre grands prophètes (Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et Daniel) portent sur leurs épaules les quatre évangélistes (Matthieu, Marc, Luc et Jean).
La Rose Sud.
Sous la rosace, la cour céleste est parfaite par les seize prophètes représentés dans les grands vitraux de la claire-voie, peinte au XIXe siècle par Alfred Gérente sous la direction de Viollet-le-Duc. Au centre, les quatre grands prophètes (Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et Daniel) portent sur leurs épaules les quatre évangélistes (Matthieu, Marc, Luc et Jean).
190
<center>La Rose Nord. </center> À l’inverse de la rosace sud, la rosace nord a conservé presque intacts ses vitraux originels du XIIIe siècle. Le centre est occupé par la Vierge Marie. Autour d’elle gravitent les juges, les rois, les grands prêtres et les prophètes de l'Ancien Testament.
La Rose Nord.
À l’inverse de la rosace sud, la rosace nord a conservé presque intacts ses vitraux originels du XIIIe siècle. Le centre est occupé par la Vierge Marie. Autour d’elle gravitent les juges, les rois, les grands prêtres et les prophètes de l'Ancien Testament.
191
<center>La Rose Nord. </center> Les rois.
La Rose Nord.
Les rois.
192
<center>La Rose Ouest </center> La rose de la façade, presqu'entièrement refaite par Viollet le Duc, représente les travaux des mois et les signes du zodiaque, les Vertus et les Vices, et au centre, la Vierge. Les orgues de Ciquot (1730), ont  été restaurées par Cavaillé-Coll en 1868.
La Rose Ouest
La rose de la façade, presqu'entièrement refaite par Viollet le Duc, représente les travaux des mois et les signes du zodiaque, les Vertus et les Vices, et au centre, la Vierge. Les orgues de Ciquot (1730), ont été restaurées par Cavaillé-Coll en 1868.
193
<center>La Rose Ouest </center> La rosace ouest développe vingt quatre rayons sur trois cercles concentriques. Au centre la Vierge Marie, couronnée comme une reine, tient son enfant Jésus assis sur son bras gauche. Dans sa main droite elle brandit un sceptre à trois feuilles. Le premier cercle de la rosace ouest, près du centre, présente douze personnages. Ils n'ont pas d'auréole et ne portent pas les attributs des apôtres. Ils représentent certainement les douze tribus d'Israël. La moitié supérieure de la rosace décrit les vices et les vertus, mis par paires sur les demi-cercles médian et extérieur de la rosace. Les douze signes du zodiaque associés aux travaux saisonniers correspondants recouvrent la moitié inférieure de la rosace.
La Rose Ouest
La rosace ouest développe vingt quatre rayons sur trois cercles concentriques. Au centre la Vierge Marie, couronnée comme une reine, tient son enfant Jésus assis sur son bras gauche. Dans sa main droite elle brandit un sceptre à trois feuilles. Le premier cercle de la rosace ouest, près du centre, présente douze personnages. Ils n'ont pas d'auréole et ne portent pas les attributs des apôtres. Ils représentent certainement les douze tribus d'Israël. La moitié supérieure de la rosace décrit les vices et les vertus, mis par paires sur les demi-cercles médian et extérieur de la rosace. Les douze signes du zodiaque associés aux travaux saisonniers correspondants recouvrent la moitié inférieure de la rosace.
194
<center>Les vitraux. </center> St Ambroise, st Grégoire, st Denis, Maurice de Sully (contributeur à l'édification de Notre Dame), l'Annonciation.
Les vitraux.
St Ambroise, st Grégoire, st Denis, Maurice de Sully (contributeur à l'édification de Notre Dame), l'Annonciation.
195
<center>Les vitraux. </center> Vitraux du choeur. A gauche , l'Annonciation. Au centre, le couronnement de la Vierge ? A droite, la Visitation.
Les vitraux.
Vitraux du choeur. A gauche , l'Annonciation. Au centre, le couronnement de la Vierge ? A droite, la Visitation.
196
<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
197
<center>Les vitraux. </center> Sully, saint Marcel, sant Augustin, saint Jérôme, saint Luc, saint Jean
Les vitraux.
Sully, saint Marcel, sant Augustin, saint Jérôme, saint Luc, saint Jean
198
<center>Les vitraux. </center> A droite, st Matthieu et st Marc.
Les vitraux.
A droite, st Matthieu et st Marc.
199
<center>Les vitraux. </center> Saint Matthieu, Saint Marc, saint Ambroise, saint Grégoire
Les vitraux.
Saint Matthieu, Saint Marc, saint Ambroise, saint Grégoire
200
<center>Les vitraux. </center> A gauche, st Louis et st Grégoire VII, a droite, st Rémi et st Martin.
Les vitraux.
A gauche, st Louis et st Grégoire VII, a droite, st Rémi et st Martin.
201
<center>Les vitraux. </center> Melchisédech et Aaron
Les vitraux.
Melchisédech et Aaron
202
<center>Les vitraux. </center> Daniel et Jérémie, David et ?
Les vitraux.
Daniel et Jérémie, David et ?
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<center>Les vitraux. </center> Daniel et Jérémie, David et ?, saint Maurice et ?.
Les vitraux.
Daniel et Jérémie, David et ?, saint Maurice et ?.
204
<center>Les vitraux. </center> St Irénée et st Hilaire, st Leo III et st Charles Borromée ?
Les vitraux.
St Irénée et st Hilaire, st Leo III et st Charles Borromée ?
205
<center>Les vitraux. </center> Les tribunes sont garnies de petites roses.
Les vitraux.
Les tribunes sont garnies de petites roses.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
207
<center>Les vitraux. </center> En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés remplaçant les verres gris et ternes implantés par les chanoines au XVIIIe siècle. Non figuratifs, ils sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier qui a utilisé les produits et couleurs du Moyen Âge. L’ensemble est à dominante rouge et bleue.
Les vitraux.
En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés remplaçant les verres gris et ternes implantés par les chanoines au XVIIIe siècle. Non figuratifs, ils sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier qui a utilisé les produits et couleurs du Moyen Âge. L’ensemble est à dominante rouge et bleue.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
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<center>Lustre.</center> Au XIXe siècle, Notre-Dame de Paris avait perdu sa grande Couronne de lumière et Viollet-le-Duc avait notamment pour mission de reconstituer le mobilier gothique du sanctuaire. Il s’attacha à élaborer les dessins d’une nouvelle Couronne dans le style gothique. La Couronne de lumière actuelle est à deux rangs surmontée de tourelles en cuivre doré. Elle a été exécutée à l’époque par l’orfèvre Placide Poussielgue-Rusand. 
Quant aux autres lustres de la nef de la cathédrale, ils sont en bronze doré et datent de la même époque
Lustre.
Au XIXe siècle, Notre-Dame de Paris avait perdu sa grande Couronne de lumière et Viollet-le-Duc avait notamment pour mission de reconstituer le mobilier gothique du sanctuaire. Il s’attacha à élaborer les dessins d’une nouvelle Couronne dans le style gothique. La Couronne de lumière actuelle est à deux rangs surmontée de tourelles en cuivre doré. Elle a été exécutée à l’époque par l’orfèvre Placide Poussielgue-Rusand. Quant aux autres lustres de la nef de la cathédrale, ils sont en bronze doré et datent de la même époque
214
<center>Notre-Dame-de-Paris.</center>
Notre-Dame-de-Paris.
215
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Mentionné dans l'inventaire du trésor de la Sainte-Chapelle de 1480, ces reliques de Saint-Louis furent pour partie abritée à Notre-Dame dans le buste reliquaire du saint réalisé en 1857, par Jean Alexandre Chertier d'après un dessin de Violler-le-Duc. Tunique de saint Louis.
Le Trésor de Notre-Dame.
Mentionné dans l'inventaire du trésor de la Sainte-Chapelle de 1480, ces reliques de Saint-Louis furent pour partie abritée à Notre-Dame dans le buste reliquaire du saint réalisé en 1857, par Jean Alexandre Chertier d'après un dessin de Violler-le-Duc. Tunique de saint Louis.
216
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Discipline ou escourgette de saint Louis
Ivoire, chaînettes de métal XllVe siècle
L'étui renferme les chaînettes avec lesquelles le roi se fustigeait par pénitence après s'être confessé. L'objet est conforme à la description de son confesseur et à l'aquarelle du XVIIème siècle reproduisant un tableau du XIVème siècle de la Sainte- Chapelle.
Le Trésor de Notre-Dame.
Discipline ou escourgette de saint Louis Ivoire, chaînettes de métal XllVe siècle L'étui renferme les chaînettes avec lesquelles le roi se fustigeait par pénitence après s'être confessé. L'objet est conforme à la description de son confesseur et à l'aquarelle du XVIIème siècle reproduisant un tableau du XIVème siècle de la Sainte- Chapelle.
217
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Ornements offerts par l'empereur Napoléon III en 1856 à l'occasion du baptême de son fils, le Prince Impérial. Soieries façonnées eà fond de satin blanc  et motifs en soie polychrome de fleurs, inscrite dans un feuillage d'acanthe or ; satin, soie, fils d'or. Sur la doublure, inscription brodée au fil jaune sur fond de taffetas rose : « Donné par l'empereur en 1856 ».
Le Trésor de Notre-Dame.
Ornements offerts par l'empereur Napoléon III en 1856 à l'occasion du baptême de son fils, le Prince Impérial. Soieries façonnées eà fond de satin blanc et motifs en soie polychrome de fleurs, inscrite dans un feuillage d'acanthe or ; satin, soie, fils d'or. Sur la doublure, inscription brodée au fil jaune sur fond de taffetas rose : « Donné par l'empereur en 1856 ».
218
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Pendule d'applique. Ébène et bronze doré. Époque de Louis XV.
Le Trésor de Notre-Dame.
Pendule d'applique. Ébène et bronze doré. Époque de Louis XV.
219
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Vierge à l'enfant exécuté par Odiot et offert en 1826 par Charles X.
Le Trésor de Notre-Dame.
Vierge à l'enfant exécuté par Odiot et offert en 1826 par Charles X.
220
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center> Ces verrières représentent la légende de sainte Geneviève, patronne de la ville de Paris.  Sainte Geneviève apporte des provisions  à la ville affamée.
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
Ces verrières représentent la légende de sainte Geneviève, patronne de la ville de Paris. Sainte Geneviève apporte des provisions à la ville affamée.
221
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center> Sainte Geneviève rend la vue à deux aveugles - œuvre d’Alfred Gérente
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
Sainte Geneviève rend la vue à deux aveugles - œuvre d’Alfred Gérente
222
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center> Sainte Geneviève remplit miraculeusement les vases destinés aux bâtisseurs d’une chapelle.
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
Sainte Geneviève remplit miraculeusement les vases destinés aux bâtisseurs d’une chapelle.
223
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center> Sainte Geneviève obtient par sa prière que la pluie qui menace la récolte s’éloigne
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
Sainte Geneviève obtient par sa prière que la pluie qui menace la récolte s’éloigne
224
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center> Mort de sainte Geneviève.
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
Mort de sainte Geneviève.
225
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center> La châsse de Sainte Geneviève  est vénérée.
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
La châsse de Sainte Geneviève est vénérée.
226
<center>Vitraux de la Sacristie du Chapitre. </center>
Vitraux de la Sacristie du Chapitre.
227
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Lutrin.
Bronze. P. Poussielgue-Rusand. Vers 1868. Ce grand lutrin à la baroque envolé est le chef-d’œuvre de l’architecte Viollet-le-Duc. Les représentations raisonnées comme le Tétramorphe et les 12 apôtres côtoient un végétalisme fantastique.
Le Trésor de Notre-Dame.
Lutrin. Bronze. P. Poussielgue-Rusand. Vers 1868. Ce grand lutrin à la baroque envolé est le chef-d’œuvre de l’architecte Viollet-le-Duc. Les représentations raisonnées comme le Tétramorphe et les 12 apôtres côtoient un végétalisme fantastique.
228
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Lutrin.
Bronze. P. Poussielgue-Rusand. Vers 1868. Ce grand lutrin à la baroque envolé est le chef-d’œuvre de l’architecte Viollet-le-Duc. Les représentations raisonnées comme le Tétramorphe et les 12 apôtres côtoient un végétalisme fantastique.
Le Trésor de Notre-Dame.
Lutrin. Bronze. P. Poussielgue-Rusand. Vers 1868. Ce grand lutrin à la baroque envolé est le chef-d’œuvre de l’architecte Viollet-le-Duc. Les représentations raisonnées comme le Tétramorphe et les 12 apôtres côtoient un végétalisme fantastique.
229
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Lutrin.
Le lion de st Marc, l'homme de st Matthieu, le taureau de st Luc. En-dessous les têtes des apôtres.
Le Trésor de Notre-Dame.
Lutrin. Le lion de st Marc, l'homme de st Matthieu, le taureau de st Luc. En-dessous les têtes des apôtres.
230
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Lutrin.
Le taureau de st Luc, l'aigle de st Jean, le lion de st Marc. En-dessous les têtes des apôtres.
Le Trésor de Notre-Dame.
Lutrin. Le taureau de st Luc, l'aigle de st Jean, le lion de st Marc. En-dessous les têtes des apôtres.
231
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Saint denis
Le Trésor de Notre-Dame.
Saint denis
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center>
Le Trésor de Notre-Dame.
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center>
Le Trésor de Notre-Dame.
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center>
Le Trésor de Notre-Dame.
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center>
Le Trésor de Notre-Dame.
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center>
Le Trésor de Notre-Dame.
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Saint Pierre.
Le Trésor de Notre-Dame.
Saint Pierre.
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<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Saint Paul.
Le Trésor de Notre-Dame.
Saint Paul.
241
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center>
Le Trésor de Notre-Dame.
242
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Vierge à l'enfant. Bois peint. Fin du XVIIe siècle.
Le Trésor de Notre-Dame.
Vierge à l'enfant. Bois peint. Fin du XVIIe siècle.
243
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Statuette reliquaire de Saint Pierre. Bronze doré, marbre, Italie, fin du XVIIIe siècle.
Le Trésor de Notre-Dame.
Statuette reliquaire de Saint Pierre. Bronze doré, marbre, Italie, fin du XVIIIe siècle.
244
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Statuette reliquaire de Saint Paul. Bronze doré, marbre, Italie, fin du XVIIIe siècle.
Le Trésor de Notre-Dame.
Statuette reliquaire de Saint Paul. Bronze doré, marbre, Italie, fin du XVIIIe siècle.
245
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Trois canon d'autel. Bois doré, parchemin, XVIIe siècle.
Le Trésor de Notre-Dame.
Trois canon d'autel. Bois doré, parchemin, XVIIe siècle.
246
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Donné par l'empereur au chapitre de l'église de Paris.
Le Trésor de Notre-Dame.
Donné par l'empereur au chapitre de l'église de Paris.
247
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Reliquaire de la couronne d'épines. Cuivre doré d'ort moulu. J – C Cahier. 1806. Réalisé à la demande du chapitre pour recevoir les insignes reliques de la couronne d'épines. D'une grande originalité, ce chef-d'œuvre s'affranchit du modèle médiéval de la Sainte-Chapelle. La relique placée dans le globe porté par trois anges n'était ici pas visible. La statue de la Foi et le lion de Juda surmontent le reliquaire tandis que sur le socle sont représentés le Christ, les 12 apôtres et les instruments de la passion. Les inscriptions relatent l'histoire de la relique.
Le Trésor de Notre-Dame.
Reliquaire de la couronne d'épines. Cuivre doré d'ort moulu. J – C Cahier. 1806. Réalisé à la demande du chapitre pour recevoir les insignes reliques de la couronne d'épines. D'une grande originalité, ce chef-d'œuvre s'affranchit du modèle médiéval de la Sainte-Chapelle. La relique placée dans le globe porté par trois anges n'était ici pas visible. La statue de la Foi et le lion de Juda surmontent le reliquaire tandis que sur le socle sont représentés le Christ, les 12 apôtres et les instruments de la passion. Les inscriptions relatent l'histoire de la relique.
248
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Reliquaire de la Croix dite de Saint-Claude. Argent en partie émaillée, vermeil, diamants, perles fines, quartz, cornaline, citrine, malachite, émaux. P. Poussielgue – Rusand. 1896 – 1900. L'authenticité de la relique de la Croix de Saint-Claude, offerte au XVe siècle par le roi René au couvent des Célestins d'Avignon, fit l'objet d'une reconnaissance en 1895. Ce reliquaire de style gothique international fut exécuté sur les dessins de l'architecte Jules Astruc (1862 – 1935) grâce au legs du chanoine Jouan (1825 – 1895). Présenté à l'exposition universelle de 1900, il fut salué par la critique.
Le Trésor de Notre-Dame.
Reliquaire de la Croix dite de Saint-Claude. Argent en partie émaillée, vermeil, diamants, perles fines, quartz, cornaline, citrine, malachite, émaux. P. Poussielgue – Rusand. 1896 – 1900. L'authenticité de la relique de la Croix de Saint-Claude, offerte au XVe siècle par le roi René au couvent des Célestins d'Avignon, fit l'objet d'une reconnaissance en 1895. Ce reliquaire de style gothique international fut exécuté sur les dessins de l'architecte Jules Astruc (1862 – 1935) grâce au legs du chanoine Jouan (1825 – 1895). Présenté à l'exposition universelle de 1900, il fut salué par la critique.
249
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Les vitraux de la salle principale de l’édifice qui représentent une série d’évêques de Paris furent exécutés par Maréchal de Metz.
Le Trésor de Notre-Dame.
Les vitraux de la salle principale de l’édifice qui représentent une série d’évêques de Paris furent exécutés par Maréchal de Metz.
250
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Les vitraux de la salle principale de l’édifice qui représentent une série d’évêques de Paris furent exécutés par Maréchal de Metz.
Le Trésor de Notre-Dame.
Les vitraux de la salle principale de l’édifice qui représentent une série d’évêques de Paris furent exécutés par Maréchal de Metz.
251
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Les vitraux de la salle principale de l’édifice qui représentent une série d’évêques de Paris furent exécutés par Maréchal de Metz.
Le Trésor de Notre-Dame.
Les vitraux de la salle principale de l’édifice qui représentent une série d’évêques de Paris furent exécutés par Maréchal de Metz.
252
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Croix de la Princesse Palatine. La croix reliquaire à double traverse présente un intérêt exceptionnel. Elle abrite en effet l'œuvre la plus ancienne du trésor : une croix d'or renfermant un fragment insigne du bois de la vraie Croix. Au revers, une inscription en grec indique que la relique appartenu à Manuel Commène, probablement Manuel Ier, empereur deTrèbizonde au milieu du XIIIe siècle. Cette relique fut remise par Jean Casimir Wasa, roi de Pologne, à sa belle-sœur Anne de Gonzague, Princesse Palatine, qui la légua 1683 à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés.
Dépourvu de son reliquaire, la croix sauvée à la révolution fut déposée en 1828 au  trésor de Notre-Dame. Monseigneur de Quelen, archevêque de Paris de 1821 à 1839, commenda à l'orfèvre parisien Jean-Pierre Famechon un nouveau reliquaire dont le socle contient la pointe d'un des clous de la passion, provenant également du trésor de l'ancienne abbaye de Saint-Germain-des-Prés.
Le Trésor de Notre-Dame.
Croix de la Princesse Palatine. La croix reliquaire à double traverse présente un intérêt exceptionnel. Elle abrite en effet l'œuvre la plus ancienne du trésor : une croix d'or renfermant un fragment insigne du bois de la vraie Croix. Au revers, une inscription en grec indique que la relique appartenu à Manuel Commène, probablement Manuel Ier, empereur deTrèbizonde au milieu du XIIIe siècle. Cette relique fut remise par Jean Casimir Wasa, roi de Pologne, à sa belle-sœur Anne de Gonzague, Princesse Palatine, qui la légua 1683 à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Dépourvu de son reliquaire, la croix sauvée à la révolution fut déposée en 1828 au trésor de Notre-Dame. Monseigneur de Quelen, archevêque de Paris de 1821 à 1839, commenda à l'orfèvre parisien Jean-Pierre Famechon un nouveau reliquaire dont le socle contient la pointe d'un des clous de la passion, provenant également du trésor de l'ancienne abbaye de Saint-Germain-des-Prés.
253
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Buste reliquaire de saint Denis. Argent, âme de bois, bronze doré, émaux, verroteries. J – A Chertier. Après 1857. Réalisé d'après les dessins de Viollet-le-Duc. Ce dernier s'est inspiré du chef-reliquaire gothique du saint exécuté en 1281 pour l'abbaye de Saint-Denis.
Le Trésor de Notre-Dame.
Buste reliquaire de saint Denis. Argent, âme de bois, bronze doré, émaux, verroteries. J – A Chertier. Après 1857. Réalisé d'après les dessins de Viollet-le-Duc. Ce dernier s'est inspiré du chef-reliquaire gothique du saint exécuté en 1281 pour l'abbaye de Saint-Denis.
254
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Buste reliquaire de Saint Louis. Argent, âme de bois, bronze doré, émaux, verroteries. J – A Chertier. Après 1857. Réalisé d'après les dessins de Viollet-le-Duc. Ce dernier s'est littéralement inspiré du chef-reliquaire gothique de saint Louis exécuté par l'orfèvre Guillaume Julien pour le roi Philippe le Bel, et offert à la Sainte-Chapelle en 1306.
Le Trésor de Notre-Dame.
Buste reliquaire de Saint Louis. Argent, âme de bois, bronze doré, émaux, verroteries. J – A Chertier. Après 1857. Réalisé d'après les dessins de Viollet-le-Duc. Ce dernier s'est littéralement inspiré du chef-reliquaire gothique de saint Louis exécuté par l'orfèvre Guillaume Julien pour le roi Philippe le Bel, et offert à la Sainte-Chapelle en 1306.
255
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Reliquaire du Clou et du Bois de la Croix. Argent, perles, diamants et turquoises.  P. Poussielgue – Rusand. 1862. Commandé par le chapitre de Notre-Dame, ce projet de Viollet-le-Duc s'inspire du type de reliquaire soutenu par deux anges connu dès le milieu du XIIIe siècle.
Chrémeaux. Argent doré, émail bleu. A Chertier. Troisième quart du XIXe siècle. Les deux chrémeaux de même forme sont destinés l'un à contenir le saint-chrême, huile sainte utilisée au baptême, à la confirmation et aux ordinations ; l'autre l'huile pour le sacrement des malades. Celui en forme de colombe, réalisé d'après un dessin de Viollet-le-Duc de 1866, inspiré de l'émaillerie limousine, servait à contenir le baume utilisé le Jeudi Saint pour la bénédiction des Saintes Huiles.
Le Trésor de Notre-Dame.
Reliquaire du Clou et du Bois de la Croix. Argent, perles, diamants et turquoises. P. Poussielgue – Rusand. 1862. Commandé par le chapitre de Notre-Dame, ce projet de Viollet-le-Duc s'inspire du type de reliquaire soutenu par deux anges connu dès le milieu du XIIIe siècle. Chrémeaux. Argent doré, émail bleu. A Chertier. Troisième quart du XIXe siècle. Les deux chrémeaux de même forme sont destinés l'un à contenir le saint-chrême, huile sainte utilisée au baptême, à la confirmation et aux ordinations ; l'autre l'huile pour le sacrement des malades. Celui en forme de colombe, réalisé d'après un dessin de Viollet-le-Duc de 1866, inspiré de l'émaillerie limousine, servait à contenir le baume utilisé le Jeudi Saint pour la bénédiction des Saintes Huiles.
256
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Ostensoir de Sainte-Geneviève. Argent doré, opales, grenats, émaux. P. Poussielgue – Rusand. 1852. Il provient de l'ancienne église du même nom actuellement le Panthéon.
Le Trésor de Notre-Dame.
Ostensoir de Sainte-Geneviève. Argent doré, opales, grenats, émaux. P. Poussielgue – Rusand. 1852. Il provient de l'ancienne église du même nom actuellement le Panthéon.
257
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Reliquaire de la couronne d'épines bronze dorer, argent doré, sciemment, émeraude, saphir, pierres précieuses. P. Poussielgue – Rusand. 1862.
Le Trésor de Notre-Dame.
Reliquaire de la couronne d'épines bronze dorer, argent doré, sciemment, émeraude, saphir, pierres précieuses. P. Poussielgue – Rusand. 1862.
258
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Ostensoir. Argent doré, diamants, rubis, opales, améthystes, turquoises, cristal de roche. P. Poussielgue – Rusand. 1867. Réalisé d'après le dessin de Viollet-le-Duc, ce chef-d'œuvre d'orfèvrerie néo-gothique a remporté un large succès à l'exposition universelle de 1867.
Le Trésor de Notre-Dame.
Ostensoir. Argent doré, diamants, rubis, opales, améthystes, turquoises, cristal de roche. P. Poussielgue – Rusand. 1867. Réalisé d'après le dessin de Viollet-le-Duc, ce chef-d'œuvre d'orfèvrerie néo-gothique a remporté un large succès à l'exposition universelle de 1867.
259
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Ensemble dit Napoléon III. Bronze doré, cuivre doré, P. Poussielgue – Rusand et A Chertier. D'après les dessins de Viollet-le-Duc. Seconde moitié du XIXe siècle. La croix de procession, l'aiguière, le plateau et les chandeliers ont été exécutés par Placide Poussielgue – Rusand.
Deux baisers de paix de l'orfèvre Alexandre Chertier complètent l'ensemble. Le baiser de paix est donné en signe de conciliation pendant la communion. Autrefois, en certaines circonstances, les fidèles embrassaient l'instrumentum pacis, une plaque à l'image du Christ, ici la crucifixion et le Christ aux limbes.
Le Trésor de Notre-Dame.
Ensemble dit Napoléon III. Bronze doré, cuivre doré, P. Poussielgue – Rusand et A Chertier. D'après les dessins de Viollet-le-Duc. Seconde moitié du XIXe siècle. La croix de procession, l'aiguière, le plateau et les chandeliers ont été exécutés par Placide Poussielgue – Rusand. Deux baisers de paix de l'orfèvre Alexandre Chertier complètent l'ensemble. Le baiser de paix est donné en signe de conciliation pendant la communion. Autrefois, en certaines circonstances, les fidèles embrassaient l'instrumentum pacis, une plaque à l'image du Christ, ici la crucifixion et le Christ aux limbes.
260
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Reliure. Argent doré, cuivre doré et émaillé, bronze partiellement doré, maroquin rouge. A. Chertier. 1867 – 1868. Réalisé sur les dessins de Viollet-le-Duc cette reliure est marquée par l'influence des reliures limousines du XIIIe siècle en émail champlevé.
Le Trésor de Notre-Dame.
Reliure. Argent doré, cuivre doré et émaillé, bronze partiellement doré, maroquin rouge. A. Chertier. 1867 – 1868. Réalisé sur les dessins de Viollet-le-Duc cette reliure est marquée par l'influence des reliures limousines du XIIIe siècle en émail champlevé.
261
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Couronne. Or, brillants, émeraudes, rubis, perles fines. Mellerio. 1949. Offerte grâce à une souscription de fidèles mexicains en 1949 pour couronner la mosaïque de Notre-Dame de Guadalupe qui orne une chapelle de la nef.
Le Trésor de Notre-Dame.
Couronne. Or, brillants, émeraudes, rubis, perles fines. Mellerio. 1949. Offerte grâce à une souscription de fidèles mexicains en 1949 pour couronner la mosaïque de Notre-Dame de Guadalupe qui orne une chapelle de la nef.
262
<center>Le Trésor de Notre-Dame. </center> Hyacinthe Ludovic de Quelen, archevêque de paris.
Le Trésor de Notre-Dame.
Hyacinthe Ludovic de Quelen, archevêque de paris.
263
<center>La salle capitulaire. </center>
La salle capitulaire.
264
<center>La salle capitulaire. </center>
La salle capitulaire.
265
<center>La salle capitulaire. </center>
La salle capitulaire.
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<center>La salle capitulaire. </center>
La salle capitulaire.
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<center>La salle capitulaire. </center>
La salle capitulaire.
268
<center>La salle capitulaire. </center>
La salle capitulaire.
269
<center>La salle capitulaire. </center> Crucifix en ivoire, XVe-XVIe siècles. Statuettes reliquaires de ste Barbe et st Roch, bois argenté et doré, Suisse, XVIIIe siècle.
La salle capitulaire.
Crucifix en ivoire, XVe-XVIe siècles. Statuettes reliquaires de ste Barbe et st Roch, bois argenté et doré, Suisse, XVIIIe siècle.
270
<center>La salle capitulaire. </center> Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
La salle capitulaire.
Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
271
<center>La salle capitulaire. </center> Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
La salle capitulaire.
Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
272
<center>La salle capitulaire. </center> Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
La salle capitulaire.
Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
273
<center>La salle capitulaire. </center> Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
La salle capitulaire.
Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
274
<center>La salle capitulaire. </center> Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
La salle capitulaire.
Collection de 258 camées à l’effigie de tous les papes depuis saint Pierre jusqu’à Pie IX.
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