Paris 2014

Triangle d'Or et la Défense.

<center></center><center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace. Louis Baralis est le sculpteurdu décor en bas-relief de deux des neuf oculi de la façade, 1898.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace. Louis Baralis est le sculpteurdu décor en bas-relief de deux des neuf oculi de la façade, 1898.
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<center></center><center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de Paul Jean-Baptiste Gasq
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de Paul Jean-Baptiste Gasq
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<center></center><center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace. Autre bas-relief de Louis Baralis.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace. Autre bas-relief de Louis Baralis.
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<center></center><center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de François Sicard.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de François Sicard.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Vuitton : façade 1930.
Avenue George V.
Vuitton : façade 1930.
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<center></center><center>Le Fouquet's. </center> Le restaurant s’enracine dès 1899, en lieu et place d’un café, baptisé The Criterion, où se retrouvent les cochers. Le fondateur et propriétaire s’appelle Louis Fouquet, le nom Fouquet’s résonnant alors comme un double hommage à la mode britannique et à la terminologie des bars américains. L’intéressé n’invente rien : Maxime Gaillard, un garçon de café, a fait de même avec son Maxim’s – un petit bistrot au départ -, situé à la lisière de la place de la Concorde.
Le successeur de Fouquet, Léopold Mourier, garde le nom mais transforme l’adresse en un endroit ultra-chic où se pressent peu à peu grosses fortunes et personnalités en vue.
Le Fouquet's.
Le restaurant s’enracine dès 1899, en lieu et place d’un café, baptisé The Criterion, où se retrouvent les cochers. Le fondateur et propriétaire s’appelle Louis Fouquet, le nom Fouquet’s résonnant alors comme un double hommage à la mode britannique et à la terminologie des bars américains. L’intéressé n’invente rien : Maxime Gaillard, un garçon de café, a fait de même avec son Maxim’s – un petit bistrot au départ -, situé à la lisière de la place de la Concorde. Le successeur de Fouquet, Léopold Mourier, garde le nom mais transforme l’adresse en un endroit ultra-chic où se pressent peu à peu grosses fortunes et personnalités en vue.
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<center></center><center>Le Fouquet's. </center> Surtout, passionné d’automobile et d’aviation, le nouveau patron réussit à attirer, entre autres, Alberto Santos-Dumont – qui, le premier, fait voler un aéroplane, le 12 novembre 1906 au dessus du parc de Bagatelle – et Ettore Bugatti, le constructeur des fameux bolides. Le monde du spectacle aussi s’installe au Fouquet’s, un cadre qu’il n’a plus jamais quitté depuis environ un siècle. Entrée avec, de chaque coté, les noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
Le Fouquet's.
Surtout, passionné d’automobile et d’aviation, le nouveau patron réussit à attirer, entre autres, Alberto Santos-Dumont – qui, le premier, fait voler un aéroplane, le 12 novembre 1906 au dessus du parc de Bagatelle – et Ettore Bugatti, le constructeur des fameux bolides. Le monde du spectacle aussi s’installe au Fouquet’s, un cadre qu’il n’a plus jamais quitté depuis environ un siècle. Entrée avec, de chaque coté, les noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
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<center></center><center>Le Fouquet's. </center> Noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
Le Fouquet's.
Noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Hôtel le Fouqet's. Schoebel-Amrein, architectes. Viguie-Verdier, constructeur. 1988.
Avenue George V.
Hôtel le Fouqet's. Schoebel-Amrein, architectes. Viguie-Verdier, constructeur. 1988.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
Avenue George V.
Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
Avenue George V.
Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Vuitton : façade 1930.
Avenue George V.
Vuitton : façade 1930.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Ancienne chapellerie. ERNEST MOTSCH est le fondateur de la marque de chapeaux MOTSCH, créée en 1887. Dans les années 1980, les descendants d’ERNEST MOTSCH, souhaitent se soustraire de la chapellerie familiale. L’enseigne de renom est rachetée par la Maison HERMÈS.
Avenue George V.
Ancienne chapellerie. ERNEST MOTSCH est le fondateur de la marque de chapeaux MOTSCH, créée en 1887. Dans les années 1980, les descendants d’ERNEST MOTSCH, souhaitent se soustraire de la chapellerie familiale. L’enseigne de renom est rachetée par la Maison HERMÈS.
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<center></center><center>Avenue George V. </center> Construit sur le site des anciennes carrières de Chaillot, le Prince de Galles, un hôtel Luxury Collection, fut édifié en 1928 par l’architecte Arfvidson dans un style typiquement Art Déco, comme en témoigne son patio entièrement habillé de mosaïques.
L’origine du nom de l’hôtel Prince de Galles réside dans sa finalité première : accueillir à Paris le Prince de Galles, futur Edouard VIII, fils aîné du Roi d’Angleterre de l’époque, George V.
Avenue George V.
Construit sur le site des anciennes carrières de Chaillot, le Prince de Galles, un hôtel Luxury Collection, fut édifié en 1928 par l’architecte Arfvidson dans un style typiquement Art Déco, comme en témoigne son patio entièrement habillé de mosaïques. L’origine du nom de l’hôtel Prince de Galles réside dans sa finalité première : accueillir à Paris le Prince de Galles, futur Edouard VIII, fils aîné du Roi d’Angleterre de l’époque, George V.
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<center></center><center>Hôtel George V. </center> Cet hôtel est construit en 1928 par André Terrail, restaurateur propriétaire de La Tour d'Argent, en face de son hôtel particulier. Décoré dans son style d'origine des années 1930, il est considéré comme l’un des plus prestigieux hôtels de Paris.
Hôtel George V.
Cet hôtel est construit en 1928 par André Terrail, restaurateur propriétaire de La Tour d'Argent, en face de son hôtel particulier. Décoré dans son style d'origine des années 1930, il est considéré comme l’un des plus prestigieux hôtels de Paris.
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<center></center><center>Hôtel George V. </center>
Hôtel George V.
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Hôtel George V.
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Hôtel George V.
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Hôtel George V.
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Hôtel George V.
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<center></center><center>Hôtel George V. </center> Le salon anglais.
Hôtel George V.
Le salon anglais.
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<center></center><center>Hôtel George V. </center> Statue de l'Eté.
Hôtel George V.
Statue de l'Eté.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> La cathédrale de La Sainte Trinite, reconnue monument historique, plus connue sous le nom de Cathédrale Américaine, existe comme paroisse au cœur de Paris, depuis les années 1830. La flèche indépendante de 70 mètres est l'une des plus hautes de Paris.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
La cathédrale de La Sainte Trinite, reconnue monument historique, plus connue sous le nom de Cathédrale Américaine, existe comme paroisse au cœur de Paris, depuis les années 1830. La flèche indépendante de 70 mètres est l'une des plus hautes de Paris.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Le bâtiment actuel fut consacré le 25 novembre 1886, jour de Thanksgiving, en même temps que la Statue de la Liberté. La cathédrale est considérée comme l'un des fleurons de l’architecture néo-gothique anglaise sur le continent européen. Elle fut édifiée par George Edmund Street (1824-1881).
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Le bâtiment actuel fut consacré le 25 novembre 1886, jour de Thanksgiving, en même temps que la Statue de la Liberté. La cathédrale est considérée comme l'un des fleurons de l’architecture néo-gothique anglaise sur le continent européen. Elle fut édifiée par George Edmund Street (1824-1881).
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Le cloître tient lieu de mémorial dédié aux soldats et civils américains qui ont sacrifié leur vie lors de la première guerre mondiale et à toutes les victimes de la seconde guerre mondiale.
Triptyque du Maître de Roussillon (vers 1400). Retable du maître-autel à la manière des préraphaélites du peintre américain Edwin Abbey. Orgue de Cavaillé-Coll.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Le cloître tient lieu de mémorial dédié aux soldats et civils américains qui ont sacrifié leur vie lors de la première guerre mondiale et à toutes les victimes de la seconde guerre mondiale. Triptyque du Maître de Roussillon (vers 1400). Retable du maître-autel à la manière des préraphaélites du peintre américain Edwin Abbey. Orgue de Cavaillé-Coll.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> De beaux vitraux illustrent, entre autre, deux grands cantiques hérités de l'église primitive: le Venite sous le porche de l'entrée; et le Te Deum dans l’église elle-même.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
De beaux vitraux illustrent, entre autre, deux grands cantiques hérités de l'église primitive: le Venite sous le porche de l'entrée; et le Te Deum dans l’église elle-même.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center>
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
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Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
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Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Une quarantaine de vitraux illustrent le Venite et le Te Deum.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Une quarantaine de vitraux illustrent le Venite et le Te Deum.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Le retable au-dessus du maître-autel évoque la Nativité (avec l'Adoration des Mages), la Crucifixion et la Résurrection (avec l'apparition du Christ Ressuscité à Marie-Madeleine). Ce fut la dernière œuvre du peintre pré-raphaélite américain, Edwin Abbey (1851-1911).
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Le retable au-dessus du maître-autel évoque la Nativité (avec l'Adoration des Mages), la Crucifixion et la Résurrection (avec l'apparition du Christ Ressuscité à Marie-Madeleine). Ce fut la dernière œuvre du peintre pré-raphaélite américain, Edwin Abbey (1851-1911).
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Le grand orgue construit en 1887 par le prestigieux facteur d'orgues parisien Aristide Cavaillé-Coll, fut accompagné en 1970 d'un plus petit orgue (incomplet), dans le fond de la nef. Les drapeaux sont ceux des 50 états.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Le grand orgue construit en 1887 par le prestigieux facteur d'orgues parisien Aristide Cavaillé-Coll, fut accompagné en 1970 d'un plus petit orgue (incomplet), dans le fond de la nef. Les drapeaux sont ceux des 50 états.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Le grand orgue construit en 1887 par le prestigieux facteur d'orgues parisien Aristide Cavaillé-Coll, fut accompagné en 1970 d'un plus petit orgue (incomplet), dans le fond de la nef.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Le grand orgue construit en 1887 par le prestigieux facteur d'orgues parisien Aristide Cavaillé-Coll, fut accompagné en 1970 d'un plus petit orgue (incomplet), dans le fond de la nef.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> Les 600 œuvres de tapisserie qui ornent l'église, sont l'œuvre de membres et amis de la paroisse. Le long de l'allée centrale, des coussins brodés portent les fleurs officielles des 50 états américains.
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
Les 600 œuvres de tapisserie qui ornent l'église, sont l'œuvre de membres et amis de la paroisse. Le long de l'allée centrale, des coussins brodés portent les fleurs officielles des 50 états américains.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center>
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
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<center></center><center>Cathédrale Américaine de la sainte Trinité. </center> L'acteur dramatique John Edward Payne écrit
Cathédrale Américaine de la sainte Trinité.
L'acteur dramatique John Edward Payne écrit" Home sweet home" dans le palais royal en 1823.
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center> C'est un restaurant gastronomique de 1898, du Triangle d'or du quartier des Champs-Élysées, du 8e arrondissement de Paris.
La Fermette Marbeuf .
C'est un restaurant gastronomique de 1898, du Triangle d'or du quartier des Champs-Élysées, du 8e arrondissement de Paris.
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center>
La Fermette Marbeuf .
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center>Le décor nous transporte un siècle en arrière, lors de la
La Fermette Marbeuf .
Le décor nous transporte un siècle en arrière, lors de la "Belle Époque", avec ses douces lumières et ses céramiques de rêve.
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center>
La Fermette Marbeuf .
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center> Sa « salle 1900 » de style jardin d'hiver Belle Époque Art nouveau (avec plafond verrière, vitraux, fresques, céramiques, mosaïques, peintures murales, lustres, ameublement, objets de décoration...) est créée en 1898 par le jeune architecte de talent Émile Hurtré (avec les artisans d'art Hubert et Martineau et le céramiste Jules Wielhorski). C'était la salle à manger de l'hôtel Langham, rue Boccador.
La Fermette Marbeuf .
Sa « salle 1900 » de style jardin d'hiver Belle Époque Art nouveau (avec plafond verrière, vitraux, fresques, céramiques, mosaïques, peintures murales, lustres, ameublement, objets de décoration...) est créée en 1898 par le jeune architecte de talent Émile Hurtré (avec les artisans d'art Hubert et Martineau et le céramiste Jules Wielhorski). C'était la salle à manger de l'hôtel Langham, rue Boccador.
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center> Tombée dans un sommeil de l'oubli, 1978 constitue le retour à la vie de cette princesse endormie ; des ouvriers attaquent les murs d'une réserve d'un restaurant anonyme et une brèche ouverte laisse apparaître un authentique décor de l'Art Nouveau ayant subi les outrages du temps.
Il faudra attendre 1983 pour que la salle soit inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
La Fermette Marbeuf .
Tombée dans un sommeil de l'oubli, 1978 constitue le retour à la vie de cette princesse endormie ; des ouvriers attaquent les murs d'une réserve d'un restaurant anonyme et une brèche ouverte laisse apparaître un authentique décor de l'Art Nouveau ayant subi les outrages du temps. Il faudra attendre 1983 pour que la salle soit inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
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<center></center><center>La Fermette Marbeuf . </center> En Septembre 1982, un homme demande à voir la salle
La Fermette Marbeuf .
En Septembre 1982, un homme demande à voir la salle "1900" ; il l'a contemple en prenant son temps pour enfin déclarer : "c'est la même ". A Maison-Laffite sommeille au fond d'un parc, un jardin d'hiver au décor similaire qui fait l'objet d'une vente aux enchères. Comment résister au plaisir de réunir ces deux "sœurs". Le 20 novembre 1982, la vente est conclue ! Débutent alors de longs travaux méticuleux où les cinq mille carreaux seront démontés un par un grâce au plan de "calpinages". Il faudra des semaines pour décoller les vitraux de la verrière conçue en 1898 par Hubert et Martineau.
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<center></center><center>Rue Clément Marot. </center> Bow-window.
Rue Clément Marot.
Bow-window.
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<center></center><center>Rue Clément Marot. </center> Bow-window.
Rue Clément Marot.
Bow-window.
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<center>Théâtre des Champs Elysées</center>Près de cet emplacement existait un bal populaire, le bal Mabille. Au début du XXe, on décida de construire une salle de concert sur les Champs Elysées mais la mairie refusa. On choisit alors cet emplacement, en gardant dans le nom Champs Elysées. C'est un bâtiment construit en 1913 de style mixte art déco et classique abritant trois salles de spectacle : une grande salle à l’italienne de 1905 places, dédiée à l'opéra et à la musique ; une salle moyenne de 601 places (la Comédie) et une petite de 230 places (le Studio), toutes deux consacrées au théâtre.
Il était initialement prévu que la structure soit en acier, ce qui avait poussé son premier directeur, Gabriel Astruc, à choisir les architectes Henry Fivaz et Roger Bouvard. En 1910, Henry Van de Velde est appuyé à Bouvard. Van de Velde fait la connaissance d'Auguste Perret un an après ; c'est alors que la structure fut envisagée en béton.
Théâtre des Champs Elysées
Près de cet emplacement existait un bal populaire, le bal Mabille. Au début du XXe, on décida de construire une salle de concert sur les Champs Elysées mais la mairie refusa. On choisit alors cet emplacement, en gardant dans le nom Champs Elysées. C'est un bâtiment construit en 1913 de style mixte art déco et classique abritant trois salles de spectacle : une grande salle à l’italienne de 1905 places, dédiée à l'opéra et à la musique ; une salle moyenne de 601 places (la Comédie) et une petite de 230 places (le Studio), toutes deux consacrées au théâtre. Il était initialement prévu que la structure soit en acier, ce qui avait poussé son premier directeur, Gabriel Astruc, à choisir les architectes Henry Fivaz et Roger Bouvard. En 1910, Henry Van de Velde est appuyé à Bouvard. Van de Velde fait la connaissance d'Auguste Perret un an après ; c'est alors que la structure fut envisagée en béton.
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<center>Théâtre des Champs Elysées</center>Ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, Van de Velde fut finalement évincé du projet. Auguste Perret transigea un peu avec ses principes : s'il affirma ultérieurement que le « béton se suffit à lui même », il a ici habillé la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l'Allier.
En haut,  bas-reliefs en marbre blanc d'Antoine Bourdelle, 1910-12, Apollon et sa méditation entourée des 9 muses.
Théâtre des Champs Elysées
Ayant fait appel à l'entreprise Perret pour l'ossature en béton, Van de Velde fut finalement évincé du projet. Auguste Perret transigea un peu avec ses principes : s'il affirma ultérieurement que le « béton se suffit à lui même », il a ici habillé la façade de plaques de travertin et le cadre de scène de plaques de marbre de l'Allier. En haut, bas-reliefs en marbre blanc d'Antoine Bourdelle, 1910-12, Apollon et sa méditation entourée des 9 muses.
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<center>Théâtre des Champs Elysées</center>Bas-reliefs de Bourdelle représentant les genres théâtraux.
Théâtre des Champs Elysées
Bas-reliefs de Bourdelle représentant les genres théâtraux.
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<center>Théâtre des Champs Elysées</center>
Théâtre des Champs Elysées
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<center></center><center>Le Plaza Athéné. </center> Construit en deux campagnes entre 1902 et 1909, l'Hôtel Plaza-Athénée est un hôtel de luxe de huit étages, réalisé dans un style éclectique par les architectes Charles Lefèbvre et Louis Duhayon (auteurs de l'hôtel Claridge sur l'avenue des Champs-Élysées). À l'occasion d'un changement de propriétaire en 1933, l'hôtel est modernisé. Il ouvre de nouveau en 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé successivement par les commandements allemands puis américains. Il retrouvera son activité commerciale en 1946.
Le Plaza Athéné.
Construit en deux campagnes entre 1902 et 1909, l'Hôtel Plaza-Athénée est un hôtel de luxe de huit étages, réalisé dans un style éclectique par les architectes Charles Lefèbvre et Louis Duhayon (auteurs de l'hôtel Claridge sur l'avenue des Champs-Élysées). À l'occasion d'un changement de propriétaire en 1933, l'hôtel est modernisé. Il ouvre de nouveau en 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé successivement par les commandements allemands puis américains. Il retrouvera son activité commerciale en 1946.
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<center></center><center>Le Plaza Athéné. </center>
Le Plaza Athéné.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center> Elle s'appela allée des Soupirs vers 1720 et avenue verte vers 1750, puis allée de Veuves vers 1770 car on y rencontrait des femmes seules à la recherche d'une aventure galante en dehors de la ville. C'était un lieu mal éclairé et mal famé où l'on ne trouvait que quelques guinguettes louches. Ce n'est quand 1850, qu'elle prit son nom actuel. Lors de l'Exposition universelle de 1855, le Palais des Beaux-Arts, construit par l'architecte Hector-Martin Lefuel, est édifié avenue Montaigne. Des maisons élégantes commencent à se construire le long de l'avenue, qui change complètement de caractère et devient l'un des lieux à la mode du nouveau quartier des Champs-Élysées.
Avenue Montaigne.
Elle s'appela allée des Soupirs vers 1720 et avenue verte vers 1750, puis allée de Veuves vers 1770 car on y rencontrait des femmes seules à la recherche d'une aventure galante en dehors de la ville. C'était un lieu mal éclairé et mal famé où l'on ne trouvait que quelques guinguettes louches. Ce n'est quand 1850, qu'elle prit son nom actuel. Lors de l'Exposition universelle de 1855, le Palais des Beaux-Arts, construit par l'architecte Hector-Martin Lefuel, est édifié avenue Montaigne. Des maisons élégantes commencent à se construire le long de l'avenue, qui change complètement de caractère et devient l'un des lieux à la mode du nouveau quartier des Champs-Élysées.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center>
Avenue Montaigne.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center> L’avenue Montaigne présente des différences certaines avec l'avenue des Champs-Élysées toute proche : elle est moins animée et davantage tournée vers le luxe, en particulier vers la haute couture.
Avenue Montaigne.
L’avenue Montaigne présente des différences certaines avec l'avenue des Champs-Élysées toute proche : elle est moins animée et davantage tournée vers le luxe, en particulier vers la haute couture.
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Avenue Montaigne.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center> Hôtel de Millon d'Ailly de Verneuil. Hôtel particulier de trois étages, construit entre 1865 et 1868 pour la veuve d'Alexandre Colonna Walewski, fils naturel de Napoléon Ier, née Maria Anna Catherine Clarissa Cassandra Ricci (1823-1912). En 1946, avec l'appui de Marcel Boussac, Christian Dior y installe sa maison de couture
Avenue Montaigne.
Hôtel de Millon d'Ailly de Verneuil. Hôtel particulier de trois étages, construit entre 1865 et 1868 pour la veuve d'Alexandre Colonna Walewski, fils naturel de Napoléon Ier, née Maria Anna Catherine Clarissa Cassandra Ricci (1823-1912). En 1946, avec l'appui de Marcel Boussac, Christian Dior y installe sa maison de couture
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center> Paul Poiret, né à Paris le 20 avril 1879 et mort à Paris le 30 avril 1944, de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un grand couturier français, connu pour ses audaces. Il est considéré comme un précurseur du style Art déco. Sa marque commerciale est un turban très enveloppant orné d'une aigrette que sa femme, Denise, rend célèbre. Il ouvre sa maison de couture en septembre 1903 et habille Réjane, ce qui le lance. Il est le premier couturier, avec Madeleine Vionnet1, à supprimer le corset en 1906, en créant des robes taille haute. Il devient ainsi un pionnier de l'émancipation féminine.
Avenue Montaigne.
Paul Poiret, né à Paris le 20 avril 1879 et mort à Paris le 30 avril 1944, de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un grand couturier français, connu pour ses audaces. Il est considéré comme un précurseur du style Art déco. Sa marque commerciale est un turban très enveloppant orné d'une aigrette que sa femme, Denise, rend célèbre. Il ouvre sa maison de couture en septembre 1903 et habille Réjane, ce qui le lance. Il est le premier couturier, avec Madeleine Vionnet1, à supprimer le corset en 1906, en créant des robes taille haute. Il devient ainsi un pionnier de l'émancipation féminine.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center> Madeleine Vionnet, née à Chilleurs-aux-Bois le 22 juin 1876 et décédée à Paris le 2 mars 1975, est une grandes couturières françaises et une influence majeure de la mode du XXe siècle. Elle est l'inventrice de la coupe en biais et du drapé. La Maison de couture Vionnet est fondée à Paris en 1912 puis ouvre à New York en 1924.
Avenue Montaigne.
Madeleine Vionnet, née à Chilleurs-aux-Bois le 22 juin 1876 et décédée à Paris le 2 mars 1975, est une grandes couturières françaises et une influence majeure de la mode du XXe siècle. Elle est l'inventrice de la coupe en biais et du drapé. La Maison de couture Vionnet est fondée à Paris en 1912 puis ouvre à New York en 1924.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center>
Avenue Montaigne.
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<center></center><center>Avenue Montaigne. </center> Hôtel de Lariboisière (en 1910) : « Dans l'hôtel aux lignes harmonieuses de la comtesse de Lariboisière, femme du sénateur, on entendait de belles musiques dans un salon réputé pour être un centre de grande élégance. ».  Madeleine Vionnet installa en mars 1923 sa maison de couture dans cet hôtel particulier dont elle fit un lieu de grand luxe. Dans l'arrière-cour de l'hôtel, elle installa ses 850 ouvrières, réparties dans 28 ateliers, dans un immeuble de huit étages. L'hôtel abrite aujourd'hui une boutique Ralph Lauren.
Avenue Montaigne.
Hôtel de Lariboisière (en 1910) : « Dans l'hôtel aux lignes harmonieuses de la comtesse de Lariboisière, femme du sénateur, on entendait de belles musiques dans un salon réputé pour être un centre de grande élégance. ». Madeleine Vionnet installa en mars 1923 sa maison de couture dans cet hôtel particulier dont elle fit un lieu de grand luxe. Dans l'arrière-cour de l'hôtel, elle installa ses 850 ouvrières, réparties dans 28 ateliers, dans un immeuble de huit étages. L'hôtel abrite aujourd'hui une boutique Ralph Lauren.
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<center></center><center>Ancien hôtel Lehon.</center>Hôtel du Rond-point. Lehon été l'ambassadeur de Belgique. Sa femme était la maîtresse du duc de Morny. Née Fanny Mosselman (1808-1880), la comtesse Le Hon est la fille d’un riche banquier belge, François-Dominique Mosselmann. C’est l’une des femmes les plus en vue et les plus courtisée de son époque. Par sa fortune et ses relations, la comtesse Le Hon financera l’ascension politique de Morny.
Ancien hôtel Lehon.
Hôtel du Rond-point. Lehon été l'ambassadeur de Belgique. Sa femme était la maîtresse du duc de Morny. Née Fanny Mosselman (1808-1880), la comtesse Le Hon est la fille d’un riche banquier belge, François-Dominique Mosselmann. C’est l’une des femmes les plus en vue et les plus courtisée de son époque. Par sa fortune et ses relations, la comtesse Le Hon financera l’ascension politique de Morny.
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<center></center><center>Ancien hôtel Lehon.</center>Hôtel du Rond-point : Hôtel particulier construit en 1874 dans le style néo-Louis XV pour Félicie Sabatier d'Espeyran par l'architecte Henri Parent. Cette construction a fait disparaître – ou, du moins, rendu complètement méconnaissable – le somptueux hôtel que le duc de Morny avait fait construire dans les années 1840 dans le goût néo-Renaissance par les architectes Louis Moreau et Victor Lemaire pour sa maîtresse, la comtesse Le Hon (1808-1880).
Ancien hôtel Lehon.
Hôtel du Rond-point : Hôtel particulier construit en 1874 dans le style néo-Louis XV pour Félicie Sabatier d'Espeyran par l'architecte Henri Parent. Cette construction a fait disparaître – ou, du moins, rendu complètement méconnaissable – le somptueux hôtel que le duc de Morny avait fait construire dans les années 1840 dans le goût néo-Renaissance par les architectes Louis Moreau et Victor Lemaire pour sa maîtresse, la comtesse Le Hon (1808-1880).
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<center></center><center>Ancien hôtel Lehon.</center>Hôtel du Rond-point.
Ancien hôtel Lehon.
Hôtel du Rond-point.
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<center></center><center>Ancien hôtel Lehon.</center> Hôtel du Rond-point.
Ancien hôtel Lehon.
Hôtel du Rond-point.
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<center></center><center>Ancien hôtel de Morny.</center>
Ancien hôtel de Morny.
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<center></center><center>Ancien hôtel de Morny.</center>En juillet 1952, Marcel Dassault apprend que les deux immeubles des n° 7 et 9  sont mis en vente par la famille Sabatier d'Espeyran. Marcel Dassault souhaite disposer d'une vaste salle de réception, mais la désirant sans piliers, il est nécessaire d'effectuer des travaux neufs. Aussi rachète-t-il successivement, le long de l'avenue des Champs-Élysées, l'hôtel de Morny puis l'immeuble suivant, abritant une brasserie alsacienne, une agence de voyage et des bureaux. Il peut ainsi faire agrandir l'hôtel du Rond-Point en doublant la construction en longueur le long de l'avenue, en 1962. Cet agrandissement fait disparaître le petit hôtel que le duc de Morny avait fait construire pour lui-même (surnommé plaisamment à l'époque « la niche à Fidèle ») en 1844 et qui s'ouvrait sur les Champs-Élysées.
Ancien hôtel de Morny.
En juillet 1952, Marcel Dassault apprend que les deux immeubles des n° 7 et 9 sont mis en vente par la famille Sabatier d'Espeyran. Marcel Dassault souhaite disposer d'une vaste salle de réception, mais la désirant sans piliers, il est nécessaire d'effectuer des travaux neufs. Aussi rachète-t-il successivement, le long de l'avenue des Champs-Élysées, l'hôtel de Morny puis l'immeuble suivant, abritant une brasserie alsacienne, une agence de voyage et des bureaux. Il peut ainsi faire agrandir l'hôtel du Rond-Point en doublant la construction en longueur le long de l'avenue, en 1962. Cet agrandissement fait disparaître le petit hôtel que le duc de Morny avait fait construire pour lui-même (surnommé plaisamment à l'époque « la niche à Fidèle ») en 1844 et qui s'ouvrait sur les Champs-Élysées.
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<center></center><center>Champs Elysées</center>
Champs Elysées
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<center></center><center>Champs Elysées</center>Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
Champs Elysées
Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
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<center></center><center>Champs Elysées</center>Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
Champs Elysées
Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
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<center></center><center>Champs Elysées</center>Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
Champs Elysées
Intérieur du magasin Abercrombie & Fitch.
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<center></center><center>Hôtel de la Païva</center> La Païva fit appel à l'architecte Pierre Manguin pour construire l'hôtel dans le style de la renaissance italienne avec un jardin suspendu. Elle l'inaugura en 1866. Elle y reçut des gens célèbres : les Goncourt, Théophile Gautier, Gambetta, Renan, Taine... En 1882, soupçonnée d'espionnage, elle dut quitter la France et se retirer en Silésie où elle décéda deux ans plus tard. Les portes en bronze sculpté sont de Eugène Legrain.
Hôtel de la Païva
La Païva fit appel à l'architecte Pierre Manguin pour construire l'hôtel dans le style de la renaissance italienne avec un jardin suspendu. Elle l'inaugura en 1866. Elle y reçut des gens célèbres : les Goncourt, Théophile Gautier, Gambetta, Renan, Taine... En 1882, soupçonnée d'espionnage, elle dut quitter la France et se retirer en Silésie où elle décéda deux ans plus tard. Les portes en bronze sculpté sont de Eugène Legrain.
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<center></center><center>Hôtel de la Païva</center> Son mariage avec le marquis de Païva y Araujo - dont elle se débarrasse promptement - lui vaut un titre de noblesse. Sa liaison avec Guido Henckel von Donnersmarck, richissime propriétaire de mines en Silésie, cousin de Bismarck, lui procure une très confortable fortune et le titre de comtesse. C’est cette fortune qui lui permet de s’offrir sur les Champs-Elysées une demeure qu’elle souhaite aussi ostentatoire que possible, manifestant aux yeux de tous son incroyable réussite.
Hôtel de la Païva
Son mariage avec le marquis de Païva y Araujo - dont elle se débarrasse promptement - lui vaut un titre de noblesse. Sa liaison avec Guido Henckel von Donnersmarck, richissime propriétaire de mines en Silésie, cousin de Bismarck, lui procure une très confortable fortune et le titre de comtesse. C’est cette fortune qui lui permet de s’offrir sur les Champs-Elysées une demeure qu’elle souhaite aussi ostentatoire que possible, manifestant aux yeux de tous son incroyable réussite.
97
<center>La Défense</center>C’est véritablement dès le XVème siècle que ce qui va devenir « l’axe historique » voit le jour.
Les Bancs de la pyramide Noire, 1985, Emile Aillaud.
La Défense
C’est véritablement dès le XVème siècle que ce qui va devenir « l’axe historique » voit le jour. Les Bancs de la pyramide Noire, 1985, Emile Aillaud.
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<center>La Défense</center>Le Louvre est alors la résidence principale des Rois de France, ils aiment s’offrir des pauses champêtres au château de Saint-Germain en Laye. Pour en faciliter l’accès, une route directe est envisagée pour relier ces deux points. Le passage du fleuve à Neuilly, n’est plus un problème: la solution d’un bac a été adoptée. Après un accident malheureux, le 9 juin 1605, le roi Henri IV qui avait vu son carrosse tomber à l’eau chargea son intendant  Sully d’y bâtir un pont en bois. L’axe historique prend forme petit à petit et sous Louis XIV, il devient le lieu de passage obligé pour les cortèges royaux, qui après avoir franchi la Seine grimpent la petite colline de Chantecoq.
La Défense
Le Louvre est alors la résidence principale des Rois de France, ils aiment s’offrir des pauses champêtres au château de Saint-Germain en Laye. Pour en faciliter l’accès, une route directe est envisagée pour relier ces deux points. Le passage du fleuve à Neuilly, n’est plus un problème: la solution d’un bac a été adoptée. Après un accident malheureux, le 9 juin 1605, le roi Henri IV qui avait vu son carrosse tomber à l’eau chargea son intendant Sully d’y bâtir un pont en bois. L’axe historique prend forme petit à petit et sous Louis XIV, il devient le lieu de passage obligé pour les cortèges royaux, qui après avoir franchi la Seine grimpent la petite colline de Chantecoq.
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<center>La Défense</center>La statue de Napoléon Ier, installée sur la colonne Vendôme, sera déplacée en 1863 pour orner la place de la Demi-Lune, rebaptisée Rond-Point de l’Empereur. La guerre contre la Prusse exige de la mettre en sécurité dès 1870. Huit années passent, la guerre est terminée. Pour rendre hommage aux défenseurs de la capitale, le Conseil Général de la Seine décide d’organiser un concours pour choisir la sculpture qui symbolisera le mieux la défense de Paris. De grands noms de l’art y participent comme Gustave Doré ou Rodin, mais c’est l’artiste Louis Ernest Barrias (13 avril 1841 – 4 février 1905) qui séduira le jury par son  illustration. Le 12 août 1883, une foule immense, estimée à plus de 100 000 personnes, se masse pour assister à l’inauguration. Nommée « La Défense de Paris », la statue donne son nom au rond-point ainsi qu’à l’avenue qui rejoint le Pont de Neuilly. C’est ainsi que ce quartier prend le nom de « La Défense ». La construction de la station RER de La Défense fera disparaitre en 1971, de manière définitive, la place de La Défense et sa statue.
La Défense s'étend sur les communes de Puteaux, Courbevoie, Nanterre et La Garenne-Colombes.
La Défense
La statue de Napoléon Ier, installée sur la colonne Vendôme, sera déplacée en 1863 pour orner la place de la Demi-Lune, rebaptisée Rond-Point de l’Empereur. La guerre contre la Prusse exige de la mettre en sécurité dès 1870. Huit années passent, la guerre est terminée. Pour rendre hommage aux défenseurs de la capitale, le Conseil Général de la Seine décide d’organiser un concours pour choisir la sculpture qui symbolisera le mieux la défense de Paris. De grands noms de l’art y participent comme Gustave Doré ou Rodin, mais c’est l’artiste Louis Ernest Barrias (13 avril 1841 – 4 février 1905) qui séduira le jury par son illustration. Le 12 août 1883, une foule immense, estimée à plus de 100 000 personnes, se masse pour assister à l’inauguration. Nommée « La Défense de Paris », la statue donne son nom au rond-point ainsi qu’à l’avenue qui rejoint le Pont de Neuilly. C’est ainsi que ce quartier prend le nom de « La Défense ». La construction de la station RER de La Défense fera disparaitre en 1971, de manière définitive, la place de La Défense et sa statue. La Défense s'étend sur les communes de Puteaux, Courbevoie, Nanterre et La Garenne-Colombes.
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<center>La Défense</center>Inaugurée le 14 juillet 1989, jour du bicentenaire de la Révolution française, la Grande Arche est le monument emblématique du quartier d’affaires de La Défense. Les architectes sont  Johan Otto von Spreckelsen, puis Paul Andreu. Sa hauteur est de 110 m.
La Défense
Inaugurée le 14 juillet 1989, jour du bicentenaire de la Révolution française, la Grande Arche est le monument emblématique du quartier d’affaires de La Défense. Les architectes sont Johan Otto von Spreckelsen, puis Paul Andreu. Sa hauteur est de 110 m.
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<center>La Défense</center>
La Défense
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<center>La Défense</center>A gauche, la tour Areva (anciennement tour Fiat jusqu'en 1995, puis tour Framatome), CB1. Architectes : Roger Saubot, Francois Jullien.
La Défense
A gauche, la tour Areva (anciennement tour Fiat jusqu'en 1995, puis tour Framatome), CB1. Architectes : Roger Saubot, Francois Jullien.
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<center>La Défense</center>La Grane arche est construite sur l’axe historique de Paris et offre une perspective unique sur l’Arc de triomphe, l’obélisque de la place de la Concorde et le Musée du Louvre.
La Défense
La Grane arche est construite sur l’axe historique de Paris et offre une perspective unique sur l’Arc de triomphe, l’obélisque de la place de la Concorde et le Musée du Louvre.
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<center>La Défense</center>Le CNIT. Trois architectes Robert Camelot, Jean de Mailly et  Bernard Zehrfuss, surnommés « les Rois Mages », conçoivent le CNIT (Centre National des Industries et des Techniques) bâtiment prenant la forme d’une voûte triangulaire de 218 mètres de côté et de 40 mètres de hauteur ayant uniquement trois points d’appui. Pier Luigi Nervi, architecte italien spécialiste des ossatures en béton aidera les trois architectes dans leur ouvrage. A leurs côtés, l’ingénieur Nicolas Esquillan, de l’entreprise Boussiron, mettra en œuvre la solution retenue d’une double coque de béton. Rapportée à son échelle, la voûte est 20 fois plus mince qu’une coquille d’œuf. Le permis de construire est déposé dès 1954 par Emmanuel Pouvreau.
La Défense
Le CNIT. Trois architectes Robert Camelot, Jean de Mailly et Bernard Zehrfuss, surnommés « les Rois Mages », conçoivent le CNIT (Centre National des Industries et des Techniques) bâtiment prenant la forme d’une voûte triangulaire de 218 mètres de côté et de 40 mètres de hauteur ayant uniquement trois points d’appui. Pier Luigi Nervi, architecte italien spécialiste des ossatures en béton aidera les trois architectes dans leur ouvrage. A leurs côtés, l’ingénieur Nicolas Esquillan, de l’entreprise Boussiron, mettra en œuvre la solution retenue d’une double coque de béton. Rapportée à son échelle, la voûte est 20 fois plus mince qu’une coquille d’œuf. Le permis de construire est déposé dès 1954 par Emmanuel Pouvreau.
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<center>La Défense</center>Médaillon réalisé par Paul Belmondo, en hommage à Emmanuel Pouvreau, industriel et fondateur du CNIT.
La Défense
Médaillon réalisé par Paul Belmondo, en hommage à Emmanuel Pouvreau, industriel et fondateur du CNIT.
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<center>La Défense</center>Esso fut la première compagnie à miser sur le quartier de La Défense pour  regrouper ses activités et ses 1 550 collaborateurs en 1963. Ce sera le premier immeuble détruit en 1993.  L’EPAD (Etablissement Public d’Aménagement de la région de La Défense) donne des noms de code à chaque bâtiment construit. Le principe est simple : La première lettre de la commune sur laquelle le bâtiment est implanté ;  la seconde lettre indiquant l’usage du bâtiment et enfin son numéro de parcelle. Ainsi la tour Nobel prend le nom PB 31 (P pour Puteaux, B pour Bureaux et 31 pour le numéro de parcelle). La tour Nobel sera la première à sortir de terre. Elle fut conçue par le promoteur français SEMIIC et les architectes Jean de Mailly et Jacques Depussé qui s’inspirent de la tour S.C. Johnson Research construite par Frank Lloyd Wright en 1950. L’ingénieur Jean Prouvé conçut la façade de verre du bâtiment.
La seconde tour à émerger sera la tour Aquitaine (devenue AIG, puis Chartis et Tour Blanche suite à  sa rénovation de 2012-2013) conçue  par les frères Xavier et Luc Arsène-Henry et Bernard Schoeller pour le compte du groupe Aquitaine, en 1967. Trois autres tours seront livrées cette même année.
La Défense
Esso fut la première compagnie à miser sur le quartier de La Défense pour regrouper ses activités et ses 1 550 collaborateurs en 1963. Ce sera le premier immeuble détruit en 1993. L’EPAD (Etablissement Public d’Aménagement de la région de La Défense) donne des noms de code à chaque bâtiment construit. Le principe est simple : La première lettre de la commune sur laquelle le bâtiment est implanté ; la seconde lettre indiquant l’usage du bâtiment et enfin son numéro de parcelle. Ainsi la tour Nobel prend le nom PB 31 (P pour Puteaux, B pour Bureaux et 31 pour le numéro de parcelle). La tour Nobel sera la première à sortir de terre. Elle fut conçue par le promoteur français SEMIIC et les architectes Jean de Mailly et Jacques Depussé qui s’inspirent de la tour S.C. Johnson Research construite par Frank Lloyd Wright en 1950. L’ingénieur Jean Prouvé conçut la façade de verre du bâtiment. La seconde tour à émerger sera la tour Aquitaine (devenue AIG, puis Chartis et Tour Blanche suite à sa rénovation de 2012-2013) conçue par les frères Xavier et Luc Arsène-Henry et Bernard Schoeller pour le compte du groupe Aquitaine, en 1967. Trois autres tours seront livrées cette même année.
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<center>La Défense</center>Tour esplanade, construite en 1990 par les architectes Nicolas Ayoub, Michel Andrault et Pierre Parat.
Le Pouce de César.
La Défense
Tour esplanade, construite en 1990 par les architectes Nicolas Ayoub, Michel Andrault et Pierre Parat. Le Pouce de César.
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<center>La Défense</center>L'Araignée Rouge de Calder.
La Défense
L'Araignée Rouge de Calder.
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<center>La Défense</center>En 1976, Calder monte « Le Calder de La Défense » ou « l'Araignée Rouge » sur la place de La Défense.
La Défense
En 1976, Calder monte « Le Calder de La Défense » ou « l'Araignée Rouge » sur la place de La Défense.
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<center>La Défense</center>
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<center>La Défense</center>
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<center>La Défense</center>Le corbeau noir sur l'araignée rouge.
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Le corbeau noir sur l'araignée rouge.
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<center><center>La Défense</center></center><center>La Défense</center>Le quartier s'étend sur une vaste dalle piétonne de 31 hectares surélevée par rapport au sol naturel. Les Ponts et Chaussées imaginent d’enterrer le trafic routier régional et des longues distances. Cette proposition s’inspire d’une idée de Léonard de Vinci, consignée dans la Charte d’Athènes pour la restauration des Monuments Historiques, exhumée par Le Corbusier lors du concours de 1926 pour l’aménagement de la Porte Maillot. Il y est question de déployer une ville surdeux niveaux : le « Commoditas », comportant dessertes, parkings et aires de livraison, enfoui sous le « Voluptas », dédié aux piétons et aux bâtiments. L’idée de la dalle est là.
La première génération de tours date de 1966, la deuxième de 1970 (la hauteur n'est plus limitée à 100 m). Puis c'est la crise. La troisième génération verra le jour en 1980. De nouvelles tours, appelées Tour T1 (185 mètres) des architectes Valode et Pistre et Tour Granite (184 mètres) par Christian de Portzamparc ont été achevées en 2008. La plus grande tour est la Tour First (231 mètres), qui est aussi le plus haut gratte-ciel de France.
La Défense
La Défense
Le quartier s'étend sur une vaste dalle piétonne de 31 hectares surélevée par rapport au sol naturel. Les Ponts et Chaussées imaginent d’enterrer le trafic routier régional et des longues distances. Cette proposition s’inspire d’une idée de Léonard de Vinci, consignée dans la Charte d’Athènes pour la restauration des Monuments Historiques, exhumée par Le Corbusier lors du concours de 1926 pour l’aménagement de la Porte Maillot. Il y est question de déployer une ville surdeux niveaux : le « Commoditas », comportant dessertes, parkings et aires de livraison, enfoui sous le « Voluptas », dédié aux piétons et aux bâtiments. L’idée de la dalle est là. La première génération de tours date de 1966, la deuxième de 1970 (la hauteur n'est plus limitée à 100 m). Puis c'est la crise. La troisième génération verra le jour en 1980. De nouvelles tours, appelées Tour T1 (185 mètres) des architectes Valode et Pistre et Tour Granite (184 mètres) par Christian de Portzamparc ont été achevées en 2008. La plus grande tour est la Tour First (231 mètres), qui est aussi le plus haut gratte-ciel de France.
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<center>La Défense</center>La même année que l'Araignée de Calder, « Deux Personnages Fantastiques » de Miro prend place face à ce qui deviendra cinq ans plus tard le centre commercial des Quatre Temps.
La Défense
La même année que l'Araignée de Calder, « Deux Personnages Fantastiques » de Miro prend place face à ce qui deviendra cinq ans plus tard le centre commercial des Quatre Temps.
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<center>La Défense</center>La tour EDF (PB6) construite en 2001 mesure 165 m de haut. Ses architectes sont Pei Cobb Freed & Partners, Roger Saubot et Jean Rouit.
La Défense
La tour EDF (PB6) construite en 2001 mesure 165 m de haut. Ses architectes sont Pei Cobb Freed & Partners, Roger Saubot et Jean Rouit.
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<center>La Défense</center>
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<center>La Défense</center>
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<center>La Défense</center>Après presque 20 ans d’absence, la Statue de La Défense signée de l’artiste Barrias est de retour en 1983. Elle retrouve quasiment sa place au mètre près. Si elle n’est plus au centre du Rond-point de La Défense – qui n’existe plus – elle est désormais dans le patio situé entre la Place de La Défense et l’Esplanade.
La Défense
Après presque 20 ans d’absence, la Statue de La Défense signée de l’artiste Barrias est de retour en 1983. Elle retrouve quasiment sa place au mètre près. Si elle n’est plus au centre du Rond-point de La Défense – qui n’existe plus – elle est désormais dans le patio situé entre la Place de La Défense et l’Esplanade.
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<center>La Défense</center>Dame lune, 1977, Silva.
La Défense
Dame lune, 1977, Silva.
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<center>La Défense</center>Cœur Défense est un complexe de bureaux. Les deux tours, mesurant 161 m de haut, sont étroites (24 m de large) et arrondies à chacune de leurs extrémités. Reliées sur toute leur hauteur (des tours siamoises, en quelque sorte), elles sont décalées l'une par rapport à l'autre ; combiné à leur faible largeur, ce point permet d'illuminer facilement les bureaux. Les façades sont parsemées de stores s'abaissant automatiquement selon la luminosité extérieure, leur apportant une très grande variété et une esthétique originale. L'architecte est Jean-Paul Viguier.
La Défense
Cœur Défense est un complexe de bureaux. Les deux tours, mesurant 161 m de haut, sont étroites (24 m de large) et arrondies à chacune de leurs extrémités. Reliées sur toute leur hauteur (des tours siamoises, en quelque sorte), elles sont décalées l'une par rapport à l'autre ; combiné à leur faible largeur, ce point permet d'illuminer facilement les bureaux. Les façades sont parsemées de stores s'abaissant automatiquement selon la luminosité extérieure, leur apportant une très grande variété et une esthétique originale. L'architecte est Jean-Paul Viguier.
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<center>La Défense</center>La tour Carpe Diem. L'architecte de ce projet est Robert A. M. Stern surpassant Jacques Ferrier et Norman Foster lors du concours.
La Tour Europe, construite en 1969, Architectes : Delb, Chesneau & Verola.
La Défense
La tour Carpe Diem. L'architecte de ce projet est Robert A. M. Stern surpassant Jacques Ferrier et Norman Foster lors du concours. La Tour Europe, construite en 1969, Architectes : Delb, Chesneau & Verola.
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<center>La Défense</center>A droite, la tour Ariane. Architectes : Jean de Mailly, Robert Zammit.
La Défense
A droite, la tour Ariane. Architectes : Jean de Mailly, Robert Zammit.
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<center>La Défense</center>La Danse de Shelomo Selinger, un ensemble de 35 jardinières sculptées, étendu sur les 3 600 m² de la place Basse de l'Esplanade Charles-de-Gaulle.
La Défense
La Danse de Shelomo Selinger, un ensemble de 35 jardinières sculptées, étendu sur les 3 600 m² de la place Basse de l'Esplanade Charles-de-Gaulle.
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<center>La Défense</center>La Danse de Shelomo Selinger, un ensemble de 35 jardinières sculptées, étendu sur les 3 600 m² de la place Basse de l'Esplanade Charles-de-Gaulle.
La Défense
La Danse de Shelomo Selinger, un ensemble de 35 jardinières sculptées, étendu sur les 3 600 m² de la place Basse de l'Esplanade Charles-de-Gaulle.
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<center>La Défense</center>La tour CB2, ancienne tour Gan de 1974 à 2009. Architectes : Harrison & Abramovitz, J. P. Bisseuil. Son plan prend la forme d'une croix grecque.
La Défense
La tour CB2, ancienne tour Gan de 1974 à 2009. Architectes : Harrison & Abramovitz, J. P. Bisseuil. Son plan prend la forme d'une croix grecque.
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<center>La Défense</center>La Cheminée de Raymond Moretti haute de 32 mètres et constituée de centaines de tubes colorés.
La Défense
La Cheminée de Raymond Moretti haute de 32 mètres et constituée de centaines de tubes colorés.
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<center>La Défense</center>La Cheminée de Raymond Moretti haute de 32 mètres et constituée de centaines de tubes colorés.
La Défense
La Cheminée de Raymond Moretti haute de 32 mètres et constituée de centaines de tubes colorés.
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<center>La Défense</center>Au premier plan, La tour Aurore CB17. Architectes : Claude Damery, Pierre Vetter, Gilbert Weil.
Au fond, la tour Sogeprom D2, Atelier d’Architecture Anthony BECHU, Tom Sheehan.
La Défense
Au premier plan, La tour Aurore CB17. Architectes : Claude Damery, Pierre Vetter, Gilbert Weil. Au fond, la tour Sogeprom D2, Atelier d’Architecture Anthony BECHU, Tom Sheehan.
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<center>La Défense</center>La tour First, également appelée tour CB31. Construite initialement en 1974, la tour a été transformée en 2007-2011. La transformation a porté sa hauteur à 231 mètres, ce qui en fait le plus haut gratte-ciel de France. La tour initiale, conçue par l'architecte Pierre Dufau, fut construite en 1974. Sa transformation est due au cabinet d'architectes américain Kohn Pedersen Fox Associates,.
La Défense
La tour First, également appelée tour CB31. Construite initialement en 1974, la tour a été transformée en 2007-2011. La transformation a porté sa hauteur à 231 mètres, ce qui en fait le plus haut gratte-ciel de France. La tour initiale, conçue par l'architecte Pierre Dufau, fut construite en 1974. Sa transformation est due au cabinet d'architectes américain Kohn Pedersen Fox Associates,.
135
<center>La Défense</center>Le Bassin ou Sculpture lumineuse de Takis, piqueté de 49 signaux lumineux énigmatiques fermant la dalle vers l'Est (qui ont leur pendant à l'ouest de la Grande Arche).
La Défense
Le Bassin ou Sculpture lumineuse de Takis, piqueté de 49 signaux lumineux énigmatiques fermant la dalle vers l'Est (qui ont leur pendant à l'ouest de la Grande Arche).
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<center>La Défense</center>Le Bassin ou Sculpture lumineuse de Takis, piqueté de 49 signaux lumineux énigmatiques fermant la dalle vers l'Est (qui ont leur pendant à l'ouest de la Grande Arche).
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Le Bassin ou Sculpture lumineuse de Takis, piqueté de 49 signaux lumineux énigmatiques fermant la dalle vers l'Est (qui ont leur pendant à l'ouest de la Grande Arche).
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<center>La Défense</center>
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<center>La Défense</center>Le Somnambule, 1983, De Miller.
La Défense
Le Somnambule, 1983, De Miller.
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<center>La Défense</center>Le Somnambule, 1983, De Miller.
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Le Somnambule, 1983, De Miller.
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<center>La Défense</center>Le Somnambule, 1983, De Miller.
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Le Somnambule, 1983, De Miller.
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<center>La Défense</center>
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<center>La Défense</center>La tour Total Coupole  CB2, construite en 1985. Architectes : WZMH Architects, Roger Saubot
François Jullien. Elle est composée de 5 tours accolées les unes aux autres.
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La tour Total Coupole CB2, construite en 1985. Architectes : WZMH Architects, Roger Saubot François Jullien. Elle est composée de 5 tours accolées les unes aux autres.
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<center>La Défense</center>L’Eglise Notre Dame de Pentecôte. La construction de cette maison d’Église a été voulue par François Favreau, évêque de Nanterre. C’est l’architecte Franck Hammoutène qui en assure la conception tandis que les travaux sont réalisés par l’entreprise Fougerolles. Les travaux de Notre-Dame de Pentecôte débutent véritablement le 25 mars 1998 avec la pose de la première pierre. Le bâtiment sera inauguré le 7 janvier 2001, ce qui en fait la première église du troisième millénaire en France.
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L’Eglise Notre Dame de Pentecôte. La construction de cette maison d’Église a été voulue par François Favreau, évêque de Nanterre. C’est l’architecte Franck Hammoutène qui en assure la conception tandis que les travaux sont réalisés par l’entreprise Fougerolles. Les travaux de Notre-Dame de Pentecôte débutent véritablement le 25 mars 1998 avec la pose de la première pierre. Le bâtiment sera inauguré le 7 janvier 2001, ce qui en fait la première église du troisième millénaire en France.
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