Paris 2013

Notre-Dame-de-Paris.

<center>Notre-Dame-de-Paris.</center>La façade a été commencée sous l’épiscopat d’Eudes de Sully à partir de 1200 par le troisième architecte et poursuivie sous ses successeurs, notamment Guillaume d’Auvergne, après 1220 par le quatrième. La tour Nord est achevée en 1240 et celle du Sud en 1250.
Notre-Dame-de-Paris.
La façade a été commencée sous l’épiscopat d’Eudes de Sully à partir de 1200 par le troisième architecte et poursuivie sous ses successeurs, notamment Guillaume d’Auvergne, après 1220 par le quatrième. La tour Nord est achevée en 1240 et celle du Sud en 1250.
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<center>Notre-Dame-de-Paris.</center>Sur cette façade, 28 statues représentent les rois de Juda et d’israël, ancêtres du Christ. Au-dessus de ces personnages, de part et d’autres de la façade, on trouve les statues d’Adam et Eve. Ces statues ont été refaites par Viollet-le-Duc au XIXe siècle.
Notre-Dame-de-Paris.
Sur cette façade, 28 statues représentent les rois de Juda et d’israël, ancêtres du Christ. Au-dessus de ces personnages, de part et d’autres de la façade, on trouve les statues d’Adam et Eve. Ces statues ont été refaites par Viollet-le-Duc au XIXe siècle.
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<center>Notre-Dame-de-Paris.</center>La rose, large de 9,60 m, la plus grande à l'époque (1220-1225), est flanquée de doubles fenêtres. Une belle galerie à jour faite d'arcatures relie les deux tours qui n'ont pas reçues les flèches prévues.
Notre-Dame-de-Paris.
La rose, large de 9,60 m, la plus grande à l'époque (1220-1225), est flanquée de doubles fenêtres. Une belle galerie à jour faite d'arcatures relie les deux tours qui n'ont pas reçues les flèches prévues.
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<center>Notre-Dame-de-Paris.</center>Au centre, une grande rose, dont le diamètre mesure presque 10 mètres, forme une auréole à la statue de la Vierge Marie qui est encadrée par deux anges et nous présente son enfant, Jésus, le Fils de Dieu.
Notre-Dame-de-Paris.
Au centre, une grande rose, dont le diamètre mesure presque 10 mètres, forme une auréole à la statue de la Vierge Marie qui est encadrée par deux anges et nous présente son enfant, Jésus, le Fils de Dieu.
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<center>Notre-Dame-de-Paris.</center> La tour sud, à gauche, abrite le bourdon Emmanuel de 13 tonnes, de 1686 et épargné par la révolution. Un nouveau bourdon, Marie, lui a été adjoint, afin de l'économiser. Sa réalisation a été confiée à la fonderie Royal Rijsbouts, à Asten aux Pays-Bas en 2013. Dans la tour nord, depuis le 23 mars 2013, pour les 850 ans de Notre Dame, huit nouvelles cloches se font entendre. Elles ont été fondues par l'entreprise Cornille-Havard à Villedie-les-Poêles.
Notre-Dame-de-Paris.
La tour sud, à gauche, abrite le bourdon Emmanuel de 13 tonnes, de 1686 et épargné par la révolution. Un nouveau bourdon, Marie, lui a été adjoint, afin de l'économiser. Sa réalisation a été confiée à la fonderie Royal Rijsbouts, à Asten aux Pays-Bas en 2013. Dans la tour nord, depuis le 23 mars 2013, pour les 850 ans de Notre Dame, huit nouvelles cloches se font entendre. Elles ont été fondues par l'entreprise Cornille-Havard à Villedie-les-Poêles.
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<center>Notre-Dame-de-Paris.</center>Les trois grands portails ne sont pas tout à fait identiques. Le portail central, appelé portail du Jugement, est plus élevé et plus large que les deux autres, le portail Sainte-Anne (à droite ou au Sud) et le portail de la Vierge (à gauche ou au Nord). Celui-ci est surmonté d’un gâble triangulaire. Sur les piliers, à gauche, statue de saint Etienne, puis allégories de l'Eglise et de la Synagogue, et à droite, statue de st Denis.
Notre-Dame-de-Paris.
Les trois grands portails ne sont pas tout à fait identiques. Le portail central, appelé portail du Jugement, est plus élevé et plus large que les deux autres, le portail Sainte-Anne (à droite ou au Sud) et le portail de la Vierge (à gauche ou au Nord). Celui-ci est surmonté d’un gâble triangulaire. Sur les piliers, à gauche, statue de saint Etienne, puis allégories de l'Eglise et de la Synagogue, et à droite, statue de st Denis.
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<center>Façade de Notre-Dame-de-Paris. </center>Statue de saint Etienne.
Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Statue de saint Etienne.
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<center>Façade de Notre-Dame-de-Paris. </center>Allégorie de l'Eglise.
Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Allégorie de l'Eglise.
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<center>Façade de Notre-Dame-de-Paris. </center>Allégorie de la Synagogue.
Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Allégorie de la Synagogue.
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<center>Façade de Notre-Dame-de-Paris. </center>Statue de st Denis.
Façade de Notre-Dame-de-Paris.
Statue de st Denis.
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<center>Le portail de la Vierge. </center> Il retrace, selon la tradition de l’Eglise, la mort de Marie, sa montée au Paradis et son couronnement en tant que reine du Ciel. A droite, allégorie de l'Egise.
Le portail de la Vierge.
Il retrace, selon la tradition de l’Eglise, la mort de Marie, sa montée au Paradis et son couronnement en tant que reine du Ciel. A droite, allégorie de l'Egise.
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<center>Le portail de la Vierge.</center>Porte en bois aux ferrures de fer forgé du XIIIe siècle.
Le portail de la Vierge.
Porte en bois aux ferrures de fer forgé du XIIIe siècle.
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Au trumeau, la Vierge à l’Enfant.
Au trumeau, la Vierge à l’Enfant.
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<center>Le portail de la Vierge. </center> Au trumeau, la Vierge à l’Enfant. La dernière scène de ce bas-relief représente l’expulsion des premiers hommes hors du jardin d’Éden. Il s'agit du mythe expliquant le passage de la Nature à la Culture, (selon Lévy-Strauss) l'Homme quittant là le statut animal. Dieu avait averti le serpent que la femme serait dorénavant sa pire ennemie et lui écraserait la tête. Le fait d’avoir précisément placé cette scène sous les pieds de la Vierge Marie, elle qui réhabilite totalement la femme et est nommée
Le portail de la Vierge.
Au trumeau, la Vierge à l’Enfant. La dernière scène de ce bas-relief représente l’expulsion des premiers hommes hors du jardin d’Éden. Il s'agit du mythe expliquant le passage de la Nature à la Culture, (selon Lévy-Strauss) l'Homme quittant là le statut animal. Dieu avait averti le serpent que la femme serait dorénavant sa pire ennemie et lui écraserait la tête. Le fait d’avoir précisément placé cette scène sous les pieds de la Vierge Marie, elle qui réhabilite totalement la femme et est nommée "nouvelle Eve, est hautement symbolique.
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En bas, à gauche,les trois prophètes qui ont annoncé son destin glorieux et, à droite, les rois dont elle descend. Au-dessus, la Vierge Marie est représentée dans son dernier sommeil :au cours de sa dormition, en présence du Christ et des apôtres, elle a été enlevée au ciel.  Au-dessus encore, un ange couronne Marie tandis que le Christ, assis sur le même trône que sa mère, lui tend un sceptre. Dans la partie inférieure, au-dessus du trumeau, nous distinguons sous un dais représentant la Jérusalem Céleste un grand coffre : c’est l’Arche d’Alliance dont le contenu matérialisait autrefois la promesse faite par Dieu à son peuple.
En bas, à gauche,les trois prophètes qui ont annoncé son destin glorieux et, à droite, les rois dont elle descend. Au-dessus, la Vierge Marie est représentée dans son dernier sommeil :au cours de sa dormition, en présence du Christ et des apôtres, elle a été enlevée au ciel. Au-dessus encore, un ange couronne Marie tandis que le Christ, assis sur le même trône que sa mère, lui tend un sceptre. Dans la partie inférieure, au-dessus du trumeau, nous distinguons sous un dais représentant la Jérusalem Céleste un grand coffre : c’est l’Arche d’Alliance dont le contenu matérialisait autrefois la promesse faite par Dieu à son peuple.
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<center>Le portail de la Vierge.</center>En bas, à gauche,les trois prophètes qui ont annoncé son destin glorieux et, à droite, les rois dont elle descend. Au-dessus, la Vierge Marie est représentée dans son dernier sommeil :au cours de sa dormition, en présence du Christ et des apôtres, elle a été enlevée au ciel.  Au-dessus encore, un ange couronne Marie tandis que le Christ, assis sur le même trône que sa mère, lui tend un sceptre. Dans la partie inférieure, au-dessus du trumeau, nous distinguons sous un dais représentant la Jérusalem Céleste un grand coffre : c’est l’Arche d’Alliance dont le contenu matérialisait autrefois la promesse faite par Dieu à son peuple.
Le portail de la Vierge.
En bas, à gauche,les trois prophètes qui ont annoncé son destin glorieux et, à droite, les rois dont elle descend. Au-dessus, la Vierge Marie est représentée dans son dernier sommeil :au cours de sa dormition, en présence du Christ et des apôtres, elle a été enlevée au ciel. Au-dessus encore, un ange couronne Marie tandis que le Christ, assis sur le même trône que sa mère, lui tend un sceptre. Dans la partie inférieure, au-dessus du trumeau, nous distinguons sous un dais représentant la Jérusalem Céleste un grand coffre : c’est l’Arche d’Alliance dont le contenu matérialisait autrefois la promesse faite par Dieu à son peuple.
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A gauche, l’empereur Constantin, un ange, Saint Denis portant sa tête et encore un ange. Les piédroits des deux portes sont consacrés à la vie des hommes. On peut distinguer à gauche et à droite, d’une part les signes du Zodiaque représentant les douze mois de l’année, d’autre part les travaux des mois. Sur le trumeau central figurent à gauche les saisons, à droite les âges de la vie.
A gauche, l’empereur Constantin, un ange, Saint Denis portant sa tête et encore un ange. Les piédroits des deux portes sont consacrés à la vie des hommes. On peut distinguer à gauche et à droite, d’une part les signes du Zodiaque représentant les douze mois de l’année, d’autre part les travaux des mois. Sur le trumeau central figurent à gauche les saisons, à droite les âges de la vie.
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A droite, Saint Jean-Baptiste, Saint-Etienne, Sainte Geneviève et le Pape Saint Sylvestre. Saint Denis et Sainte Geneviève sont avec Saint Marcel les saints patrons de Paris.
A droite, Saint Jean-Baptiste, Saint-Etienne, Sainte Geneviève et le Pape Saint Sylvestre. Saint Denis et Sainte Geneviève sont avec Saint Marcel les saints patrons de Paris.
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<center>Portail du Jugement Dernier. </center> Le Portail du Jugement représente le Jugement Dernier tel qu’il est écrit dans l’Evangile de Saint Matthieu.
Portail du Jugement Dernier.
Le Portail du Jugement représente le Jugement Dernier tel qu’il est écrit dans l’Evangile de Saint Matthieu.
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<center>Portail du Jugement Dernier. </center> Le Christ est placé entre les deux portes sur un pilier central que l’on appelle le trumeau. C'est une des œuvres les plus remarquables d’Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume. À l’arrière, sur les portes, les pentures et leurs arabesques, sont une fort belle restitution du XIXe siècle.
Portail du Jugement Dernier.
Le Christ est placé entre les deux portes sur un pilier central que l’on appelle le trumeau. C'est une des œuvres les plus remarquables d’Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume. À l’arrière, sur les portes, les pentures et leurs arabesques, sont une fort belle restitution du XIXe siècle.
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<center>Portail du Jugement Dernier.</center> Au linteau inférieur, les morts ressuscitent et sortent de leur tombe. Juste au-dessus, au linteau supérieur, l’archange Michel pèse leur âme et, suivant la vie qu’ils ont menée sur la terre et l’amour qu’ils ont manifesté envers Dieu et les hommes, les élus sont conduits à gauche vers le Paradis (à la droite du Christ) tandis que les damnés sont menés par un diable vers l’enfer à droite.
Cependant le Christ au tympan, majestueusement assis sur son trône de gloire, montre les plaies de ses mains et de son flanc tandis que les deux anges qui l’entourent portent respectueusement les instruments de la Passion : celui de gauche la lance et les clous de la Croix, celui de droite la Croix elle-même. De chaque coté, Marie et Jean l’Evangéliste sont placés ici comme au pied de la Croix le jour de sa Crucifixion.
Portail du Jugement Dernier.
Au linteau inférieur, les morts ressuscitent et sortent de leur tombe. Juste au-dessus, au linteau supérieur, l’archange Michel pèse leur âme et, suivant la vie qu’ils ont menée sur la terre et l’amour qu’ils ont manifesté envers Dieu et les hommes, les élus sont conduits à gauche vers le Paradis (à la droite du Christ) tandis que les damnés sont menés par un diable vers l’enfer à droite. Cependant le Christ au tympan, majestueusement assis sur son trône de gloire, montre les plaies de ses mains et de son flanc tandis que les deux anges qui l’entourent portent respectueusement les instruments de la Passion : celui de gauche la lance et les clous de la Croix, celui de droite la Croix elle-même. De chaque coté, Marie et Jean l’Evangéliste sont placés ici comme au pied de la Croix le jour de sa Crucifixion.
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<center>Portail du Jugement Dernier. </center> Au-dessus, comme dans les autres portails, les voussures sont occupées par la cour céleste (anges, patriarches, prophètes, docteurs de l’Eglise, martyrs et vierges) et l’on peut remarquer la place très réduite prise sur l’enfer tout à fait à droite. A gauche, en bas de la deuxième voussure,  Abraham tenant des âmes dans un repli de son manteau.
Portail du Jugement Dernier.
Au-dessus, comme dans les autres portails, les voussures sont occupées par la cour céleste (anges, patriarches, prophètes, docteurs de l’Eglise, martyrs et vierges) et l’on peut remarquer la place très réduite prise sur l’enfer tout à fait à droite. A gauche, en bas de la deuxième voussure, Abraham tenant des âmes dans un repli de son manteau.
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<center>Portail du Jugement Dernier. </center> De chaque coté, les statues des douze apôtres. A gauche, Barthélemy, Simon, Jacques le Mineur, André, Jean et Pierre. Au pied des douze apôtres, des médaillons représentant les vertus et les vices qui leur sont opposés.
Portail du Jugement Dernier.
De chaque coté, les statues des douze apôtres. A gauche, Barthélemy, Simon, Jacques le Mineur, André, Jean et Pierre. Au pied des douze apôtres, des médaillons représentant les vertus et les vices qui leur sont opposés.
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<center>Portail du Jugement Dernier. </center> A droite, Paul, Jacques le Majeur, Thomas, Philippe, Jude et Matthieu
Portail du Jugement Dernier.
A droite, Paul, Jacques le Majeur, Thomas, Philippe, Jude et Matthieu
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<center>Portail du Jugement Dernier.</center> Représentation de l’enfer au bas des  voussures de droite : remarquez sur la cinquième voussure le diable couronné et grassouillet écrasant trois damnés : un riche, un évêque et un roi.
Portail du Jugement Dernier.
Représentation de l’enfer au bas des voussures de droite : remarquez sur la cinquième voussure le diable couronné et grassouillet écrasant trois damnés : un riche, un évêque et un roi.
25
<center>Portail sainte Anne. </center> Son tympan est le remploi d’un tympan précédent fait une cinquantaine d’années plus tôt pour la cathédrale précédente (l’ancienne cathédrale Saint-Etienne). Dans les niches, les deux statues sont, à droite, saint Denis et à gauche, la Synagogue.
Portail sainte Anne.
Son tympan est le remploi d’un tympan précédent fait une cinquantaine d’années plus tôt pour la cathédrale précédente (l’ancienne cathédrale Saint-Etienne). Dans les niches, les deux statues sont, à droite, saint Denis et à gauche, la Synagogue.
26
<center>Portail sainte Anne. </center> Sous un dais et sur un trône,  une Vierge à l’Enfant encore de style roman, porte une couronne et un sceptre et serre sur ses genoux son fils qui tient le Livre de la Loi. Elle nous regarde et nous montre l’Enfant qui nous bénit. De part et d’autre du trône se trouvent un ange puis à gauche un évêque de Paris et peut-être son trésorier, à droite un roi de France. L’évêque pourrait être Saint Germain et le roi Childebert, mais aucun de ces trois derniers personnages n’a pu être identifié avec certitude. Le mariage de Joachim et d’Anne et celui de Marie et de Joseph sont représentés dans le linteau inférieur, tandis qu’au linteau supérieur figurent les scènes de la venue sur terre du Christ, allant de l’Annonciation jusqu’à l’Epiphanie.
Portail sainte Anne.
Sous un dais et sur un trône, une Vierge à l’Enfant encore de style roman, porte une couronne et un sceptre et serre sur ses genoux son fils qui tient le Livre de la Loi. Elle nous regarde et nous montre l’Enfant qui nous bénit. De part et d’autre du trône se trouvent un ange puis à gauche un évêque de Paris et peut-être son trésorier, à droite un roi de France. L’évêque pourrait être Saint Germain et le roi Childebert, mais aucun de ces trois derniers personnages n’a pu être identifié avec certitude. Le mariage de Joachim et d’Anne et celui de Marie et de Joseph sont représentés dans le linteau inférieur, tandis qu’au linteau supérieur figurent les scènes de la venue sur terre du Christ, allant de l’Annonciation jusqu’à l’Epiphanie.
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<center>Portail sainte Anne. </center> Au trumeau, Saint Marcel, évêque de Paris au Ve siècle, qui écrase un dragon symbolisant les fléaux dont son diocèse était alors affligé.
Portail sainte Anne.
Au trumeau, Saint Marcel, évêque de Paris au Ve siècle, qui écrase un dragon symbolisant les fléaux dont son diocèse était alors affligé.
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<center>Portail sainte Anne. </center> A gauche,  Élie, la veuve de Sarepta, Salomon et saint Pierre.
Portail sainte Anne.
A gauche, Élie, la veuve de Sarepta, Salomon et saint Pierre.
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<center>Portail sainte Anne. </center> A droite, Saint Paul, le roi David,  la sibylle (Les sibylles, « prophètes » du Christ) et Isaïe.
Portail sainte Anne.
A droite, Saint Paul, le roi David, la sibylle (Les sibylles, « prophètes » du Christ) et Isaïe.
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<center>La nef.</center> La nef se compose d’une sorte d’« avant-nef » ou narthex de deux travées situées sous et entre les tours, suivies de huit autres travées. Le vaisseau central d’une largeur de 12 mètres entre les axes des colonnes est bordé de deux collatéraux à voûtes quadripartites tant au nord qu’au sud. Deux rangées de sept chapelles latérales, construites entre les arcs-boutants du vaisseau s’ouvrent, de la quatrième à la dixième travée, sur les collatéraux extérieurs.
La nef.
La nef se compose d’une sorte d’« avant-nef » ou narthex de deux travées situées sous et entre les tours, suivies de huit autres travées. Le vaisseau central d’une largeur de 12 mètres entre les axes des colonnes est bordé de deux collatéraux à voûtes quadripartites tant au nord qu’au sud. Deux rangées de sept chapelles latérales, construites entre les arcs-boutants du vaisseau s’ouvrent, de la quatrième à la dixième travée, sur les collatéraux extérieurs.
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<center>La nef.</center> Les voûtes sont sexpartites (une croisée pour deux travées) avec retombées d'arcs une pile sur deux.
La nef.
Les voûtes sont sexpartites (une croisée pour deux travées) avec retombées d'arcs une pile sur deux.
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<center>La nef.</center> Clef de voûte.
La nef.
Clef de voûte.
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<center>La nef.</center>
La nef.
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<center>Le transept. </center>
Le transept.
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<center>Bas-côté. </center> Chapelles latérales sud.
Bas-côté.
Chapelles latérales sud.
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<center>Chapelle saint Joseph. </center>Statue de Saint-Joseph et de l'enfant Jésus, 1865, sculpteur Adolphe-Victor-Geoffroy Dechaume. Autel et confessionnal d'après les dessins de Viollet-le-Duc, 1860.
Chapelle saint Joseph.
Statue de Saint-Joseph et de l'enfant Jésus, 1865, sculpteur Adolphe-Victor-Geoffroy Dechaume. Autel et confessionnal d'après les dessins de Viollet-le-Duc, 1860.
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<center>Chapelle Saint Pierre. </center>
Chapelle Saint Pierre.
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<center>Chapelle Saint Pierre. </center>
Chapelle Saint Pierre.
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Les stalles en bois sculpté sont installées des deux côtés du chœur. Il y en avait 114. Il en reste 78, dont 52 hautes et 26 basses. Elles ont été réalisées au début du XVIIIe siècle par Jean Noël et Louis Marteau d’après les plans de René Charpentier et Jean Dugoulon. Les hauts dossiers des stalles sont ornés de bas-reliefs et séparés par des trumeaux décorés de rinceaux et des instruments de la Passion. De chaque côté, les stalles se terminent par une stalle archiépiscopale, surmontée d'un baldaquin avec des groupes d’anges sculptés par Dugoulon. L’une de ces deux stalles est réservée à l’archevêque, l’autre étant destinée à un hôte important. Le bas-relief de la stalle de droite représente le martyre de saint Denis, celui de gauche la guérison de Childebert Ier par saint Germain, évêque de Paris.
Les stalles en bois sculpté sont installées des deux côtés du chœur. Il y en avait 114. Il en reste 78, dont 52 hautes et 26 basses. Elles ont été réalisées au début du XVIIIe siècle par Jean Noël et Louis Marteau d’après les plans de René Charpentier et Jean Dugoulon. Les hauts dossiers des stalles sont ornés de bas-reliefs et séparés par des trumeaux décorés de rinceaux et des instruments de la Passion. De chaque côté, les stalles se terminent par une stalle archiépiscopale, surmontée d'un baldaquin avec des groupes d’anges sculptés par Dugoulon. L’une de ces deux stalles est réservée à l’archevêque, l’autre étant destinée à un hôte important. Le bas-relief de la stalle de droite représente le martyre de saint Denis, celui de gauche la guérison de Childebert Ier par saint Germain, évêque de Paris.
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<center>Le choeur. </center> Les hauts dossiers des stalles sont ornés de bas-reliefs représentant des scènes de la vie de la vierge et du Christ et des figures allégoriques, et séparés par des trumeaux décorés de rinceaux et des instruments de la Passion.
Le choeur.
Les hauts dossiers des stalles sont ornés de bas-reliefs représentant des scènes de la vie de la vierge et du Christ et des figures allégoriques, et séparés par des trumeaux décorés de rinceaux et des instruments de la Passion.
43
<center>Statue dite Notre Dame de Paris.  </center> Elle date du XIVe siècle et provient de la chapelle Saint-Aignan située dans l'ancien cloître des Chanoines de l'Île de la Cité. Elle fut transférée à Notre-Dame en 1818 et placée d'abord au trumeau du Portail de la Vierge en remplacement de la Vierge du XIIIe siècle mutilée en 1793. En 1855, Viollet-le-Duc la posa à son emplacement actuel..
Statue dite Notre Dame de Paris.
Elle date du XIVe siècle et provient de la chapelle Saint-Aignan située dans l'ancien cloître des Chanoines de l'Île de la Cité. Elle fut transférée à Notre-Dame en 1818 et placée d'abord au trumeau du Portail de la Vierge en remplacement de la Vierge du XIIIe siècle mutilée en 1793. En 1855, Viollet-le-Duc la posa à son emplacement actuel..
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<center>Chapelle Sainte-Anne. </center> L'arbre de Jessé par Edouard Didron, 1864.
Chapelle Sainte-Anne.
L'arbre de Jessé par Edouard Didron, 1864.
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<center>Saint Thomas d'Aquin fontaine de la sagesse. </center>Toile peinte par Antoine Nicolas, Langres, 1648 - ? Don du couvent de l'Annonciation du faubourg Saint-Honoré à Paris à l'occasion du septième centenaire de la mort de Saint Thomas, 1974.
Saint Thomas d'Aquin fontaine de la sagesse.
Toile peinte par Antoine Nicolas, Langres, 1648 - ? Don du couvent de l'Annonciation du faubourg Saint-Honoré à Paris à l'occasion du septième centenaire de la mort de Saint Thomas, 1974.
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La clôture sud, datant du règne de Philippe IV le Bel (début du XIVe siècle), est constituée de neuf scènes des apparitions du Christ après sa Résurrection. À l’inverse des scènes de la clôture nord, celles-ci sont bien séparées les unes des autres grâce à la présence de colonnettes les isolant complètement.
Le Christ ressuscité apparaît à Marie-Madeleine.
Le Christ apparaît aux Saintes femmes.
Le Christ apparaît à Pierre et Jean.
La clôture sud, datant du règne de Philippe IV le Bel (début du XIVe siècle), est constituée de neuf scènes des apparitions du Christ après sa Résurrection. À l’inverse des scènes de la clôture nord, celles-ci sont bien séparées les unes des autres grâce à la présence de colonnettes les isolant complètement. Le Christ ressuscité apparaît à Marie-Madeleine. Le Christ apparaît aux Saintes femmes. Le Christ apparaît à Pierre et Jean.
47
Le Christ apparaît de disciples à Emmaüs.
Le Christ apparaît aux apôtres dans le Cénacle.
Le Christ apparaît à Thomas.
Le Christ apparaît de disciples à Emmaüs. Le Christ apparaît aux apôtres dans le Cénacle. Le Christ apparaît à Thomas.
48
Le Christ apparaît aux apôtres au bord du lac de Tibériade.
Le Christ apparaît aux apôtres et disciples en Galilée.
Le Christ apparaît au jour de l'Ascension.
Le Christ apparaît aux apôtres au bord du lac de Tibériade. Le Christ apparaît aux apôtres et disciples en Galilée. Le Christ apparaît au jour de l'Ascension.
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<center>Chapelle Saint-Denis.</center>Saint Denis, premier Evêque de Paris, mort en 1250. Peintures murales : vie de saint Denis, d'après les dessins de Viollet-le-Duc, architecte. Icône de Saint Denis l'Aréopagite.
Chapelle Saint-Denis.
Saint Denis, premier Evêque de Paris, mort en 1250. Peintures murales : vie de saint Denis, d'après les dessins de Viollet-le-Duc, architecte. Icône de Saint Denis l'Aréopagite.
50
<center>Chapelle Saint-Denis.</center> Armoire des Saintes Huiles, d'après les dessins de Viollet-le-Duc, architecte. Mausolée de Monseigneur Denis-Auguste Affre, archevêque de Paris en 1840, tué lors des émeutes de Juin 1848.
Chapelle Saint-Denis.
Armoire des Saintes Huiles, d'après les dessins de Viollet-le-Duc, architecte. Mausolée de Monseigneur Denis-Auguste Affre, archevêque de Paris en 1840, tué lors des émeutes de Juin 1848.
51
<center>Chapelle Sainte-Madeleine.</center> Sépulture de Mgr Sibour. Ce dernier, comme Mgr Affre et Mgr Darboy, fut assassiné au cours du XIXe siècle. Il fut poignardé par un prêtre à l'esprit dérangé (et destitué).
Chapelle Sainte-Madeleine.
Sépulture de Mgr Sibour. Ce dernier, comme Mgr Affre et Mgr Darboy, fut assassiné au cours du XIXe siècle. Il fut poignardé par un prêtre à l'esprit dérangé (et destitué).
52
Peintures murales d'après Viollet le Duc.
Peintures murales d'après Viollet le Duc.
53
<center>Chapelle Sainte-Madeleine. </center>Vitraux : grisaille d'Alfred Gerente.
Chapelle Sainte-Madeleine.
Vitraux : grisaille d'Alfred Gerente.
54
<center>La Chapelle Saint-Guillaume. </center>
La Chapelle Saint-Guillaume.
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<center>La Chapelle Saint-Guillaume. </center>
La Chapelle Saint-Guillaume.
56
<center>La Chapelle Saint-Guillaume. </center>  Monument de Jean Jouvenel des Ursins et de son épouse Michelle de Vitry (XVe siècle).
La Chapelle Saint-Guillaume.
Monument de Jean Jouvenel des Ursins et de son épouse Michelle de Vitry (XVe siècle).
57
Chapelle Saint-Guillaume : mausolée du lieutenant-général Henri Claude d'Harcourt par Jean-Baptiste Pigalle.
Chapelle Saint-Guillaume : mausolée du lieutenant-général Henri Claude d'Harcourt par Jean-Baptiste Pigalle.
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60
<center>Chapelle Saint-Georges. </center> Statue de saint Georges.
Chapelle Saint-Georges.
Statue de saint Georges.
61
<center>Chapelle Saint-Georges. </center> Tombeau de Mgr Georges Darboy (fusillé en 1871 avec 30 autres prêtres pris en otage par les Communards.), œuvre de Jean-Marie Bonnassieux.
Chapelle Saint-Georges.
Tombeau de Mgr Georges Darboy (fusillé en 1871 avec 30 autres prêtres pris en otage par les Communards.), œuvre de Jean-Marie Bonnassieux.
62
<center>Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur. </center> Ancienne Chapelle Saint-Nicaise, Saint-Louis et Saint-Rigobert ou Chapelle des Gondi.
Sur le maître-autel, bas-reliefs de Michel Pascal.
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Ancienne Chapelle Saint-Nicaise, Saint-Louis et Saint-Rigobert ou Chapelle des Gondi. Sur le maître-autel, bas-reliefs de Michel Pascal.
63
<center>Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur. </center> Statue de Notre Dame des Sept Douleurs par Corbon, Second Empire.
Vitraux de Lusson.
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Statue de Notre Dame des Sept Douleurs par Corbon, Second Empire. Vitraux de Lusson.
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Vitraux de N Coffetier.
Vitraux de N Coffetier.
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<center>Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur. </center> Priant d'Albert de Gondi, duc de Retz, maréchal de France, mort en 1602.
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Priant d'Albert de Gondi, duc de Retz, maréchal de France, mort en 1602.
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Vitraux d'Alfred Gerente.
Vitraux d'Alfred Gerente.
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<center>Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur. </center> Priant de Pierre de Gondi, Evêque de Paris, mort en 1616.
Chapelle Notre-Dame Des Sept Douleurs ou Petit Chœur.
Priant de Pierre de Gondi, Evêque de Paris, mort en 1616.
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<center>Le choeur. </center>
Le choeur.
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<center>Le choeur. </center>
Le choeur.
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<center>Le choeur. </center> La pietà de Nicolas Coustou est placée derrière l’autel. De part et d’autre de celui-ci se trouvent les statues des deux rois, Louis XIII par Guillaume Coustou et Louis XIV sculpté par Antoine Coysevox. Une série de six statues d’ange en bronze entourent l’ensemble et portent chacun un instrument de la Passion du Christ : une couronne d’épines, les clous de la crucifixion, l’éponge imbibée de vinaigre, l’inscription qui surmontait la croix, le roseau avec lequel le Christ fut fouetté et la lance lui ayant transpercé le cœur.
Le choeur.
La pietà de Nicolas Coustou est placée derrière l’autel. De part et d’autre de celui-ci se trouvent les statues des deux rois, Louis XIII par Guillaume Coustou et Louis XIV sculpté par Antoine Coysevox. Une série de six statues d’ange en bronze entourent l’ensemble et portent chacun un instrument de la Passion du Christ : une couronne d’épines, les clous de la crucifixion, l’éponge imbibée de vinaigre, l’inscription qui surmontait la croix, le roseau avec lequel le Christ fut fouetté et la lance lui ayant transpercé le cœur.
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<center>Déambulatoitre. </center> Gisant de l’évêque Simon Matifas de Bucy (mort en 1304)
Déambulatoitre.
Gisant de l’évêque Simon Matifas de Bucy (mort en 1304)
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Gisant de l’évêque Simon Matifas de Bucy (mort en 1304).
Gisant de l’évêque Simon Matifas de Bucy (mort en 1304).
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<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Ancienne chapelle saint Jean-Baptiste et sainte Madeleine.
Monument de J.B de Budes, comte de Guebriant, maréchal de France, mort en 1643 et de Renée de Bec-Crespin, son épouse, sur les dessins de Viollet le Duc.
Chapelle saint Ferdinand.
Ancienne chapelle saint Jean-Baptiste et sainte Madeleine. Monument de J.B de Budes, comte de Guebriant, maréchal de France, mort en 1643 et de Renée de Bec-Crespin, son épouse, sur les dessins de Viollet le Duc.
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<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Mausolée de Mgr de Beaumont (mort en 1781).
Chapelle saint Ferdinand.
Mausolée de Mgr de Beaumont (mort en 1781).
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<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Priant du cardinal Morlot (mort en 1862). Vitraux : grisailles de Lusson.
Chapelle saint Ferdinand.
Priant du cardinal Morlot (mort en 1862). Vitraux : grisailles de Lusson.
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<center>Chapelle saint Ferdinand. </center> Peintures murales : d'après Viollet le Duc. Sainte Clotilde, sainte Radegonde, sainte Isabelle, sainte Jeanne.
Chapelle saint Ferdinand.
Peintures murales : d'après Viollet le Duc. Sainte Clotilde, sainte Radegonde, sainte Isabelle, sainte Jeanne.
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<center>Chapelle Saint-Marcel. </center> Ancienne Chapelle de la Décollation, de Saint-Jean-Baptiste, Saint-Eutrope et Sainte-Foi ou Chapelle de Vintimille.
Vitraux grisailles de LUSSON, 1862
Peintures murales de Maillot le jeune, Second Empire.
Monument du Cardinal Jean-Baptiste de Belloy Archevêque de Paris de 1802 à 1805 par L-P. Deseine, mort en 1822.
Chapelle Saint-Marcel.
Ancienne Chapelle de la Décollation, de Saint-Jean-Baptiste, Saint-Eutrope et Sainte-Foi ou Chapelle de Vintimille. Vitraux grisailles de LUSSON, 1862 Peintures murales de Maillot le jeune, Second Empire. Monument du Cardinal Jean-Baptiste de Belloy Archevêque de Paris de 1802 à 1805 par L-P. Deseine, mort en 1822.
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<center>Chapelle Saint-Marcel. </center> Monument de Monseigneur Hyacinthe-Louis de Quelen, Archevêque de Paris de 1821 à 1839 par AV. Geoffroy-Dechaume, mort en 1892
Chapelle Saint-Marcel.
Monument de Monseigneur Hyacinthe-Louis de Quelen, Archevêque de Paris de 1821 à 1839 par AV. Geoffroy-Dechaume, mort en 1892
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<center>Chapelle Saint-Louis. </center> Ancienne Chapelle Saint-Martin, Sainte-Anne et Saint-Michel ou Chapelle de Noailles
Vitraux : médaillons armoriés par Jean Le Vieil, XVIIIe siècle, et grisailles de Lusson, Second Empire.
Peintures murales d'après Eugène Viollet Le Duc, et statuettes de Corbon, Second Empire.
 Monument du Cardinal Louis-Antoine de Noailles, archevêque de Paris de 1695 à 1729 par A.V Geoffroy Dechaume.
Chapelle Saint-Louis.
Ancienne Chapelle Saint-Martin, Sainte-Anne et Saint-Michel ou Chapelle de Noailles Vitraux : médaillons armoriés par Jean Le Vieil, XVIIIe siècle, et grisailles de Lusson, Second Empire. Peintures murales d'après Eugène Viollet Le Duc, et statuettes de Corbon, Second Empire. Monument du Cardinal Louis-Antoine de Noailles, archevêque de Paris de 1695 à 1729 par A.V Geoffroy Dechaume.
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La clôture nord date du dernier tiers du XIIIe siècle, peu après l’édification du jubé aujourd’hui disparu (aux environs de 1260). On y a sculpté 14 scènes de la naissance et de la vie de Jésus avant sa passion. Ces scènes s’enchaînent sans rupture entre elles et constituent donc un seul continuum.
La clôture nord date du dernier tiers du XIIIe siècle, peu après l’édification du jubé aujourd’hui disparu (aux environs de 1260). On y a sculpté 14 scènes de la naissance et de la vie de Jésus avant sa passion. Ces scènes s’enchaînent sans rupture entre elles et constituent donc un seul continuum.
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<center>Le triomphe de Job. </center> Guido Reni, peintre. 1636. Provenant de l'église des Mendiants de Bologne. Cette composition symbolise la persévérance dans la foi : Job, après avoir perdu tous ses biens, reçoit des offrandes, récompenses pour avoir conservé sa foi en Dieu malgré les épreuves qui lui furent imposées.
Le triomphe de Job.
Guido Reni, peintre. 1636. Provenant de l'église des Mendiants de Bologne. Cette composition symbolise la persévérance dans la foi : Job, après avoir perdu tous ses biens, reçoit des offrandes, récompenses pour avoir conservé sa foi en Dieu malgré les épreuves qui lui furent imposées.
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<center>Reliques et châsse de sainte Geneviève, Patronne de Paris. </center> Placide Poussielgue-Rusand, orfèvre. Bronze doré, émaux. Vers 1850. Provenant du Panthéon, ancienne église Sainte-Geneviève à Paris. Geneviève (420-500 env.) est remarquée toute jeune par l'évêque saint Germain d'Auxerre qui la consacre à Dieu. Assidue à la prière, pleine de force d'âme et d'espérance, attentive aux pauvres, son rayonnement est grand. Elle initie ainsi la construction d'une basilique sur le tombeau de saint Denys, premier évêque de Paris. Elle restaure le courage des parisiens devant la menace d'Attila (451) et les sauve de la famine en organisant des convois de vivres depuis la Champagne (470). Devenue l'amie du roi Clovis er de la reine Clotilde, elle devient « Mère de la Patrie menacée ». Elle est représentée tenant à la main le cierge avec lequel elle ranima la flamme de ses compagnes dans la tempête comme elle ranima plusieurs fois l'espérance des parisiens.
Reliques et châsse de sainte Geneviève, Patronne de Paris.
Placide Poussielgue-Rusand, orfèvre. Bronze doré, émaux. Vers 1850. Provenant du Panthéon, ancienne église Sainte-Geneviève à Paris. Geneviève (420-500 env.) est remarquée toute jeune par l'évêque saint Germain d'Auxerre qui la consacre à Dieu. Assidue à la prière, pleine de force d'âme et d'espérance, attentive aux pauvres, son rayonnement est grand. Elle initie ainsi la construction d'une basilique sur le tombeau de saint Denys, premier évêque de Paris. Elle restaure le courage des parisiens devant la menace d'Attila (451) et les sauve de la famine en organisant des convois de vivres depuis la Champagne (470). Devenue l'amie du roi Clovis er de la reine Clotilde, elle devient « Mère de la Patrie menacée ». Elle est représentée tenant à la main le cierge avec lequel elle ranima la flamme de ses compagnes dans la tempête comme elle ranima plusieurs fois l'espérance des parisiens.
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<center>Saint Pierre guérissant les malades de son ombre. </center> Tableau de Laurent La Hyre, 1606-1656. May de 1635.
On appelle Mays à Notre-Dame une série de 76 tableaux offerts à la cathédrale par la Confrérie des Orfèvres, presque chaque année en date du premier mai (d’où leur nom), en hommage à la Vierge Marie, et ce de 1630 à 1707. Les mays furent dispersés à la Révolution et beaucoup disparurent. Récupérés ensuite, ils embarrassèrent au XIXe siècle le restaurateur Viollet-le-Duc qui, orienté vers la pureté de l’art gothique, n’avait que faire de cette encombrante décoration baroque ou classique. Certains se retrouvent actuellement au musée du Louvre, d’autres dans quelques églises ou dans divers musées français. Il en reste une cinquantaine actuellement. Les plus importants furent fort heureusement récupérés par la cathédrale et ornent aujourd’hui les chapelles latérales de la nef de Notre-Dame.
Saint Pierre guérissant les malades de son ombre.
Tableau de Laurent La Hyre, 1606-1656. May de 1635. On appelle Mays à Notre-Dame une série de 76 tableaux offerts à la cathédrale par la Confrérie des Orfèvres, presque chaque année en date du premier mai (d’où leur nom), en hommage à la Vierge Marie, et ce de 1630 à 1707. Les mays furent dispersés à la Révolution et beaucoup disparurent. Récupérés ensuite, ils embarrassèrent au XIXe siècle le restaurateur Viollet-le-Duc qui, orienté vers la pureté de l’art gothique, n’avait que faire de cette encombrante décoration baroque ou classique. Certains se retrouvent actuellement au musée du Louvre, d’autres dans quelques églises ou dans divers musées français. Il en reste une cinquantaine actuellement. Les plus importants furent fort heureusement récupérés par la cathédrale et ornent aujourd’hui les chapelles latérales de la nef de Notre-Dame.
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<center>Le transept. </center>
Le transept.
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<center>Le transept. </center> Statue de saint Denis. Premier évêque de Paris (après 250). Nicolas Coustou, sculpteur. 1722.
Le transept.
Statue de saint Denis. Premier évêque de Paris (après 250). Nicolas Coustou, sculpteur. 1722.
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Le transept.
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Le transept.
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<center>Le transept. </center>
Le transept.
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<center>Chapelle Sainte Clotilde. </center> Anciennement Chapelle Saint-Nicolas. Dalle funéraire du chanoine Etienne Yver décédé en 1468. Le défunt nest représenté nu et rongé par les vers, puis ressuscitant et implorant le Christ.
Chapelle Sainte Clotilde.
Anciennement Chapelle Saint-Nicolas. Dalle funéraire du chanoine Etienne Yver décédé en 1468. Le défunt nest représenté nu et rongé par les vers, puis ressuscitant et implorant le Christ.
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<center>Chapelle Saint-Landry. /center> Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Les fils de Sceva, exorcistes juifs,  battus par le démon, par Mathieu Elyas, may 1702 par la corporation des orfèvres.
Chapelle Saint-Landry. /center> Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Les fils de Sceva, exorcistes juifs, battus par le démon, par Mathieu Elyas, may 1702 par la corporation des orfèvres.
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<center>Chapelle Saint-Landry. /center>
Chapelle Saint-Landry. /center>
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<center>Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique). </center> « Notre-Dame de Guadalupe » vénérée depuis 1531 dans la basilique éponyme à Mexico reproduction en mosaïque offerte en 1949 par le gouvernement mexicain par l'Ateliers de mosaïque du Vatican.
Couronne offerte en 1949 par les fidèles mexicains (l'originale est conservée dans le Trésor de la cathédrale par Mellerio, orfèvre).
Chapelle Notre-Dame De Guadalupe (Mexique).
« Notre-Dame de Guadalupe » vénérée depuis 1531 dans la basilique éponyme à Mexico reproduction en mosaïque offerte en 1949 par le gouvernement mexicain par l'Ateliers de mosaïque du Vatican. Couronne offerte en 1949 par les fidèles mexicains (l'originale est conservée dans le Trésor de la cathédrale par Mellerio, orfèvre).
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Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Le prophète Agabus prédisant à saint Paul ses souffrances à Jérusalem, peinture de Louis Chéron (1660-1713),
Anciennement chapelle Sainte-Catherine. Le prophète Agabus prédisant à saint Paul ses souffrances à Jérusalem, peinture de Louis Chéron (1660-1713), "may" offert le premier mai 1687 par la corporation des orfèvres.
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<center>Chapelle Saint Vincent de-Paul. </center> Anciennement Chapelle Saint-Julien Le pauvre et Sainte-Marie l'Egyptienne. Monument du Cardinal L.A. Amette 1850-1908-1920 par Hippolyte Lefebvre.
Chapelle Saint Vincent de-Paul.
Anciennement Chapelle Saint-Julien Le pauvre et Sainte-Marie l'Egyptienne. Monument du Cardinal L.A. Amette 1850-1908-1920 par Hippolyte Lefebvre.
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<center>Chapelle Saint Vincent de-Paul. </center> Saint André tressaille de joie à la vue de son supp1ice par Gabriel Blanchard le Neveu,
Chapelle Saint Vincent de-Paul.
Saint André tressaille de joie à la vue de son supp1ice par Gabriel Blanchard le Neveu, "may" offert le premier mai 1670 par la corporation des orfèvres.
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<center>Chapelle Saint Vincent de-Paul. </center>
Chapelle Saint Vincent de-Paul.
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Anciennement Chapelle Sainte-Genevieve. La Flagellation de Saint Paul et Saint Silas par Louis Testelin,
Anciennement Chapelle Sainte-Genevieve. La Flagellation de Saint Paul et Saint Silas par Louis Testelin, "may" offert le premier mai 1655 par la Corporation des orfèvres.
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<center>Chapelle Saint-Charles.</center> Anciennement chapelle Saint Georges et Saint-Blaise. Saint Paul rend aveugle le faux prophète Barjesu et convertit le proconsul Sergius, par Nicolas Loir,
Chapelle Saint-Charles.
Anciennement chapelle Saint Georges et Saint-Blaise. Saint Paul rend aveugle le faux prophète Barjesu et convertit le proconsul Sergius, par Nicolas Loir, "may" offert le premier mai 1650 par la corporation des orfèvres.
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<center>Chapelle Saint-Charles.</center> Vierge de Pitié, par Lubin Baugin, XVIIe siècle.
Chapelle Saint-Charles.
Vierge de Pitié, par Lubin Baugin, XVIIe siècle.
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<center>Chapelle des Fonts Baptismaux. </center> Anciennement chapelle Saint Leonard. Fonts baptismaux avec statuette de saint Jean-Baptiste, effigies des douze apôtres et statues des quatre évangélistes par Louis Bachelet, bronzier (1860) d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte.
Chapelle des Fonts Baptismaux.
Anciennement chapelle Saint Leonard. Fonts baptismaux avec statuette de saint Jean-Baptiste, effigies des douze apôtres et statues des quatre évangélistes par Louis Bachelet, bronzier (1860) d'après les dessins d'Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc, architecte.
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<center>Chapelle des Fonts Baptismaux. </center> La descente du Saint Esprit par Jacques Blanchard,
Chapelle des Fonts Baptismaux.
La descente du Saint Esprit par Jacques Blanchard, "may" offert le premier mai 1634 par la corporation des orfèvres.
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La Nativité par Jérôme Franck, 1585.
La Nativité par Jérôme Franck, 1585.
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Cette rosace est consacrée au Nouveau Testament. Elle comporte quatre-vingt-quatre panneaux répartis sur quatre cercles. Le premier comporte douze médaillons, le second vingt-quatre. Un troisième cercle est constitué par douze quadrilobes, tandis que le quatrième cercle est ponctué de vingt-quatre médaillons trilobés. Nous retrouvons ainsi le nombre symbolique quatre, ainsi que ses multiples, douze et vingt-quatre. Les interventions successives sur la rosace ont totalement bouleversé les panneaux. Ainsi, les douze Apôtres, constituant originalement le premier cercle, sont désormais dispersés dans les deux cercles, se mélangeant à d’autres personnages. 
Dans le médaillon central,  Viollet-le-Duc, par le travail de Gérente, choisit d’y placer la représentation du Christ de l’Apocalypse.
En bas, les deux écoinçons présentent, à gauche, la descente aux Enfers, entourée de Moïse et Aaron (en haut) et de la tentation d’Adam et Eve (en bas), et à droite, la résurrection du Christ à l’ouest avec saint Pierre et saint Paul (en bas), sainte Madeleine et saint Jean (en haut).
Sous la rosace, la cour céleste est parfaite par les seize prophètes représentés dans les grands vitraux de la claire-voie, peinte au XIXe siècle par Alfred Gérente sous la direction de Viollet-le-Duc. Au centre, les quatre grands prophètes (Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et Daniel) portent sur leurs épaules les quatre évangélistes (Matthieu, Marc, Luc et Jean).
Cette rosace est consacrée au Nouveau Testament. Elle comporte quatre-vingt-quatre panneaux répartis sur quatre cercles. Le premier comporte douze médaillons, le second vingt-quatre. Un troisième cercle est constitué par douze quadrilobes, tandis que le quatrième cercle est ponctué de vingt-quatre médaillons trilobés. Nous retrouvons ainsi le nombre symbolique quatre, ainsi que ses multiples, douze et vingt-quatre. Les interventions successives sur la rosace ont totalement bouleversé les panneaux. Ainsi, les douze Apôtres, constituant originalement le premier cercle, sont désormais dispersés dans les deux cercles, se mélangeant à d’autres personnages. Dans le médaillon central, Viollet-le-Duc, par le travail de Gérente, choisit d’y placer la représentation du Christ de l’Apocalypse. En bas, les deux écoinçons présentent, à gauche, la descente aux Enfers, entourée de Moïse et Aaron (en haut) et de la tentation d’Adam et Eve (en bas), et à droite, la résurrection du Christ à l’ouest avec saint Pierre et saint Paul (en bas), sainte Madeleine et saint Jean (en haut). Sous la rosace, la cour céleste est parfaite par les seize prophètes représentés dans les grands vitraux de la claire-voie, peinte au XIXe siècle par Alfred Gérente sous la direction de Viollet-le-Duc. Au centre, les quatre grands prophètes (Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et Daniel) portent sur leurs épaules les quatre évangélistes (Matthieu, Marc, Luc et Jean).
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À l’inverse de la rosace sud, la rosace nord a conservé presque intacts ses vitraux originels du XIIIe siècle. Elle est consacrée à l'Ancien Testament. Les couleurs à dominante violette rappellent la longue attente d'Israël du Messie. Le centre est occupé par la Vierge Marie et l'enfant Jésus. Autour d’elle gravitent les juges, les rois, les grands prêtres et les prophètes de l'Ancien Testament. Dans l
À l’inverse de la rosace sud, la rosace nord a conservé presque intacts ses vitraux originels du XIIIe siècle. Elle est consacrée à l'Ancien Testament. Les couleurs à dominante violette rappellent la longue attente d'Israël du Messie. Le centre est occupé par la Vierge Marie et l'enfant Jésus. Autour d’elle gravitent les juges, les rois, les grands prêtres et les prophètes de l'Ancien Testament. Dans l"arcature du bas, les 18 rois de Juda sont du XIXe.
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<center>La Rose Ouest </center> La rose de la façade, presqu'entièrement refaite par Viollet le Duc, représente les travaux des mois et les signes du zodiaque, les Vertus et les Vices, et au centre, la Vierge. Les orgues de Ciquot (1730), ont  été restaurées par Cavaillé-Coll en 1868.
La Rose Ouest
La rose de la façade, presqu'entièrement refaite par Viollet le Duc, représente les travaux des mois et les signes du zodiaque, les Vertus et les Vices, et au centre, la Vierge. Les orgues de Ciquot (1730), ont été restaurées par Cavaillé-Coll en 1868.
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St Ambroise, st Grégoire, st Denis.
St Ambroise, st Grégoire, st Denis.
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A droite, st Matthieu et st Marc.
A droite, st Matthieu et st Marc.
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<center>Les vitraux. </center> A gauche, st Louis et st Grégoire VII, a droite, st Rémi et st Martin.
Les vitraux.
A gauche, st Louis et st Grégoire VII, a droite, st Rémi et st Martin.
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St Augustin et st Jérôme, st luc et st Jean.
St Augustin et st Jérôme, st luc et st Jean.
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<center>Les vitraux. </center> Daniel et Jérémie, David et ?
Les vitraux.
Daniel et Jérémie, David et ?
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<center>Les vitraux. </center> St Irénée et st Hilaire, st Leo III et st Charles Borromée ?
Les vitraux.
St Irénée et st Hilaire, st Leo III et st Charles Borromée ?
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<center>Les vitraux. </center> Daniel et Jérémie, David et ?, saint Maurice et ?.
Les vitraux.
Daniel et Jérémie, David et ?, saint Maurice et ?.
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<center>Les vitraux. </center>
Les vitraux.
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<center>Les vitraux. </center> En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés remplaçant les verres gris et ternes implantés par les chanoines au XVIIIe siècle. Non figuratifs, ils sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier qui a utilisé les produits et couleurs du Moyen Âge. L’ensemble est à dominante rouge et bleue.
Les vitraux.
En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés remplaçant les verres gris et ternes implantés par les chanoines au XVIIIe siècle. Non figuratifs, ils sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier qui a utilisé les produits et couleurs du Moyen Âge. L’ensemble est à dominante rouge et bleue.
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<center>La nef.</center> Les vitraux modernes. Le second correspond à une tribune à claire-voie ouvrant sur la nef par des baies composées de trois arcades, lesquelles reposent sur de fines colonnettes. Au-dessus de ces arcades, les remplages de ces baies sont pleins. Les tribunes sont garnies de petites roses. Enfin le troisième niveau est celui des fenêtres hautes qui comportent deux lancettes surmontées d’un oculus. En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés qui sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier.
La nef.
Les vitraux modernes. Le second correspond à une tribune à claire-voie ouvrant sur la nef par des baies composées de trois arcades, lesquelles reposent sur de fines colonnettes. Au-dessus de ces arcades, les remplages de ces baies sont pleins. Les tribunes sont garnies de petites roses. Enfin le troisième niveau est celui des fenêtres hautes qui comportent deux lancettes surmontées d’un oculus. En 1965, les fenêtres hautes de la nef et les roses des tribunes ont enfin été garnies de vitraux colorés qui sont l’œuvre de Jacques Le Chevallier.
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<center>Les vitraux. </center> Les tribunes sont garnies de petites roses.
Les vitraux.
Les tribunes sont garnies de petites roses.
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Les vitraux.
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Au XIXe siècle, Notre-Dame de Paris avait perdu sa grande Couronne de lumière et Viollet-le-Duc avait notamment pour mission de reconstituer le mobilier gothique du sanctuaire. Il s’attacha à élaborer les dessins d’une nouvelle Couronne dans le style gothique. La Couronne de lumière actuelle est à deux rangs surmontée de tourelles en cuivre doré. Elle a été exécutée à l’époque par l’orfèvre Placide Poussielgue-Rusand. 
Quant aux autres lustres de la nef de la cathédrale, ils sont en bronze doré et datent de la même époque
Au XIXe siècle, Notre-Dame de Paris avait perdu sa grande Couronne de lumière et Viollet-le-Duc avait notamment pour mission de reconstituer le mobilier gothique du sanctuaire. Il s’attacha à élaborer les dessins d’une nouvelle Couronne dans le style gothique. La Couronne de lumière actuelle est à deux rangs surmontée de tourelles en cuivre doré. Elle a été exécutée à l’époque par l’orfèvre Placide Poussielgue-Rusand. Quant aux autres lustres de la nef de la cathédrale, ils sont en bronze doré et datent de la même époque
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