Au plafond du salon des lettres, Jules Lefèvre représente « les muses parisiennes, unies dans le ciel, qui font un cortège triomphal à la ville de Paris drapée de rouge. »
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Salon des arcades.
Les piliers du salon des lettres sont ornés de l'éloquence, de l'histoire, de la poésie et de la philosophie. L'histoire, par Chirion et Michelet.
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Salon des arcades.
L'éloquence et Descartes.
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Salon des arcades.
La philosophie et Molière.
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Salon des arcades.
La poésie et Victor Hugo.
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Salon des arcades.
Au sud, vue de la cité et statue d'Etienne Marcel. Cet homme, prévôt des marchands à partir du mois de décembre 1355, accroît considérablement son pouvoir alors même que la royauté est en difficulté puisque le roi Jean II le bon est prisonnier en Angleterre. S'ensuit une série de luttes d'influence qui oppose le dauphin Charles (futur Charles V) au prévôt des marchand Étienne Marcel.
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Salon des arcades.
Au nord, le salon donne sur la cour intérieure.
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Salon des arcades.
Escalier à vis, copié sur celui de Blois.
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La galerie des métiers.
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La galerie des métiers.
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La galerie des métiers.
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La galerie des métiers.
La galerie des métiers est consacrée aux différentes corporations parisiennes. Ici, le verrier et le graveur.
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La galerie des métiers.
Sur les piliers, armoiries des villes. Ici Besançon.
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La galerie des métiers.
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La Galerie Lobau.
Cette galerie qui longe la salle des fêtes permettait aux spectateurs d'admirer les danseurs les jours de bal.
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La Galerie Lobau.
A gauche, la chute de Psyché, à droite, la mort d'Orphée.
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La Galerie Lobau.
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La salle des fêtes.
C'est non seulement la plus vaste salle de réception, mais aussi la plus richement décorée. Cette salle des copiée sur la galerie des glaces du château de Versailles. On aurait bien voulu que cette salle soit aussi longue que celle du château de Versailles qui. mesure 76 m, alors qu'ici il n'y en a que 50. On l'a donc faite plus large et plus haute. Ici, la feuille d'or est à profusion, les lustres sont en cristal Baccarat comme dans tous les autres salons. Les rideaux de soie retissés à l'identique à Lyon s'harmonisent délicatement avec les tons dominants des peintures.
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La salle des fêtes.
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La salle des fêtes.
Sur le plafond de cette salle magnifiquement décorée, il y a des peintures représentant l'histoire de la danse et l'histoire de la musique. La peinture centrale représente la ville de Paris qui invite le monde entier à ces fêtes. Entre les peintures, il y a trois mots : liberté, égalité et fraternité. Sur les voussures, il y a les provinces de France avait les produits de la région. Elles sont l'œuvre des quatre peintres Jean-Joseph Weerts, François-Émile Ehrmann, Paul Milliet et Ferdinand Humbert. Toutes n'y sont pas. Il manque la Franche-Comté, le Limousin, et surtout l'Alsace qui à l'époque n'était pas française. Il y a cependant la Lorraine, dont une partie était restée française. Une autre province était française à l'époque et ne l'est plus aujourd'hui : il s'agit de l'Algérie.
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La salle des fêtes.
Les provinces : la Picardie et la Flandre. Dans les angles du plafond, quatre cariatides dorées évoquent, d'une part la musique et la comédie de Jules Blanchard et en face...
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La salle des fêtes.
...les fleurs et les roses de Jules Desbois. Les provinces : la Normandie avec les pommes et le comté de Nice, français depuis 1860 et peint par Milliet, avec les citrons.
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La salle des fêtes.
Les cariatides blanches sur les voussures élèvent des branches d'olivier d'or, et les atlantes des branches de chêne, vers un cartouche au chiffre de la république française.
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La salle des fêtes.
la république, reprenant ainsi une coutume du XVIe siècle. À l'époque les familles qui se faisaient construire un château utilisaient leurs initiales, leurs armoiries ou leurs devises comme motif décoratif. C'est ainsi que l'on retrouve dans cette salle les initiales de la république et sa devise.
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La salle des fêtes.
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La salle des fêtes.
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La salle des fêtes.
Les peintres Henri Gervex et Aimé Morot ont représenté à chaque extrémité du plafond « la musique à travers les âges » et..
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La salle des fêtes.
....« la danse à travers les âges ».
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La salle des fêtes.
Au milieu, Jean Joseph Benjamin Constant – dit Benjamin Constant – a peint la Ville de Paris conviant le monde à ses fêtes. De part et d'autre de cette peinture Gabriel Ferrier à intercaler les fleurs et les parfums. Les mots « liberté, égalité, fraternité », devise de la république, sont inscrits en lettres d'or dans des cartouches et ils séparent chacune des peintures.
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La salle des fêtes.
A gauche, les parfums.
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La salle des fêtes.
Les provinces françaises sont représentées sur les voussures, avec les produits de la région. La représentation des provinces souligne ainsi l'unité nationale retrouvée de la IIIe République. A droite, la Normandie avec les pommes. Toutes n'y sont pas. Il manque la Franche-Comté, le Limousin, et surtout l'Alsace qui à l'époque n'était pas française. Au centre la Lorraine est l'œuvre du seul peintre alsacien habilité à décorer l'hôtel de ville, Ehrmann. Une partie de la Lorraine était restée française. C'était un cas très douloureux, c'est pourquoi la Lorraine est représentée avec un glaive dans la main afin qu'elle puisse bien se défendre. A gauche, l'Auvergne qui tient le casque de Vercingétorix, chef des Arvernes.
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La salle des fêtes.
La Bretagne et la Boutgogne.
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La salle des fêtes.
A gauche, la Bretagne qui tient la barre, à droite, la Bourgogne qui fait ses vendanges. Lors des réceptions officielles, la petite galerie située tout autour de la salle accueille la musique des Gardiens de la paix. Ils interprètent pour l’occasion les hymnes nationaux des pays invités.
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La salle des fêtes.
A gauche, la Provence avec une rame, à droite, la Gascogne avec les raisins.
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La salle des fêtes.
A gauche, la Guyane peinte par F. Humbert, à droite, la Provence.
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La salle des fêtes.
A gauche, le Lyonnais avec une étoffe, à droite, l'Algérie peinte par F. Humbert.
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L'église Saint-Gervais.
Orme champêtre, planté en 1936. La place située devant l'église Saint-Gervais s'est longtemps appelée Carrefour de l'Orme. Depuis le Moyen Âge, en effet, un arbre multiséculaire en occupait le centre. Les habitants du quartier avaient coutume de s'y assembler, en particulier pour le règlement de leurs créances, d'où le dicton « attendezt-moi sous l'orme ». Derrière l'orme, l'Hôtel de Ville.
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L'église Saint-Gervais.
On retrouve la représentation de l'orme sur les balcons du bâtiment voisin, édifié sous Louis XV.
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L'église Saint-Gervais.
La construction de l'église actuelle, commencée en 1494, s'est déroulée sur une période de 150 ans environ. Même si l'architecture de l'église Saint-Gervais est d'aspect globalement gothique, la façade des architectes Salomon de Brosse et surtout Clément II Métezeau, achevée en 1621, est inspirée par le classicisme français.
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L'église Saint-Gervais.
La façade présente la particularité exceptionnelle de disposer des colonnes des 3 ordres : dorique au rez-de-chaussée, ionique au premier étage, corinthien au second étage. Les deux niches abritent les statues des deux saints légendaires Gervais et Protais. Gervais, à gauche, est sculpté par Antoine-Auguste Préault (1809-1879), Protais., à droite, par Antonin Moine (1796-1849). Au-dessus, les statues de Saint Matthieu et Saint Jean.
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L'église Saint-Gervais.
On trouve deux niveaux d'élévation avec de grandes arcades en arcs brisés et des fenêtres hautes à remplages. L'église Saint-Gervais-Saint-Protais de Paris possède une voûte quadripartite dans la nef.
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L'église Saint-Gervais.
Voûte à liernes et tiercerons à la croisée du transept.
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L'église Saint-Gervais.
Le chœur et l'abside de l'église Saint-Gervais.
Les trois vitraux centraux de l'abside sont du XIXe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
Les stalles sont des rangées de sièges prévues pour les moines ou chanoines et qui possèdent la caractéristique de permettre deux positions : ou bien « assise » ou bien (si le siège est relevé) debout, avec appui sur une « miséricorde ». Les stalles de "Saint-Gervais" remontent au XVIe siècle. Elles sont illustrées principalement par des motifs représentant les métiers des paroissiens de l'époque, certains censurés depuis car estimés trop licencieux (femmes dénudées...). Parmi les motifs, figurent également des blasons de rois de France (Henri II, François Ier) en raison de la fréquentation de l'église par la cour à la Renaissance. Le soubassement du maître-autel abrite une copie de la Dormition de la Vierge., fin du XIIIe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
De part et d'autre de l'autel prennent place les deux statues de bois, à gauche, Saint Protais, à droite, Saint Gervais, sculptées par Michel Bourdin. 1625.
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L'église Saint-Gervais.
A gauche, la Piscine de Béthesda, lieu d'un miracle de Jésus sur un paralytique. Ce vitrail est coupé en deux. L'architecture de la moitié supérieure, du XVIe siècle, est attribuée à Jean Cousin. La moitié inférieure, sans doute très mutilée et délabrée, a été entièrement refaite par le restaurateur Prosper Lafaye en 1870. A droite, saint Pierre et saint Paul.
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L'église Saint-Gervais.
A gauche, Saints Pierre et Paul, au centre, le Christ bénissant et la Vierge, à droite, saints Gervais et Protais. Vitraux de la seconde moitié du XIXe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
Vitrail moderne réalisé par le maître verrier Claude Courageux : la Vierge et Marie-Madeleine. A gauche, saint Gervais et saint Protais. Seconde moitié du XIXe siècle
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L'église Saint-Gervais.
Bénitiers du XVIIe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
Vitrail restauré du « Baptême du Christ » (XVIIe siècle). En haut, le Saint-Esprit.
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L'église Saint-Gervais.
Saint Jean-Baptiste à gauche et saint Nicolas bénissant les trois enfants, 1620.
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L'église Saint-Gervais.
En bas, l'Ascension est moderne. En haut, la Pentecôte (Premier tiers du XVIIe siècle) est très restaurée.
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L'église Saint-Gervais.
En bas, bataille de saint Jacques contre les Maures, (fin du XVIe siècle). Au centre, la Rencontre entre Abraham et Melchisédec (premier quart du XVIIe siècle). En haut, trois scènes de la vie de saint Louis.
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L'église Saint-Gervais.
Vitrail moderne réalisé par le maître verrier Claude Courageux : Adam et Noé.
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L'église Saint-Gervais.
Chapelle commémorative de la catastrophe du 29 mars 1918 (En 1918, un obus allemand tombe sur le transept, pendant l'office du Vendredi Saint, tuant près d'une centaine de personnes). Tympan, Le Jugement dernier : le Christ entouré de la Vierge et de saint Jean, deuxième moitié du XVIe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
La Résurrection. Fin du XVIe siècle - début XVIIe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
La chapelle Sainte-Anne. Le retable est une grande composition architecturale soutenue par des consoles et formant deux corps superposés. A gauche, en haut, Salomon et David, en bas, ? et Balaam.
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L'église Saint-Gervais.
La chapelle Sainte-Anne. Le retable est une grande composition architecturale soutenue par des consoles et formant deux corps superposés : le premier comporte quatre colonnes cannelées surmontées par un fronton, entre les colonnes trois niches avec des statues, dans la centrale, sainte Anne et Marie ; le deuxième, de forme demi-circulaire, est supporté par quatre pilastres entre lesquels se voient trois niches ornées de statues modernes.
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L'église Saint-Gervais.
La chapelle Saint-Laurent. Grande composition architecturale se divisant en deux corps ; dans la rangée inférieure sont trois niches formées par deux colonnes et deux pilastres et renfermant des statues modernes, au-dessus est un fronton accompagné de pinacles sculptés à jour et ornés de figures modernes représentant des anges.
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L'église Saint-Gervais.
Chapelle Sainte-Catherine. Saint Nicolas et sainte Catherine, année 1620. En bas, les Confrères du Saint-Nom de Jésus, 1600. En haut, Dieu le Père. A gauche, sainte Catherine.
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L'église Saint-Gervais.
Transept sud. En haut, vitraux de Claude Courageux.
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L'église Saint-Gervais.
L'orgue du transept sud. Les vitraux sont modernes. A gauche, la foi avec un ostensoir contenant l'hostie consacrée. A droite, l'espérance avec une ancre.
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L'église Saint-Gervais.
Chapelle saint Philomène. Le retable du transept sud et son tableau du XVIIe siècle illustrant la Pentecôte.
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L'église Saint-Gervais.
Transept nord. Au centre, Apparition du Sacré-Cœur à Marie Marguerite Alacoque, , XIXe siècle. A droite, un ange jouant du violon.. A gauche, un autre jouant de la harpe.
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L'église Saint-Gervais.
Transept nord. L'autel de la chapelle du Sacré-Cœur. Grand retable orné de pilastres d'ordre ionique et formant deux corps superposés ; dans le bas est une niche formée par des pilastres ; au-dessus est un fronton dont le milieu offre une peinture. XVIIe.
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L'église Saint-Gervais.
Le martyre de Saint Laurent, attribué à Jean Cousin, vers 1540-1550.
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L'église Saint-Gervais.
La Condamnation de saint Gervais et de saint Protais. Ce double vitrail, exécuté en 1651, par Perrin, sur des dessins d'Eustache Lesueur, décorait la chapelle le Camus (transept de gauche), gravé par Picard et Audran, et restauré par M. Lafaye, en 1864. En haut, Le Père Eternel.
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L'église Saint-Gervais.
La Sagesse de Salomon, réalisé en 1531, par Jean Chastellain., dans la chapelle de la Vierge datant de 1517, restaurée par Baltard. En haut, à gauche, le Sacrifice et le Songe de Salomon à Gabaon.
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L'église Saint-Gervais.
L'Ascension et la Pentecôte par Sylvie Gaudin. Seconde moitié du XXe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
Au tympan, des scènes de la Passion, début du XVIe siècle : portage de la Croix, Crucifixion, Déploration, Flagellation, Baiser de Juda, le jardin des Oliviers. Lancettes du XIXe siècle, des scènes de la vie du Christ : en bas, de gauche à droite, Résurrection, ne me touche pas ou la rencontre du Christ ressuscité et de Marie-Madeleine, Emmaüs, Ascension ; en hau,t saint Thomas, le tombeau vide, mise au tombeau, le repas chez Emmaüs. Atelier Gsell et Laurent.
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L'église Saint-Gervais.
Au centre, une Vierge de douleur de Jean-Pierre Cortot (1787-1843), entourée des anges adorateurs de Lebœuf-Nanteuil.. La peinture murale au-dessus illustre «Les Œuvres de miséricorde» par Sébastien Norblin de la Gourdaine (1796-1884).
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L'église Saint-Gervais.
La Descente de croix. Groupe sculpté par Edme-Étienne Gois (1765-1836).
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L'église Saint-Gervais.
En haut, histoire de sainte Isabelle et de saint Louis, surmontée par le Père Céleste. A gauche, deuxième enterrement de sainte Isabelle, à droite, miracle de saint Louis devant le cercueil de sa sœur et la prise de Damiette. Début du XVIe siècle. Le bas est moderne.
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L'église Saint-Gervais.
La chapelle de la Vierge. Le retable avec la Vierge à l'Enfant, par Eugène-André Oudiné (1810-1887). La clé de voûte de la chapelle de la Vierge a un diamètre de 2,5 mètres. Ses liernes, tiercerons et petites clés pendantes sont de style gothique, bien que la chapelle ait été achevée en 1517, âge du début de la Renaissance.
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L'église Saint-Gervais.
Dans la chapelle de la Vierge datant de 1517, restaurée par Baltard, on trouve des vitraux réalisés par Jean Chastellain décrivant la vie de la Vierge : au centre, Mariage de la Vierge et la Vierge au Temple. A droite, La Visitation, le doute de Joseph et la Nativité. A gauche, les vitraux consacrés à Anne et Joachim.
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L'église Saint-Gervais.
Une chapelle abrite, à droite, le cénotaphe du chancelier de France Michel Le Tellier, sculpté par Pierre Mazeline (1686) en collaboration avec Simon Hurtrelle. A gauche, les statues de René Potier (1579-1670), premier duc de Tresmes, de son épouse Marguerite de Piney-Luxembourg, et de leur fils Louis, provenant du couvent détruit des Célestins, ont été transférées dans la même chapelle. A gauche, le bas de la peinture murale d'Alexandre Hesseu, la Découverte des corps de saint Gervais et saint Protais.
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L'église Saint-Gervais.
En haut, Sainte Geneviève arrête Attila et les Huns.
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L'église Saint-Gervais.
Vitrail moderne réalisé par le maître verrier Claude Courageux : Moïse et Élie.
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L'église Saint-Gervais.
L'Adoration des Mages. Fin du XVIe - début du XVIIe siècle. La composition a été presque entièrement refaite par Gsell en 1918.
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L'église Saint-Gervais.
A gauche, La Résurrection de Lazare. Partie supérieure : dessin attribué à Jean Cousin, vers 1540-1550. La scène de la Résurrection est presque entièrement moderne. A droite : Partie inférieure : La guérison du paralytique, de Prosper Lafaye, XIXe siècle. Partie supérieure : architecture de la piscine de Béthesda, due à Jean Cousin, vers 1550.
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L'église Saint-Gervais.
Jésus au milieu des Apôtres lavant les pieds de saint Pierre. Premier quart du XVIIe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
Jésus parmi les docteurs de la Loi dans le temple de Jérusalem. (vers 1607). Seul le tympan est d'époque Renaissance. Les quatre lancettes sont modernes (Albert Gsell, 1918).
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L'église Saint-Gervais.
Donation de l'abbaye de Poissy aux Carmes par saint Louis entouré de religieux. Premier quart du XVIIe siècle, verrière très restaurée par Prosper Lafaye en 1865. En haut, à gauche, Voyage de saint Louis vers le mont Carmel, à droit, les moines priant pour le roi.
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L'église Saint-Gervais.
Saint Pierre baptisant le centurion Corneille, et la donatrice en prière. Vers 1620.
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L'église Saint-Gervais.
L'orgue des Couperin. Vitrail moderne réalisé par le maître verrier Claude Courageux : la Jérusalem nouvelle.
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L'église Saint-Gervais.
Tribune de 1628. Grand buffet de 1601, décoré en 1759 par Fichon. Le positif date de 1763. Les ornements et les sculptures sont dus à N. Rebillé, sculpteur du Roy.
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L'église Saint-Gervais.
Il est classé monument historique dans toutes ses parties, étant le spécimen unique à Paris désormais des XVIe et XVIIe siècles.
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L'église Saint-Gervais.
«Le Martyre de saint Pétronille» par Barbieri Giovanni (dit le Gerchin), XVIIe siècle.
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L'église Saint-Gervais.
L'Adoration des Mages, Claude Vignon (1593-1670).
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L'église Saint-Gervais.
Jésus chez Marthe et Marie (XVIIe siècle). Le souci du détail réaliste, le coloris, la figure de Marie à la physionomie si particulière, font songer à un artiste du Nord et plus vraisemblablement flamand fixé à Paris.
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L'église Saint-Gervais.
A l'entrée de la chapelle conduisant à la sacristie, se trouve une porte en fer-forgé réalisée en 1741 par le serrurier Valet.
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L'église Saint-Gervais.
A l'entrée de la chapelle conduisant à la sacristie, se trouve une porte en fer-forgé réalisée en 1741 par le serrurier Valet.
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L'église Saint-Gervais.
La chaire, de facture assez simple, comporte des panneaux avec des bas-reliefs en bois ainsi que quatre statues de Charles-François Lebœuf-Nanteuil (1792-1865) et Charles-René Laitié (1872-1862), représentant les Évangélistes associés aux quatre figures du Tétramorphe : Saint Marc, Saint Jean, Saint Mathieu et Saint Luc.. La cuve est ornée de trois bas-reliefs en bois représentant les vertus théologales : à gauche, l'Espérance, au centre, la Charité, à droite, la Foi.