Paris 2011

L'église Saint-Etienne-du-Mont, congrégation du Saint-Esprit, cathédrale Notre-Dame-du-Liban.

<center>Place du Panthéon. </center> A gauche se trouve la bibliothèque Sainte-Geneviève. Construite par Labrouste de 1844 à 1850, elle occupe l’emplacement d’un des plus célèbres collège da la montagne Sainte-Geneviève, connu surtout pour la sévérité de sa règle, le collège de Montaigu, fondé au XIV siècle, et où  Erasme, Calvin et Ignace de Loyola firent une partie de leurs humanités. Puis, au fond, l'église Saint-Étienne-du-Mont de la fin du XVe et le  lycée Henri IV, où fut enterré Clovis, et sa tour du XIIe.
Place du Panthéon.
A gauche se trouve la bibliothèque Sainte-Geneviève. Construite par Labrouste de 1844 à 1850, elle occupe l’emplacement d’un des plus célèbres collège da la montagne Sainte-Geneviève, connu surtout pour la sévérité de sa règle, le collège de Montaigu, fondé au XIV siècle, et où Erasme, Calvin et Ignace de Loyola firent une partie de leurs humanités. Puis, au fond, l'église Saint-Étienne-du-Mont de la fin du XVe et le lycée Henri IV, où fut enterré Clovis, et sa tour du XIIe.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>A l’origine, se trouvait l’église des saints Apôtres Pierre et Paul, construite sous le règne de Clovis et où furent enterrés le roi lui-même, son épouse Clotilde et sainte Geneviève. Elle devint au moyen âge, l’importante abbaye royale du même nom.
Au cours du XIIIe siècle, l’église de l’abbaye qui servait aux habitants du quartier devint insuffisante et un second édifice fut édifié sous le patronage de saint Étienne, le premier des martyrs. Cette dernière fut elle-même reconstruite de 1492 à 1626, dans le contexte troublé des guerres de religion.
Saint-Etienne-du-Mont
A l’origine, se trouvait l’église des saints Apôtres Pierre et Paul, construite sous le règne de Clovis et où furent enterrés le roi lui-même, son épouse Clotilde et sainte Geneviève. Elle devint au moyen âge, l’importante abbaye royale du même nom. Au cours du XIIIe siècle, l’église de l’abbaye qui servait aux habitants du quartier devint insuffisante et un second édifice fut édifié sous le patronage de saint Étienne, le premier des martyrs. Cette dernière fut elle-même reconstruite de 1492 à 1626, dans le contexte troublé des guerres de religion.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>En 1492, les moines génovéfains font don d'une partie de leurs terres pour la construction de la nouvelle église. Celle-ci se déroule en plusieurs étapes, donnant au bâtiment actuel un aspect composite. Sous la direction de l'architecte Étienne Viguier, l'abside et le clocher sont ébauchés en 1494 ; les deux premières cloches sont fondues en 1500.
Saint-Etienne-du-Mont
En 1492, les moines génovéfains font don d'une partie de leurs terres pour la construction de la nouvelle église. Celle-ci se déroule en plusieurs étapes, donnant au bâtiment actuel un aspect composite. Sous la direction de l'architecte Étienne Viguier, l'abside et le clocher sont ébauchés en 1494 ; les deux premières cloches sont fondues en 1500.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>L'église est couronnée par un haut clocher, surmonté d'un lanternon.
Saint-Etienne-du-Mont
L'église est couronnée par un haut clocher, surmonté d'un lanternon.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le haut pinacle gothique.
Saint-Etienne-du-Mont
Le haut pinacle gothique.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> Les pots-à-feu.
Saint-Etienne-du-Mont
Les pots-à-feu.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> Les pots-à-feu.
Saint-Etienne-du-Mont
Les pots-à-feu.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> Les gargouilles.
Saint-Etienne-du-Mont
Les gargouilles.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> Les gargouilles.
Saint-Etienne-du-Mont
Les gargouilles.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La façade (édifiée de 1610 à 1622) est à l’extérieur l’élément le plus singulier : c’est un ensemble harmonieux où un décor Renaissance, unique à Paris sinon en France, s’intègre à une structure héritée du Moyen Age, tripartite et élevée. Au premier niveau, le portail évoque un temple grec ; au sommet, l’ensemble se termine par un haut pinacle gothique. Cette façade a été restaurée au XIXème siècle par l’architecte Baltard qui refit la statuaire détruite à la Révolution.
Saint-Etienne-du-Mont
La façade (édifiée de 1610 à 1622) est à l’extérieur l’élément le plus singulier : c’est un ensemble harmonieux où un décor Renaissance, unique à Paris sinon en France, s’intègre à une structure héritée du Moyen Age, tripartite et élevée. Au premier niveau, le portail évoque un temple grec ; au sommet, l’ensemble se termine par un haut pinacle gothique. Cette façade a été restaurée au XIXème siècle par l’architecte Baltard qui refit la statuaire détruite à la Révolution.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le premier niveau de la façade. Saint-Etienne par Joseph-Marius Ramus (1805-1888).
Saint-Etienne-du-Mont
Le premier niveau de la façade. Saint-Etienne par Joseph-Marius Ramus (1805-1888).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le premier niveau de la façade. Sainte Geneviève, par Pierre Hébert (1804-1869).
Saint-Etienne-du-Mont
Le premier niveau de la façade. Sainte Geneviève, par Pierre Hébert (1804-1869).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le premier niveau de la façade. Le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863), fronton de la grande porte de l'église. Dans le fronton, la Résurrection du Christ date de 1862. Œuvre d'Auguste-Hyacinthe de Bay (1804-1865).
Saint-Etienne-du-Mont
Le premier niveau de la façade. Le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863), fronton de la grande porte de l'église. Dans le fronton, la Résurrection du Christ date de 1862. Œuvre d'Auguste-Hyacinthe de Bay (1804-1865).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863), fronton de la grande porte de l'église.
Saint-Etienne-du-Mont
Le martyre de saint Étienne, par Gabriel-Jules Thomas (1863), fronton de la grande porte de l'église.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le deuxième niveau de la façade. La rose est encadrée par une Annonciation : l'ange Gabriel et la Vierge. Ces deux statues  sont de Joseph Felon, 1862. Les armes sont celles de la Navarre et de la France.
Saint-Etienne-du-Mont
Le deuxième niveau de la façade. La rose est encadrée par une Annonciation : l'ange Gabriel et la Vierge. Ces deux statues sont de Joseph Felon, 1862. Les armes sont celles de la Navarre et de la France.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La structure générale est celle d’une église «halle», longue de 69 mètres et large de 25,5 mètres : le transept n’est pas saillant à l’extérieur, les bas-côtés sont très hauts. Le choeur est légèrement décalé par rapport à la nef.
Saint-Etienne-du-Mont
La structure générale est celle d’une église «halle», longue de 69 mètres et large de 25,5 mètres : le transept n’est pas saillant à l’extérieur, les bas-côtés sont très hauts. Le choeur est légèrement décalé par rapport à la nef.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>A l’intérieur, on constate l’évolution progressive du style : sur un plan gothique d’origine, la décoration passe des arcs en ogive du choeur, à ceux en plein cintre de la nef avec une ornementation renaissance de plus en plus présente. Une élégante coursive fait le tour de l’église.
Saint-Etienne-du-Mont
A l’intérieur, on constate l’évolution progressive du style : sur un plan gothique d’origine, la décoration passe des arcs en ogive du choeur, à ceux en plein cintre de la nef avec une ornementation renaissance de plus en plus présente. Une élégante coursive fait le tour de l’église.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La clé de voûte est caractéristique de ce mélange des influences,  art gothique et ornementation Renaissance. A son extrémité des putti portent l'Agneau de Dieu avec l'étendard du Christ. Entre les nervures, les symboles des évangélistes et des médaillons portant leur nom.
Saint-Etienne-du-Mont
La clé de voûte est caractéristique de ce mélange des influences, art gothique et ornementation Renaissance. A son extrémité des putti portent l'Agneau de Dieu avec l'étendard du Christ. Entre les nervures, les symboles des évangélistes et des médaillons portant leur nom.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Élément remarquable de l’église, le jubé construit au début du XVIème siècle, est le seul subsistant à Paris.
Au Moyen Age, le jubé est à la fois une barrière séparant le chœur, où se tiennent les religieux et les chanoines, de la nef où sont les simples laïcs, et une tribune d’où est proclamée la Sainte Parole (d’où son nom, correspondant au début de la prière par laquelle le lecteur demandait la bénédiction au prêtre : «jube, domine, benedicere…» : «Daigne me bénir, Seigneur…»).
Avec la volonté de rendre le déroulement des cérémonies de la messe visible pour tous, la plupart des jubés disparaissent au XVIIIème siècle. Ce jubé allie une structure gothique interne et une ornementation pleinement Renaissance. La balustrade est un entrelac de dentelle de pierre, sculpté dans du calcaire de Saint-Leu. Il a été construit entre 1525 et 1535, probablement par Antoine Beaucorps, sur les dessins de Philibert de l'Orme. Le beau Christ en croix qui surmonte le jubé, oeuvre de Ulrich de Grienewald, provient de la chapelle de l’Ecole polytechnique, supprimée en 1830.
Saint-Etienne-du-Mont
Élément remarquable de l’église, le jubé construit au début du XVIème siècle, est le seul subsistant à Paris. Au Moyen Age, le jubé est à la fois une barrière séparant le chœur, où se tiennent les religieux et les chanoines, de la nef où sont les simples laïcs, et une tribune d’où est proclamée la Sainte Parole (d’où son nom, correspondant au début de la prière par laquelle le lecteur demandait la bénédiction au prêtre : «jube, domine, benedicere…» : «Daigne me bénir, Seigneur…»). Avec la volonté de rendre le déroulement des cérémonies de la messe visible pour tous, la plupart des jubés disparaissent au XVIIIème siècle. Ce jubé allie une structure gothique interne et une ornementation pleinement Renaissance. La balustrade est un entrelac de dentelle de pierre, sculpté dans du calcaire de Saint-Leu. Il a été construit entre 1525 et 1535, probablement par Antoine Beaucorps, sur les dessins de Philibert de l'Orme. Le beau Christ en croix qui surmonte le jubé, oeuvre de Ulrich de Grienewald, provient de la chapelle de l’Ecole polytechnique, supprimée en 1830.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Deux escaliers à claire voie s’enroulent autour des piliers, desservant à la fois le jubé et la coursive, dont la fonction exacte, autre que décorative, n’est pas bien établie.
Saint-Etienne-du-Mont
Deux escaliers à claire voie s’enroulent autour des piliers, desservant à la fois le jubé et la coursive, dont la fonction exacte, autre que décorative, n’est pas bien établie.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Les portes latérales (1600-1605) seraient de Pierre Biard, un des sculpteurs de la Grande Galerie du Louvre.
Saint-Etienne-du-Mont
Les portes latérales (1600-1605) seraient de Pierre Biard, un des sculpteurs de la Grande Galerie du Louvre.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>
Saint-Etienne-du-Mont
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé.
Saint-Etienne-du-Mont
Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé.
Saint-Etienne-du-Mont
Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé. les sculptures du jubé, dont les deux figures de jeunes hommes aux regards extatiques surmontant les portes menant au chœur, sont sûrement de Pierre Biard l'Aîné.
Saint-Etienne-du-Mont
Ange surmontant l’un des portails latéraux du Jubé. les sculptures du jubé, dont les deux figures de jeunes hommes aux regards extatiques surmontant les portes menant au chœur, sont sûrement de Pierre Biard l'Aîné.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> Pilier de la nef avec la coursive et les croisées d'ogives de la voûte.
Saint-Etienne-du-Mont
Pilier de la nef avec la coursive et les croisées d'ogives de la voûte.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Saint-Etienne possède un des ensembles les plus complets des églises parisiennes. Celui-ci couvre en continu la période du début du XVIème siècle au premier quart du XVIIème siècle, moment où l’art du vitrail plonge dans une longue éclipse qui se prolongera jusqu’au XXème siècle. Fait exceptionnel, la plupart des vitraux sont à leur place d’origine. Les meilleurs artistes du moment y ont collaboré.
Les vitraux du déambulatoire sont datés de la construction même de cette partie de l’édifice et témoignent de la volonté de l’orner immédiatement.
Saint-Etienne-du-Mont
Saint-Etienne possède un des ensembles les plus complets des églises parisiennes. Celui-ci couvre en continu la période du début du XVIème siècle au premier quart du XVIIème siècle, moment où l’art du vitrail plonge dans une longue éclipse qui se prolongera jusqu’au XXème siècle. Fait exceptionnel, la plupart des vitraux sont à leur place d’origine. Les meilleurs artistes du moment y ont collaboré. Les vitraux du déambulatoire sont datés de la construction même de cette partie de l’édifice et témoignent de la volonté de l’orner immédiatement.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Vitrail de la vie de Saint Etienne par Nicolas Beaurain 1542 : au centre, il est nommé  diacre,  il prêche à la foule, il défend sa foi devanr le Sanhédrin, il est condamné ; en bas, au centre, la lapidation, à droite, les animaux sauvages gardent le corps du saint, tandis que l’âme de St Etienne monte au Ciel, le lendemain, des amis l'emportent pour l'enterrer.  Au tympan, Étienne est accueilli par la Trinité.
Saint-Etienne-du-Mont
Vitrail de la vie de Saint Etienne par Nicolas Beaurain 1542 : au centre, il est nommé diacre, il prêche à la foule, il défend sa foi devanr le Sanhédrin, il est condamné ; en bas, au centre, la lapidation, à droite, les animaux sauvages gardent le corps du saint, tandis que l’âme de St Etienne monte au Ciel, le lendemain, des amis l'emportent pour l'enterrer. Au tympan, Étienne est accueilli par la Trinité.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le vitrail du Très-Saint-Nom-de-Jésus par Jacques Chastellain, 1540. En haut, Baptême à gauche et Transfiguration du Christ à droite. Au centre, la lancette est peuplée d'anges porteurs de phylactères à la gloire du Sauveur. En bas, La Lapidation de saint Étienne. Sur la gauche, se tient le donateur en prières. Au tympan, une Trinité., entoura,t un globe : Jésus à gauche, Dieu le père à droite et l'Esprit Saint (une colombe) au-dessus.
Saint-Etienne-du-Mont
Le vitrail du Très-Saint-Nom-de-Jésus par Jacques Chastellain, 1540. En haut, Baptême à gauche et Transfiguration du Christ à droite. Au centre, la lancette est peuplée d'anges porteurs de phylactères à la gloire du Sauveur. En bas, La Lapidation de saint Étienne. Sur la gauche, se tient le donateur en prières. Au tympan, une Trinité., entoura,t un globe : Jésus à gauche, Dieu le père à droite et l'Esprit Saint (une colombe) au-dessus.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament,  1866., par l'atelier parisien de Joseph Félon. En bas, des scènes du début de la vie de Jésus : la Nativité, les massacre des Innocents, la fuite en Egypte. En haut, Adam et Eve chassés du Paradis et le Calvaire. Dans le tympan : la Trinité.
Saint-Etienne-du-Mont
Scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament, 1866., par l'atelier parisien de Joseph Félon. En bas, des scènes du début de la vie de Jésus : la Nativité, les massacre des Innocents, la fuite en Egypte. En haut, Adam et Eve chassés du Paradis et le Calvaire. Dans le tympan : la Trinité.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Ce buffet du grand orgue fut construit et sculpté en 1631 par Jehan Buron, maître menuisier. C’est le plus ancien de Paris et, de plus, il nous est parvenu dans son état d’origine. Parmi les facteurs d’orgue ayant travaillé à Saint-Etienne du Mont citons : Pierre Pescheur, auteur de l’instrument d’origine (1636) dont il ne reste rien, François-Henri Cliquot (1772), et Cavaillé Coll (1863).
Saint-Etienne-du-Mont
Ce buffet du grand orgue fut construit et sculpté en 1631 par Jehan Buron, maître menuisier. C’est le plus ancien de Paris et, de plus, il nous est parvenu dans son état d’origine. Parmi les facteurs d’orgue ayant travaillé à Saint-Etienne du Mont citons : Pierre Pescheur, auteur de l’instrument d’origine (1636) dont il ne reste rien, François-Henri Cliquot (1772), et Cavaillé Coll (1863).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Seule une partie des 7.000 tuyaux, allant de 3 mm à 5,5 m de haut, est visible. Harpie soutenant la tourelle sud de l'orgue de tribune.
Saint-Etienne-du-Mont
Seule une partie des 7.000 tuyaux, allant de 3 mm à 5,5 m de haut, est visible. Harpie soutenant la tourelle sud de l'orgue de tribune.
32
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Harpie soutenant la tourelle sud de l'orgue de tribune. Le panneau à gauche : le cantique des Hébreux après la victoire sur Pharaon.
Saint-Etienne-du-Mont
Harpie soutenant la tourelle sud de l'orgue de tribune. Le panneau à gauche : le cantique des Hébreux après la victoire sur Pharaon.
33
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le Christ ressuscité et anges sur les tourelles ; deux anges adolescents sur l'entablement des plates-faces.
Saint-Etienne-du-Mont
Le Christ ressuscité et anges sur les tourelles ; deux anges adolescents sur l'entablement des plates-faces.
34
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La chaire en boisde chêne  sculpté, réalisée vers 1640 par Claude Lestocart sur les dessins de Laurent de La Hyre. Sur l'abat-son, un ange trompettiste.
Saint-Etienne-du-Mont
La chaire en boisde chêne sculpté, réalisée vers 1640 par Claude Lestocart sur les dessins de Laurent de La Hyre. Sur l'abat-son, un ange trompettiste.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> LLa chaire est supportée par un personnage debout sur un lion étendu, tenant dans sa main droite une mâchoire d'âne : il s'agit donc de Samson, personnage biblique doué d'une force légendaire, qui a terrassé un lion (Livre des Juges 14, 6) et tué un millier de Philistins avec une mâchoire d'âne (Livre des Juges 15, 14-17).
Saint-Etienne-du-Mont
LLa chaire est supportée par un personnage debout sur un lion étendu, tenant dans sa main droite une mâchoire d'âne : il s'agit donc de Samson, personnage biblique doué d'une force légendaire, qui a terrassé un lion (Livre des Juges 14, 6) et tué un millier de Philistins avec une mâchoire d'âne (Livre des Juges 15, 14-17).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Les panneaux qui entourent la chaire racontent l’histoire de saint Etienne, alternant avec des ovales représentant les évangélistes et deux grands Docteurs de l’Eglise, saint Jérôme et saint Augustin.
Saint-Etienne-du-Mont
Les panneaux qui entourent la chaire racontent l’histoire de saint Etienne, alternant avec des ovales représentant les évangélistes et deux grands Docteurs de l’Eglise, saint Jérôme et saint Augustin.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Les sept statues féminines autour de la cuve, inspirées de la sculpture classique, représentent les vertus cardinales et théologales. L'ensemble des sculptures et des bas-reliefs sont sans doute de Claude Lestocard. La Force (vertu cardinale) et la Charité (vertu théologale) entourent le bas-relief où saint Étienne est appréhendé par ses persécuteurs.
Saint-Etienne-du-Mont
Les sept statues féminines autour de la cuve, inspirées de la sculpture classique, représentent les vertus cardinales et théologales. L'ensemble des sculptures et des bas-reliefs sont sans doute de Claude Lestocard. La Force (vertu cardinale) et la Charité (vertu théologale) entourent le bas-relief où saint Étienne est appréhendé par ses persécuteurs.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Les sculptures sont de Lestocard (élève de Sarazin) qui travailla sur des dessins de La Hire. L'Espérance (vertu théologale) et la Tempérance (vertu cardinale) de part et d'autre desaint Luc..
Saint-Etienne-du-Mont
Les sculptures sont de Lestocard (élève de Sarazin) qui travailla sur des dessins de La Hire. L'Espérance (vertu théologale) et la Tempérance (vertu cardinale) de part et d'autre desaint Luc..
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La Prudence (vertu cardinale), la Justice (vertu cardinale), la Foi (vertu théologale). Saint Marc
Saint-Etienne-du-Mont
La Prudence (vertu cardinale), la Justice (vertu cardinale), la Foi (vertu théologale). Saint Marc
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Les fonts Baptismaux.
Saint-Etienne-du-Mont
Les fonts Baptismaux.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La Déploration sur le corps du Christ par Amélie Legrand de Saint-Aubin, 1827.
Saint-Etienne-du-Mont
La Déploration sur le corps du Christ par Amélie Legrand de Saint-Aubin, 1827.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle de la sainte Famille. Jésus enfant prêchant devant la Vierge, saint Joseph, sainte Anne et saint Joachim, anonyme, XVIIe siècle.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle de la sainte Famille. Jésus enfant prêchant devant la Vierge, saint Joseph, sainte Anne et saint Joachim, anonyme, XVIIe siècle.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle de la sainte Famille. Vierge à l'Enfant entre saint Pierre et sainte Lucie (vers 1508), par H. Mazzola.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle de la sainte Famille. Vierge à l'Enfant entre saint Pierre et sainte Lucie (vers 1508), par H. Mazzola.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle du Sépulcre. Mise au tombeau, provenant, de l'église Saint- Benoit-le-Bétourné, XVIe siècle. de gauche à droite :  Nicodème, Marie-Salomé ou Marie Jacobé, Marie-Madeleine, Marie, saint Jean,  Marie-Salomé ou Marie Jacobé, Joseph d’Arimathie.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle du Sépulcre. Mise au tombeau, provenant, de l'église Saint- Benoit-le-Bétourné, XVIe siècle. de gauche à droite : Nicodème, Marie-Salomé ou Marie Jacobé, Marie-Madeleine, Marie, saint Jean, Marie-Salomé ou Marie Jacobé, Joseph d’Arimathie.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle du Crucifix. Vitrail, 1568, La Parabole des conviés aux noces 1568.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle du Crucifix. Vitrail, 1568, La Parabole des conviés aux noces 1568.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle du Crucifix. Les Neuf Chœurs des Anges, peinture de L. Licherie, 1679
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle du Crucifix. Les Neuf Chœurs des Anges, peinture de L. Licherie, 1679
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle du Crucifix. Le Christ en croix avec Marie-Madeleine, anonyme. XVIIe siècle.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle du Crucifix. Le Christ en croix avec Marie-Madeleine, anonyme. XVIIe siècle.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle des Fonts Baptismaux. Peintures de Th. Caruelle. d'Aligny, 1850. Saint Jean-Baptiste prêchant dans le désert. La statue est un Saint Jean-Baptiste enfant de Joseph-Marius Ramus.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle des Fonts Baptismaux. Peintures de Th. Caruelle. d'Aligny, 1850. Saint Jean-Baptiste prêchant dans le désert. La statue est un Saint Jean-Baptiste enfant de Joseph-Marius Ramus.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle des Fonts Baptismaux. Peintures de Th. Caruelle. d'Aligny, 1850. Le Baptême du Christ. Deux médaillons. Jésus dans la crèche (à droite), la Sainte famille (à gauche).
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle des Fonts Baptismaux. Peintures de Th. Caruelle. d'Aligny, 1850. Le Baptême du Christ. Deux médaillons. Jésus dans la crèche (à droite), la Sainte famille (à gauche).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle du Sépulcre. L'Adoration ces Bergers, 1748, par J. de Santerre.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle du Sépulcre. L'Adoration ces Bergers, 1748, par J. de Santerre.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle du Sépulcre. Le Christ en croix entre  Aristote, la Vierge, Saint Jean, Saint Louis, Louis XIII, anonyme, XVIIe siècle.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle du Sépulcre. Le Christ en croix entre Aristote, la Vierge, Saint Jean, Saint Louis, Louis XIII, anonyme, XVIIe siècle.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle Saint Bernard. Saint Bernard par François-Vincent Latil, vers 1825, d'après Ph. de Champaigne
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle Saint Bernard. Saint Bernard par François-Vincent Latil, vers 1825, d'après Ph. de Champaigne
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle Saint Bernard. Le Jugement Dernier, 1605, attribué à M Fréminet.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle Saint Bernard. Le Jugement Dernier, 1605, attribué à M Fréminet.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle Saint Charles Borromée. Saint  Charles Borromée distribuant des aumônes, 1627, peinture par J. Maressal et Q. Varin ( ?)
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle Saint Charles Borromée. Saint Charles Borromée distribuant des aumônes, 1627, peinture par J. Maressal et Q. Varin ( ?)
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle Saint Charles Borromée. La Manne dans le désert, peinture de l’entourage de PH. de Champaigne.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle Saint Charles Borromée. La Manne dans le désert, peinture de l’entourage de PH. de Champaigne.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La Cène, l'incrédulité de Saint Thomas,  la Résurrection. En haut, le Christ entouré de la Foi et de l'Espérance. 1889, Atelier Charles Champigneulle.
Saint-Etienne-du-Mont
La Cène, l'incrédulité de Saint Thomas, la Résurrection. En haut, le Christ entouré de la Foi et de l'Espérance. 1889, Atelier Charles Champigneulle.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La chapelle Sainte-Geneviève.
Les reliques de la sainte ayant été brûlées pendant la Révolution de 1789 par la municipalité parisienne, et la châsse fondue, l’église accueille depuis le début du XIXe siècle des reliques de la sainte qui avaient été conservées dans d’autres églises depuis le IXe siècle. La grande châsse actuelle contient les pierres subsistantes du sarcophage d’origine où son corps avait été placé. La petite Chasse, par Favier 1895, contient un doigt de la sainte.
Saint-Etienne-du-Mont
La chapelle Sainte-Geneviève. Les reliques de la sainte ayant été brûlées pendant la Révolution de 1789 par la municipalité parisienne, et la châsse fondue, l’église accueille depuis le début du XIXe siècle des reliques de la sainte qui avaient été conservées dans d’autres églises depuis le IXe siècle. La grande châsse actuelle contient les pierres subsistantes du sarcophage d’origine où son corps avait été placé. La petite Chasse, par Favier 1895, contient un doigt de la sainte.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La chapelle, réalisée en 1853  par le père jésuite Arthur Martin, est un bel exemple de style néo-gothique. Les vitraux (1869) retracent l’histoire de la sainte, dont la mémoire est toujours entretenue. La pierre tombale est recouverte d'un manteau d'orfèvrerie, que surmonte un élégant ciborium, où l'on voit d'un côté les vierges sages et les vierges folles de l'Évangile, et de l'autre saint Siméon Stylite, priant sainte Geneviève du fond de la Thébaïde.
Saint-Etienne-du-Mont
La chapelle, réalisée en 1853 par le père jésuite Arthur Martin, est un bel exemple de style néo-gothique. Les vitraux (1869) retracent l’histoire de la sainte, dont la mémoire est toujours entretenue. La pierre tombale est recouverte d'un manteau d'orfèvrerie, que surmonte un élégant ciborium, où l'on voit d'un côté les vierges sages et les vierges folles de l'Évangile, et de l'autre saint Siméon Stylite, priant sainte Geneviève du fond de la Thébaïde.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Saint Etienne.
Saint-Etienne-du-Mont
Saint Etienne.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La châsse, qui entoure la pierre tombale est du XIXe siècle, a été réalisée par Poussielgue en 1815, puisque les reliques de la sainte ont été brûlées sous la Terreur.
Saint-Etienne-du-Mont
La châsse, qui entoure la pierre tombale est du XIXe siècle, a été réalisée par Poussielgue en 1815, puisque les reliques de la sainte ont été brûlées sous la Terreur.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Châsse de sainte Geneviève.
Saint-Etienne-du-Mont
Châsse de sainte Geneviève.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>L'autel, en style du XIVe siècle, est surmonté de la statue de sainte Geneviève, par Achille Valois, tenant les clefs de la ville, elle est ainsi désignée comme patronne de la ville. Aux pieds de la statue est une châsse dorée, où sont déposés trois reliquaires contenant des reliques de la sainte. En bas, les statues de Saint Louis, tenant la couronne d'épines, saint Martin, ?, saint Denis, ?.
Saint-Etienne-du-Mont
L'autel, en style du XIVe siècle, est surmonté de la statue de sainte Geneviève, par Achille Valois, tenant les clefs de la ville, elle est ainsi désignée comme patronne de la ville. Aux pieds de la statue est une châsse dorée, où sont déposés trois reliquaires contenant des reliques de la sainte. En bas, les statues de Saint Louis, tenant la couronne d'épines, saint Martin, ?, saint Denis, ?.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> Un ange présenteun écusson ave l'effigie de saint Genevieve.
Saint-Etienne-du-Mont
Un ange présenteun écusson ave l'effigie de saint Genevieve.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>
Saint-Etienne-du-Mont
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Saint Augustin.
Saint-Etienne-du-Mont
Saint Augustin.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Vitrail de Sainte Geneviève : procession de la chasse de Sainte Geneviève. Vitrail réalisé en 1882 d'Édouard Didro ; en arrière-plan, à droite de l'église saint-Étienne, l'ancienne église abbatiale Sainte-Geneviève avant sa destruction en 1802, avec son clocher qui est devenu la tour Clovis.
Saint-Etienne-du-Mont
Vitrail de Sainte Geneviève : procession de la chasse de Sainte Geneviève. Vitrail réalisé en 1882 d'Édouard Didro ; en arrière-plan, à droite de l'église saint-Étienne, l'ancienne église abbatiale Sainte-Geneviève avant sa destruction en 1802, avec son clocher qui est devenu la tour Clovis.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Vitraux : la vie de Sainte Geneviève. Riquier et Steinheil, 1868-1877. A gauche, enfance de Sainte Geneviève. De gauche à droite : Geneviève est bénie par les évêques d'Auxerre et de Troyes ; elle guérit miraculeusement la cécité de sa mère ; elle reçoit le voile des vierges consacrées ; elle subit l'épreuve mystique du rêve d'enfer. A droite, vie de Sainte Geneviève. Elle distribue le pain aux Parisiens ; elle révèle aux ouvriers l'existence de fours à chaux pour construire la basilique Saint-Denis ; elle rallume en route un cierge éteint par un démon ; mort de la sainte.
Saint-Etienne-du-Mont
Vitraux : la vie de Sainte Geneviève. Riquier et Steinheil, 1868-1877. A gauche, enfance de Sainte Geneviève. De gauche à droite : Geneviève est bénie par les évêques d'Auxerre et de Troyes ; elle guérit miraculeusement la cécité de sa mère ; elle reçoit le voile des vierges consacrées ; elle subit l'épreuve mystique du rêve d'enfer. A droite, vie de Sainte Geneviève. Elle distribue le pain aux Parisiens ; elle révèle aux ouvriers l'existence de fours à chaux pour construire la basilique Saint-Denis ; elle rallume en route un cierge éteint par un démon ; mort de la sainte.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Ex-voto des échevins par Nicolas de Largillière 1696.
Saint-Etienne-du-Mont
Ex-voto des échevins par Nicolas de Largillière 1696.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Au dessus de la porte de la chapelle du sacré-Coeur, des ex-voto à sainte Geneviève. Vitrail : scènes de la vie de la Sainte.
Saint-Etienne-du-Mont
Au dessus de la porte de la chapelle du sacré-Coeur, des ex-voto à sainte Geneviève. Vitrail : scènes de la vie de la Sainte.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>A gauche, le mariage de Marie et de Joseph, et, au sommet, la Nativité. A droite, la mort de Joseph., et au sommet, la sainte Famille dans l'atelier de Joseph. Par Carlo Pizagalli 1894.
Saint-Etienne-du-Mont
A gauche, le mariage de Marie et de Joseph, et, au sommet, la Nativité. A droite, la mort de Joseph., et au sommet, la sainte Famille dans l'atelier de Joseph. Par Carlo Pizagalli 1894.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center> A gauche, la Résurrection du Christ (2e ou 3e quart du XVIe siècle). A droite, les Quatre Saints (et les donateurs), 1586. Ce sont les saints patrons de la famille Bouchinet (saint Nicolas, saint Jean-Baptiste, saint Olivier et sainte Agnès).
Saint-Etienne-du-Mont
A gauche, la Résurrection du Christ (2e ou 3e quart du XVIe siècle). A droite, les Quatre Saints (et les donateurs), 1586. Ce sont les saints patrons de la famille Bouchinet (saint Nicolas, saint Jean-Baptiste, saint Olivier et sainte Agnès).
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>A gauche, l'Arbre de Jessé, 1858, atelier Laurent Gsell. A droite, la Vierge des Litanies, attribuée à Nicolas Pinaigrier, vers 1586.
Saint-Etienne-du-Mont
A gauche, l'Arbre de Jessé, 1858, atelier Laurent Gsell. A droite, la Vierge des Litanies, attribuée à Nicolas Pinaigrier, vers 1586.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle de la Vierge. A gauche, la mort de la Vierge par Alexandre Caminade 1833. A droite, l'adoration des rois mages toile marouflée par Alexandre Caminade 1833. Au centre, la Vierge à l'Enfant, marbre, par Denis Foyatier 1793-1863.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle de la Vierge. A gauche, la mort de la Vierge par Alexandre Caminade 1833. A droite, l'adoration des rois mages toile marouflée par Alexandre Caminade 1833. Au centre, la Vierge à l'Enfant, marbre, par Denis Foyatier 1793-1863.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle de la Vierge. La Visitation, d'A.F Caminade de 1838.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle de la Vierge. La Visitation, d'A.F Caminade de 1838.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle de la Vierge. L'Annonciation, d'A.F Caminade de 1838.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle de la Vierge. L'Annonciation, d'A.F Caminade de 1838.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Entrée de la chapelle de la Vierge. Sur le pilier de gauche, une plaque indique que Jean Racine mort le 21 avril 1699 a d'abord été inhumé à sa demande à Port-Royal des Champs, puis fut selon les désirs de sa veuve transporté ici le 2 décembre 1715.
Saint-Etienne-du-Mont
Entrée de la chapelle de la Vierge. Sur le pilier de gauche, une plaque indique que Jean Racine mort le 21 avril 1699 a d'abord été inhumé à sa demande à Port-Royal des Champs, puis fut selon les désirs de sa veuve transporté ici le 2 décembre 1715.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Entrée de la chapelle de la Vierge. Sur le pilier de droite, une plaque rappelle que Blaise Pascal mort le 19 août 1662 sur le territoire de la paroisse est inhumé ici.
Saint-Etienne-du-Mont
Entrée de la chapelle de la Vierge. Sur le pilier de droite, une plaque rappelle que Blaise Pascal mort le 19 août 1662 sur le territoire de la paroisse est inhumé ici.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Bas coté gauche. Martyre de St Etienne, par  Jammot, 1866.
Saint-Etienne-du-Mont
Bas coté gauche. Martyre de St Etienne, par Jammot, 1866.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Bas coté gauche. La chapelle Saint-Louis. Fragments d'une parenté de la Vierge au registre supérieur. Couronnement de la Vierge au tympan. Buste de Pascal, par J. Frère, 1899..
Saint-Etienne-du-Mont
Bas coté gauche. La chapelle Saint-Louis. Fragments d'une parenté de la Vierge au registre supérieur. Couronnement de la Vierge au tympan. Buste de Pascal, par J. Frère, 1899..
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle des catéchismes, construite par Baltard en 1857. Sous Louis-Philippe, l'épiscopat redonna vigueur à l'enseignement de la religion aux enfants. Plusieurs églises parisiennes se virent ainsi adjoindre une chapelle des catéchismes. Sur la voûte, la Sainte Trinité par Victor-François Biennoury, vers 1867.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle des catéchismes, construite par Baltard en 1857. Sous Louis-Philippe, l'épiscopat redonna vigueur à l'enseignement de la religion aux enfants. Plusieurs églises parisiennes se virent ainsi adjoindre une chapelle des catéchismes. Sur la voûte, la Sainte Trinité par Victor-François Biennoury, vers 1867.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle des catéchismes. La chapelle a été construite sous Napoléon III, par Victor Baltard en 1857. Le mur de la galerie des charniers qui a été percé de quatre arcades, ouvre sur une grande salle en arc de cercle. Elle est décorée de six toiles marouflées d'artistes du XIXe siècle, d'un retable de la Vierge et de vitraux de l'atelier Laurent-Gsell.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle des catéchismes. La chapelle a été construite sous Napoléon III, par Victor Baltard en 1857. Le mur de la galerie des charniers qui a été percé de quatre arcades, ouvre sur une grande salle en arc de cercle. Elle est décorée de six toiles marouflées d'artistes du XIXe siècle, d'un retable de la Vierge et de vitraux de l'atelier Laurent-Gsell.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle des catéchismes. A gauche, Présentation de Marie au Temple.
Toile marouflée de Charles Timbal (1864). Au centre, Sermon sur la montagne par Charles Timbal 1864.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle des catéchismes. A gauche, Présentation de Marie au Temple. Toile marouflée de Charles Timbal (1864). Au centre, Sermon sur la montagne par Charles Timbal 1864.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Chapelle des catéchismes. A gauche, La Pentecôte, toile marouflée par Félix-Henri Giacomotti (1864). Au centre, Jésus bénissant les enfants. Toile marouflée de Félix-François Giacomotti (1864). A droite, Jésus au milieu des docteurs par FH Giacometti 1864.
Saint-Etienne-du-Mont
Chapelle des catéchismes. A gauche, La Pentecôte, toile marouflée par Félix-Henri Giacomotti (1864). Au centre, Jésus bénissant les enfants. Toile marouflée de Félix-François Giacomotti (1864). A droite, Jésus au milieu des docteurs par FH Giacometti 1864.
87
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La galerie dite « du cloître du charnier ». (Le charnier est un ancien petit cimetière). Les vitraux de la galerie du «cloître du charnier» ont été réalisés au début du XVIIème siècle ; il en reste la moitié en place sur les 24 d’origine. Ce sont des peintures sur verre avec des émaux recuits au four, à la différence des autres vitraux de l’église où le verre est coloré dans la masse. Un thème commun les unit : l’Eucharistie et ses préfigurations dans l’Ancien Testament. 
Le Miracle des Billettes. En haut, Jésus entouré des quatre évangélistes.
Saint-Etienne-du-Mont
La galerie dite « du cloître du charnier ». (Le charnier est un ancien petit cimetière). Les vitraux de la galerie du «cloître du charnier» ont été réalisés au début du XVIIème siècle ; il en reste la moitié en place sur les 24 d’origine. Ce sont des peintures sur verre avec des émaux recuits au four, à la différence des autres vitraux de l’église où le verre est coloré dans la masse. Un thème commun les unit : l’Eucharistie et ses préfigurations dans l’Ancien Testament. Le Miracle des Billettes. En haut, Jésus entouré des quatre évangélistes.
88
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>L'Arche de Noé. Le vaisseau de l'Église. En haut à gauche, Noé reproche leurs vices aux hommes, au centre l'arche de Noé et la colombe. Au dessous, le vaisseau de l'église flotte sur le bois de la croix qui le protège des furies du vent. Dans le vaisseau Saint Louis, un pape, un empereur, un roi, un docteur de l'église, un magistrat , une reine... Jésus tient le gouvernail.
Saint-Etienne-du-Mont
L'Arche de Noé. Le vaisseau de l'Église. En haut à gauche, Noé reproche leurs vices aux hommes, au centre l'arche de Noé et la colombe. Au dessous, le vaisseau de l'église flotte sur le bois de la croix qui le protège des furies du vent. Dans le vaisseau Saint Louis, un pape, un empereur, un roi, un docteur de l'église, un magistrat , une reine... Jésus tient le gouvernail.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La Multiplication des pains. L'Apparition aux disciples d'Emmaüs. En haut Jésus bénit les cinq pains ; à gauche les disciples d'Emmaüs font la route avec Jésus ; à droite ils prennent le repas avec lui.
Saint-Etienne-du-Mont
La Multiplication des pains. L'Apparition aux disciples d'Emmaüs. En haut Jésus bénit les cinq pains ; à gauche les disciples d'Emmaüs font la route avec Jésus ; à droite ils prennent le repas avec lui.
90
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le Serpent d'airain, avec Moïse à gauche, milieu du XVIe.
Saint-Etienne-du-Mont
Le Serpent d'airain, avec Moïse à gauche, milieu du XVIe.
91
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La Pâque juive. En haut à gauche, la pâque juive; en haut à droite, des anges exterminent les premiers-nés des Égyptiens. En dessous la pâque chrétienne avec la communion à gauche et les démons à droite qui incitent les hommes à commettre les péchés mortels :
l'avarice, la luxure, l'idolâtrie, le parricide, etc..
Saint-Etienne-du-Mont
La Pâque juive. En haut à gauche, la pâque juive; en haut à droite, des anges exterminent les premiers-nés des Égyptiens. En dessous la pâque chrétienne avec la communion à gauche et les démons à droite qui incitent les hommes à commettre les péchés mortels : l'avarice, la luxure, l'idolâtrie, le parricide, etc..
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Rite de purification : En haut à gauche , le grand prêtre et les trois lévites se purifient en se lavant les mains ; à droite, reconstitution imaginaire du temple de Salomon, symbole de la synagogue; en bas à gauche, Jésus lave les pieds ; en bas à droite, symbole de l'église.
Saint-Etienne-du-Mont
Rite de purification : En haut à gauche , le grand prêtre et les trois lévites se purifient en se lavant les mains ; à droite, reconstitution imaginaire du temple de Salomon, symbole de la synagogue; en bas à gauche, Jésus lave les pieds ; en bas à droite, symbole de l'église.
93
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le Sacrifice d'Elie et le Sacrifice des prêtres de Baal. Le prophète triomphe sur les prêtres de Baal ; le feu du ciel a allumé le bûcher où le bœuf qu'il offre en holocauste est la proie des flammes. À l'arrière-plan, des païens adorent de fausses divinités. En bas les prêtres de Baal prient pour qu'il embrase l'animal qu'ils lui offrent en sacrifice. Mais aucun feu ne descend du ciel.
Saint-Etienne-du-Mont
Le Sacrifice d'Elie et le Sacrifice des prêtres de Baal. Le prophète triomphe sur les prêtres de Baal ; le feu du ciel a allumé le bûcher où le bœuf qu'il offre en holocauste est la proie des flammes. À l'arrière-plan, des païens adorent de fausses divinités. En bas les prêtres de Baal prient pour qu'il embrase l'animal qu'ils lui offrent en sacrifice. Mais aucun feu ne descend du ciel.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>L’Adoration du Saint Sacrement.
Saint-Etienne-du-Mont
L’Adoration du Saint Sacrement.
95
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Visite des trois Anges à Abraham ou le chêne de Mambré. Trois anges annoncent à Abraham que sa femme sera bientôt enceinte de leur fille Sarah et que les villes de Sodome et de Gomorrhe vont être détruites. En haut à droite, on voit trois anges qui se dirigent vers Gomorrhe, tandis que Sodome, que fuient Loth et sa famille, est en flammes.
Le patriarche offre l'hospitalité à ses visiteurs, d'où la présence de «petits métiers» sur la gauche du vitrail. Un domestique fait cuire le pain ; un autre découpe un veau.
Saint-Etienne-du-Mont
Visite des trois Anges à Abraham ou le chêne de Mambré. Trois anges annoncent à Abraham que sa femme sera bientôt enceinte de leur fille Sarah et que les villes de Sodome et de Gomorrhe vont être détruites. En haut à droite, on voit trois anges qui se dirigent vers Gomorrhe, tandis que Sodome, que fuient Loth et sa famille, est en flammes. Le patriarche offre l'hospitalité à ses visiteurs, d'où la présence de «petits métiers» sur la gauche du vitrail. Un domestique fait cuire le pain ; un autre découpe un veau.
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<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>L'Offrande de Melchisédech, La Cène, L'Annonciation. XIXe.
Saint-Etienne-du-Mont
L'Offrande de Melchisédech, La Cène, L'Annonciation. XIXe.
97
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>La Manne. Le Christ invitant à adorer l'Eucharistie. Le haut du vitrail est une illusration de la Manne. Moïse lève sa baguette et Dieu fait tomber sur terre des oiseaux ainsi que la manne céleste que des hommes et des femmes, sur la gauche, s'empressent de recueillir. Le Christ, montrant l'hostie dans l'ostensoir, invite les fidèles à venir adorer l'Eucharistie. Il envoie ses serviteurs (qui portent une auréole) rameuter les gens. Tous se trouvent une excuse pour ne pas venir : l'un se marie, un autre visite la maison qu'il vient d'acquérir, un troisième chemine avec ses bœufs malgré le geste pressant du serviteur. En fin de compte, ce sont les pauvres, les malheureux et les infirmes qui vont participer au banquet (premier plan, à droite). Moralité de la parabole : les pauvres, ne possédant rien, n'ont pas d'obligation et sont ainsi ouverts à la parole du Christ.
Saint-Etienne-du-Mont
La Manne. Le Christ invitant à adorer l'Eucharistie. Le haut du vitrail est une illusration de la Manne. Moïse lève sa baguette et Dieu fait tomber sur terre des oiseaux ainsi que la manne céleste que des hommes et des femmes, sur la gauche, s'empressent de recueillir. Le Christ, montrant l'hostie dans l'ostensoir, invite les fidèles à venir adorer l'Eucharistie. Il envoie ses serviteurs (qui portent une auréole) rameuter les gens. Tous se trouvent une excuse pour ne pas venir : l'un se marie, un autre visite la maison qu'il vient d'acquérir, un troisième chemine avec ses bœufs malgré le geste pressant du serviteur. En fin de compte, ce sont les pauvres, les malheureux et les infirmes qui vont participer au banquet (premier plan, à droite). Moralité de la parabole : les pauvres, ne possédant rien, n'ont pas d'obligation et sont ainsi ouverts à la parole du Christ.
98
<center>Saint-Etienne-du-Mont </center>Le vitrail du « Pressoir mystique » illustre la parole du Christ lors du dernier repas de la Cène, reprise à chaque messe, lorsqu’il fit passer la coupe de vin en disant «ceci est mon sang». Le Christ est étendu sur un pressoir. Son sang jaillit de ses plaies et nourrit la terre. Tout autour, les activités vinicoles sont prises en charge par les représentants de l'Histoire sainte : les patriarches plantent la vigne, les prophètes la taillent ; les apôtres font la vendange, mènent les grappes à la cuve et les foulent au pied pour les presser (on voit saint Pierre dans ce rôle) ; puis, les évangélistes apportent les cuves aux Pères de l'Église (saint Grégoire et saint Jérôme?). Enfin, le clergé assurent la distribution de l'Eucharistie aux fidèles. Sur la droite, pape, roi et cardinal stockent dans un cellier, à l'aide d'une échelle, les barils remplis du sang divin.
Saint-Etienne-du-Mont
Le vitrail du « Pressoir mystique » illustre la parole du Christ lors du dernier repas de la Cène, reprise à chaque messe, lorsqu’il fit passer la coupe de vin en disant «ceci est mon sang». Le Christ est étendu sur un pressoir. Son sang jaillit de ses plaies et nourrit la terre. Tout autour, les activités vinicoles sont prises en charge par les représentants de l'Histoire sainte : les patriarches plantent la vigne, les prophètes la taillent ; les apôtres font la vendange, mènent les grappes à la cuve et les foulent au pied pour les presser (on voit saint Pierre dans ce rôle) ; puis, les évangélistes apportent les cuves aux Pères de l'Église (saint Grégoire et saint Jérôme?). Enfin, le clergé assurent la distribution de l'Eucharistie aux fidèles. Sur la droite, pape, roi et cardinal stockent dans un cellier, à l'aide d'une échelle, les barils remplis du sang divin.
99
<center>Le lycée Henri IV. </center> Après la victoire de Vouillé sur les Wisigoths qui lui ouvre la riche Aquitaine, le roi des Francs Clovis fonde vers 506 le monastère royal des Saints-Apôtres, dédié aux apôtres Pierre et Paul. Clovis y est inhumé en 511. L'année suivante, la basilique, poursuivie par la reine Clotilde, acquiert un prestige supplémentaire en recevant les reliques de sainte Geneviève. A l'arrière plan, le clocher de saint Etienne du Mont.
Le lycée Henri IV.
Après la victoire de Vouillé sur les Wisigoths qui lui ouvre la riche Aquitaine, le roi des Francs Clovis fonde vers 506 le monastère royal des Saints-Apôtres, dédié aux apôtres Pierre et Paul. Clovis y est inhumé en 511. L'année suivante, la basilique, poursuivie par la reine Clotilde, acquiert un prestige supplémentaire en recevant les reliques de sainte Geneviève. A l'arrière plan, le clocher de saint Etienne du Mont.
100
<center>Le lycée Henri IV. </center> La tour dite, à tort, de Clovis, romane à la base, gothique aux étages supérieurs, s'élève dans la cour du lycée Henri IV. C'est un reste de la Basilique  Sainte-Geneviève détruite de 1802 à 1807. A l'arrière plan, le dôme du Panthéon.
Le lycée Henri IV.
La tour dite, à tort, de Clovis, romane à la base, gothique aux étages supérieurs, s'élève dans la cour du lycée Henri IV. C'est un reste de la Basilique Sainte-Geneviève détruite de 1802 à 1807. A l'arrière plan, le dôme du Panthéon.
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<center>Le lycée Henri IV. </center> La tour dite, à tort, de Clovis.
Le lycée Henri IV.
La tour dite, à tort, de Clovis.
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<center>Le lycée Henri IV. </center> La tour dite, à tort, de Clovis.
Le lycée Henri IV.
La tour dite, à tort, de Clovis.
103
<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> Fondé en 1703 par Claude Poullart des Places (mort en 1709), le Séminaire du Saint-Esprit s'installe au 13 de la rue des Postes (actuellement 30 rue Lhomond) le 1er janvier 1732.
Dès les débuts, des prêtres formés au Séminaire partent pour les missions d'Extrême-Orient, pour la Guyane et le Sénégal.
Confisqué au moment de la Révolution (1792), le Séminaire ne retrouve sa destination, qu'en 1822.
En 1848, la Société du Saint-Cœur de Marie, fondée par le Père François Libermann, juif alsacien converti, fusionne avec la Congrégation du Saint-Esprit et Libermann devient le Supérieur général. Après sa mort, le 2 février 1852, la Congrégation du Saint-Esprit  continue à se développer et à envoyer des missionnaires, surtout dans divers territoires africains.
Depuis 1966 le Supérieur de la Congrégation réside à Rome et la maison mère, 30 rue Lhomond, reste le centre de la Province spiritaine de France .
Congrégation du Saint Esprit.
Fondé en 1703 par Claude Poullart des Places (mort en 1709), le Séminaire du Saint-Esprit s'installe au 13 de la rue des Postes (actuellement 30 rue Lhomond) le 1er janvier 1732. Dès les débuts, des prêtres formés au Séminaire partent pour les missions d'Extrême-Orient, pour la Guyane et le Sénégal. Confisqué au moment de la Révolution (1792), le Séminaire ne retrouve sa destination, qu'en 1822. En 1848, la Société du Saint-Cœur de Marie, fondée par le Père François Libermann, juif alsacien converti, fusionne avec la Congrégation du Saint-Esprit et Libermann devient le Supérieur général. Après sa mort, le 2 février 1852, la Congrégation du Saint-Esprit continue à se développer et à envoyer des missionnaires, surtout dans divers territoires africains. Depuis 1966 le Supérieur de la Congrégation réside à Rome et la maison mère, 30 rue Lhomond, reste le centre de la Province spiritaine de France .
104
<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
105
<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> La chapelle se signale par une façade dépouillée sur la rue Lhomond. Au-dessus de la porte, une grande baie en plein cintre est surmontée d’un bas-relief. Exécuté par François Duret, ce bas-relief représente la prédication et le baptême des missionnaires. Le mur laissé nu et l’importante corniche à modillons sont caractéristiques du style néo-classique.
Congrégation du Saint Esprit.
La chapelle se signale par une façade dépouillée sur la rue Lhomond. Au-dessus de la porte, une grande baie en plein cintre est surmontée d’un bas-relief. Exécuté par François Duret, ce bas-relief représente la prédication et le baptême des missionnaires. Le mur laissé nu et l’importante corniche à modillons sont caractéristiques du style néo-classique.
106
<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
107
<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> Commencée en 1769 la construction de la chapelle du Séminaire du Saint-Esprit est achevée par l'architecte Jean Chalgrin en 1778. En 1861 fut édifiée la niche de Notre-Dame des Victoires dans l'abside.
Congrégation du Saint Esprit.
Commencée en 1769 la construction de la chapelle du Séminaire du Saint-Esprit est achevée par l'architecte Jean Chalgrin en 1778. En 1861 fut édifiée la niche de Notre-Dame des Victoires dans l'abside.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> La décoration des murs et de la voûte, œuvre de quatre frères spiritains, date de 1876-1878. Les vitraux et le chemin de croix sont de la même époque.
Congrégation du Saint Esprit.
La décoration des murs et de la voûte, œuvre de quatre frères spiritains, date de 1876-1878. Les vitraux et le chemin de croix sont de la même époque.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> En 1861 fut édifiée la tribune du fond de la chapelle, où l'orgue fut installé en 1863.
Congrégation du Saint Esprit.
En 1861 fut édifiée la tribune du fond de la chapelle, où l'orgue fut installé en 1863.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> Au fond de la chapelle se trouvent, d'un côté le tombeau du P. François Libermann (1802-1852)
Congrégation du Saint Esprit.
Au fond de la chapelle se trouvent, d'un côté le tombeau du P. François Libermann (1802-1852)
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center> Le dessin de l’escalier serait de Jacques-Germain Soufflot.
Congrégation du Saint Esprit.
Le dessin de l’escalier serait de Jacques-Germain Soufflot.
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<center>Congrégation du Saint Esprit. </center>
Congrégation du Saint Esprit.
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<center>Cathédrale Notre-Dame-du-Liban. </center>La cathédrale Notre-Dame-du-Liban est un édifice religieux de l'Église maronite pour le culte catholique oriental de tradition syriaque antiochienne.
Cathédrale Notre-Dame-du-Liban.
La cathédrale Notre-Dame-du-Liban est un édifice religieux de l'Église maronite pour le culte catholique oriental de tradition syriaque antiochienne.
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<center>Cathédrale Notre-Dame-du-Liban. </center>
Cathédrale Notre-Dame-du-Liban.
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<center>Cathédrale Notre-Dame-du-Liban. </center>Vitraux àdeux ou  trois lancettes d'Émile Hirsch (fin XIXe siècle).
Cathédrale Notre-Dame-du-Liban.
Vitraux àdeux ou trois lancettes d'Émile Hirsch (fin XIXe siècle).
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<center>Cathédrale Notre-Dame-du-Liban. </center>Vitrail contemporain de Christiane et Philippe Andrieux représentant des saints et des saintes de l'Église maronite.
Cathédrale Notre-Dame-du-Liban.
Vitrail contemporain de Christiane et Philippe Andrieux représentant des saints et des saintes de l'Église maronite.
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<center>Cathédrale Notre-Dame-du-Liban. </center>La rose de la façade est une Vierge à l'Enfant de Marie-Jo et Yves Gueyel.
Elle s'inspire de l'effigie de Notre-Dame de Kannoubine.
Cathédrale Notre-Dame-du-Liban.
La rose de la façade est une Vierge à l'Enfant de Marie-Jo et Yves Gueyel. Elle s'inspire de l'effigie de Notre-Dame de Kannoubine.
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<center>Cathédrale Notre-Dame-du-Liban. </center>
Cathédrale Notre-Dame-du-Liban.
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